" Nous allons la gagner aux États-Unis. Je pense que nous allons aussi la gagner en Australie, parce que les gens se rendent compte que l'énergie verte est en fait une énergie brune. Elle est en fait terrible pour l'environnement naturel. "
Ce qui n'est pas du tout le cas dans l' Union européenne en général et en France, en particulier, BIEN AU CONTRAIRE ! Ici, les démocrates élus s'acharnent, loi après loi, à réduire, à minima, l' État de droit afin de contraindre les défenseurs de la Biodiversité et des indigènes locaux, qui s'engagent dans une opposition frontale au rouleau compresseur des affairistes du vent; leur travail de " démontage " est d'autant plus aisé qu'une majorité de la population, urbaine et rurale, se fait " bête domestique " ou complice.
BONNE CHANCE ET BONNE NUIT !
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Gros mensonge : " les gens se " réveillent " face aux échecs de l'énergie verte. "
L'auteur Michael Shellenberger affirme que l'humanité a été victime d'un " gros mensonge " en ce qui concerne les énergies vertes et renouvelables.
" Partout dans le monde, nous constatons que les défenseurs de l'environnement, les populations autochtones et les communautés locales s'opposent aux projets d'énergie solaire et éolienne ", a déclaré M. Shellenberger à Chris Kenny, animateur de Sky News.
" La raison en est très simple : ces projets nécessitent 300 à 600 fois plus de terrain qu'une centrale au gaz naturel ou qu'une centrale nucléaire. "
" Tous ceux qui aiment la nature doivent s'opposer à ces projets,— nous avons de bien meilleures
" Partout dans le monde, nous constatons que les défenseurs de l'environnement, les populations autochtones et les communautés locales s'opposent aux projets d'énergie solaire et éolienne ", a déclaré M. Shellenberger à Chris Kenny, animateur de Sky News.
" La raison en est très simple : ces projets nécessitent 300 à 600 fois plus de terrain qu'une centrale au gaz naturel ou qu'une centrale nucléaire. "
" Tous ceux qui aiment la nature doivent s'opposer à ces projets,— nous avons de bien meilleures
alternatives. "
PODCAST : M. Shellenberger affirme que les gens du monde entier " se réveillent " face au " gros mensonge " véhiculé par les défenseurs de l'énergie verte.
Transcription, par STOP THÈSE THINGS
Chris Kenny : Vous n'avez pas besoin de moi pour savoir que les énergies renouvelables, longtemps considérées comme mignonnes et câlines, bien sûr, ou, pour reprendre les termes de notre ministre du climat et de l'énergie, bon marché et fiables. Eh bien, nous savons tous que c'est tout sauf cela, bien sûr, n'est-ce pas ? Nous vous avons montré comment les communautés rurales du Victoria et de la Nouvelle-Galles du Sud s'insurgent contre la construction d'énormes lignes de transport d'électricité pour relier les projets d'énergie renouvelable. Dans le Queensland, les habitants s'insurgent contre le défrichage de terres vierges pour y installer des usines éoliennes. Enfin, les communautés côtières d'Australie-Méridionale et de Nouvelle-Galles du Sud protestent contre les éoliennes offshore, des projets de grande envergure.
L'expansion des projets d'énergie renouvelable a créé des problèmes dans le monde entier. Michael Shellenberger, expert en énergie et défenseur de l'environnement, dénonce cette situation. Il me rejoint depuis la conférence de l'Alliance pour une citoyenneté responsable, au Royaume-Uni. C'est un plaisir de vous revoir, Michael. Parlez-nous des vastes étendues de terres et de paysages qui ont été accaparées par des projets d'énergie renouvelable dans le monde entier. L'Australie commence tout juste à s'en rendre compte, car les communautés, qu'il s'agisse d'une usine solaire ou d'une usine éolienne en mer, s'inquiètent de ce qui s'y passe. Mais cela se passe partout sur la planète, n'est-ce pas ?
Michael Shellenberger : Oui, c'est vrai, Chris. Ce sera avec vous. En fait, partout dans le monde, nous constatons que les défenseurs de l'environnement, les populations autochtones et les communautés locales s'opposent aux projets d'énergie solaire et éolienne. La raison en est très simple : ces projets nécessitent 300 à 600 fois plus de terres qu'une centrale au gaz naturel ou qu'une centrale nucléaire. Il est très facile de s'en rendre compte par soi-même. Il suffit d'aller sur Google Maps et de tracer un cercle autour d'une centrale électrique, d'une usine éolienne ou solaire, puis de le diviser par la quantité d'électricité qu'il produit, pour obtenir un calcul de la densité de puissance. Vous constaterez que la différence est énorme. Ce n'est pas 50 % de plus. Il s'agit de 3 à 600 fois plus de terres. Par conséquent, quiconque aime la nature, l'environnement national et souhaite protéger les espèces menacées doit vraiment s'opposer à ces projets. Nous disposons de bien meilleures alternatives. On nous a vendu un gros mensonge sur l'énergie verte. Telle est la réalité. Et les gens sont en train de s'en rendre compte dans le monde entier.
Chris Kenny : Vous n'avez pas besoin de moi pour savoir que les énergies renouvelables, longtemps considérées comme mignonnes et câlines, bien sûr, ou, pour reprendre les termes de notre ministre du climat et de l'énergie, bon marché et fiables. Eh bien, nous savons tous que c'est tout sauf cela, bien sûr, n'est-ce pas ? Nous vous avons montré comment les communautés rurales du Victoria et de la Nouvelle-Galles du Sud s'insurgent contre la construction d'énormes lignes de transport d'électricité pour relier les projets d'énergie renouvelable. Dans le Queensland, les habitants s'insurgent contre le défrichage de terres vierges pour y installer des usines éoliennes. Enfin, les communautés côtières d'Australie-Méridionale et de Nouvelle-Galles du Sud protestent contre les éoliennes offshore, des projets de grande envergure.
L'expansion des projets d'énergie renouvelable a créé des problèmes dans le monde entier. Michael Shellenberger, expert en énergie et défenseur de l'environnement, dénonce cette situation. Il me rejoint depuis la conférence de l'Alliance pour une citoyenneté responsable, au Royaume-Uni. C'est un plaisir de vous revoir, Michael. Parlez-nous des vastes étendues de terres et de paysages qui ont été accaparées par des projets d'énergie renouvelable dans le monde entier. L'Australie commence tout juste à s'en rendre compte, car les communautés, qu'il s'agisse d'une usine solaire ou d'une usine éolienne en mer, s'inquiètent de ce qui s'y passe. Mais cela se passe partout sur la planète, n'est-ce pas ?
Michael Shellenberger : Oui, c'est vrai, Chris. Ce sera avec vous. En fait, partout dans le monde, nous constatons que les défenseurs de l'environnement, les populations autochtones et les communautés locales s'opposent aux projets d'énergie solaire et éolienne. La raison en est très simple : ces projets nécessitent 300 à 600 fois plus de terres qu'une centrale au gaz naturel ou qu'une centrale nucléaire. Il est très facile de s'en rendre compte par soi-même. Il suffit d'aller sur Google Maps et de tracer un cercle autour d'une centrale électrique, d'une usine éolienne ou solaire, puis de le diviser par la quantité d'électricité qu'il produit, pour obtenir un calcul de la densité de puissance. Vous constaterez que la différence est énorme. Ce n'est pas 50 % de plus. Il s'agit de 3 à 600 fois plus de terres. Par conséquent, quiconque aime la nature, l'environnement national et souhaite protéger les espèces menacées doit vraiment s'opposer à ces projets. Nous disposons de bien meilleures alternatives. On nous a vendu un gros mensonge sur l'énergie verte. Telle est la réalité. Et les gens sont en train de s'en rendre compte dans le monde entier.
Chris Kenny : Et il y a toutes sortes d'aspects à prendre en compte. Certains aspects sont d'ordre esthétique. Les gens n'aiment pas regarder les usines éoliennes ou solaires, mais les terres agricoles productives sont rares dans la plupart des régions du monde. Et si vous installez des usines solaires ou si vous limitez l'utilisation des terres à cause d'éoliennes ou de lignes de transmission, cela réduit en fait la quantité de produits alimentaires que vous pouvez tirer de vos terres.
Michael Shellenberger : Oui, c'est tout à fait exact. Et je devrais également dire qu'il n'y a rien de mal à s'opposer à un projet solaire ou éolien pour des raisons esthétiques. Nous voulons vivre dans un monde magnifique, et ce que nous voyons avec ces projets d'énergies renouvelables, c'est vraiment la destruction des paysages. C'est une sorte d'énergie poubelle. Il convient également de souligner que les panneaux solaires produisent 300 fois plus de déchets que les déchets nucléaires. Les déchets nucléaires sont confinés en toute sécurité sur le site de production, alors que nous n'avons pas de solution définitive au problème des déchets des panneaux solaires. Si nous essayons d'incorporer les coûts dans les coûts des panneaux solaires, ils seraient quatre fois plus élevés. Nous externalisons le coût de la pollution de l'énergie verte sur les générations futures.
Mais oui, vous avez tout à fait raison. Je veux dire par là que des terres agricoles de premier ordre sont utilisées dans le monde entier pour produire ce qui est effectivement une énergie très inefficace, irrégulière et imprévisible, qui est souvent déversée sur le réseau et non utilisée. C'est vraiment la forme d'énergie la plus gaspillée que l'on puisse imaginer, parce qu'elle ne suit pas les besoins des gens. Elle ne produit de l'énergie que lorsque le soleil brille et que le vent souffle, ce qui, comme nous le savons, n'est pas le cas la moitié du temps. Je pense donc que presque tout est négatif. On nous a vendu un gros mensonge.
Mais oui, vous avez tout à fait raison. Je veux dire par là que des terres agricoles de premier ordre sont utilisées dans le monde entier pour produire ce qui est effectivement une énergie très inefficace, irrégulière et imprévisible, qui est souvent déversée sur le réseau et non utilisée. C'est vraiment la forme d'énergie la plus gaspillée que l'on puisse imaginer, parce qu'elle ne suit pas les besoins des gens. Elle ne produit de l'énergie que lorsque le soleil brille et que le vent souffle, ce qui, comme nous le savons, n'est pas le cas la moitié du temps. Je pense donc que presque tout est négatif. On nous a vendu un gros mensonge.
Chris Kenny : Et rapidement, Michael, parce que je sais que vous avez tout un documentaire sur le sujet, mais nous voyons beaucoup d'éoliennes offshore ici, et vous avez beaucoup travaillé sur la façon dont elles peuvent nuire aux populations de baleines.
Michael Shellenberger : Oui, c'est exact. Le documentaire s'intitule Thrown to the Wind. [Jetés aux vents] Vous pouvez le voir sur public.substack.com. Nous l'avons distribué gratuitement. C'est une histoire choquante. Nous constatons que le simple fait d'utiliser des sonars pour cartographier le fond de l'océan sur la côte Est tue les baleines, tout comme l'augmentation du trafic maritime. Tout cela contribue à séparer les mères de leurs baleineaux. Les bébés meurent. Les mères meurent. Nous assistons à un déclin catastrophique de la baleine franche de l'Atlantique Nord à cause de l'énergie éolienne. Ces projets doivent être stoppés. Et la bonne nouvelle, c'est que l'énergie éolienne étant également si inefficace et si chère, ils demandent maintenant un renflouement, encore plus d'argent des contribuables américains que nous ne pouvons pas nous permettre.
Nous allons donc gagner cette bataille, Chris. Nous allons la gagner aux États-Unis. Je pense que nous allons aussi la gagner en Australie, parce que les gens se rendent compte que l'énergie verte est en fait une énergie brune. Elle est en fait terrible pour l'environnement naturel.
Chris Kenny : Oui, en effet. C'est une bataille qui ne fait que commencer. Merci beaucoup de nous avoir rejoints. Je vous remercie. Michael Shellenberger était là.
Nous allons donc gagner cette bataille, Chris. Nous allons la gagner aux États-Unis. Je pense que nous allons aussi la gagner en Australie, parce que les gens se rendent compte que l'énergie verte est en fait une énergie brune. Elle est en fait terrible pour l'environnement naturel.
Chris Kenny : Oui, en effet. C'est une bataille qui ne fait que commencer. Merci beaucoup de nous avoir rejoints. Je vous remercie. Michael Shellenberger était là.
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