Ludovic Grangeon Les Experts 01-12-2014
L'Allemagne a consacré 300 milliards d'euros à un programme sur les énergies renouvelables qui a été un échec.
Crédit Photo : Shutterstock
Après 7 ans d'études très poussées, avec le concours de scientifiques mondialement réputés, Google devait prendre une décision majeure de diversification. Le leader mondial était très tenté d'investir et de diversifier dans le modèle des énergies renouvelables dans son programme connu sous le nom de « RE». La conclusion vient de tomber : Google abandonne tout espoir dans les énergies renouvelables actuelles, non pas pour des raisons financières car ce secteur est encore juteux, mais parce que ça ne marche pas.
Les énergies renouvelables actuelles sont des leurres permettant de capter des subventions. Avec la crise, ces subventions seront disparues d'ici deux ans, faute de moyens. Prendre des panneaux solaires et des éoliennes à hélice pour résoudre le problème du réchauffement et des émissions de carbone, c'est prendre une petite cuillere pour vider l'Atlantique. Les espoirs entretenus par certains spéculateurs financiers ont manipulé l'opinion. Un moteur de recherche tel que Google, capable d'avoir construit un traducteur en 80 langues, l'un des projets les plus complexes de l'humanité, a l'honnêteté d'appliquer la même rigueur aux énergies renouvelables actuelles et de démontrer qu'elles sont non seulement inefficaces mais même nuisibles.
Cette étude démontre ce que l'expérience a déjà révélé, avec le grave constat d'échec de l'Allemagne, qui a investi 300 milliards dans les énergies renouvelables pour seulement 12 % du résultat attendu. Le n°2 en personne, le vice Chancelier allemand Sigmar Gabriel, en charge de l'énergie et de l'économie, a déclaré le 16 avril 2014 :
« La vérité est que la transition énergétique « Energiewende », visant à faire passer la part «renouvelable » d'électricité à 80% en 2050 est sur le point d'échouer. La vérité est que, sous tous les aspects, nous avons sous-estimé la complexité de cette transition énergétique. La noble aspiration d'un approvisionnement énergétique décentralisé et autonome est bien sûr une pure folie ! Quoi qu'il en soit, la plupart des autres pays d'Europe pensent que nous sommes fous. »
Deux des directeurs du programme Google, Koningstein et Fork, viennent d'adresser un terrible avertissement : en additionnant tous les investissements mondiaux actuels publics et privés, et même en les multipliant encore par quatre ou cinq, (ce qui est économiquement hors d'atteinte) la réponse est encore ridicule. Déjà la NASA avait tiré des conclusions identiques en 2008.
Les énergies renouvelables sous leur forme actuelle sont donc un immense danger : elles consomment toutes nos possibilités d'investissement vers des solutions inefficaces, éoliennes primitives ou panneaux solaires de faible rendement, et empêchent les vraies énergies renouvelables d'émerger, ce que cette étude démontre également. Il manque actuellement 30 % au moins du budget accordé aux fausses énergies renouvelables pour développer au niveau industriel les vraies énergies renouvelables et de multiples solutions sont en cours actuellement. Les cabinets ministériels de nombreux pays ont été envahis par des cabinets de communication au service de groupes financiers avides. Aux politiques d'assumer leur responsabilité, et elles sont lourdes. Les petits jeux visant à neutraliser les verts avec des symboles ruineux risquent de se retourner contre tous les auteurs de ces sordides calculs politiciens. Le châtiment risque d'être terrible.
Après 7 ans d'études très poussées, avec le concours de scientifiques mondialement réputés, Google devait prendre une décision majeure de diversification. Le leader mondial était très tenté d'investir et de diversifier dans le modèle des énergies renouvelables dans son programme connu sous le nom de « RE». La conclusion vient de tomber : Google abandonne tout espoir dans les énergies renouvelables actuelles, non pas pour des raisons financières car ce secteur est encore juteux, mais parce que ça ne marche pas.
Les énergies renouvelables actuelles sont des leurres permettant de capter des subventions. Avec la crise, ces subventions seront disparues d'ici deux ans, faute de moyens. Prendre des panneaux solaires et des éoliennes à hélice pour résoudre le problème du réchauffement et des émissions de carbone, c'est prendre une petite cuillere pour vider l'Atlantique. Les espoirs entretenus par certains spéculateurs financiers ont manipulé l'opinion. Un moteur de recherche tel que Google, capable d'avoir construit un traducteur en 80 langues, l'un des projets les plus complexes de l'humanité, a l'honnêteté d'appliquer la même rigueur aux énergies renouvelables actuelles et de démontrer qu'elles sont non seulement inefficaces mais même nuisibles.
Cette étude démontre ce que l'expérience a déjà révélé, avec le grave constat d'échec de l'Allemagne, qui a investi 300 milliards dans les énergies renouvelables pour seulement 12 % du résultat attendu. Le n°2 en personne, le vice Chancelier allemand Sigmar Gabriel, en charge de l'énergie et de l'économie, a déclaré le 16 avril 2014 :
« La vérité est que la transition énergétique « Energiewende », visant à faire passer la part «renouvelable » d'électricité à 80% en 2050 est sur le point d'échouer. La vérité est que, sous tous les aspects, nous avons sous-estimé la complexité de cette transition énergétique. La noble aspiration d'un approvisionnement énergétique décentralisé et autonome est bien sûr une pure folie ! Quoi qu'il en soit, la plupart des autres pays d'Europe pensent que nous sommes fous. »
Deux des directeurs du programme Google, Koningstein et Fork, viennent d'adresser un terrible avertissement : en additionnant tous les investissements mondiaux actuels publics et privés, et même en les multipliant encore par quatre ou cinq, (ce qui est économiquement hors d'atteinte) la réponse est encore ridicule. Déjà la NASA avait tiré des conclusions identiques en 2008.
Les énergies renouvelables sous leur forme actuelle sont donc un immense danger : elles consomment toutes nos possibilités d'investissement vers des solutions inefficaces, éoliennes primitives ou panneaux solaires de faible rendement, et empêchent les vraies énergies renouvelables d'émerger, ce que cette étude démontre également. Il manque actuellement 30 % au moins du budget accordé aux fausses énergies renouvelables pour développer au niveau industriel les vraies énergies renouvelables et de multiples solutions sont en cours actuellement. Les cabinets ministériels de nombreux pays ont été envahis par des cabinets de communication au service de groupes financiers avides. Aux politiques d'assumer leur responsabilité, et elles sont lourdes. Les petits jeux visant à neutraliser les verts avec des symboles ruineux risquent de se retourner contre tous les auteurs de ces sordides calculs politiciens. Le châtiment risque d'être terrible.
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