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L'impact caché des grandes usines solaires : résidents et faune affectés, aquifères menacés
Un nombre croissant d'habitants de la Californie et d'écologistes affirment que la transformation des déserts de l'État en une mer de panneaux solaires pour atteindre des objectifs ambitieux en matière d'énergie renouvelable se fait au détriment de la faune, de la santé des habitants des environs, des terres indigènes et même de la valeur des propriétés.
Avec 776 usines solaires produisant environ I7 % de l'électricité de l'État, le Golden State [surnom de l' État de Californie] est inondé de panneaux bleus et argentés qui parsèment des centaines de milliers d'hectares.
Usines solaires en Californie.
Des millions de panneaux ont été installés à l'est de Los Angeles, dans le désert de Mojave, au cours des cinq dernières années, modifiant ainsi l'aspect du paysage et entraînant, selon les experts, une nouvelle série de problèmes pour les habitants des environs.
Dustin Mulvaney, professeur d'études environnementales à l'université d'État de San Jose, s'inquiète des effets des panneaux solaires sur les terres publiques, notamment des dommages causés aux écosystèmes et aux sols et de la forte demande en eau.
" Il y a un risque potentiel d'épuisement des eaux souterraines ", a déclaré M. Mulvaney à l' Epoch Times. [média d'information indépendant, imprimé et en ligne. Il est considéré comme le plus neutre parmi les principaux médias dans les enquêtes d'opinion]
Une loi de l'État promulguée en 20I4, qui réglemente l'utilisation des eaux souterraines et vise à préserver les réserves d'eau, ne s'applique pas aux terres publiques. Ces terres sont gérées par le Bureau of Land Management, une agence fédérale relevant du ministère de l' Intérieur qui supervise 245 millions d'hectares de terres, dont I5 millions sont situés en Californie.
Le bureau a donné la préférence à 870 000 hectares au niveau national pour le développement de l'énergie solaire, dont plus de 200 000 hectares sont déjà équipés de panneaux solaires en Californie, selon son site web.
Toutefois, étant donné que les animaux sont déplacés et que les schémas migratoires ont été modifiés en raison du nombre croissant de ces fermes solaires, certains groupes de défense ont demandé l'arrêt de cette expansion jusqu'à ce que des lignes directrices puissent être mises en place.
Des oiseaux ont été observés en train de confondre les panneaux bleus brillants avec de l'eau, avec des résultats catastrophiques, car la chaleur extrême du matériau réfléchissant peut les incinérer instantanément, selon les experts.
Les tortues du désert sont tuées et déplacées, tandis que les mouflons et les cerfs ne peuvent accéder à certaines zones en raison des clôtures en fil barbelé de deux mètres de haut qui entourent les usines solaires. Selon les écologistes, ces clôtures ont entraîné une perte d'habitat de pâturage et empêché certaines créatures de naviguer sur les sentiers et d'accéder aux sources d'eau.
En outre, les corridors conçus pour permettre aux animaux sauvages de se déplacer invitent les prédateurs, — car les carnivores rusés apprennent à attendre les proies qui émergent des voies étroites,— à pénétrer dans les communautés, avec une augmentation des observations de coyotes et de lions de montagne depuis l'installation des clôtures, selon les habitants.
Problèmes de santé
Les résidents du Lake Tamarisk Desert ResortI, situé à mi-chemin entre Phoenix et Los Angeles, à Desert Center, en Californie, affirment que la construction de ces usines solaires est une nuisance considérable, certains signalant des problèmes de santé en raison de l'augmentation de la poussière dans la région.
Dustin Mulvaney, professeur d'études environnementales à l'université d'État de San Jose, s'inquiète des effets des panneaux solaires sur les terres publiques, notamment des dommages causés aux écosystèmes et aux sols et de la forte demande en eau.
" Il y a un risque potentiel d'épuisement des eaux souterraines ", a déclaré M. Mulvaney à l' Epoch Times. [média d'information indépendant, imprimé et en ligne. Il est considéré comme le plus neutre parmi les principaux médias dans les enquêtes d'opinion]
Une loi de l'État promulguée en 20I4, qui réglemente l'utilisation des eaux souterraines et vise à préserver les réserves d'eau, ne s'applique pas aux terres publiques. Ces terres sont gérées par le Bureau of Land Management, une agence fédérale relevant du ministère de l' Intérieur qui supervise 245 millions d'hectares de terres, dont I5 millions sont situés en Californie.
Le bureau a donné la préférence à 870 000 hectares au niveau national pour le développement de l'énergie solaire, dont plus de 200 000 hectares sont déjà équipés de panneaux solaires en Californie, selon son site web.
Toutefois, étant donné que les animaux sont déplacés et que les schémas migratoires ont été modifiés en raison du nombre croissant de ces fermes solaires, certains groupes de défense ont demandé l'arrêt de cette expansion jusqu'à ce que des lignes directrices puissent être mises en place.
Des oiseaux ont été observés en train de confondre les panneaux bleus brillants avec de l'eau, avec des résultats catastrophiques, car la chaleur extrême du matériau réfléchissant peut les incinérer instantanément, selon les experts.
Les tortues du désert sont tuées et déplacées, tandis que les mouflons et les cerfs ne peuvent accéder à certaines zones en raison des clôtures en fil barbelé de deux mètres de haut qui entourent les usines solaires. Selon les écologistes, ces clôtures ont entraîné une perte d'habitat de pâturage et empêché certaines créatures de naviguer sur les sentiers et d'accéder aux sources d'eau.
En outre, les corridors conçus pour permettre aux animaux sauvages de se déplacer invitent les prédateurs, — car les carnivores rusés apprennent à attendre les proies qui émergent des voies étroites,— à pénétrer dans les communautés, avec une augmentation des observations de coyotes et de lions de montagne depuis l'installation des clôtures, selon les habitants.
Problèmes de santé
Les résidents du Lake Tamarisk Desert ResortI, situé à mi-chemin entre Phoenix et Los Angeles, à Desert Center, en Californie, affirment que la construction de ces usines solaires est une nuisance considérable, certains signalant des problèmes de santé en raison de l'augmentation de la poussière dans la région.
Aujourd'hui, Lake Tamarisk Desert Resort est un parc de I50 emplacements pour camping-cars et maisons mobiles. Il s'agit d'une communauté active et dynamique des 55 ans et plus, détenue par ses membres, qui se remplit chaque hiver d'âmes heureuses à la recherche de chaleur, de communauté et de soleil. Sur le Web
Patti Cockcroft explique qu'elle consulte un médecin depuis qu'elle a développé une toux bronchique profonde en mars, suite à des mois de vents violents et de poussières provenant d'une usine solaire situé près de sa maison dans le désert.
Des tests sont actuellement en cours pour déterminer si elle est atteinte de la fièvre de la vallée, — une maladie potentiellement mortelle, — et les médecins lui ont dit que les conditions extrêmes auraient pu déclencher une grave crise d'asthme.
" L'idée de retourner dans le désert n'est pas très séduisante ", a déclaré Mme Cockcroft dans un courriel envoyé à l'Epoch Times.
Les experts s'accordent à dire que les problèmes liés à l'enlèvement des sols dans le cadre de la construction et l'exposition humaine aux particules de poussière qui en résulte sont alarmants.
" Le véritable problème de santé publique est la fièvre de la vallée ", a déclaré M. Mulvaney, de l'État de San Jose, au Epoch Times.
En 20I8, les Centers for Disease Control and Prevention2 ont constaté une augmentation de l'incidence de la fièvre de la vallée chez les travailleurs de la construction d'usines solaires, en raison de leur travail dans des conditions poussiéreuses où les spores fongiques présentes dans le sol se retrouvent en suspension dans l'air.
Après avoir reçu des rapports sur des accidents du travail liés à la fièvre de la vallée, les enquêteurs ont découvert que les travailleurs des fermes solaires en Californie étaient 4,4 à 2I0,6 fois plus susceptibles de souffrir de la maladie que d'autres personnes travaillant et vivant dans les mêmes comtés.
Les conditions poussiéreuses peuvent également entraîner la silicose, une maladie pulmonaire qui, selon les experts, est particulièrement préoccupante pour les mineurs qui fabriquent des panneaux solaires, ainsi que pour les travailleurs et les habitants des environs pendant le processus d'installation.
Des problèmes qui s'aggravent
En 20I3, un carambolage de véhicules près de Los Angeles, qui a fait six blessés, a été partiellement imputé à un projet solaire lorsqu'un nuage de poussière massif a forcé la fermeture de l'autoroute de la vallée d' Antelope3.
Selon Teresa Pierce, une autre habitante du lac Tamaris, les efforts déployés par les entreprises solaires pour réduire la poussière ne font qu'aggraver les problèmes de certaines communautés locales.
Selon elle, ces entreprises conduisent des camions à eau à moteur diesel, ce qui crée une pollution par le bruit et la poussière, tout en drainant des aquifères qui ne sont pas régulièrement remplis par la nature.
" Leurs camions à eau tournent autour de notre station de pompage, a déclaré M. Pierce à l'Epoch Times, c'est un véritable bol de poussière, avec des bruits de construction constants. "
Selon les habitants, les tentatives précédentes de communication avec le comté, le Bureau of Land Management et les représentants des entreprises solaires se sont heurtées à une certaine résistance.
" Ils disent qu'ils essaient de travailler avec la communauté, mais ce n'est pas le cas ", a déclaré M. Pierce à l'Epoch Times, ils ont apporté de fausses cartes lorsqu'ils sont venus nous faire une présentation. "
Tout en demandant un moratoire sur les futures usines solaires dans un rayon de cinq miles [~8 km] autour du lac Tamarisk, les défenseurs locaux ont déclaré aux législateurs que leur communauté était en train de devenir une " île dans une mer solaire morte ".
La valeur des biens immobiliers dans les communautés situées à proximité des installations d' usines solaires a été affectée, les terrains autrefois convoités devenant difficiles à vendre, selon les habitants.
D'autres communautés affirment que les usines solaires sont trop proches pour être confortables.
Les projets autour du lac Tamarisk se sont insinués dans une communauté d'environ 500 habitants, certains affirmant qu'il est prévu d'installer des panneaux à seulement 750 pieds [~230 m] des maisons qu'ils habitent depuis des décennies.
Les habitants ont contacté toutes les parties responsables, des représentants locaux jusqu'au président Joe Biden, mais la seule réponse est venue du sénateur Alex Padilla4, D-Calif., qui a accepté de se réunir pour discuter, selon des documents fournis à l'Epoch Times.
La destruction des ressources culturelles sur les terres tribales est un autre problème qui complique les choses.
Le désert de Mojave et d'autres zones où se déroulent les installations sont situés sur des territoires autochtones ayant une valeur historique. La perte d'artefacts, de sites funéraires ancestraux et de paysages culturels affecte les communautés tribales qui disposent de ressources limitées pour s'opposer à de nouveaux développements, selon une série de procès intentés au cours des I2 dernières années dans le but d'arrêter les projets solaires sur les terres tribales.
Patti Cockcroft explique qu'elle consulte un médecin depuis qu'elle a développé une toux bronchique profonde en mars, suite à des mois de vents violents et de poussières provenant d'une usine solaire situé près de sa maison dans le désert.
Des tests sont actuellement en cours pour déterminer si elle est atteinte de la fièvre de la vallée, — une maladie potentiellement mortelle, — et les médecins lui ont dit que les conditions extrêmes auraient pu déclencher une grave crise d'asthme.
" L'idée de retourner dans le désert n'est pas très séduisante ", a déclaré Mme Cockcroft dans un courriel envoyé à l'Epoch Times.
Les experts s'accordent à dire que les problèmes liés à l'enlèvement des sols dans le cadre de la construction et l'exposition humaine aux particules de poussière qui en résulte sont alarmants.
" Le véritable problème de santé publique est la fièvre de la vallée ", a déclaré M. Mulvaney, de l'État de San Jose, au Epoch Times.
En 20I8, les Centers for Disease Control and Prevention2 ont constaté une augmentation de l'incidence de la fièvre de la vallée chez les travailleurs de la construction d'usines solaires, en raison de leur travail dans des conditions poussiéreuses où les spores fongiques présentes dans le sol se retrouvent en suspension dans l'air.
Après avoir reçu des rapports sur des accidents du travail liés à la fièvre de la vallée, les enquêteurs ont découvert que les travailleurs des fermes solaires en Californie étaient 4,4 à 2I0,6 fois plus susceptibles de souffrir de la maladie que d'autres personnes travaillant et vivant dans les mêmes comtés.
Les conditions poussiéreuses peuvent également entraîner la silicose, une maladie pulmonaire qui, selon les experts, est particulièrement préoccupante pour les mineurs qui fabriquent des panneaux solaires, ainsi que pour les travailleurs et les habitants des environs pendant le processus d'installation.
Des problèmes qui s'aggravent
En 20I3, un carambolage de véhicules près de Los Angeles, qui a fait six blessés, a été partiellement imputé à un projet solaire lorsqu'un nuage de poussière massif a forcé la fermeture de l'autoroute de la vallée d' Antelope3.
Selon Teresa Pierce, une autre habitante du lac Tamaris, les efforts déployés par les entreprises solaires pour réduire la poussière ne font qu'aggraver les problèmes de certaines communautés locales.
Selon elle, ces entreprises conduisent des camions à eau à moteur diesel, ce qui crée une pollution par le bruit et la poussière, tout en drainant des aquifères qui ne sont pas régulièrement remplis par la nature.
" Leurs camions à eau tournent autour de notre station de pompage, a déclaré M. Pierce à l'Epoch Times, c'est un véritable bol de poussière, avec des bruits de construction constants. "
Selon les habitants, les tentatives précédentes de communication avec le comté, le Bureau of Land Management et les représentants des entreprises solaires se sont heurtées à une certaine résistance.
" Ils disent qu'ils essaient de travailler avec la communauté, mais ce n'est pas le cas ", a déclaré M. Pierce à l'Epoch Times, ils ont apporté de fausses cartes lorsqu'ils sont venus nous faire une présentation. "
Tout en demandant un moratoire sur les futures usines solaires dans un rayon de cinq miles [~8 km] autour du lac Tamarisk, les défenseurs locaux ont déclaré aux législateurs que leur communauté était en train de devenir une " île dans une mer solaire morte ".
La valeur des biens immobiliers dans les communautés situées à proximité des installations d' usines solaires a été affectée, les terrains autrefois convoités devenant difficiles à vendre, selon les habitants.
D'autres communautés affirment que les usines solaires sont trop proches pour être confortables.
Les projets autour du lac Tamarisk se sont insinués dans une communauté d'environ 500 habitants, certains affirmant qu'il est prévu d'installer des panneaux à seulement 750 pieds [~230 m] des maisons qu'ils habitent depuis des décennies.
Les habitants ont contacté toutes les parties responsables, des représentants locaux jusqu'au président Joe Biden, mais la seule réponse est venue du sénateur Alex Padilla4, D-Calif., qui a accepté de se réunir pour discuter, selon des documents fournis à l'Epoch Times.
La destruction des ressources culturelles sur les terres tribales est un autre problème qui complique les choses.
Le désert de Mojave et d'autres zones où se déroulent les installations sont situés sur des territoires autochtones ayant une valeur historique. La perte d'artefacts, de sites funéraires ancestraux et de paysages culturels affecte les communautés tribales qui disposent de ressources limitées pour s'opposer à de nouveaux développements, selon une série de procès intentés au cours des I2 dernières années dans le but d'arrêter les projets solaires sur les terres tribales.
Le désert de Mojave
" Le projet est situé (...) dans une région riche en ressources culturelles utilisées depuis des temps immémoriaux ", a déclaré Amanda Barrera, conseillère de la tribu indienne de Colorado River, dans un communiqué publié lorsque la tribu a intenté un procès au comté de Riverside en 20I4 pour arrêter le développement. " Ces ressources sont restées intactes pendant des millénaires, mais elles sont aujourd'hui menacées par une pression toujours plus forte en faveur du développement d'installations solaires à grande échelle.
Les efforts déployés par les anciens de la tribu pour arrêter les projets solaires par voie judiciaire ont échoué, les juges fédéraux ayant à plusieurs reprises confirmé le droit du gouvernement à utiliser les terres.
" Le projet est situé (...) dans une région riche en ressources culturelles utilisées depuis des temps immémoriaux ", a déclaré Amanda Barrera, conseillère de la tribu indienne de Colorado River, dans un communiqué publié lorsque la tribu a intenté un procès au comté de Riverside en 20I4 pour arrêter le développement. " Ces ressources sont restées intactes pendant des millénaires, mais elles sont aujourd'hui menacées par une pression toujours plus forte en faveur du développement d'installations solaires à grande échelle.
Les efforts déployés par les anciens de la tribu pour arrêter les projets solaires par voie judiciaire ont échoué, les juges fédéraux ayant à plusieurs reprises confirmé le droit du gouvernement à utiliser les terres.
I. " Le lac Tamarisk et son lac artificiel, son terrain de golf et sa piscine ont été construits dans les années I960 par Henry J. Kaiser pour servir d'aire de loisirs au personnel d'encadrement de la mine voisine d' Eagle Mountain. Lorsque la mine a fermé en I982, le parc a été abandonné et s'est dégradé. En mai I984, Ralph Kennedy, Harold Cook et Joe Chambers ont acheté le parc et l'ont transformé en un parc réservé aux caravanes pour les 55 ans et plus, qu'ils ont baptisé Lake Tamarisk Land Yacht Harbor : port de plaisance du lac Tamarisk. Le parc a fait l'objet de réparations importantes et le Kennedy Hall, qui était une grande laverie avec des laveuses et des sécheuses sur des socles en béton, a été transformé en un lieu de rassemblement comme il l'est aujourd'hui. Les personnes qui vivaient déjà dans le parc étaient autorisées à y rester sans posséder de caravanes. En I996, l'obligation de posséder une caravane a été supprimée. " Sur le Web.
2. Ou CDC; ils forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique. Les centres produisent des informations dans le but d'améliorer les décisions gouvernementales en matière de santé. Sur le Web.
3. située dans la partie nord du comté de Los Angeles et la partie sud-est du comté de Kern, dans l'État de Californie. Sur le Web.
4. Alejandro Padilla dit Alex Padilla, né le 22 mars I973 à Los Angeles, est un homme politique américain membre du Parti démocrate. En I999, il est élu au conseil municipal de Los Angeles, qu'il préside de 200I à 2006. Il est ensuite élu au Sénat de l'État de Californie de 2006 à 201I4, année où il devient secrétaire d'État de Californie. En 202I, il est nommé au Sénat des États-Unis pour remplacer la vice-présidente Kamala Harris. Sur le Web.
5. Californie, Nevada et Arizona : trois États sur lesquels s'étend le désert de Mojave, caillouteux, riche en minéraux et dans lequel on trouve le fameux Joshua tree. Évidemment, le désert est le paradis du géologue : pas de terre ni de végétation pour vous cacher les cailloux. Sur le Web.
Joshua Tree National Park. © United States Air Force? CCO
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