jeudi 18 février 2016,
Commentaire: Dans le privé: «Quand on parle pognon, à partir d’un certain chiffre, tout le monde écoute»*. Pour l'État et sa «danseuse» éolienne depuis 15 ans (naissance de leur «passion» déjà avec une majorité PS/Écolo) c'est: «Quand on aime, on ne compte pas». Pour notre malheur et celui de l'environnement.
* Michel Audiard (1920-1985)
film: Le pacha
AGISSONS! ZÉRO É0LIENNE et BASTA!
Les médias s’offusquent les difficultés d’AREVA, on cite un montant considérable de l’ordre de la dizaine de milliards d’euros. Il faut rappeler que ces pertes résultent principalement des choix de la majorité politique antinucléaire au pouvoir entre 1997 et 2002. C’est elle, qui a contraint AREVA a construire la tête de série en Finlande et c’est elle qui a nommé les dirigeants de cette entreprise. Mais surtout, il faut signaler que les engagements dans le photovoltaïque et l’éolien entraînent des surcoûts 10 à 20 fois plus importants.
François Poizat a calculé précisément le coût annuel de CSPE qui résultent du rachat imposé de l’éolien et du photovoltaïque (cf porfolio). C’est donc un coût qui s’exerce non seulement sur tous les contribuables, mais aussi sur tous les usagers qui paient leur courant. Ce coût ne prend pas en compte l’augmentation du TURPE, c’est à dire des coûts des réseaux électriques qu’entraîne l’utilisation de sources dispersées et fluctuantes
Si on accumule les coûts de CSPE suivant deux hypothèses: Prolongation du déploiement éolien-photovoltaïque dans le prolongement de la loi sur la fausse transition énergétique ou bien arrêt de l’obligation d’achat pour les nouvelles installation (courbe orange). Dans un cas comme dans l’autre, on dépasse est dans la fourchette 100 -200 milliards d’euros. Cette estimation est corroborée par les coûts que l’Allemagne a engagés pour se priver de 20% d’électricité nucléaire.
Il est temps d’arrêter le déploiement de l’éolien et du photovoltaïque, d’encourager l’isolation, les pompes à chaleur et les véhicules électriques. Et de construire un EPR à Penly en profitant du retour d’expérience de Flamanville et d’Olkiluoto.
php
Les médias s’offusquent les difficultés d’AREVA, on cite un montant considérable de l’ordre de la dizaine de milliards d’euros. Il faut rappeler que ces pertes résultent principalement des choix de la majorité politique antinucléaire au pouvoir entre 1997 et 2002. C’est elle, qui a contraint AREVA a construire la tête de série en Finlande et c’est elle qui a nommé les dirigeants de cette entreprise. Mais surtout, il faut signaler que les engagements dans le photovoltaïque et l’éolien entraînent des surcoûts 10 à 20 fois plus importants.
François Poizat a calculé précisément le coût annuel de CSPE qui résultent du rachat imposé de l’éolien et du photovoltaïque (cf porfolio). C’est donc un coût qui s’exerce non seulement sur tous les contribuables, mais aussi sur tous les usagers qui paient leur courant. Ce coût ne prend pas en compte l’augmentation du TURPE, c’est à dire des coûts des réseaux électriques qu’entraîne l’utilisation de sources dispersées et fluctuantes
Si on accumule les coûts de CSPE suivant deux hypothèses: Prolongation du déploiement éolien-photovoltaïque dans le prolongement de la loi sur la fausse transition énergétique ou bien arrêt de l’obligation d’achat pour les nouvelles installation (courbe orange). Dans un cas comme dans l’autre, on dépasse est dans la fourchette 100 -200 milliards d’euros. Cette estimation est corroborée par les coûts que l’Allemagne a engagés pour se priver de 20% d’électricité nucléaire.
Il est temps d’arrêter le déploiement de l’éolien et du photovoltaïque, d’encourager l’isolation, les pompes à chaleur et les véhicules électriques. Et de construire un EPR à Penly en profitant du retour d’expérience de Flamanville et d’Olkiluoto.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire