Le puissant lobby nucléaire

Bertrand Cassoret
1er septembre 2016

Commentaire : un grand moment d'humour, à la Prévert... À savourer sans modération.😇
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C’est bien connu, le lobby nucléaire français est très influent. Il manipule les politiques, les médias et l’opinion publique.
Le lobby nucléaire français est tellement puissant que :

- les reportages et articles sur l’énergie dans la presse montrent bien plus les inconvénients du nucléaire que ses avantages, et omettent la plupart du temps la comparaison avec les inconvénients des autres sources d’énergie ou du manque d’énergie,
- les médias donnent plus souvent la parole aux anti-nucléaire qu’aux pro ; comptez les temps qui leurs sont respectivement accordés, par exemple sur Arte ou France Inter…,
- une recherche Google sur le mot « nucléaire » place le site web de « Sortir du nucléaire » avant celui de EDF ou de la Société Française d’Énergie Nucléaire,
- le film « Pandora’s Promise » de Robert Stone, qui montre les avantages du nucléaire, n’a jamais été diffusé à la télévision française ni dans les cinémas malgré les démarches du réalisateur, et a peu fait parler de lui en France alors qu’il a été présenté dans des festivals et suscité des débats passionnés aux USA,
- le moindre incident dans une centrale nucléaire est monté en épingle par les associations anti-nucléaire qui diffusent des communiqués alarmistes repris de suite par toute la presse,
- la moindre mesure de radioactivité supérieure à la « normale » est mise en avant par les médias, alors que cela ne signifie en rien que cette radioactivité soit dangereuse,
- la plupart des gens pensent que la radioactivité est forcément dangereuse, ignorant la radioactivité naturelle du granit, des bananes ou celle de notre propre corps,
- certains français croient qu’il faut sortir du nucléaire pour lutter contre le réchauffement climatique, alors que, sur les 1200 scénarios répertoriés par le Groupe d'experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), seuls 8 prétendent qu’on puisse limiter le réchauffement planétaire à 2° sans nucléaire,
- pour beaucoup de français, "transition énergétique" rime avec "sortie du nucléaire", alors que toutes les études montrent que les énergies fossiles sont bien plus dangereuses que l'énergie nucléaire,

Haute-Saône, Vernois- sur- Mance : candidat à l'éolien II

  Associée à la commune de Betoncourt-sur-Mance, sur un projet de zone industrielle de 6 aérogénérateurs, faisons connaissance avec le village de Vernois-sur- Mance.

  Lire → Haute-Marne / Haute-Saône : Betoncourt-sur-Mance et Vernois-sur-Mance, candidats à l'enfer éolien

Vernois- sur- Mance, c'est avant tout cela 
   - Un joli village niché au creux d'un vallon verdoyant, où la vie s'écoule lentement au rythme des saisons. La rivière l' Amance, le Lardiot, le Ruisseau de la Perche sont les principaux cours d'eau qui la traversent.



   - Son église, au clocher comtois.
   "...  Le clocher comtois se caractérise par son aspect de clocher-porche surmonté d'un dôme à l'impériale ou en impériale. Il a été édifié en nombre lors de la reconstruction des églises franc-comtoises au XVIIIe siècle : on compte près de 700 clochers de ce type dans la province, ce qui représente plus du tiers des communes de Franche-Comté."
Sur le Web


 
Source


Ils font l' histoire, ils méritent quelques déboires
Conseil municipal 2014-2020
 - Évelyne Gourlot, personnes diverses sans activité professionnelle de 60 ans et plus (sauf retraités)
- Audrey Lamboley,
- Sandrine Ruffin,
- Pascal Rodrigues, maire, 2eme mandat, anciens employés,
- Damien Channaux, artisans,
- Pascal Chevalier,
-  Guy Deprez,
-  Jean Dormoy, anciens employés
-  Serge Dormoy,
-  Roland Lamboley, anciens employés,
-  Jean-Louis Morot,
  Sur le Web


 ZERO EOLIENNE ET BASTA!
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Haute-Marne : Chalindrey : les cheminots en "ballotage" défavorable

jhm.fr

"Avec le temps, va, tout s'en va..."


capture d'écran@jhm.fr
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Les énergies renouvelables : le monopole solaire-éolien

http://geopolitique-electricite.fr
Lionel Taccoen

Lettre n°84- 31mai 2018

Les énergies renouvelables : le monopole solaire-éolien
Il y a dix ans, un tiers des investissements mondiaux concernant les énergies renouvelables était consacré à d’autres sources que le solaire et l’éolien. En 2007, 60 milliards de dollars s’étaient dirigés vers les biocarburants, la biomasse, la petite hydraulique, la géothermie et les énergies marines. En 2017, ce montant s’est réduit à moins de 12 milliards. Solaire et éolien bénéficient désormais de 96% des fonds. Cette évolution est majeure. L’électricité, seule débouché possible du solaire et de l’éolien, ne compte que pour 18,5% de la consommation finale d’énergie mondiale. L’impact de ces deux sources sur le mix énergétique est marginal. Il est faible pour les émissions de gaz à effet de serre.
Il existe une contradiction entre les baisses des prix de production du solaire et de l’éolien et une augmentation continue des factures des clients. La cause est une profonde mutation des secteurs électriques, dont les coûts suivant plusieurs Cour des Comptes ne sont pas maîtrisés voire mal connus. Les autres moyens de réduire les émissions manquent de moyens financiers. L’établissement du monopole solaire+éolien pour les renouvelables apparaît comme dommageable à la lutte contre le réchauffement climatique.
Les énergies renouvelables : le monopole solaire-éolien

L’objet de cette étude est d’évaluer l’évolution des programmes actuels de développement des énergies renouvelables et ses conséquences.

Explicitons ces termes : comment définir les énergies renouvelables ?
Il y a un consensus pour admettre qu’une énergie renouvelable ne doit pas émettre de gaz à effet de serre lors de sa production d’énergie. Plus généralement, une énergie renouvelable n’a pas d’impact irréversible sur l’environnement. Ceci n’est pas suffisant pour définir une politique.
Pour recevoir des aides, il est nécessaire que les énergies renouvelables reçoivent une définition juridique précise. Celle-ci n’est pas partout la même. L’Union européenne, se contente d’une liste. L’hydraulique en fait partie, mais seuls les petits barrages peuvent être aidés. Toute la production hydraulique est néanmoins comptabilisée dans les statistiques. Le bilan est plus flatteur pour les Européens. Les États montagneux, la Suède, l’Autriche, la Norvège ou la Suisse deviennent des parangons des énergies renouvelables sans effort particulier. La prise en compte de l’hydraulique, différente de par le monde fait souvent varier les définitions et gêne les comparaisons statistiques. L’ONU privilégie les installations hydrauliques de 1 à 50MW. L’IRENA (International Renewable Energy Agency) considère de préférence toutes les installations hydrauliques de 0 à 10 MW.
Certains pays, comme la Chine, l’Inde et quelquefois les Etats-Unis, utilisent la notion « d’énergie propre », définie comme toute source n’émettant pas de gaz à effet de serre, donc incluant le nucléaire. Les médias européens présentent quelquefois les bilans « d’énergie propre » dans ces pays comme ceux des énergies renouvelables.

Que veut dire « programmes actuels » ? L’année 2004
A quelle époque a réellement débuté l’idée de « transition énergétique », indissociable de la volonté de promouvoir les énergies renouvelables ? La force du vent est utilisée depuis longtemps et que dire de la combustion de la plus courante d’une biomasse, le bois ? Rechercher le début effectif du mouvement actuel et des premières législations importantes liées à une prise de conscience écologique est important. Nous avons suivi l’ONU, qui, dans ses Rapports annuels concernant les investissements renouvelables, démarre ses études et ses statistiques en 2004, considérant que leur importance économique devient notable cette année-là. .
Ainsi nous prendrons 2004 comme première année d’entrée dans l’histoire du vaste mouvement actuel vers les énergies renouvelables. Ce qui signifie que leur usage immémorial précédent ne relevait pas d’une prise de conscience écologique, mais provenait d’autres considérations. L’exemple des grands barrages hydrauliques construits au XXème Siècle éclaire ces « autres considérations ». Elles étaient purement économiques.

Quelle conséquence allons-nous étudier ?
Le but premier des énergies renouvelables est de rendre plus « propre » le mix énergétique, c'est-à-dire de diminuer les émissions de gaz à effet de serre pour une consommation donnée d’énergie. Il ne s’agit pas de diminuer la consommation, qui relève d’une autre problématique, l’efficacité énergétique, non étudiée ici.
C’est donc l’impact sur la lutte contre le réchauffement climatique qui sera étudié ici.

Haute-Marne, Langres : le lac de la Liez paressant sous un soleil printanier

Photos :  php











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Brésil : 1968, ouvriers et étudiants contre la dictature

Marcelo Ridenti et Ricardo Antunes
Traduit du brésilien par Béatrice Whitaker. 
Paru dans le numéro 22 de Contretemps (mai 2008) 




En 1968 nous avons été témoins de multiples explosions et révoltes : ouvrières, étudiantes, des féministes, des noirs, des mouvements écologistes, des homosexuels, parmi tant d’autres formes d’indignation et de mécontentement social et poli- tique. C’était la « fin des années dorées ».
Si tant de mouvements de protestation sociale et de mobilisation politique ont agité le monde entier – le mai libertaire des étudiants et des travailleurs français, le « Printemps de Prague » contre le « socialisme réel » sous domination soviétique, le massacre d’étudiants au Mexique, les manifestations aux États- Unis contre la guerre du Vietnam, les actions révolutionnaires armées dans de divers pays, les mouvements de contre-culture – et parmi tant d’autres exemples, le Brésil a aussi tenu sa place dans cette année emblématique.

Outre l’influence des évènements internationaux et l’identification avec les mouvements contestataires d’autres pays, le 68 brésilien a eu ses spécificités. Par exemple, notre mouvement étudiant, éclos dès le mois de mars, avant même le célèbre mai français, a suivi une dynamique de lutte spécifique et un calendrier politique propre. De même, les grèves métallurgiques d’ Osasco (région industrielle à São Paulo), qui ont explosé en juillet et celles de Contagem (région industrielle à Belo Horizonte à Minas Gerais) en avril et octobre de la même année, trouvent leurs origines et racines très marquées par la particularité brésilienne, et par l’essor de la lutte contre la dictature militaire. 

Cela ne veut pas dire que les Brésiliens se désintéressaient des manifestations qui ont eu lieu partout dans le monde cette année-là, d’autant plus qu’une série d’aspects communs, accentués par le « climat politique » propre du pays, existaient sur le scénario mondial. Nous pouvons relever ainsi quelques conditions structurelles répandues dans diverses sociétés, en particulier celles du centre de l’accumulation capitaliste, mais également présentes dans les pays du dit « Tiers-monde », comme le Brésil, le Mexique, l’Argentine… Dans différentes mesures, il y avait une similitude de conditions telles que l’industrialisation avancée, la croissante urbanisation et la consolidation des modes de vie et de la culture des métropoles, la massification de l’industrie culturelle, le développement du prolétariat et des classes moyennes salariées, l’importance des jeunes dans la pyramide démographique de la population, l’accès croissant à l’enseignement supérieur, et aussi l’incapacité du pouvoir en place à représenter des sociétés en plein renouvellement. Si ces conditions plus structurelles n’expliquent pas à elles seules les vagues de révolte et d’agitation, elles ont offert le terrain où ont fleuri les diverses actions politiques et culturelles qui caractérisent 1968 au Brésil. Et, pour le comprendre, il faut rappeler deux mouvements – relativement distincts dans leurs origines, mais assez articulés dans leur processus : le mouvement étudiant et les grèves ouvrières.


1968 et le mouvement étudiant
L’année 1968 au Brésil s’est ouverte avec plusieurs manifestations d’étudiants. Elles revendiquaient l’enseignement public et gratuit pour tous, la démocratisation de l’enseignement supérieur et l’amélioration de sa qualité, une participation plus importante des étudiants aux décisions, l’accroissement de fonds pour la recherche, orientée vers les problèmes économiques et sociaux du pays. En outre, les étudiants contestaient la dictature implantée par le coup d’État militaire de 1964 et la suppression des libertés démocratiques. La majorité des universitaires étudiait alors dans des écoles publiques et l’accès à l’enseignement supérieur était restreint car la demande était beaucoup plus importante que l’offre de places.

Depuis 1966, la police de la dictature militaire réprimait les manifestations étudiantes sporadiques, mais les rébellions d’envergure ont commencé à éclore seulement en 1968. Les étudiants qui obtenaient la moyenne au baccalauréat se trouvaient dans l’impossibilité d’entrer à l’Université car le nombre de vacances disponibles était inférieur à celui des reçus, qualifiés comme « excédents ». Ils réclamaient l’extension et l’amélioration de l’enseignement public. Ces revendications spécifiques s’associaient à la lutte plus générale contre la politique de l’éducation nationale et contre la dictature.
Le 28 mars 1968, la police a envahi le restaurant universitaire Calabouço, provoquant le premier grand affrontement de rue. Plusieurs étudiants furent blessés, le lycéen Edson Luís de Lima Souto tué, et son corps amené à l’Assemblée Législative de Rio de Janeiro. Des manifestations de protestation se sont alors étendues dans le reste du pays. À Goiânia, la répression policière tua un autre étudiant. Au cours des mois d’avril et de mai, de nouvelles manifestations eurent lieu, mais en général, les étudiants cherchèrent à reprendre les forces en se rassemblant à l’intérieur des universités. En même temps, des mouvements de contestation se dessinaient dans le mouvement ouvrier et dans certains secteurs du syndicalisme brésilien.

Espérant obtenir l’approbation populaire pour son projet de candidature à la Présidente de la République, le gouverneur de São Paulo, Abreu Sodré, accepta l’invitation à participer du rassemblement du 1er mai Place de la Cathédrale lancée par le Mouvement Intersyndical Anti-compression salariale (Movimento Intersindical Anti-Arrocho – MIA), composé de communistes, de secteurs modérés, et aussi de « pelegos »1.

Haute-Saône, Betoncourt-sur-Mance et Vernois-sur-Mance : candidats à l'enfer éolien

Association Souffle Citoyen

Communication de l'association Souffle Citoyen
La séance du Conseil Municipal de Betoncourt le 29 mai 2018 consistait en la présentation par le promoteur de l'avant projet de parc éolien sur la commune. Nous avons découvert que ce parc devait comporter 2 à 3 éoliennes sur le territoire de la commune et qu'il faisait parti d'un plus grand parc de 6 à 9 éoliennes réparties entre Betoncourt sur Mance et Vernois sur Mance.

Nous avons pu échanger avec le promoteur et le conseil municipal. Nous avons ainsi donnés nos arguments pour, au minimum, attendre, afin de prendre une décision, le retour d'expérience du parc éolien de Vitrey - St Marcel - Rosière. En effet, il apparaît, ce que nous avions prévu, que nombres d'habitants sont déjà "effarés" par ces machines et que les élus commencent à s'interroger sur le bien fondé de ce parc compte tenu des maigres retombées financières que le Communauté de Communes daigne accorder à ces communes et qu'elle réduit de jour en jour.
Aussi nous nous tournons vers les habitants de Vernois-sur-Mance : vous aussi, vous allez être impactés par ce projet. Vous habitez Vernois, vous connaissez des habitants de Vernois, rejoignez nous pour éviter une nouvelle catastrophe. Plus nous seront nombreux, plus nous serons unis, plus nous pourrons nous faire entendre.
N'hésitez pas à nous contacter, nous vous attendons avec plaisir !

Contact :
Association Souffle Citoyen, 14 rue des Canes 70500 Betoncourt-sur -Mance

Rappel de la situation infernale!

En devenir, ~ 60 éoliennes, de 183m toute hauteur, dans un périmètre de 17 km.


association les vues imprenables
Hauts-marnais, Hauts-saônois, c'est pour quand le réveil?


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Aspect sanitaire sur les riverains des centrales éoliennes

Ghislaine Siguier
le 25/05/2018 
 
Commentaire :  à tous les "rats" des villes qui par leur silence, sacrifient les "rats" des champs, sur l'autel de l'éolien. Chacun se reconnaitra! 

concept : les vuesimprenables + Cc
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Au Ministère de la Santé - à l' Adème - à la DREAL - à l'ARS - à l' ANSES

Torture : souffrance morale ou physique intolérable. Tourment, supplice. Souffrance imposée, tenace, répétée.
La torture de tous temps a connu diverses métamorphoses. La plus anodine, la goutte d'eau tombant à intervalles réguliers était capable de venir à bout des plus coriaces.
Une simple goutte d'eau, naturelle et inoffensive pouvait conduire à la folie.
Sachant que pendant la seconde guerre mondiale les Allemands utilisaient les infrasons, les sons de basses fréquences pour torturer leur prisonniers, comment l'Etat français et les services sus-mentionnés, ont-ils pu omettre de se pencher sur la question des nuisances dites inaudibles des éoliennes à savoir les infrasons. (sans oublier les radiofréquences)
Les nuisances sonores étaient connues, puisque l'on savait qu'il fallait modifier la Loi sur les émergences sonores pour que tout "rentre dans l'ordre" ! (triplement de la norme acceptable de ce fait autorisée !)
Les nuisances infrasonores toute aussi connues, ont été éludées au motif que : inaudibles ! du moins prétendument tant que l'on ne cherchera pas à prouver le contraire.
Pourtant certains sujets y sont sensibles, et ce où que ce soit dans le monde, sans qu'il puisse y avoir entente, conspiration.

Japon : l’histoire méconnue de Yasuke, l’esclave africain devenu le premier samouraï noir

Yann Contegat
30 mars 2018




Premier étranger à avoir obtenu un telle distinction au Japon, Kurusan Yasuke, alias le samouraï noir, a marqué à jamais l’histoire du pays. Selon la légende, ce guerrier redoutable dépassait ses pairs de plus d’une tête et possédait la force de dix hommes. Retour sur son histoire.

Un territoire divisé et isolé
Au XVIe siècle, le Japon est une nation divisée et isolée du monde extérieur. Ses différentes provinces sont administrées par divers seigneurs féodaux connus sous le nom de daimyōs, et sous leur domination, la nation insulaire est peu encline à commercer avec les pays alentours.
Les choses vont cependant évoluer sous l’impulsion des nombreux explorateurs européens qui vont sillonner les mers et établir des contacts directs avec les territoires figurant alors parmi les plus isolés du globe.


L’arrivée des Portugais et de Yasuke au Japon ne passe pas inaperçue

Les Portugais sont les premiers Européens à poser le pied au Japon, et apportent avec eux leur langue, leurs croyances et leur tradition esclavagiste. Arrachés à leur terres natales et condamnés à une vie de servitude, les esclaves africains accompagnent leurs maîtres dans leurs longs voyages.
L’un d’entre eux va cependant réussir à échapper à sa triste condition et gravir les échelons de la société féodale japonaise. Plus connu sous le nom de Yasuke, il deviendra le premier samouraï noir de l’histoire.

G20, bilan énergétique 2017 : l’Accord de Paris oublié

Sylvestre Huet

Les optimistes avaient tort. Ils ont cru, sur la foi des bilans énergétiques et d’émissions de CO2 de 2014 à 2016 que le monde s’était engagé dans une voie vertueuse. Moins d’appétit énergétique, moins d’émissions de gaz à effet de serre bousculant le climat. Les chiffres du bilan énergétique 2017 du G20 – les 20 pays les plus puissants et représentant 80% de la consommation d’énergie dans le monde (1) – viennent d’être publiés par le cabinet Enerdata, en avance sur les institutions officielles. Ils montrent que les pessimistes avaient raison. La tendance des trois années n’était qu’un épisode, brutalement terminé par une contre-tendance : plus d’énergie, et surtout plus de charbon, de gaz et de pétrole, et donc plus d’émissions de CO2. Revue de détail en graphiques (tous fournis par Enerdata).

 

La croissance du PIB est repartie vivement avec 3,5%. La consommation d’énergie a grimpé de 2,1%… et les émissions de CO2 liés à cette énergie de 2%. Oubliée la modération énergétique, oublié le découplage croissance économique mesurée par le PIB et énergie, oublié la décarbonation de l’énergie… oublié l’Accord de Paris sur le climat.

 

Cet Accord de Paris, déjà très insuffisant pour limiter la hausse de la température moyenne planétaire aux 2°C visés, supposait en effet une réduction annuelle de 2,9% des émissions à partir de 2015 et jusqu’en 2050 pour le G20. Rien que les trois années qui viennent de s’écouler, avec trois hausses dont la plus forte en 2017, font monter cette réduction annuelle à 3,5% d’ici 2050. L’objectif s’éloigne…

Chronique d’un suicide collectif

Jean Pierre Riou

Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt

L’équilibre mondial est sous tendu par une guerre sans merci, celle de l’accès à l’énergie.
C’est d’elle que dépend la mainmise sur tout le reste.
En ruinant son système électrique, l’occident ne semble pas avoir pris la mesure des conséquences. 


Le billard à 3 bandes
Le billard à 3 bandes est un sport de précision qui consiste à viser une direction totalement étrangère à l’objectif recherché et demande d’intégrer le savant calcul de la trajectoire qui permettra d’atteindre la cible après 3 changements de direction du projectile, en l’occurrence, une boule de billard.
Il s’agit du sport de référence des maîtres ès géostratégie qui peuvent ainsi se permettre de faire appel à l’opinion pour cautionner la direction du tir.
Voire à l’idiot utile pour servir ses desseins.

La guerre du gaz
Dans l’actualité récente, un tyran devait quitter la Syrie.
Les plus perspicaces auront compris que l’acheminement de la production du plus gros gisement de gaz au monde, le gisement iranien de South Pars, n’y était pas totalement étranger.
L’entreprise TOTAL, qui avait pu en négocier, en 1999 et 2000, la majorité de l’exploitation, a été attaquée pour corruption par la justice. Elle a pu clore la procédure américaine  en versant la somme de 398 millions de dollars.
Les récentes sanctions américaines contre l’Iran, au prétexte d’un manquement aux accords nucléaires, auront fini par avoir raison des prétentions de TOTAL sur ce fabuleux gisement, en raison de la menace U.S de le priver de tout financement en cas de violation de ces sanctions, sanctions providentielles en regard des intérêts gaziers américains.
La guerre du gaz est en effet sans merci, 35 ans après l’accident d’avion qui a coûté la vie au président de la Compagnie italienne d’hydrocarbures (ENI) Enrico Matteï, les soupçons d’attentat sont devenus des certitudes.
Les conditions suspectes de l’accident d’avion de Christophe de Margerie, PDG de TOTAL, ont d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre et évoqué des raisons identiques.

Energie : la rivalité franco-allemande

Jean Pierre RIOU
le 29/05/2018

Le prix du CO2 est déterminant pour la réussite de notre transition énergétique, aussi bien que pour l'Energiewende allemande. L'avantage que nous procure notre parc nucléaire en produisant 75% de notre électricité sans émettre de CO2 est considérable, notamment par rapport à l'Allemagne qui semble s'opposer à cette mesure de bon sens tant que nous disposerons d'un tel avantage.
En toute logique, le rapport franco allemand Agora Iddri « L'Energiewende et la transition énergétique à l'horizon 2030 » mentionne, p 91 :
« L'évolution du parc de production nucléaire en France influera sur la rentabilité du parc à charbon en Allemagne. Le nucléaire a un coût marginal plus faible que le charbon, si bien que sa production peut se substituer à celle des centrales à charbon lorsque qu'il reste des capacités d'interconnexion disponibles. À l'inverse, si des capacités nucléaires sont retirées du mix français, la compétitivité des centrales à charbon maintenues dans le système en Allemagne est améliorée ».

Ce rapport confirme plus loin :
« Dans le cas d'une baisse de capacités nucléaires à 40 GW, le surplus producteur des capacités charbon et lignite résiduelles est augmenté de respectivement 18 et 23 €/kW par an par rapport au scénario haut nucléaire. »

Dans la mesure où l'office franco allemand pour la transition énergétique (OFATE) est implanté directement dans les locaux du ministère de la transition écologique et solidaire, ma question est donc :
« Ne pouvons-nous craindre que pour éviter de donner un tel avantage à la France, une réduction de la part du nucléaire soit de nature à susciter une dépendance de l'Allemagne, qui s'apprête en effet à devenir la plate-forme européenne du gaz à horizon 2035, notamment par son projet d'axe germano russe du gazoduc Nord Stream 2 ? »

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Haute-Marne : les gagnants du "loto pour sauver le Patrimoine français" reçus à l' Elysée

jhm.fr

Suite à leur élection au "loto pour sauver le Patrimoine français", organisé sous l'égide de Stéphan Bern, les heureux élus de Cohons, de Vignory et de Morimond vont monter les marches... de l' Élysée, à la rencontre de Monsieur le Président de la République. Ils et elles vont goûter aux ors de la République et à... ses petits fours. Récompense amplement méritée pour ces sauveteurs bénévoles de l' Histoire et de la Culture haut-marnaise.
Merci à vous d'entretenir notre fierté de haut-marnais et de haut-marnaise.

Après les "bisous" , Les Vues, sans vouloir jouer les rabat-joie, se posent quand même une question : à quel M. Macron, nos valeureux représentants vont-ils serrer la main? Celui, sauveur du Patrimoine ou celui, moteur de la pandémie éolienne qui se répand en France et plus particulièrement, en Haute-Marne?

Car, n'oublions pas que deux des sites récompensés, Vignory et Cohons, sont sous la menace de nouveaux projets de zones industrielles d'aérogénérateurs portés par leurs communes voisines. Morimond semblant épargnée pour l'instant...

-Vignory
Haute-Marne : la communauté d'agglomération de Chaumont, du Bassin Nogentais et du Bassin de Bologne Vignory Froncles toujours à la pointe de l'éolien
https://augustinmassin.blogspot.com/2018/02/haute-marne-la-communaute.html

-Cohons
Heuilley-Cotton
Haute-Marne (sud) : dans notre série "nos élus,es font bien marrer les promoteurs éoliens et les enrichissent" III
https://augustinmassin.blogspot.com/2018/03/haute-marne-sud-nouvel-episode-de-nos_74.html
Bourg
Haute-Marne : Cohons : les "jardins remarquables de France", le danger éolien rôde...
https://augustinmassin.blogspot.com/2018/01/cohons-haute-marne-les-jardins.html
Lire 

Comment la grande distribution s’approprie l’image sympathique du petit producteur local

Anne-Lise Havard et Juliette Jacquemin
29 mai 2018


Commentaire : (...) " On a l’impression qu’on nous prend toutes nos idées, tous nos codes" Quand le monde du bio découvre celui du libéralisme, comme c'est naïf et touchant à la fois...
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L’attrait du « local » n’aura pas mis longtemps à aiguiser les appétits de la grande distribution. L’argument marketing du « petit producteur », destiné à redorer l’image des supermarchés, était connu. Voici maintenant qu’apparaissent des magasins spécialisés dans les circuits courts, lancés par Auchan ou de grandes coopératives agricoles. Une sorte de « local washing ». Les véritables magasins de producteurs, en plein essor, voient leur avenir menacé par la concurrence de ces hyper-marchés dont ils essayaient justement de se débarrasser. Mais ils résistent et lancent leur propre label. Enquête.

Sur le territoire de Frelinghen, à une dizaine de kilomètres de Lille, les yaourts artisanaux de Marie-Odile Smets ont acquis une certaine renommée. Confectionnés avec le lait de ses vaches, ils plaisent à ceux qui lui achètent directement… mais aussi aux acheteurs de la grande distribution. « Auchan m’a contactée en 2013, raconte l’agricultrice. Le magasin cherchait des producteurs locaux pour les approvisionner directement. J’ai donné mon accord. » Marie-Odile Smets accepte d’autant plus volontiers qu’elle doit fournir le magasin d’ Englos, l’un des plus grands du pays. La productrice entame les formalités, et signe enfin un contrat au bout de quelques semaines.
Le premier accroc survient à peine une poignée de minutes plus tard : Auchan veut la prendre en photo, pour l’afficher en grand au sein du magasin, en tant que productrice locale. Marie-Odile Smets refuse. Les commandes arrivent alors… mais au compte-gouttes : « C’était environ 300 yaourts toutes les trois semaines. Autant dire presque rien. » Quelques mois plus tard, les commandes s’arrêtent tout simplement, sans que la productrice en soit informée. Contactée, l’enseigne affirme avoir arrêté ses commandes parce que les yaourts ne trouvaient pas preneurs. Marie-Odile Smets a une autre explication : « Ce qui les intéressait, c’était mon image. Mais ce n’est qu’une vitrine : les consommateurs ne savent pas du tout quels volumes sont réellement commandés aux producteurs. »

Haute-Marne, Treix : la tentation éolienne...

jhm.fr

Treix, commune située à moins de 5 kilomètres du centre de Chaumont - Préfecture.

Situation

capture d'écran@Google Earth Pro


Treix, c'est ça

 
Par René Hourdry — Travail personnel, CC BY-SA 4.0

Par René Hourdry — Travail personnel, CC BY-SA 4.0

Ils font l'histoire, ils méritent quelques déboires

-Philippe Bertrand, maire,
-Dominique Courtier,
-Olivier Didier,
-Vianney Guillaume,
-Yves Guillaume,
-Pierre-François Laroche,
-Jean Maigret,
-Annette Lafon,
-Jacqueline Mérat,
- Brigitte Mlynczak,
-Laurence Zol
252 habitants
Source : mon maire 

Lire

RTE : En avril, le "jus de l’eau" abonde

http://huet.blog.lemonde.fr

La pluie, c’est bon pour les salades et pour le jus. Le bilan mensuel de la production d’électricité en avril établit par RTE ne peut réconforter les amateurs de bains de soleil précoces, mais fait bien les affaires des centrales hydrauliques. Avec une production en hausse de 65% sur le mois d’avril 2017, il est vrai très sec, en avril 2018 le jus de l’eau a fortement contribué à une électricité décarbonée à plus de 95%. Revue de détails en graphiques. 




Une consommation en légère baisse
Les températures élevées en avril, 2,3°C au dessus de la moyenne climatologique, ont incité à couper le chauffage plus tôt. D’où une diminution de la consommation intérieure brute (en corrigé des variations climatiques, elle augmente de 0,5%). La consommation des grands sites industriels faiblit, elle n’augmente plus que de 2% sur un an, contre 3% en décembre dernier, un signe que l’embellie économique des derniers mois qui avait un peu diminué le nombre de chômeurs se délite.


Haute-Marne, Parc national : les porteurs de projet, premiers de "cordée"

jhm.fr

👍😇

Cap à l' Ouest de Langres

@jhm.fr

💀😧😡

 Cap à l'Est de Langres

Auteur : Les Vues imprenables

L'éolien m'a tuer!


@.freepik.com
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Une des "faces cachées" du renouvelable, du monde vert et de la transition énergétique

http://www.kailoeffelbein.com


Commentaire : remarquable reportage photographique dénonçant la face cachée des progrès technologique et numérique. Cette face cachée que les vendeurs et acteurs occidentaux du renouvelable, du monde vert et de la transition énergétique ne veulent surtout pas voir, ni en entendre parler. Pour tous, elle se doit de rester cachée aux populations.



Comment ne pas qualifier ces comportements, d'actes criminels? Et, c'est nous, défenseurs de l'espèce humaine, de la Nature, de l' Environnement et du Climat qui devrions faire preuve de mesures dans nos propos et dans nos actes? Au contraire, crions et agissons plus fort encore!




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Kai Löffelbein est un photographe documentaire basé à Hanovre et Berlin, en Allemagne. Il a étudié les sciences politiques à Berlin et le photojournalisme et la photographie documentaire à l'Université des sciences appliquées et des arts de Hanovre. Son travail reflète son intérêt pour la façon dont les structures politiques et économiques façonnent la société moderne. Il partage son temps entre le travail du client et les projets personnels.

21 mai - 28 mai 1871 : la "Semaine sanglante", fin de la Commune de Paris

Mathilde Larrere


Commentaire : (...)' La Semaine sanglante, du dimanche 21 au dimanche suivant 28 mai 1871, est l'épisode final de la Commune de Paris, où elle est écrasée et ses membres exécutés en masse."
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Semaine_sanglante
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21 mai 1871
L’armée de Versailles était sous le commandement de Mac Mahon. Mi mai, elle comptait 120 000 hommes. La majorité de ses soldats qui la composaient était très jeunes et inexpérimentés.

L’armée avait été épurée de tous les suspects ayant de la sympathie pour la Commune, ou de ceux qui refusaient de participer à une guerre civile. Les soldats avaient été soumis à une intense propagande contre la Commune que l’on présentait comme un déchainement sauvage menaçant la société !

La Commune peut, elle, aligner autour de 50 000 hommes, plus ou moins bien entrainés et armés.

Le 21 mai, l’armée versaillaise stationne au pied des fortifications parisiennes. Mais ne parvient pas à entrer. Ce dimanche après-midi, les troupes versaillaises du général Douay pilonnent et assiègent le saillant que forme le rempart du Point-du-Jour. C'est alors qu'un piqueur des Ponts et Chaussées, Jules Ducatel, monte sur le bastion 64, entre la porte d' Auteuil barricadée et la porte de Saint-Cloud, pour les avertir que ce point n'est plus gardé et que la voie est libre. Traitre infâme…. Les loups sont entré dans Paris…. L’armée occupe rapidement le terrain jusqu’à la ligne de la petite ceinture. Elle fouille les maisons, fusille les premiers gardes nationaux. Le Conseil de la Commune, qui est en train de juger Cluseret, n'envoie aucun renfort, malgré la demande qu'avait formulée Dombrowski, qui commande le secteur. Ce fut certainement, l'Erreur stratégique en n’envoyant pas de troupe contre cette intrusion… Les Versaillais avancent donc sans grande opposition dans l’ouest parisien, ce 21 mai...

Le matin du 22 mai 1871, le sinistre tocsin sonne à l’aube… Partout dans Paris, une affiche de Charles Delescluze, délégué à la Guerre appelle à la prise d’arme. La proclamation ne produit malheureusement aucun grand soulèvement de masse.

Elle a surtout pour effet négatif de désorganiser totalement la défense militaire de la ville et de permettre de nombreuses désertions. De nombreux officiers de la garde profitent de la déclaration pour disparaître, abandonnant leurs hommes. Sans doute eut-il eu mieux fallu occuper les hauteurs, se servir des canons, organiser la défense... Mais les derniers fidèles se replièrent, chacun sur son quartier pour le défendre, abandonnant toute lutte coordonnée. Quelques 10 000 parisiens commencent à construire des barricades. Environ 900 barricades sont érigées. Rue Blanche, l’une d'elles est construite et défendue par des femmes.

L’armée n’attaqua pas frontalement ces barricades, préférant les canonner à distance. Depuis 1848, l’armée avait perfectionné la « guerre des rues » et savait désormais réduire les barricades…. Les attaquants s’infiltraient aussi par les ruelles, les cours, les maisons pour prendre à revers les barricades, tirer depuis les fenêtres. La barricade, symbole en 1830 du triomphe du peuple en arme, était désormais emblématique de sa vulnérabilité et sa défaite... En fin de journée, les Versaillais occupent les 15e et 16e arrondissement, l'Élysée, la gare Saint-Lazare, l'École militaire. Les Communards arrêtés sont systématiquement fusillés. Le 23 mai sera décisif, mais terrible.

Le 23 mai, inexorablement, les troupes versaillaises progressent dans Paris. La Commune placarde, à l'attention des soldats versaillais, des appels à la fraternisation. En vain. Ils ont été bien préparés. Et on les remplace dès qu’ils flanchent.

Les Batignolles, la place de Clichy et la butte Montmartre tombent ce 23 mai. La maitrise de la butte est hautement symbolique pour les Versaillais puisque c’est là qu’a commencé l’insurrection le 18 mars.

Selon Lissagaray, 42 hommes, 3 femmes et 4 enfants ramassés au hasard sur la butte sont conduits au numéro 6 de la rue des Rosiers. Contraints de s’agenouiller, tête nue, devant le mur au pied duquel les généraux avaient été exécutés le 18 mars, ils sont fusillés. Hugo, l’un des rares écrivains français à ne pas se dresser contre la Commune (sans pour autant la soutenir) mais qui condamnait la répression :

Éolien : dérogations à la législation sur 70 espèces animales protégées !

Dominique Baucher
 
Commentaire :  où l'on en apprend un peu plus sur le montage financier d'une zone industrielle d'aérogénérateurs. Pour le reste, il est très regrettable, pour ne pas dire plus, que parmi tous les arguments mis en avant par l'auteur de ce courrier, pour s'opposer à ce projet, aucun ne fasse référence à la mise en péril de l'espèce humaine. Aussi, Les Vues se permettent d'ajouter à la liste de ses "pourquoi", celui-ci :
-Pourquoi ces villages ne garderaient pas, à jamais, leur bien être quotidien de vie, de toujours?
 
ZERO EOLIENNE ET BASTA!

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Lettre à Jean-Pierre Cubertafon, député de la Dordogne.
Pas grave. On a des dérogations
(D’après un dessin de Windtoons.com)


Objet : Protection d’oiseaux migrateurs et autres

Monsieur le Député,
Je suis un ancien cadre d’une grande banque d’affaires française, en congé longue maladie, et ai été sollicité pour étudier le business plan projet d’un futur parc éolien sur les communes de Saint-Saud-Lacoussière et Saint-Jory-de-Chalais en Périgord Vert.
À l’occasion de quelques jours de repos chez ma Maman j’ai pu constater le silence qui règne au sein du village de Saint-Saud-Lacoussière !
Je suis un pro EnR mais tout en respectant les spécificités régionales, naturelles, géographiques, climatiques, humaines et la faune.
Et bien évidemment dans le respect des deniers publics, des contribuables et consommateurs.
Alors que cette région qui est en moyenne 30 % moins ventée que le reste du territoire national, un projet éolien de la filiale d’une GMBH allemande avec des éoliennes de 200 mètres d’envergure, va s’implanter grâce à l’entêtement des Maires des communes concernées et à la mise en place d’un concours bancaire dénommé « Financement de Projet » reposant sur un investissement financé par l’endettement (en somme un LBO simplifié) qui n’est rentable que grâce au tarif subventionné et non solvable les 5 premières années (pas de paiement à l’ IS) et ensuite enfin solvable, et quid au terme des 15 à 20 ans ou si Bercy change le deal.

L’ AGONIE D’ UNE ARMÉE, METZ – I870, JOURNAL DE GUERRE D’UN PORTE-ÉTENDARD DE L’ ARMÉE DU RHIN, ÉPISODE XXX

  Précédemment     Non, Bazaine n'agit point ainsi; il avait hâte d'en finir, et, le premier de tous, le 29 octobre, a-t-on affirmé,...