Éolien : le vent de la corruption souffle sur les élus
Il n’est pas exceptionnel que la conjonction d’intérêts d’industriels, d’affairistes astucieux, voire de simples escrocs, parvienne à faire acquérir à grande échelle des produits parfaitement inutiles, souvent grâce à des trésors d’inventivité, d’opportunisme et d’organisation.
-Le Service Central de Prévention de la Corruption (SCPC, Ministère de la Justice) a mis en évidence le fait que des élus ont voté des décisions pour des projets pouvant leur rapporter. Devant la multiplication du nombre de ces « conflits d’intérêts » le SCPC considère qu’il ne peut s’agir de hasard mais bien d’actes délibérés.
-Les associations de défense de l'environnement confirment qu'une grande partie des éoliennes terrestres installées en France sont située sur les terres des maires, des conseillers municipaux et autres président de Communauté de communes ou des membres de leur famille. Des cas sont observés en Bretagne, en Basse-Normandie, en Haute-Loire, dans les Ardennes, les Deux-Sèvres ou encore l'Hérault où des enquêtes préliminaires ont été ouvertes ces mois derniers. Des condamnations on été déjà prononcées. 2 baux allant de 20 à 30 ans en moyenne, pouvant rapporter à l'élu ou à sa famille jusqu'à 100 000 € par an.
-La majorité PS / Europe Écologie Les Verts a voté la loi n° 2013-312 du 15 avril 2013 (loi «Brottes»). Cette loi supprime toute opposition à l'éolien terrestre sur les plans administratif, civil et pénal.
NE LAISSONS PAS CES PERSONNAGES DÉTRUIRE NOTRE SANTÉ, NOS PAYSAGES ET NOS VILLAGES.
EN AVANT TOUTES.
Collectif : LES VUES IMPRENABLES
lesvuesimprenables@gmail.com
Ne pas jeter sur la voie publique. Ipns
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