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Mais à vrai dire le banditisme, autre forme classique de la protestation populaire spontanée, recouvre bien des réalités différentes. Sous le Directoire et pendant les premières années du Consulat, c'est au royalisme contre-révolutionnaire qu'on le trouve associé, à la chouannerie [insurrection des chouans. Précédée par l'Association bretonne, fondée clandestinement par le marquis de La Rouërie en 1791 pour recouvrer les libertés de la Bretagne et restaurer la monarchie, la chouannerie est déclenchée en 1793 en Bretagne et dans le Maine par la levée de 300 000 hommes, décret de février, et par la persécution des prêtres et de la religion catholique par la République... Mais l'arrivée au pouvoir de Bonaparte sonne le glas de la chouannerie. Sauf quelques irréductibles, les chefs chouans déposent les armes et signent la paix au château de Beauregard (Saint-Avé), près de Vannes, le 14 février 1800. Larousse] ou à la Terreur blanche. Mais dès la fin du Directoire aussi, et de plus en plus souvent en allant dans le cour de l'époque napoléonienne, c'est la résistance à la conscription qu'il exprime. Étudiant la société varoise au lendemain de la Révolution, M. Agulhon discerne parfaitement tout cela dans la poussée "d'insécurité endémique des zones mal accessibles"qui se développe après le 18 fructidor. 41 L'héritage c'est celui de la Terreur blanche, qui, "de moins en moins urbaine...prend de plus en plus le caractère de la lutte clandestine et rurale". Les renforts, ce sont ceux suscités par le décret du 19 fructidor qui condamne à mort les émigrés rentrés : les plus pauvres d'entre eux "entrent dans la clandestinité sur place, ou plutôt dans les refuges commodes que sont les petits villages et les bois". Suscités, aussi, par la conjoncture économique : la déflation monétaire, agissant sur le cours des produits agricoles, "transporta des villes vers les campagnes le malaise social". Et enfin, par un fait nouveau : la reprise de la guerre en Italie et le vote de la loi sur la conscription, qui provoquent la fuite des jeunes gens. Alors "le brigandage est constitué dans tous ses éléments". Appuyé sur les massifs forestiers, il ne cesse d'augmenter en intensité et en extension, jusqu'à l'an IX. "La République consulaire...tenait dans l'ouest du Var un archipel de villes et de bourgs, battus par le brigandage comme par les vagues d'une mer." Par peur, mais aussi par solidarité contre l'armée, par royalisme, les villageois se font complices. Le phénomène atteint presque "les proportions d'une révolte régionale", qu'il faut deux ans au préfet Fauchet [Jean Antoine Joseph,1761-1834 ; haut fonctionnaire et diplomate] aux troupes du général Guillot [François Gilles, 1759-1818 ; baron de l'Empire] et de la Commission militaire extraordinaire pour juguler. Bien entendu, le départ est difficile à faire, dans le détail, entre brigandage de "blancs" ou de réfractaires, et actes de criminalité pur, exaltation par la conjoncture révolutionnaire de la violence habituelle des mœurs du temps.C'est ce qui, en fin de compte, facilite son élimination : quelque brutale qu'elle soit, elle suscite le soulagement et contribue à la popularité du bonapartisme.
Paris, cimetière du Père-Lachaise : sépulture de Jean-Antoine-Joseph Fauchet, 1761-1834, diplomate, ambassadeur de France aux États-Unis, préfet, Var, Gironde et Arno, Italie.
Pierre-Yves Beaudouin / Wikimedia Commons / CC BY-SA 4.0
Elle est en fin de compte la forme la plus caractéristique de la période et la plus clairement interprétable à la fois de la protestation ou de la désaffection populaires à l'égard du régime. R.Darquenne y voit "la plaie du système conscriptionnel et le thermomètre de l'opposition des oppositions" 42. R.Cobb n'hésita pas à y voir une sorte de référendum permanent, une grandiose manifestation de défiance populaire.
La désobéissance militaire est née en l'an III-an IV, atteignant un premier paroxysme en l'an V. Une deuxième poussée correspondant bien sûr aux ans VII et VIII : 37% de réfractaires sur l'effectif de ces deux classes et pour l'ensemble de la France, le déficit atteignant 63% dans les départements belges et même bien davantage dans les deux départements de la Meuse-Inférieure et des Deux-Nèthes [ancien département français, 1795-1814 : chef-lieu Anvers ; sous-préfectures : Malines, Turnhout], où sévit particulièrement la "guerre des paysans" [insurrection contre-révolutionnaire de paysans de Flandre, de la région de Liège et du Luxembourg contre la République française, octobre-décembre 1798]
Épisode de la "Guerre des Paysans", huile sur toile de Théophile Lybaert, 1885.
Par la suite, la situation s'améliore nettement : 27% en moyenne de l'an IX à l'an XIII ; 13% de 1806 à 1810. En 1811, l'insoumission parait liquidée, mais c'est l'effet de sa répression au moyen des colonnes mobiles. Recrudescence au début de 1813, à cause des appels massifs : mais le pourcentage ne dépasse guère 10% - ce qui n'empêche, compte tenu des gros effectifs sur lesquels joue ce pourcentage, que les troupes fassent cruellement défaut à l'empereur, par exemple au moment de la bataille de Leipzig, quand certains contingents étrangers font également défection. [la bataille de Leipzig, également appelée "bataille des Nations", fut la plus grande confrontation des guerres napoléoniennes, et la plus grande défaite subie par l'Empereur, 16 au 19 octobre 1813]
"Siegesmeldung nach der Schlacht bei Leipzig"* (détail). Peint en 1839 par Johann Peter Krafft.
*Rapport après la victoire de la bataille de Leipzig.
Comme à l'égard des troubles d'origine économique, le pouvoir use tour à tour d'indulgence - il y a cinq amnisties de 1800 à 1810, la dernière à l'occasion du remariage de l'empereur - et d'extrême rigueur. Les déserteurs risquent la fusillade, ou dix ans de bagne - celui de Toulon, celui aussi d'Anvers, créé en l'an XII - avec le boulet, ou les chantiers des Ponts-et-Chaussées ou de constructions navales. Les insoumis et leurs complices s'exposent à des amendes - peu efficaces si les coupables sont insolvables - ou à cinq ans de travaux forcés avec les fers, ou encore l'incorporation dans les unités disciplinaires spéciales : régiments de Walcheren, de Belle-Isle, de l'île de Ré, de Méditerranée. Mais le plus terrible - et les préfets eux-mêmes souhaitent généralement en éviter l'expérience à leur département - ce sont les colonnes mobiles ["...Ces rapports firent prendre conscience à Napoléon de l’état de désorganisation de l’armée mais surtout de l’urgence qu’il y avait à prendre des mesures pour tenter de freiner l’hémorragie et les exactions. Le 7 février, il dicta ainsi plusieurs notes à Berthier. Inspiré par Marmont, il réactiva dans un premier temps l’ordre du jour du 6 septembre 1813 ordonnant à Radet de décimer, autrement dit de fusiller un homme sur dix, les maraudeurs, les traînards, les isolés et les déserteurs. Il compléta le dispositif en mettant en place une commission permanente présidée par le général Radet, à qui étaient adjoints deux colonels de gendarmerie. Il ordonna enfin au grand prévôt de mettre sur pied cinq colonnes mobiles qui devaient quadriller un triangle Provins, Nogent-sur-Seine, Nangis, afin d’arrêter tous les traînards. Il devait les emprisonner avant de les faire passer devant la commission puis un sur dix devant le peloton. L’ordre fut imprimé et diffusé dans l’armée le jour même."], efficaces dans la chasse à l'homme mais qui, en contrepartie, immobilisent des effectifs inutilisables pour la guerre.
Bilan : Napoléon populaire et impopulaire
La conscription n'est pas le seul point de la politique et de l'administration napoléoniennes à avoir sensibilisé l'opinion en défaveur du régime. Le bonapartisme, écrit M. Agulhon, finit par s'incarner " dans le couple odieux de la conscription et des droits réunis". Pourtant la fiscalité indirecte, en dépit de son immense impopularité, n'a guère suscité d'émotions populaires en dehors des troubles de subsistances, auxquels l'attaque des bureaux de recette des droits est souvent associée. De même qu'il n'a pas hésité à encourir un des griefs les plus clairement inscrits au passif de l'Ancien Régime en ressuscitant les aides, de même Napoléon Bonaparte n'a pas craint, comme l'avait fait la Révolution, de heurter le sentiment catholique en rouvrant le conflit avec le pape ; mais la réaction s'est dessinée ici sous la forme d'une infiltration clandestine des "Chevaliers de la Foi", dont l'organisation militaire et hiérarchisée ébauche aux dernières années de l'Empire, par le noyautage des administrations et des grands corps, une sorte d’État de substitution. [société secrète qui a été fondée en 1810 pour défendre le catholicisme et la monarchie légitime. Dissolution en 1826]
La hiérarchie secrète de l'ordre laisse ignorer aux grades inférieurs l'existence de degrés supérieurs ainsi que le visage des dirigeants. Chaque dénomination des degrés est influencée par l'idéal chrétien et monarchique qui soumet tous les membres à l'autel et au trône
Bénéficiaire d'un attentisme très largement partagé à ses origines, le régime consulaire n'avait pas tardé à gagner le ralliement des classes possédantes, qui voyaient en lui "ce régime pratique, ce régime empirique, grâce à qui le drapeau de l’ordre social écartait les deux principes opposés et symétriquement radicaux du royalisme et de la République", M. Agulhon. Avec Barère [Bertrand Barère de Vieuzac,1755-1841 ;"...cet homme, authentique républicain, indéfectiblement choisi par ses électeurs des Hautes-Pyrénées, de 1789 à 1815, et encore après son retour d'exil, en 1830, jusqu'à son décès en janvier 1841. Il fut un acteur de tout premier plan de la Terreur, puisque membre du Comité de salut public, puis penseur de l'organisation du pouvoir exécutif dans sa retraite forcée, sous le Directoire, et de nouveau sur le devant de la scène durant les Cent Jours, non sans avoir été, au début du Consulat sollicité ou avoir sollicité, lui-même, les faveurs du général Bonaparte, en rédigeant pour ce dernier des notes ou encore un journal virulent contre la perfide Albion. Barère offre le parcours d'un praticien et, en même temps, d'un théoricien du pouvoir exécutif. Il est l'image possible d'un expert de la machine gouvernementale et de son mode de fonctionnement central. Il semble incarner à la fois, la figure d'un premier radicalisme et d'un opportunisme républicain...], un terroriste rallié dès les premières semaines, ces classes espéraient que Bonaparte serait l'homme de la paix extérieure et de la réconciliation intérieure, celui qui rendrait la Révolution périmée tout en écartant fermement la réaction. Telle était bien l'mage que Bonaparte souhaitait populariser de lui-même et sa propagande, tout autant qu'à orchestrer les succès militaires, s’appliquait à faire croire qu'il avait la nation entière derrière lui.
"S'il passe une année, il ira loin", avait dit Talleyrand du général de Brumaire. Le régime, effectivement, a tenu, et s'est bardé de fer, les années passant. Mais il n'a pas tenu les promesses que les Français croyaient y déceler et c'est pourquoi on peut avancer qu'il ne s'est jamais enraciné, sa solidité revêtant un caractère négatif au lieu de relever d'adhésions profondes et de fidélités inébranlables. Hors des complots unissant autour de généraux des ultra-royalistes et des républicains, hors des mouvements populaires qui ont troublé le silence d'une opinion empêchée de s'exprimer, les notes dominantes du régime à son enclin sont l'indifférence ou la résignation à une guerre dont les conséquences économiques et humaines lassent tout le monde et dont les bulletins ou les uniformes ne suffisent plus à ramener la joie dans les cœurs. Dans le haut personnel administratif, c'est la tiédeur, la fidélité du bout des lèvres. Chez les notables, la réticence à tous les gestes qui signifieraient le soutien d'une sincérité personnelle. On sert aussi longtemps que le maître de l'heure est en place, avec la conviction que cela changera bientôt et qu'on passera avec soulagement au service d'une monarchie modérée. Il faudra, note J.Vidalenc, toutes les maladresses de la première Restauration [première période du règne de Louis XVIII, entre la chute de l'Empire et le retour de Napoléon de l'île d'Elbe, avril-mai 1814-mars 1815. Larousse] pour ramener les esprits vers Napoléon. L'ancien préfet Beugnot [Jean-Claude, comte de, 1761-1835] devenu l'administrateur du grand-duché de Berg [ou grand-duché de Clèves et de Berg, 1806 à 1813 ; état satellite de la France impériale], a laissé le témoignage de sa surprise quand, à l'occasion d'un séjour à Paris peu avant l'invasion de la Russie, il constate combien l'Empire est glacé. La crainte du maître engendre à son profit un "dogme de l'infaillibilité pontificale", une "hallucination" collective. Observateur resté hors de France et lié aux milieux rhénans libéraux, Beugnot se rencontre avec des esprits restés lucides, tel Regnault de Saint-Jean-d'Angély [Michel, comte de, 1761 ou 1760-1819 ; avocat, ministre et académicien, élu en 1803 au fauteuil n°8 ], l'un des "cinquante Français les moins bêtes", comme Stendhal appelait les conseillers d’État - inquiet du total secret de la politique étrangère, de la démence dans l'entassement des conquêtes.
Chevauchant à l'envers l'âne Blacas surnommé « black ass », le duc de Blacas était ministre de la maison du roi, Louis XVIII, portant un coffre marqué « diamants de la couronne, propriété de la nation », prononce ces mots : « Ce diable d'homme ne m'a pas laissé me retourner ». Napoléon Ier, chevauchant un aigle dont le bec tient un sceptre et arbore un drapeau tricolore marqué « Gloire, Liberté et Paix », brandit des éclairs en disant « Veni, Vidi, Vici ». Ph. Coll. Archives Nathan
Ainsi donc le pouvoir napoléonien n'a jamais réussi à être un pouvoir sûr. Non pas que la France ait "dansé sur un volcan" : le pouvoir, en effet, était bien trop armé, et les oppositions trop disparates et morcelées. Mais dès qu'il cessa d'être victorieux, Napoléon détruisit par là même le seul ciment d'une certaine unité nationale.La fin de l'Empire, en 1814, est bien l'histoire d'une décomposition interne. Décomposition dont Paris, reprenant ainsi une initiative perdue depuis vingt ans, est largement responsable. J.Tulard en a récemment repris les éléments et dessiné les phases.
- Eléments sociaux : l'impossibilité de susciter un grand élan patriotique dans les différentes couches de la population de la capitale, sous la forme d'une remise en activité de la Garde nationale. Quand aux officiers, nommés parmi les notables, la difficulté, soulignait Savary [Anne-Jean-Marie-René, 1774-1833 ; général d'Empire; Ministre de la Police de 1810 à 1814], était " de la composer d'hommes...qui fussent disposés à la fois à défendre leurs murailles et à faire respecter leurs domiciles" ; "en la peuplant de propriétaires et de boutiquiers ruinés, on y faisait entrer", commente J.Tulard, "sous prétexte de maintenir l'ordre social, les éléments les plus hostiles au régime et les moins aptes au combat." Quand aux troupes, il aurait fallu les prendre parmi les sans-travail - les autres, on devait bien le voir à l'arrivée des Alliés et au retour des Bourbons, assistaient surtout passifs et curieux au changement d'un décor.
- Eléments politiques : le préfet de police Pasquier "paralysa, dans le courant du mois de mars, toute tentative pour armer les ouvriers sans travail. Peur de l'émeute, ou complicité avec les éléments royalistes de la capitale?". Quand à Joseph, président du Conseil de régence, il quitte la capitale précédé de l'impératrice, pour Blois, où Talleyrand évite de les rejoindre : cet abandon signifie la volonté de ne pas défendre Paris, soit pour préserver la ville, soit pour ne pas entrer dans le jeu stratégique de l'empereur qui aurait eu alors le temps de prendre les Alliés à revers en se rabattant sur Paris - hypothèse d'une prolongation de la guerre. Le 1er avril 1814, ce sont à la fois le Conseil général de Paris - en fait, son Conseil municipal - et le Sénat qui votent la déchéance de l'empereur et appellent de leurs vœux le rétablissement de la monarchie. Paris, décidément, a-t-il jamais accepté Napoléon? Déjà, au moment du procès de Moreau, des manifestations frondeuses à l'égard du Tribunal lui avait suggéré l'idée d'un transfert à Lyon de la capitale.
La première abdication elle-même offre un saisissant raccourci social de l'histoire consulaire et impériale. Les maréchaux veulent abandonner la lutte : ils reprochent en somme au régime de compromettre par ses imprudences les situations qu'ils avaient acquises grâce à lui. Les derniers fidèles, ce sont les officiers subalternes , bientôt "demi-solde" traités avec rigueur par les Bourbons ; et aussi les sous-officiers, les soldats - qui avaient fait une petite carrière ou oublié les dures réalités de l'existence civile dans la gloire militaire partagée avec le "petit caporal".
Tout, après Napoléon, peut-il pour autant "recommencer comme avant?" certainement pas. "L'épisode" a eu son épaisseur, qui protège l'organisme politique et social contre un retour à l'Ancien Régime et contre les prochains efforts d'un ultrarcisme minoritaire et démodé. Cela pour l'immédiat : mais, à moyen terme, il lègue aussi à l'"après 1815" tout le potentiel affectif de la légende napoléonienne en formation continue ; à long terme enfin, il fonde en France la troisième référence majeure de la vie politique nationale : à côté de la nostalgie des lys ou des rêves ardents de la démocratie, celle du pouvoir personnel plébiscitaire, brodant sur les thèmes de la grandeur et de la réconciliation.
Louis Bergeron, L'épisode napoléonien, Aspects
intérieurs, 1799-1815, p.113-118, Nouvelle histoire de la France
contemporaine, Editions du Seuil, 1972
41. M.Agulhon, La vie sociale en Provence intérieure au lendemain de la Révolution, Paris, 1971.
42. R.Darquenne, La Conscription dans le département de Jemmapes, 1798-1813. Bilan démographique et médico-social, Mons, 1970.
Pour compléter :
- René Rémond, Les droites en France, Aubier, 1982
- Jean Tulard, Napoléon, Pluriel, 2016
- Thierry Lentz, directeur de la fondation Napoléon, ouvrages
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