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Eco-Irony: Power-Starved Australian Households Switch to Scavenged Firewood to Beat Winter’s Chill
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Laissez les zélotes écolos prendre le contrôle du système de production d'électricité de votre pays et vous avez la garantie que les prix de l'électricité flamberont.
Les pays dont la politique énergétique a été détournée par des chercheurs de rente d'énergie renouvelable - pompant du vent et du solaire fortement subventionnés, tout à fait peu fiables et complètement chaotiques - ont vu leurs prix de l'électricité doubler en un temps record. Le cirque n'a vraiment commencé que vers 2000 (comme un incident de pays signant le pacte économique sur le suicide ou le protocole de Kyoto), mais depuis, la "pandémie" continue de s'étendre comme une trainée de poudre.
Le problème vient en partie du fait que les journaux grand public ont perdu de vue leur premier devoir : informer avec déontologie. Dans cette catégorie se classe, depuis le début, les journalistes qui, toute honte bue, portent le message des groupes d'énergie éolienne et solaire et/ou leurs lobbyistes, en régurgitant au mot près, la propaganda qui leur est fidèlement livrée. Maintenant que la hausse inévitable des prix de l'électricité commence à affecter non seulement les plus pauvres et les plus vulnérables, mais aussi les représentants des classes supérieures de la société qui considèrent, qu'ils ne devraient pas avoir à se battre, les chroniqueurs commencent à s'en rendre compte et à changer casaque, excepté quelques irréductibles. Il était temps. mais la réalité nous oblige à dire que, comme dans la plupart des catastrophes idéologiques, c'est le grand nombre de ceux qui sont restés silencieux qui ont fait le plus de dégâts.
Ce qui est stupéfiant dans cet article paru dans The Australian, la semaine dernière, n'est pas le fait que les chefs de famille sont réduits à démolir les caisses et à les brûler pour se réchauffer (parce qu'ils n'ont plus les moyens d'utiliser l'électricité), c'est que ces drames ne sont pas en première page de tous les grands journaux.
Qu'est-ce qui ne va pas avec l'énergie abordable ?
L'Australien
Jennifer Oriel
7 mai 2018
La Coalition se prépare cette semaine, à reconquérir les oubliés en livrant un budget de volontaire. La pièce maîtresse en étant l'allégement fiscal pour les travailleurs pauvres afin de contrebalancer la stagnation des salaires et la flambée du coût de la vie. Mais le gouvernement a bien plus un problème avec son côté gauche sur ce thème qu'avec celui d'une politique mal orientée. Si vous voulez repérer des libéraux dans un gouvernement moderne, oubliez les capitalistes archaïques. Regardez vers la gauche écologique.
Le signe des temps est de voir une femme d'âge moyen, couper des palettes, déposées sur le trottoir et s'en servir comme du bois de chauffage. Je suis tombé sur la scène la semaine dernière, en cherchant dans le quartier, ce qui pouvait bien être à l'origine de l'importe pollution de l'air qui faisait que beaucoup d'entre nous, ne pouvait pas respirer sans tousser. Les banlieues des grandes métropoles donnent une bonne indication de la santé de l'économie. Quand les magasins commencent à fermer et que les gens marchent dans les rues, le regard baissé,, vous savez que les placards sont vides. Mais je n'avais jamais vu, mes voisins tousser à cause de la fumée de bois rance parce que... l'électricité est trop chère.
Le Guardian Australia a rapporté qu'un cercle vertueux s'était formé entre la gauche écolo libérale et Get Up ! Depuis les banlieues aisées et haut perchées de Sydney, l'ancien courtier en énergie libéral Michael Photios a revêtu son habit de gauche-écolo pour prendre la parole lors d'un événement organisée par la gérance environnementale de la rive nord et à la demande de ses responsables. Le NSES se présente comme un groupe écolo, contrairement au Monash Forum.
Cette gauche libérale en veut à Tony Abbott d'avoir été le leader du Monash Forum, qui avait snobé les barons de l'énergie verte, pour soutenir l'électricité abordable pour tous. Avec les prix de l'énergie les plus élevés du monde et la faible croissance des salaires, nous ne pouvons pas nous permettre d'ignorer son message. Mais c'est exactement ce que la gauche-écolo veut qu'on fasse.
Selon une source du Guardian qui assistait à l'événement du NSES, ce parti tente de recruter des partisans pour se joindre au Parti libéral afin de " bloquer la présélection de Tony Abbott pour se présenter aux prochaines élections fédérales, à Warringah, ".
Plusieurs libéraux de haut niveau auraient assisté à l'événement, dont Photios, son épouse écologiste Kristina et Felicity Wilson, députée de la Côte-Nord de la Nouvelle-Galles du Sud. GetUp ! soutient le NSES et plusieurs membres ont rejoint le groupe.
Le contraste entre le Monash Forum et le NSES est significatif parce qu'il illustre que la bataille pour une politique verte tourne autour de deux industries concurrentes. Le Monash Forum a été formé par des députés démocratiquement élus qui veulent maintenir l'énergie au charbon pour les Australiens jusqu'à ce qu'une alternative plus efficace et plus abordable soit créée. Les associés du NSES comprennent des militants, des lobbyistes et des membres libéraux investis dans le marché de l'énergie verte.
Comme beaucoup d'Australiens, j'appuie l'idée d'une énergie verte propre, mais je ne peux pas justifier que les membres les plus vulnérables de notre société souffrent cet hiver parce que les familles n'ont pas les moyens de payer l'électricité. Les pressions exercées par le coût de la vie sont beaucoup trop élevées en Australie pour sacrifier une plus grande partie du budget des ménages à des barons de l'énergie verte.
Le dilemme moral des personnes qui soutiennent l'idée des énergies renouvelables est que la technologie pour rendre l'énergie verte, fiable et abordable n'existe pas encore. Nous en payons chèrement le prix par une expérimentation aux résultats dévastateurs pour les Australiens qui n'ont pas d'argent. Dans la lumière froide du réalisme, les champions du changement climatique commencent à ressembler à des vendeurs de voitures d'occasion qui vendent une illusion bien graissée. Acheteur, méfiez-vous.
Le site Web du Daily Caller rapporte que le philanthrope du changement climatique le plus connu, George Soros, a investi près de 160 millions de dollars dans 11 nouvelles entreprises de combustibles fossiles au cours du dernier trimestre de 2017. Si le charbon est l'ennemi et est progressivement éliminé par les progressifs, pourquoi Soros fait-il sombrer des millions de personnes dans de nouvelles entreprises de combustibles fossiles ?
Comme indiqué dans ces pages, GetUp ! s'est fait le champion de l'énergie verte en aidant 20 000 membres à passer de leur fournisseur d'énergie traditionnel à Powershop. Le groupe a reçu plus de 2 millions de dollars pour le service de référence. Dans les promotions pour Powershop, GetUp ! a dit qu'il "soutenait une entreprise 100% d'énergie renouvelable". Le groupe activiste a déclaré que l'entreprise était "le détaillant d'énergie la plus verte" et "le seul fournisseur neutre en carbone, de l'Australie". Mais comme l'a révélé Brad Norington, la société mère de Powershop, Meridian Energy, achète de l'électricité de la même manière que les détaillants d'énergie, surnommés par GetUp comme les " trois sales " pour leur approvisionnement au charbon.
Un porte-parole de GetUp ! a déclaré que le groupe avait été "transparent" sur la provenance de l'électricité de Powershop.
L'environnementalisme est plus que de la politique. L'énergie verte est une grande entreprise en concurrence avec le charbon. Les investisseurs peuvent jouer sur les deux tableaux dans la mesure où le marché libre le permet, mais les subventions gouvernementales donnent souvent aux idéalistes verts un avantage sur les réalistes énergétiques.
L'élitisme apparent des libéraux qui ont laissé à la base libérale les questions d'environnementalisme demeure un problème pour le gouvernement. Ses membres se sont opposés à la proposition d' Abbott et Jim Molan de démocratiser le Parti libéral en réformant les processus de présélection. Les conservateurs ont dit que Photios était à la manœuvre, afin de bloquer ces plébiscites pour maintenir son contrôle sur le Parti libéral. Les principaux députés libéraux de gauche se sont également opposés au vote du peuple démocratique sur le mariage homosexuel.
Avec d'autres courtiers d'État libéraux de gauche, Photios a été invité à démissionner de l'exécutif de l'État de Nouvelle-Galles du Sud après qu' Abbott ait critiqué l'influence indue des lobbyistes. Lors d'une entrevue avec les Four Corners de l' ABC, Abbott a déclaré : "un lobbyiste est quelqu'un qui gagne de l'argent en faisant passer les gens devant les politiciens. Un courtier d'influence est quelqu'un qui contrôle ou influence les présélections de ces politiciens." La causticité entre Abbott et Photios est bien connue.
Photios et son épouse font du lobbying pour l'industrie verte par le biais de leur société de conseil Clean Energy Stratégies. S'adressant au Guardian Australia, il a nié que le Parti libéral ait participé à la formation du NSES.
Il y a de plus en plus de tremblements dans la vaste église libérale. Le débat sur l'énergie a révélé que la gauche a investi dans l'industrie verte sans tenir compte du fardeau qu'elle impose aux Australiens en difficulté. Le vote du Budget offre aux modérés et aux conservateurs libéraux l'occasion de se souvenir des gens oubliés. De peur qu'ils n'oublient...
L'Australien
Comble d'ironie, la soi-disante " transition inévitable " vers le vent et le solaire, ressemble davantage à une transition vers l'âge des ténèbres.
Il y a quelques années, STT média avait parlé d'Allemands en manque de pouvoir qui se trouvaient dans l'obligation de couper leurs forêts pour se cuisiner et se chauffer. Aujourd'hui, les coûts de l'énergie éolienne renvoient les Allemands à l'âge de pierre.
https://stopthesethings.com/2014/04/22/wind-power-costs-send-germans-back-to-the-stone-age/
L'Allemagne est, bien sûr, un autre pays qui souffre de la flambée des prix de l'électricité, en raison d'une obsession de l'énergie éolienne et solaire intermittente et fortement subventionnée ; des centaines de milliers d'Allemands ont été déconnectés du réseau : La " transition " vers l'éolien et le solaire envoie les prix de l'électricité allemande en orbite : 328 000 familles coupées du réseau.
STT apprend qu'avec le vote du Budget fédéral, le Forum Monash (dirigé par le député libéral Craig Kelly) va faire sonner les oreilles du premier ministre, Malcolm Turnbull et de son ministre de l'Énergie, Josh Frydenberg, au sujet de leur volonté de maintenir le statu quo.
Malgré la punition infligée aux familles et aux entreprises australiennes et la cause évidente de cette malveillance parfaitement évitable, Turnbull et Frydenberg sont totalement paralysés par l'inertie. Serait-ce vraiment idiot de penser, que le comportement zélé de ces deux ministres pourraient trouver son explication, dans une récompense financière attribuée aux intérêts des centrales éoliennes et solaires ?
Plus de pouvoir pour Craig Kelly et son Forum Monash, cela signifie
plus de pouvoir aux familles et aux entreprises australiennes
php
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