9.000 km2 de zones à enjeu militaire libérées

Sophie Fabrégat
30/01/2019


Commentaire : (...) "Construites en co-concertation avec les syndicats professionnels, des ONG, des représentants des collectivités territoriales et de l’État, les conclusions du groupe de travail « éolien » ont été adoptées le 18 janvier 2019"
Communiqué_Plan de libération des énergies renouvelables


En attendant les résultats de l'enquête  pour "recherche des causes de l'accident"  ouverte par le parquet de Metz suite au crash du mirage 2000 dans le Jura entrainant la mort des deux pilotes.

Aucun organisme représentant les riverains n'était convié à ce groupe de travail. C'est l'entre-soi qui prédomine! À qui la faute?


Devant une telle détermination du lobby éolien à vampiriser la France rurale avec la complicité plus qu'évidente de la présidence Macron (l'armée a CÉDÉ!!), il apparait évident que pour stopper ce rouleau compresseur de nos vies, il faudra bien plus que des pétitions, des manifestations sporadiques, des lettres au président et autres cris du coeur sur les réseaux sociaux...

Ruraux, réveillez-vous, il est déjà trop tard!

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A l'issue d'une réunion du groupe de travail éolien, organisée le 29 janvier, le ministère de la Transition écologique et solidaire annonce la libération de plus de 9.000 km2 sur des zones à enjeu militaire. "Après la libération en 2014 de 14 % de certaines zones d'entrainement au vol en basse altitude, le ministère des armées vient de conduire un nouvel examen du périmètre de ses zones. (..) Cette réévaluation a permis une libération supplémentaire de plus de 9.000 km² de territoires à fort potentiel éolien (soit 13 % des zones), jusqu'ici contraints pour le développement de parcs éoliens, sans préjudice des contraintes d'autres natures", précise le ministère.

Par ailleurs, il rappelle que les nouvelles règles de balisage nocturne des éoliennes entreront en vigueur le 1er février. L'objectif de ces nouvelles règles est de réduire la gêne visuelle des éoliennes la nuit, pour les riverains. L'arrêté du 23 avril 2018 impose ainsi une synchronisation des balisages lumineux et ouvre également la possibilité d'un “balisage circonstancié” des parcs, limité à leur périphérie, mais aussi d'un balisage fixe.

"Un groupe de travail associant les porteurs de projets éoliens, les usagers aéronautiques et les régulateurs du ministère de la Transition écologique et solidaire et du ministère des Armées poursuit les travaux de définition de solutions techniques permettant de prolonger cet effort".

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