«La nature est trop souvent agressée», c'est peu de le dire. Et quand dans le projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, qui a été voté en première lecture à l'Assemblée nationale, mardi 24 mars, à une large majorité, par 325 voix contre 189, il est question de:
«Protéger la biodiversité de « manière dynamique » sans la figer ou la mettre sous cloche. Le « principe de solidarité écologique », qui sera introduit dans le code de l’environnement, appelle à prendre en compte les écosystèmes dans toute décision publique. Il s'agit d'« éviter, réduire et compenser » les atteintes à la nature. Car les « services » rendus par la biodiversité sont cruciaux, qu’il s’agisse de la pollinisation par les insectes butineurs, de la productivité des terres, de la qualité de l’air et de l’eau ou encore du rôle des forêts pour stocker le CO2 et endiguer l’érosion côtière» (Lemonde.fr, 24/03/2015) et que l'on voit sur le «terrain» monsieur le Préfet Celet qui va à l'encontre du vote de la Représentation Nationale en validant le parc Vannier Amance avec des éoliennes implantées sur des trames verte, bleue et ouverte, on peut se demander si l'État n'est pas atteint de «dédoublement de la personnalité» ou si tout simplement, nous n' avons pas affaire à l'exemple typique du «foutage de gueule?»
Bonne lecture
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