ESPAGNE, TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : " NO A LA MINA " DE LITHIUM

  Attention, Français, une mine pouvant en cacher une autre, déjà chez nous!... ALERTONS-NOUS!
   "... En effet, un important gisement, déjà identifié il y a quelques années dans le nord de l’Alsace, a fait l’objet d’une étude d’exploitation durant trois ans. Ce projet, baptisé EuGéLi, fut piloté par le groupe minier français Eramet, en collaboration avec d’autres partenaires comme Electricité de Strasbourg, ou encore Stellantis, la maison mère de Peugeot, Citroën, Fiat et Chrysler. Le projet, qui s’est achevé en décembre dernier, vient d’être en partie révélé et plusieurs kilos de lithium ont été extraits du site de géothermie de Soultz-sous-Forêts, au nord de Strasbourg, grâce à un procédé de filtrage d’eau de saumure à 2600 mètres de profondeur. "
  Source

   " La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili envisage de lancer une exploitation de lithium en France. [2021/12] Face au boom de la demande, la ministre a estimé que la France ne doit " s’interdire de rien " en matière d’extraction, à condition d’avoir les autorisations environnementales nécessaires. [...] Le pays regorge pourtant de nombreuses réserves. Pour exemple, en Alsace, les sous-sols renferment de grandes réserves de lithium, dont la quantité et la qualité permettraient de subvenir en partie aux besoins de la France... "
  Source


Un important gisement de lithium en Alsace fait toujours l'objet d'étude pour être extrait. Crédits : DR

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En Espagne, une mine qu’on refuse


Thibaut Gautier

 


Stefano Nicoli | ethic.es

  C’est au sud-ouest de l’Espagne et c’est une multinationale australienne : elle entend bien extraire le lithium présent dans la région d’Estrémadure. L’extraction du charbon s’est peu a peu éteinte depuis l’adhésion du pays à l’Union européenne, en 1986 : les anciennes mines se sont reconverties et de nouveaux minerais ont attiré les investisseurs. En Aragon, on prend de l’argile à ciel ouvert dans une montagne laissée intacte jusqu’alors ; dans les Asturies, on cherche de l’or depuis la fin des années 1990 ; en Estrémadure, c’est donc du lithium qu’on convoite. Le métal est utilisé pour la fabrication des piles et des batteries. Mais une partie de la population locale s’oppose à ce que l’entreprise Infinity lithium — créée en 2010, cotée en bourse et soucieuse, selon ses propres mots, de « faciliter la transition énergétique » — s’en vienne creuser la terre. « No a la mina », peut-on lire sur les ponts, dans la rue ou à la fenêtre d’un appartement.


  À Aldea Moret, en Estrémadure, les maisons de mineurs, les immeubles, le prix du café, l’urbanisation qui suit les différents puits et les anciennes usines de traitement du phosphate, tous ces vestiges urbains et sociaux rappellent la mine fermée en 1973. Dans ce quartier de Cáceres, un musée lui est dédié. La longue histoire de l’extraction minière y est passée en revue, c’est-à-dire l’histoire de l’appétit des puissances de l’époque pour ces terres du sud-ouest de la péninsule et leur rôle dans le développement de cette industrie. Les vestiges phéniciens et romains issus des mines antiques côtoient les photos des trains à vapeur remplis de phosphate en partance pour l’Angleterre coloniale du XIXe siècle. La fin de la mine est racontée selon le grand récit de la désindustrialisation des années 1970, tandis que le contexte espagnol et sa spécificité durant la période franquiste, eux, ne sont pas évoqués. Pas de photo de grèves ou de syndicats. Au mitan des années 1970, l’extraction minière du phosphate1 près de Cáceres n’était plus jugée rentable.
  Il en va de l’étain2 comme du phosphate : l’autre mine de Cáceres, Valdeflórez, n’a même pas connu le prestige de la classe ouvrière. Petite mine exploitée par une compagnie britannique à la fin du XIXe siècle, elle restera en activité jusqu’après la Seconde Guerre mondiale, sous pavillon espagnol, certes, mais sous tutelle du régime de Franco, l’étain étant considéré comme un minerai d’intérêt militaire. D’une taille bien plus modeste qu’ Aldea Moret, elle était surtout connue des habitants de Cáceres — los Cacereños — comme un lieu-dit rencontré lors de leurs balades dans la montagne qui jouxte la ville, à l’est. Les appétits des compagnies étrangères, le franquisme, la mine : tout semble comme disparu derrière les plantes qui envahissent l’ancien puits de Valdeflórez ou sous les garages
automobiles qui recouvrent Aldea Moret. La mine, c’est du passé.

Un projet secret : une mine à ciel ouvert
  Cáceres vit actuellement de sa situation de capitale provinciale3, de son université et de son hôpital. Elle vit aussi de son tourisme : la vieille ville médiévale est classée patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. De la mine, par contre, elle ne vit plus ; le visiteur indolent n’en verra aucune trace. À moins qu’au détour d’une vitrine ou à la fenêtre d’un appartement, il remarque les nombreuses affiches au slogan simple : « No a la mina ».
  Cette nouvelle mine, personne ne peut encore la voir et les membres de la plateforme Salvemos la Montaña de Cáceres, à l’origine de ces pancartes qui pullulent dans la ville, aimeraient bien qu’il en soit toujours ainsi. C’est que depuis quelques années, si le phosphate ou l’étain ne sont plus rentables, le lithium4, lui, l’est devenu. Grâce aux données collectées tout au long de l’exploitation et par l’entremise d’une joint-venture [association d’entreprises sur un projet commun, ndlr] avec l’entreprise espagnole Valoriza Mineria, Infinity Lithium, entreprise cotée à la bourse australienne, a eu accès aux relevés miniers de Valdeflórez. Elle s’en frotte les mains : il y a du lithium.


Salvemos la Montaña de Cáceres | DR]

  Fin 2016, Infinity Lithium commence par demander des permis d’exploration à la Junta, le gouvernement de la communauté autonome de l’Estrémadure dont dépend la province de Cáceres. Elle les obtient. Mais l’entreprise ne les publie pas dans les journaux et ne respecte pas les trente jours de délai entre le permis et sa mise en œuvre, obligation légale qui laisse le temps à chaque citoyen de contester le permis auprès de la Junta. Les premiers relevés géologiques sur le terrain ne permettent pas à l’entreprise de se cacher plus longtemps : les prélèvements de surface confirment des traces de lithium. Des machines pour sonder sont envoyées sur le terrain. Après avoir créé des pistes de manière illégale pour l’acheminement de ces engins , l’entreprise sera condamnée en 2019 pour cela, les sondages débutent à l’hiver 2016–2017. Les habitants des chalets et les propriétaires des terres alentour commencent à mener l’enquête. Le projet ne peut plus être dissimulé : une mine de lithium risque d’ouvrir dans la Sierra de la Mosca, où se trouve Valdeflórez, à quelques kilomètres du centre-ville et au pied du sanctuaire de la Virgen de la Montaña, patronne de Cáceres. En juillet 2017, une première réunion publique d’information organisée par Cáceres Tú, une formation politique proche de Podemos, réunit représentants d’associations de voisinage et de défense de la nature. Cette réunion est le début de la structuration d’un groupe d’opposants à la mine : la plateforme Salvemos la Montaña de Cáceres : qui se définira assez vite comme une plateforme citoyenne sans affiliation à un parti politique.
  En 2017, l’une des premières images que la plateforme publie, après avoir étudié les documents boursiers de l’entreprise, est effrayante. La compagnie Infinity Lithium projette l’exploitation d’une mine à ciel ouvert construite à l’image des mines australiennes. La terre serait prélevée au fur et à mesure, formant à la longue un trou béant, pour être ensuite « raffinée » dans une usine de traitement où l’on sépare le peu de lithium des autres minerais : procédé sur lequel nous reviendrons plus tard. La terre dite « stérile » est ensuite rejetée plus loin sur le site. Cette unité de production couvrirait 412 hectares. En image, cela donne en lieu et place de la montagne un immense cratère. Moyennant donc la destruction pure et simple du biotope de la sierra, l’extraction de lithium était en 2016 jugée rentable.

Mobilisation citoyenne
  Si les huppes fasciées, les milans, les hippolaïs polyglottes, tous oiseaux de la sierra, ainsi que la flore méditerranéenne ont du souci à se faire, les habitants aussi. Le code minier espagnol, hérité du franquisme, permet à l’autorité publique l’expropriation des propriétaires des terres pour en faire don à l’entreprise minière si le permis d’exploitation lui est délivré. Pour lutter contre cet accaparement à grande échelle, Salvemos la Montaña de Cáceres attaque en justice Infinity Lithium sur ses irrégularités dans la publication des permis. Elle gagne à plusieurs reprises. Il est ordonné à chaque fois à l’entreprise de refaire la demande de permis en toute transparence. Les trente jours laissés aux citoyens pour faire des allégations sont mis à profit par la plateforme. Dans un cas elle en déposera plus de 30 000, ralentissant considérablement le projet.
  Au fil de ses déboires administratifs et judiciaires, Infinity Lithium tente de soigner son image. Elle lance des campagnes publicitaires, commande des sondages pour fabriquer une opinion publique en sa faveur et mène une politique de lobbying intense. Celle-ci s’apparente à du pantouflage en règle quand en 2019 l’entreprise débauche un politicien local, Gayetano Polo, ancien membre du parti libéral Ciudadanos, ancien conseiller municipal de Cáceres et ancien élu à la Junta juste avant sa prise de fonction. Gayetano Polo prend la charge des relations avec les institutions. On apprécie l’euphémisme. L’homme n’est rien de plus qu’un lobbyiste.



Photo : Salvemos la Montaña de Cáceres | hoy.es

  Cette propagande en faveur de la mine, Salvemos la Montaña la combat en organisant des campagnes d’informations sur les dangers qu’elle représente, ainsi que des randonnées pour faire connaître le site et manifestations. À partir de 2018, ces dernières rassemblent souvent plusieurs milliers de personnes. La contre-offensive réussit. En mars 2021, après quatre ans de conflits, la plateforme organise une marche de Cáceres jusqu’à Merida, la capitale d’Estrémadure où siège la Junta. Le but : demander une audience auprès de cette dernière. Les années de mobilisation et la pression populaire paient. La Junta, jusque-là peu disposée à prendre parti, les reçoit à leur arrivée. À la suite de cette réunion, l’un des permis est refusé à Infinity Lithium. Son cours à la bourse australienne dévisse, obligeant même l’entreprise à suspendre sa cotation. Le politicien Gayetano Polo, lui, est renvoyé dans la foulée. Le projet semble avoir du plomb dans l’aile. À moins que ce ne soit une victoire à la Pyrrhus.

Rentabilité et greenwashing : le projet de mine souterraine
  Quand nous interrogeons Santiago Márquez, porte-parole de la plateforme Salvemos la Montaña, il nous explique comment un projet minier de cette envergure est jugé rentable. Le prix du minerai d’abord : le cours du lithium a bondi de 6 430 euros la tonne en 2016 à 45 000 euros début 2022. À ce prix-là et sous l’effet d’une demande toujours croissante, l’extraction du lithium demeure rentable malgré les obstacles. Toutefois, des projets aussi pharaoniques ne peuvent pas voir le jour sans aides publiques. Parmi celles-ci, le Pacte vert pour l’Europe5 lancé en 2019 prévoit des subventions de l’Union européenne pour les projets qui permettraient de décarboner nos sources d’énergie, de quoi aiguiser les appétits. Enfin, dernier point important pour le porte-parole, un projet comme celui-ci doit aussi être vu compris comme une opération boursière, avec sa marge de spéculation. Si 2021 a marqué un coup d’arrêt, les perspectives de rentabilité du site restent très attractives sous l’effet du prix du lithium et dans le contexte géopolitique européen. Prenant acte, Infinity Lithium va donc proposer à ses investisseurs une solution pour vaincre les résistances et continuer d’attirer les investisseurs : une mine souterraine.
  Santiago Márquez nous met en garde : notre image des mines souterraines héritées du charbon, avec ses galeries étroites étayées de madriers en bois, appartient au folklore. Actuellement, les progrès des techniques minières et la spécificité de l’extraction de terres dites rares, où toute la terre doit être extraite afin d’en prélever les quelques pourcents rentables, ont fait changer de dimension l’extraction minière souterraine. Les roues des camions utilisés pour le transport de la terre extraite sont plus hautes qu’une personne se tenant debout. Les tunnels principaux qui permettent la desserte des camions vers les cavités extractrices sont plus larges qu’un tunnel d’autoroute. Ce nouveau projet est à l’image de la fracture idéologique qu’engendre la pression écologique. Le projet devient soudain acceptable car il maintient le paysage en surface, celui-ci participant d’un cadre de vie qu’on souhaite immuable, non pas dans une logique écologique, qui pense le milieu dans son ensemble, mais dans une logique conservatrice : qui fait du paysage une carte postale, une image de marque. La préoccupation pour le paysage est un thème ambigu : et, en ce sens, parfois utilisé par les politiques de droite. Infinity lithium est prête à un compromis sur ce point. L’esthétique rejoint souvent des questions immobilières. Le cadre de vie devient une rente. Peu de personnes à Cáceres n’ont intérêt à risquer de déstabiliser le marché immobilier à cause d’une mine à ciel ouvert à moins de deux kilomètres du centre-ville. Mais ce compromis est également acceptable parce qu’il n’offrirait pas au regard des opposants la vision rebutante d’une mine a ciel ouvert, cratère lunaire tombé dans la Sierra de la Mosca. Il est réalisable parce que la tonne de lithium s’élève à plus de 40 000 euros. Enfin, il est envisageable par Infinity Lithium car il continue de nier les problèmes sociaux et écologiques réels d’une telle entreprise. L’histoire récente de l’exploitation minière en Espagne n’est pourtant pas avare en exemples à même d’illustrer ces problèmes. Dans l’ouvrage collectif Minería y Extractivismos6, les auteurs relèvent ainsi qu’au début des années 2020, au moins vingt-et-un projets miniers en Espagne étaient contestés et avaient impliqué la constitution de groupes s’y opposant. Les ressources convoitées sont toujours les mêmes : uranium, hydrocarbures, or, tungstène et, bien sûr, lithium.
  Des projets similaires à celui de Infinity Lithium, l’Estrémadure n’en manque pas. Le porte-parole de la plateforme nous explique celui de la mine de La Parilla, situé lui aussi dans la province de Cáceres. Vendue comme la première réserve européenne de tungstène7 par la compagnie britannique W Resources qui l’exploite, la mine a été ouverte en 2019. Trois ans plus tard, elle est à l’arrêt pour manque de liquidités après l’envolée des coûts du gaz nécessaire à son fonctionnement. Elle n’a pas payé ses 130 employés depuis mars 2022, et cela malgré le prix du tungstène qui ne cesse d’augmenter depuis deux ans, ainsi qu’une subvention de 5,3 millions d’euros de la part la Junta en 2018. Si les institutions peuvent donner, elle peuvent aussi parfois reprendre. Elle lui a ainsi infligé une amende de 65 000 euros en juillet pour non-respect des normes environnementales. Alors, quand Infinity Lithium prévoit pour sa nouvelle mine plus de 1 000 emplois directs et indirects, Santiago Marquez ne cache pas ses inquiétudes quant aux risques sociaux que fait peser un projet aussi spéculatif. Même si la mine venait à ouvrir, rien ne garantit sa viabilité à court terme.

Photo : Salvemos la Montaña de Cáceres | ctxt.es

Paysage ou écologie
  Malgré l’opération de greenwashing d’ Infinity Lithium, le projet soulève toujours autant de risques écologiques. Le lithium n’est présent qu’en une infime proportion — 1 % selon les données communiquées par de l’entreprise. Il n’est jamais présent sur terre sous forme pure : il a besoin d’être séparé de la terre « stérile » et des autres matériaux afin d’obtenir un alliage qui pourra, ensuite, être vendu. Ce traitement se fait via des solvants chimiques puis par filtration. Ce processus est très gourmand en eau : plus de 2 millions de litres d’eau sont nécessaires pour produire une tonne de lithium. Heureusement pour la compagnie minière, Cáceres s’est édifiée sur l’aquifère8 « el Calizero ». Comme l’écrit la journaliste Marta Santafé, c’est cette masse d’eau souterraine qui a permis l’installation humaine dans cette région. Elle s’avère essentielle pour le maintien de la végétation et des cultures locales. Or cet aquifère est relié géologiquement au fleuve Tage. Mais la Confederación hidrográfica del tajo, l’administration référente, ne lui reconnaît pas d’existence légale. La demande de Salvemos la Montaña et de soixante-dix autres associations — avec l’appui de la mairie de faire reconnaitre l’aquifère — n’a pas abouti cette année. Une aubaine pour les entrepreneurs australiens : les volumes de cette masse d’eau ne sont pas contrôlés et elle peut être utilisée sans restriction par l’entreprise. Mais le traitement du lithium par des solutions chimiques ne se fait pas sans un risque de pollution de l’eau. Alors que les épisodes de sécheresse s’accentuent, l’exploitation de l’aquifère à un niveau industriel pourrait avoir des conséquences dramatiques sur le milieu naturel. Le greenwashing de l’entreprise repose sur une image superficielle de l’impact d’une mine souterraine et alimente une confusion entre paysage et milieu naturel. Vous voyez bien que la mine n’affecte pas ce dernier : preuve en est que le paysage reste le même, paraît dire l’entreprise.
  L’histoire de la mine à Cáceres ne s’est pas éteinte avec la fermeture des exploitations de phosphate et d’étain dans les années 1970. Aujourd’hui encore, elle continue à se jouer. Et il n’est pas certain que les prochaines élections pour les députés de la Junta en 2023 ou que l’interdiction de la production de moteurs thermiques d’ici 2035 décidée par l’Union européenne relèguent la mine au passé. Si l’image bucolique de la Sierra de la Mosca semble prise en compte, les traces que pourraient laisser cette mine, tant au niveau social qu’écologique, pourraient être profondes à l’heure où le changement climatique se révèle un agent historique bien plus fondamental qu’un taux de rentabilité à cinq ou dix ans.


1. Roche sédimentaire dont la transformation permet de produire du phosphore qui, avec l’azote et le potassium, entre dans la composition de la plupart des engrais chimiques.
2. Métal utilisé en alliage avec le cuivre pour produire le bronze, ou employé seul contre l’oxydation et pour réaliser des soudures.
3. L’Espagne compte dix-sept communautés autonomes. Soumises au pouvoir central de Madrid, chacune a néanmoins des pouvoirs exécutifs et législatifs. L’Estrémadure, l’une d’elle, se divise en deux provinces : Badajoz au sud, dont Mérida est la capitale ainsi que celle de la communauté autonome et Cáceres au nord, avec sa capitale éponyme.
4. Métal extrait de différents types de roches utilisé dans la fabrication des piles et des batteries, dans l’industrie du verre et de la céramique, ainsi que dans le nucléaire civil et militaire.
5. Aussi appelé Green deal, le Pacte vert pour l’Europe est un ensemble de directives formant la feuille de route environnementale de la Commission européenne. Son but principal est la neutralité climatique à l’échelle de l’Union européenne d’ici 2050, c’est-à-dire le fait que l’ensemble des émissions polluantes produites puissent être captées par les sols, les forêts et les océans.
6. Luis Sánchez Vázquez, chiara Olivieri, Helios Escalante Moreno, Mariela Velázquez Pérez, dir., Minería y Extractivismos, diálogo entre la Acdemia y los movimientos sociales, Editorial Universidad de Granada, 2022.
7. Métal extrait de différents minerais, utilisé en électricité et sous forme d’alliage ou de composé pour fabriquer des outils nécessité une grande dureté.
8. Sol ou roche poreuse ou fissurée contenant une nappe d’eau souterraine.

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