Craignant pour l'avenir de son boulot et de celui de ses petits camarades du Parti travailliste australien, ALP, lors des prochaines élections en 2025, le Premier ministre, sentant souffler le fort vent de la révolte populaire contre les projets d'usines éoliennes en mer, portés par son gouvernement, réduit fortement la voilure.
Cela laisse rêveur !... Une chose est sûre, ce n'est pas près d'arriver à notre Première ministre française, tant la révolte populaire est balayée et bâillonnée, par les gouvernements successifs, à coup de lois restrictives d'un point de vue juridique. Et ce, dans la plus grande indifférence de la majorité de la population !... Alors de là, à imaginer une sanction dans les urnes... même pas en rêve !
BONNE CHANCE ET BONNE NUIT !
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La " légitimité sociale " de l'industrie éolienne s'est évaporée au fil des années ; les communautés détruites, les environnements détruits et les économies sont détruites et ce, à chaque fois.
Bien sûr, l'habituel slogan " pas dans mon jardin " prend souvent la tête de l'opposition à une autre agrégation de ces monstruosités. Cependant, les arguments sont aujourd'hui plus larges et plus pertinents : parce que l'énergie éolienne est toujours et partout chaotiquement intermittente, et qu'elle dépend entièrement des subventions, elle n'a absolument aucun sens, " ni dans mon jardin " et, ni dans le vôtre.
Bien sûr, l'habituel slogan " pas dans mon jardin " prend souvent la tête de l'opposition à une autre agrégation de ces monstruosités. Cependant, les arguments sont aujourd'hui plus larges et plus pertinents : parce que l'énergie éolienne est toujours et partout chaotiquement intermittente, et qu'elle dépend entièrement des subventions, elle n'a absolument aucun sens, " ni dans mon jardin " et, ni dans le vôtre.
C'est le problème auquel est confrontée l'Alliance fédérale australienne des Verts et des Travaillistes, qui tente désespérément d'imposer un objectif de 82 % pour l'énergie éolienne et solaire, en faisant fi des communautés les plus diverses.
Les communicants estiment que tout est une question de " pédagogie ". En d'autres termes, si seulement ils avaient procédé à des "consultations " plus harmonieuses, les habitants ne se révolteraient pas. L'éclairage au gaz et le savonnage doux ne fonctionnent plus comme avant.
Au lieu de cela, les citoyens curieux et avisés ont identifié la faille dans l'ensemble de la proposition de transition vers l'éolien et le solaire. Si l'objectif est de réduire les émissions de dioxyde de carbone dans le secteur de la production d'électricité, la réponse est évidente : une énergie nucléaire fiable, sûre et abordable. Pas besoin de batteries, pas besoin d'un système de secours.
En outre, l'installation de centrales nucléaires, y compris de petits réacteurs modulaires, SMR, sur les sites occupés par des centrales au charbon signifie qu'il n'est pas nécessaire d'entourer un continent entier de dizaines de milliers de kilomètres de lignes de transmission nouvelles et supplémentaires pour acheminer l'électricité occasionnelle produite par l'énergie éolienne et solaire depuis les pâtés de maisons jusqu'à la banlieue.
En résumé, face à un groupe d'indigènes hostiles, armés des éléments factuels, le ministre fédéral de l'énergie, Chris Bowen, a plus de problèmes que Ned Kelly à Glenrowan. [Edward Kelly, dit, I884 ou I885-I880, criminel australien; "... Célèbre bushranger, broussard, il est considéré par les uns comme un tueur de policiers de sang-froid et par d'autres comme une icône populaire, tant pour son côté Robin des Bois moderne, que pour sa résistance face aux classes dirigeantes anglo-australiennes et à l’abus de pouvoir des autorités. (...) Le gang Kelly arrive à Glenrowan le 27 juin, où il prend environ soixante-dix personnes en otage à l'auberge. Le choix de cette ville n'est pas anodin, car ils savent qu'elle est sur le chemin d'un train de voyageurs qui transporte un détachement de police. Leur objectif est de le faire dérailler en tordant plusieurs rails. (...) chaque membres du gang s'équipe d'une armure faite maison pour protéger des balles le haut du corps, tout en laissant les jambes sans protection. Les quatre hommes se fabriquent aussi des heaumes. Chaque armure pèse environ 96 livres : 44 kg. Tous portent des manteaux de coton gris par-dessus leurs armures, atteignant leurs genoux. (...) Après un échange de coups de feu, Ned Kelly marche vers les assaillants, armé de son fusil. Son armure et son heaume marchent à merveille, mais, touché aux jambes, il tombe et est assommé d'un coup de fusil. Les autres membres du gang Kelly décèdent tous à l'auberge (...) En dépit des 32 000 signatures recueillies par les pétitions réclamant sa grâce, Ned Kelly est condamné à mort puis pendu le 11 novembre I880. Ses derniers mots auraient été : « Ainsi va la vie »., ... "; sur le Web]
Comme l'atteste cet article de The Australian.
Ned Kelly la veille de son exécution, I0 novembre I880. Australian News and Information Bureau, Canberra — National Archives of Australian.
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Les éoliennes font des ravages dans les circonscriptions travaillistes
Chris Bowen [Christopher Eyles Guy, I973-, ministre du changement climatique et de l'énergie depuis 2022] tente d'éviter une révolte des électeurs dans les circonscriptions travaillistes au sujet des projets de déploiement d'éoliennes offshore et de lignes de transmission massives, en organisant une réunion à huis clos avec les dirigeants de la région de Hunter, en Nouvelle-Galles du Sud, afin de maintenir sur les rails son ambitieux objectif en matière d'énergies renouvelables.Alors que M. Bowen a lancé une campagne de peur sur les ambitions nucléaires de la Coalition, de hauts responsables de l 'ALP [Parti travailliste australien] craignent qu'une réaction généralisée des communautés contre les zones d' usines éoliennes n'ait un impact négatif sur des sièges travaillistes clés, notamment Paterson, Shortland et Gilmore.
Mardi, M. Bowen rencontrera des dirigeants communautaires de Port Stephens triés sur le volet, alors que la colère monte au sein de la population contre la décision du gouvernement de faire passer en force la zone éolienne offshore de Hunter, d'une capacité de 5 GW dans la région de Hunter.
L'approche du gouvernement en matière de consultation dans la région de Hunter a suscité une vive réaction de la part d'une alliance de pêcheurs, d'opérateurs touristiques et d'observateurs des baleines, d'écologistes et de résidents qui s'opposent aux éoliennes offshore.
Des sources travaillistes ont déclaré que le parti craignait de perdre de son influence dans la région, avec " les gens de la classe ouvrière unis contre " le projet d'éoliennes offshore s'étendant sur I800 km² entre Swansea et Port Stephens.
L'opposition se fonde sur l'impact des éoliennes flottantes géantes sur le paysage, la vie marine et l'avifaune, les courants d'eau, l'impact sur le tourisme et la crainte d'une réduction du trafic maritime dans le port de Newcastle.
" Il y a cette perception constante que vous allez pouvoir les voir et que cela va ruiner le littoral vierge ", a déclaré la source travailliste.
Le représentant travailliste du NSW [Nouvelle-Galles du sud] a déclaré à The Australian que les mêmes arguments utilisés par le parti contre le développement du gaz offshore dans la région par le biais du projet PEP-11 étaient utilisés contre le gouvernement au sujet des usines éoliennes.
" Il y a cette perception constante que vous allez pouvoir les voir et que cela va ruiner le littoral vierge ", a déclaré la source travailliste.
Le représentant travailliste du NSW [Nouvelle-Galles du sud] a déclaré à The Australian que les mêmes arguments utilisés par le parti contre le développement du gaz offshore dans la région par le biais du projet PEP-11 étaient utilisés contre le gouvernement au sujet des usines éoliennes.
" Ils utilisent nos propres arguments contre nous parce que nous avons semé l'idée qu'il faut protéger ce que l'on peut voir ", a déclaré la source. Le président du Newcastle and Port Stephens Game Fish Club, Troy Radford, qui dirige le mouvement de protestation de la communauté contre la zone éolienne, a déclaré que M. Bowen lui avait dit qu'il voulait que les éoliennes soient dans l'eau d'ici 2028-30 et que trois autorisations maximum seraient accordées. La date limite de dépôt des demandes est fixée au mois de novembre.
M. Radford, qui a vivement critiqué le processus de consultation et organise un rassemblement public le 7 octobre, s'est dit préoccupé par l'impact du projet sur le tourisme, la pêche, l'observation des baleines et l'avifaune.
Rhys Westbury, qui dirige la page Facebook Stop Wind Farm off Port Stephens,[Arrêter l'usine éolienne au large de Port Stephens] a déclaré que les communautés touchées cherchaient à élargir le mouvement de protestation contre les éoliennes offshore sous la bannière " No Coastal Wind Farms Collective ". [Pas d'usines éoliennes côtières collectives]
M. Radford, qui a vivement critiqué le processus de consultation et organise un rassemblement public le 7 octobre, s'est dit préoccupé par l'impact du projet sur le tourisme, la pêche, l'observation des baleines et l'avifaune.
Rhys Westbury, qui dirige la page Facebook Stop Wind Farm off Port Stephens,[Arrêter l'usine éolienne au large de Port Stephens] a déclaré que les communautés touchées cherchaient à élargir le mouvement de protestation contre les éoliennes offshore sous la bannière " No Coastal Wind Farms Collective ". [Pas d'usines éoliennes côtières collectives]
Le gouvernement, qui a annoncé l'année dernière la création de la première zone éolienne offshore du pays au large de Gippsland, dans l'État de Victoria, a lancé en août une consultation publique sur les projets de création d'une autre zone éolienne offshore sur la côte sud de l'État de Nouvelle-Galles du Sud.
Le mois dernier, le gouvernement travailliste d'Australie-Méridionale s'est joint aux pêcheurs de langoustes inquiets pour s'opposer officiellement à un projet de zone d'éoliennes offshore dans l'océan Austral, qui s'étendrait de Warrnambool, dans l'État de Victoria, à Port MacDonnell, dans la région de la Limestone Coast, au sud-est de l'État.
Avant sa réunion à huis clos dans la région de Hunter, en Nouvelle-Galles du Sud, mardi, une porte-parole de M. Bowen a déclaré : " Le gouvernement Albanese [Anthony, I963-, Premier ministre depuis 2022] s'est engagé à consulter véritablement toutes les communautés et tous les groupes locaux concernant la zone d'éoliennes offshore "
Le mois dernier, le gouvernement travailliste d'Australie-Méridionale s'est joint aux pêcheurs de langoustes inquiets pour s'opposer officiellement à un projet de zone d'éoliennes offshore dans l'océan Austral, qui s'étendrait de Warrnambool, dans l'État de Victoria, à Port MacDonnell, dans la région de la Limestone Coast, au sud-est de l'État.
Avant sa réunion à huis clos dans la région de Hunter, en Nouvelle-Galles du Sud, mardi, une porte-parole de M. Bowen a déclaré : " Le gouvernement Albanese [Anthony, I963-, Premier ministre depuis 2022] s'est engagé à consulter véritablement toutes les communautés et tous les groupes locaux concernant la zone d'éoliennes offshore "
" Après avoir examiné les I.9I6 demandes, le ministre a déclaré une zone finale qui était environ un tiers plus petite que la zone initiale. Avant qu'un projet puisse démarrer, les promoteurs doivent demander et recevoir l'approbation des autorisations de faisabilité et se conformer à des réglementations environnementales strictes. Le gouvernement n'autorisera que les projets qui s'intègrent bien à l'industrie existante et à l'environnement, et qui apportent des avantages significatifs et durables à la communauté ".
En juillet, M. Bowen a réduit la taille de la zone éolienne Hunter-Central Coast par rapport à sa proposition initiale de 8 GW, suite à la colère de la communauté. Des sources travaillistes ont déclaré que la décision avait pour but d'éviter des répercussions dans les circonscriptions de Dobell et de Robertson.
En juillet, M. Bowen a réduit la taille de la zone éolienne Hunter-Central Coast par rapport à sa proposition initiale de 8 GW, suite à la colère de la communauté. Des sources travaillistes ont déclaré que la décision avait pour but d'éviter des répercussions dans les circonscriptions de Dobell et de Robertson.
WESTINGHOUSE/ SMR
Dans une tentative de détourner l'attention portée sur les projets contestés des énergies renouvelables, M. Bowen a publié dimanche des estimations de son ministère selon lesquelles le passage à l'énergie nucléaire coûterait 387 milliards de dollars. [~367Mds€] Le chef de l'opposition, Peter Dutton,[Peter Craig, I970-, membre du Parti libéral d’Australie, il occupe plusieurs fonctions ministérielles sous les gouvernements Abbott, Turnbull et Morrison. Il est chef du Parti libéral et chef de l'opposition officielle depuis 2022] a rejeté lundi cette estimation et a déclaré qu'il n'y avait pas de " voie crédible pour atteindre l'objectif de zéro émission nette d'ici 2050 sans l'utilisation des dernières technologies nucléaires ".
" Il n'y a pas d'émissions, cela renforce les énergies renouvelables ", a déclaré M. Dutton.
" Chris Bowen a fait des chiffres avant les élections, promettant aux Australiens à 97 reprises de faire baisser les prix de l'électricité de 275 dollars. [~250€] Est-ce que la facture d'électricité de quelqu'un a baissé de 275 dollars sous Chris Bowen ? Non.
" Chris Bowen fait l'autruche en ce qui concerne l'énergie nucléaire, et ce qui le préoccupe, c'est la dynamique interne du parti travailliste, il ne se préoccupe pas de l'intérêt national. "
" Il n'y a pas d'émissions, cela renforce les énergies renouvelables ", a déclaré M. Dutton.
" Chris Bowen a fait des chiffres avant les élections, promettant aux Australiens à 97 reprises de faire baisser les prix de l'électricité de 275 dollars. [~250€] Est-ce que la facture d'électricité de quelqu'un a baissé de 275 dollars sous Chris Bowen ? Non.
" Chris Bowen fait l'autruche en ce qui concerne l'énergie nucléaire, et ce qui le préoccupe, c'est la dynamique interne du parti travailliste, il ne se préoccupe pas de l'intérêt national. "
Une source travailliste de haut rang a déclaré que la présentation de M. Bowen était une " déformation choquante " de l'idée politique de la Coalition.
" Il est clair qu'ils ne suggèrent pas que les contribuables financeront et construiront 71 SMR. Ils se concentreront sur les sites houillers existants tels que Liddell, Bayswater et Eraring et utiliseront l'infrastructure et les connexions existantes pour verrouiller l'énergie de base qui sera nécessaire ", a déclaré la source.
L'initié travailliste a également déclaré que ce n'était probablement " pas une coïncidence " que M. Bowen ait réduit la capacité de la zone éolienne offshore Hunter-Central Coast de 8GW à 5GW.
" Il l'a éloignée de la côte centrale, où se trouvent deux sièges marginaux. "
" Il est clair qu'ils ne suggèrent pas que les contribuables financeront et construiront 71 SMR. Ils se concentreront sur les sites houillers existants tels que Liddell, Bayswater et Eraring et utiliseront l'infrastructure et les connexions existantes pour verrouiller l'énergie de base qui sera nécessaire ", a déclaré la source.
L'initié travailliste a également déclaré que ce n'était probablement " pas une coïncidence " que M. Bowen ait réduit la capacité de la zone éolienne offshore Hunter-Central Coast de 8GW à 5GW.
" Il l'a éloignée de la côte centrale, où se trouvent deux sièges marginaux. "
Les circonscriptions travaillistes des régions minières, sidérurgiques et touristiques de la Nouvelle-Galles du Sud sont cruciales pour Anthony Albanese pour les élections de 2025, alors que la Coalition [" Après 9 années au pouvoir d’une coalition nationale-libérale, l’Australie effectue un virage le 21 mai 2022 et élit le Parti travailliste, ALP, dirigé par Anthony Albanese. Même si elle récolte plus de voix que le parti travailliste, la coalition n’obtient que 58 sièges sur I5I, incitant le premier ministre Scott Morrison à annoncer son retrait prochain de la politique., ... "; sur le Web] fait une forte poussée dans les régions de Hunter et de la côte centrale.
Le sort de ces sièges pourrait dépendre de la décision des électeurs de s'opposer à des projets d'énergie renouvelable à grande échelle ou au développement du nucléaire.
Un sondage obtenu par The Australian révèle que 56 % des Australiens sont d'accord pour dire que le gouvernement fédéral devrait sérieusement envisager l'utilisation des réacteurs SMR pour produire de l'énergie. Parmi les électeurs travaillistes interrogés, 5I % sont d'accord, 34 % sont neutres et I5 % ne sont pas d'accord. Le sondage Insightfully réalisé en mai auprès de 2 400 électeurs à la demande du Minerals Council of Australia [association industrielle, connue pour représenter les entreprises qui génèrent la majeure partie de la production minière australienne] a révélé que seuls 24 % des Australiens connaissaient les SMR, dont l'empreinte au sol est à peu près la même que celle d'un terrain de cricket et qui peuvent alimenter un million de foyers en électricité. Toutefois, le sondage montre que 40 % des Australiens seraient favorables au développement d'un SMR à proximité de leur ville, et que seuls 25 % s'y opposeraient.
Les principales raisons de soutenir les SMR sont que le nucléaire ne produit pas d'émissions, que le nucléaire est utilisé en toute sécurité dans d'autres pays occidentaux et que toutes les technologies à faibles émissions devraient être accessibles pour aider le pays à se décarboniser.
Lundi, M. Bowen a nié que son attaque contre le nucléaire était liée au fait que la Coalition avait gagné du terrain sur le nucléaire et à un changement d'opinion publique. Il a toutefois admis qu'il fallait mieux consulter les communautés régionales sur le déploiement des projets d'énergie renouvelable à grande échelle.
" Les communautés méritent un engagement approprié. Cela n'a pas été fait suffisamment bien dans le passé ", a déclaré M. Bowen à la chaîne ABC.
Le porte-parole de l'opposition pour le changement climatique et l'énergie, Ted O'Brien, [Edward Lynam, I974-, membre du Parti national libéral du Queensland, LNP, il représente le siège de Fairfax à la Chambre des représentants depuis les élections fédérales de 20I6. Il siège avec le parti libéral au parlement fédéral] qui organisera un forum public avec les habitants de Port Stephens mardi, a déclaré que " les habitants locaux ne croient pas que le gouvernement ait ignoré leurs préoccupations ". " Le parti travailliste a annoncé une révision de son processus d'engagement communautaire en juillet, admettant que les consultations publiques étaient défectueuses, mais il a quand même poursuivi son chemin ", a-t-il déclaré.
Le sort de ces sièges pourrait dépendre de la décision des électeurs de s'opposer à des projets d'énergie renouvelable à grande échelle ou au développement du nucléaire.
Un sondage obtenu par The Australian révèle que 56 % des Australiens sont d'accord pour dire que le gouvernement fédéral devrait sérieusement envisager l'utilisation des réacteurs SMR pour produire de l'énergie. Parmi les électeurs travaillistes interrogés, 5I % sont d'accord, 34 % sont neutres et I5 % ne sont pas d'accord. Le sondage Insightfully réalisé en mai auprès de 2 400 électeurs à la demande du Minerals Council of Australia [association industrielle, connue pour représenter les entreprises qui génèrent la majeure partie de la production minière australienne] a révélé que seuls 24 % des Australiens connaissaient les SMR, dont l'empreinte au sol est à peu près la même que celle d'un terrain de cricket et qui peuvent alimenter un million de foyers en électricité. Toutefois, le sondage montre que 40 % des Australiens seraient favorables au développement d'un SMR à proximité de leur ville, et que seuls 25 % s'y opposeraient.
Les principales raisons de soutenir les SMR sont que le nucléaire ne produit pas d'émissions, que le nucléaire est utilisé en toute sécurité dans d'autres pays occidentaux et que toutes les technologies à faibles émissions devraient être accessibles pour aider le pays à se décarboniser.
Lundi, M. Bowen a nié que son attaque contre le nucléaire était liée au fait que la Coalition avait gagné du terrain sur le nucléaire et à un changement d'opinion publique. Il a toutefois admis qu'il fallait mieux consulter les communautés régionales sur le déploiement des projets d'énergie renouvelable à grande échelle.
" Les communautés méritent un engagement approprié. Cela n'a pas été fait suffisamment bien dans le passé ", a déclaré M. Bowen à la chaîne ABC.
Le porte-parole de l'opposition pour le changement climatique et l'énergie, Ted O'Brien, [Edward Lynam, I974-, membre du Parti national libéral du Queensland, LNP, il représente le siège de Fairfax à la Chambre des représentants depuis les élections fédérales de 20I6. Il siège avec le parti libéral au parlement fédéral] qui organisera un forum public avec les habitants de Port Stephens mardi, a déclaré que " les habitants locaux ne croient pas que le gouvernement ait ignoré leurs préoccupations ". " Le parti travailliste a annoncé une révision de son processus d'engagement communautaire en juillet, admettant que les consultations publiques étaient défectueuses, mais il a quand même poursuivi son chemin ", a-t-il déclaré.
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