https://lareleveetlapeste.fr
par Antoine Puig
31 août 2017 /
S’appuyant pour la première fois sur des données statistiques solides, une étude américaine récemment publiée montre sans équivoque la corrélation entre l’usage intensif de pesticides en Californie et les risques de santé pour les nouveau-nés. Une petite révolution en termes de méthode d’étude sur le sujet, et un argument de plus contre le recours massif aux produits phytosanitaires.
L’importance de la méthode
On commence à connaître la comptine : l’épandage systématiques de pesticides (contre les insectes, les rongeurs, les champignons, les bactéries) sur les cultures met en danger non seulement l’environnement direct (animaux et plantes sauvages, s’il en reste) mais aussi la santé des populations voisines. C’est un constat presque unanime dans l’opinion publique, que nous relayons autant que faire se peut. Pourtant, les études scientifiques incontestables sur le sujet sont rares, et les résultats parfois contradictoires, à la plus grande satisfaction du lobby agro-chimique.
Voir
https://www.facebook.com/lareleveetlapeste/videos/468655173475916/
" L'indignation est un commencement. Une manière de se lever et de se mettre en route. On s'indigne, on s'insurge, et puis on voit. " BENSAÏD Daniel
Haute Marne, Haute Saône et Côte d'Or : + de 630 éoliennes à venir, réveillons-nous ou disparaissons à jamais!
Mesdames, Messieurs,
Pour information, voici la situation actuelle concernant l'industrialisation éolienne des départements de la Haute Saône et de la Côte d'Or. Vous noterez par ailleurs que de très nombreuses futures zones industrielles envisagées se situent à proximité de la frontière avec la Haute Marne et dans un rayon maximum de 40km à l'Est de Langres.
Aussi, ce n'est pas moins de 352 machines qui pourraient au total et dans le futur transformer durablement nos territoires en une gigantesque zone industrielle détruisant le quotidien des riverains, avec les répercussions néfastes sur la santé qui ont été démontrées par plusieurs études internationales : https://www.youtube.com/watch?v=SQmizBfI6Us&list=PLUBew0o5XdkfUSJEGqThOcrNApuhkGaJs et l'Environnement.
Sans oublier que la Haute Marne n'est pas en reste avec 127 aérogénérateurs en projet pour 151 machines en activité (recensement août 2017)
Pour information, voici la situation actuelle concernant l'industrialisation éolienne des départements de la Haute Saône et de la Côte d'Or. Vous noterez par ailleurs que de très nombreuses futures zones industrielles envisagées se situent à proximité de la frontière avec la Haute Marne et dans un rayon maximum de 40km à l'Est de Langres.
Aussi, ce n'est pas moins de 352 machines qui pourraient au total et dans le futur transformer durablement nos territoires en une gigantesque zone industrielle détruisant le quotidien des riverains, avec les répercussions néfastes sur la santé qui ont été démontrées par plusieurs études internationales : https://www.youtube.com/watch?v=SQmizBfI6Us&list=PLUBew0o5XdkfUSJEGqThOcrNApuhkGaJs et l'Environnement.
Sans oublier que la Haute Marne n'est pas en reste avec 127 aérogénérateurs en projet pour 151 machines en activité (recensement août 2017)
Transition énergétique allemande : la fin des ambitions ?
http://www.strategie.gouv.fr
Étienne Beeker
Développement durable et numériquejeudi 31 août 2017
Transition énergétique allemande : la fin des ambitions?
Note de synthèse
http://www.strategie.gouv.fr//sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/transition_energetique_allemande_la_fin_des_ambitions_etienne_beeker_note_n59_aout_2017_0.pdf
Étienne Beeker
Développement durable et numériquejeudi 31 août 2017
Transition énergétique allemande : la fin des ambitions?
Note de synthèse
http://www.strategie.gouv.fr//sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/transition_energetique_allemande_la_fin_des_ambitions_etienne_beeker_note_n59_aout_2017_0.pdf
Service civique, la prépa-précarité
http://labrique.net
Mikette
18 août 2017
Le 2 mai dernier, une marée de vestes à capuche orange vif s’entasse joyeusement dans l’amphi tout neuf d’une école d’ingénieur.es lilloise pour l’ AG annuelle de l’association Unis-Cité, l’un des leaders régionaux du service civique. Ce contrat précaire d'un nouveau genre a depuis plus de dix ans alimenté les grosses machines associatives qui profitent d'une main d’œuvre gratuite. La clique du PS local en profite pour arroser ses soutiens à coup de subventions, le tout pour aider nos jeunes à devenir de bon.nes citoyen.nes corvéables à souhait. Le but ? « Construire un monde meilleur ». Rien que ça !
Si en théorie toute association d’intérêt général peut accueillir un.e jeune en service civique, moyennant un dossier de candidature et la preuve d’un encadrement suffisant, dans la région, seuls quelques poids lourds se partagent le gros des financements. Parmi eux, des collectivités comme les mairies qui bénéficient ainsi de main d’œuvre d’appoint à peu de frais, notamment sur des missions de médiation. S'y ajoutent des associations comme la Croix Rouge, la Sauvegarde du Nord et l’incontournable Unis-Cité. Avec un budget de 1,9 million d’euros et un excédent de 130 000 euros en 2017, l’association profite à plein de la manne gouvernementale. Elle embauche dans la région plus de 800 jeunes avec une hausse des effectifs de 38% cette année. Une sorte de grossiste du service civique, qui produit des jeunes volontaires en masse.
Mikette
18 août 2017
Le 2 mai dernier, une marée de vestes à capuche orange vif s’entasse joyeusement dans l’amphi tout neuf d’une école d’ingénieur.es lilloise pour l’ AG annuelle de l’association Unis-Cité, l’un des leaders régionaux du service civique. Ce contrat précaire d'un nouveau genre a depuis plus de dix ans alimenté les grosses machines associatives qui profitent d'une main d’œuvre gratuite. La clique du PS local en profite pour arroser ses soutiens à coup de subventions, le tout pour aider nos jeunes à devenir de bon.nes citoyen.nes corvéables à souhait. Le but ? « Construire un monde meilleur ». Rien que ça !
Si en théorie toute association d’intérêt général peut accueillir un.e jeune en service civique, moyennant un dossier de candidature et la preuve d’un encadrement suffisant, dans la région, seuls quelques poids lourds se partagent le gros des financements. Parmi eux, des collectivités comme les mairies qui bénéficient ainsi de main d’œuvre d’appoint à peu de frais, notamment sur des missions de médiation. S'y ajoutent des associations comme la Croix Rouge, la Sauvegarde du Nord et l’incontournable Unis-Cité. Avec un budget de 1,9 million d’euros et un excédent de 130 000 euros en 2017, l’association profite à plein de la manne gouvernementale. Elle embauche dans la région plus de 800 jeunes avec une hausse des effectifs de 38% cette année. Une sorte de grossiste du service civique, qui produit des jeunes volontaires en masse.
Le vieux saule, un roman graphique de Mathieu Flammarion, en version numérique
http://ledebonnaire.blogspot.fr/
18/07/2017
Après avoir étudié dans l’atelier de bande dessinée à l’Institut Saint Luc de Bruxelles, Mathieu Flammarion* s’est installé à Paris, où il vit et travaille. En parallèle de ses travaux de bande dessinée et d’illustration, il développe depuis plusieurs années ses projets personnels en dessin, peinture sur papier et toile, et assemblages, qu’il a exposé entre autres à Paris, Berlin et New York. Dans le cadre de son engagement en faveur des droits de l’homme en Birmanie au sein d’Info Birmanie, et en collaboration avec Amnesty France et RSF, il a réalisé les illustrations du livre «Birmanie, rêves sous surveillance», paru en 2008 aux éditions Autrement. Ses projets de romans graphiques lui font questionner le réel à partir de ses propres expériences et rencontres. Ses récits tiennent à la fois de l’autobiographie et de l’introspection, tout en revendiquant la liberté des récits de vies imaginaires. Il s’est auto-publié entre 2000 et 2006 avec la revue trimestrielle «Le Débonnaire», et ses projets actuels sont disponibles sur internet.
Source : https://www.bedetheque.com
Photo © Nils Kristian Eikeland
* Sa famille est originaire de Clefmont (Haute Marne) où il aime à se ressourcer le plus souvent possible.
« Il y a des saules le long de la rivière toute proche, et du ruisseau qui la rejoint. Chacun a son histoire, mais le plus vieux, et le plus majestueux, est celui qui vit au confluent. »
18/07/2017
Après avoir étudié dans l’atelier de bande dessinée à l’Institut Saint Luc de Bruxelles, Mathieu Flammarion* s’est installé à Paris, où il vit et travaille. En parallèle de ses travaux de bande dessinée et d’illustration, il développe depuis plusieurs années ses projets personnels en dessin, peinture sur papier et toile, et assemblages, qu’il a exposé entre autres à Paris, Berlin et New York. Dans le cadre de son engagement en faveur des droits de l’homme en Birmanie au sein d’Info Birmanie, et en collaboration avec Amnesty France et RSF, il a réalisé les illustrations du livre «Birmanie, rêves sous surveillance», paru en 2008 aux éditions Autrement. Ses projets de romans graphiques lui font questionner le réel à partir de ses propres expériences et rencontres. Ses récits tiennent à la fois de l’autobiographie et de l’introspection, tout en revendiquant la liberté des récits de vies imaginaires. Il s’est auto-publié entre 2000 et 2006 avec la revue trimestrielle «Le Débonnaire», et ses projets actuels sont disponibles sur internet.
Source : https://www.bedetheque.com
Photo © Nils Kristian Eikeland
* Sa famille est originaire de Clefmont (Haute Marne) où il aime à se ressourcer le plus souvent possible.
« Il y a des saules le long de la rivière toute proche, et du ruisseau qui la rejoint. Chacun a son histoire, mais le plus vieux, et le plus majestueux, est celui qui vit au confluent. »
Mali (papier 4) : Sous le sable, les « terres rares »…
par Aida Diagne
29/08/2017
Commentaire :(...) " elles n’hésiteront pas, néanmoins, à consommer un objet contenant des terres rares produites sur les cadavres de populations lointaines."
L'aérogénérateur tue en amont, pendant et après son exploitation! Le nier et ainsi soutenir, poursuivre et amplifier son implantation sont des actes criminels.
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
Un nouvel eldorado est apparu au Mali. Il a pour nom les « terres rares ». Lesquelles désignent un ensemble de dix sept éléments chimiques devenus indispensables dans de nombreuses technologies. Elles font notamment partie des métaux verts de la transition énergétique (super-aimants des générateurs des éoliennes et des voitures électriques, luminophores pour les lampes basse consommation et les LED).
Une étude récente du cabinet Adamas intelligence, spécialiste de ces terres rares, conclut qu’entre 2020 et 2025, la croissance de la demande mondiale des terres rares va s’accélérer d’une année sur l’autre, entraînant l’ouverture de nouvelles mines… Bingo !Le Mali et notamment le nord du pays est très riche en la matière.
Exploitation dévastatrice
Le marché des terres rares est dominé par la Chine qui produit 85% de la production mondiale. Elle en consomme 70 % avec une croissance de 6 % par an et a décidé d’en limiter la production sur son territoire. A ce rythme, Adamas Intelligence projette que la Chine ne devrait plus avoir de terres rares à exporter d’ici 2025-2030. Elle pourrait même devenir importatrice nette de ces métaux critiques, menaçant la sécurité d’approvisionnement du reste du monde.
Pour répondre à la demande croissante, il faudrait ouvrir une nouvelle mine de terres rares chaque année d’ici 2025. Ce à quoi la Chine s’attelle en investissant massivement dans des gisements à l’étranger. De quoi faire frémir les industriels européens consommateurs de ces métaux critiques.
29/08/2017
Commentaire :(...) " elles n’hésiteront pas, néanmoins, à consommer un objet contenant des terres rares produites sur les cadavres de populations lointaines."
L'aérogénérateur tue en amont, pendant et après son exploitation! Le nier et ainsi soutenir, poursuivre et amplifier son implantation sont des actes criminels.
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
php
Un nouvel eldorado est apparu au Mali. Il a pour nom les « terres rares ». Lesquelles désignent un ensemble de dix sept éléments chimiques devenus indispensables dans de nombreuses technologies. Elles font notamment partie des métaux verts de la transition énergétique (super-aimants des générateurs des éoliennes et des voitures électriques, luminophores pour les lampes basse consommation et les LED).
Une étude récente du cabinet Adamas intelligence, spécialiste de ces terres rares, conclut qu’entre 2020 et 2025, la croissance de la demande mondiale des terres rares va s’accélérer d’une année sur l’autre, entraînant l’ouverture de nouvelles mines… Bingo !Le Mali et notamment le nord du pays est très riche en la matière.
Exploitation dévastatrice
Le marché des terres rares est dominé par la Chine qui produit 85% de la production mondiale. Elle en consomme 70 % avec une croissance de 6 % par an et a décidé d’en limiter la production sur son territoire. A ce rythme, Adamas Intelligence projette que la Chine ne devrait plus avoir de terres rares à exporter d’ici 2025-2030. Elle pourrait même devenir importatrice nette de ces métaux critiques, menaçant la sécurité d’approvisionnement du reste du monde.
Pour répondre à la demande croissante, il faudrait ouvrir une nouvelle mine de terres rares chaque année d’ici 2025. Ce à quoi la Chine s’attelle en investissant massivement dans des gisements à l’étranger. De quoi faire frémir les industriels européens consommateurs de ces métaux critiques.
Croissance verte versus décroissance du fossile : la face sombre de la transition
https://alaingrandjean.fr
par Alain Grandjean
29 août 2017
Credit : www.ihsnews.net
La transition énergétique est souvent identifiée à la production d’énergie renouvelable. Or une simple question montre un paradoxe évident : la production d’énergie réduit-elle les émissions de gaz à effet de serre ? Cette question peut sembler sans intérêt puisque la poser c’est y répondre : toute production d’énergie y compris renouvelable et nucléaire augmente les émissions de GES. La construction des moyens de production (panneaux solaires, centrale nucléaire, éolienne, centrale hydroélectrique etc.), consomme de l’énergie dont la majeure partie est aujourd’hui d’origine fossile. Cette évidence se mesure précisément par des démarches d’analyse de cycle de vie (qui permettent de calculer à chaque étape d’un processus les émissions de GES). Des bases de données, dont la plus connue en France est celle de l’ ADEME, fournissent le contenu en GES des sources d’énergie. Augmenter la production d’énergie, même bas carbone, c’est donc augmenter les émissions de GES.
par Alain Grandjean
29 août 2017
Credit : www.ihsnews.net
La transition énergétique est souvent identifiée à la production d’énergie renouvelable. Or une simple question montre un paradoxe évident : la production d’énergie réduit-elle les émissions de gaz à effet de serre ? Cette question peut sembler sans intérêt puisque la poser c’est y répondre : toute production d’énergie y compris renouvelable et nucléaire augmente les émissions de GES. La construction des moyens de production (panneaux solaires, centrale nucléaire, éolienne, centrale hydroélectrique etc.), consomme de l’énergie dont la majeure partie est aujourd’hui d’origine fossile. Cette évidence se mesure précisément par des démarches d’analyse de cycle de vie (qui permettent de calculer à chaque étape d’un processus les émissions de GES). Des bases de données, dont la plus connue en France est celle de l’ ADEME, fournissent le contenu en GES des sources d’énergie. Augmenter la production d’énergie, même bas carbone, c’est donc augmenter les émissions de GES.
Prix du bio : la grande distribution épinglée pour ses méga-marges
par Sophie Chapelle
30 août 2017
Comment expliquer que le panier de fruits et légumes bio soit, dans les grandes surfaces, presque deux fois plus cher que son équivalent en produits conventionnels ? Dans une étude publiée ce 29 août, l’association de consommateurs UFC Que Choisir dénonce les sur-marges injustifiées de la grande distribution [1]. L’ UFC s’est concentrée sur le prix de 24 fruits, et légumes, de l’abricot à la salade, représentatifs de la consommation des ménages français [2]. Il ressort que tous les produits bio sont beaucoup plus chers – 98 % en moyenne ! –, que les productions conventionnelles. La palme est attribuée à la pêche bio dont le prix est 151 % plus élevé : 6,64 €/kilo contre 2,64 €/kilo pour la non bio !
30 août 2017
Comment expliquer que le panier de fruits et légumes bio soit, dans les grandes surfaces, presque deux fois plus cher que son équivalent en produits conventionnels ? Dans une étude publiée ce 29 août, l’association de consommateurs UFC Que Choisir dénonce les sur-marges injustifiées de la grande distribution [1]. L’ UFC s’est concentrée sur le prix de 24 fruits, et légumes, de l’abricot à la salade, représentatifs de la consommation des ménages français [2]. Il ressort que tous les produits bio sont beaucoup plus chers – 98 % en moyenne ! –, que les productions conventionnelles. La palme est attribuée à la pêche bio dont le prix est 151 % plus élevé : 6,64 €/kilo contre 2,64 €/kilo pour la non bio !
Très chères éoliennes !
http://fr.friends-against-wind.org
Par Denis de Kergorlay
28/08/2017
« Si l’on continue à ce train, avant vingt ans, les campagnes françaises auront cessé d’être des campagnes. »
Emmanuel Macron a annoncé un doublement du nombre des éoliennes durant son quinquennat.
Pour le président d’ Europa Nostra, les éoliennes non seulement détruisent le patrimoine, mais sont inutiles d’un point de vue climatique et très coûteuses pour les investisseurs comme pour les consommateurs.
La polémique autour de la multiplication des éoliennes sur le territoire français ressemble à une version contemporaine de la querelle entre « anciens » et « modernes ». Se réclament des « modernes » toutes celles et tous ceux qui, s’étant engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique, souhaitent une transition énergétique qu’assureraient des énergies renouvelables (éolien, solaire, biomasse…). Se retrouvent catalogués au rang des « anciens » (voire des obscurantistes...), pêle-mêle, les climatosceptiques, les défenseurs du nucléaire, ainsi que les défenseurs des paysages et des monuments historiques. Et si, pour une fois, on parlait faits et chiffres, sans fantasmes ni parti pris idéologiques ?
Par Denis de Kergorlay
28/08/2017
« Si l’on continue à ce train, avant vingt ans, les campagnes françaises auront cessé d’être des campagnes. »
Emmanuel Macron a annoncé un doublement du nombre des éoliennes durant son quinquennat.
Pour le président d’ Europa Nostra, les éoliennes non seulement détruisent le patrimoine, mais sont inutiles d’un point de vue climatique et très coûteuses pour les investisseurs comme pour les consommateurs.
La polémique autour de la multiplication des éoliennes sur le territoire français ressemble à une version contemporaine de la querelle entre « anciens » et « modernes ». Se réclament des « modernes » toutes celles et tous ceux qui, s’étant engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique, souhaitent une transition énergétique qu’assureraient des énergies renouvelables (éolien, solaire, biomasse…). Se retrouvent catalogués au rang des « anciens » (voire des obscurantistes...), pêle-mêle, les climatosceptiques, les défenseurs du nucléaire, ainsi que les défenseurs des paysages et des monuments historiques. Et si, pour une fois, on parlait faits et chiffres, sans fantasmes ni parti pris idéologiques ?
Tous les prix 2016 des terres agricoles de la région Grand Est
Arnaud Carpon
ven. 28 juillet 2017
À 6 030 €/ha en moyenne en 2016, le prix des terres et prés libres n’a augmenté que de 0,3 % en un an en France métropolitaine. Celui des terres louées est en hausse de 2 %, à 4 550 € en moyenne. Dans la région Grand Est, le prix moyen de l’hectare libre s’établit à 6 430 €.
Retrouvez les prix des terres libres et prés occupés en 2016 dans la région Grand Est. (©Terre-net Média)
Allemagne : la facture très salée de l'électricité verte
http://www.lepoint.fr
Par Frédéric Therin (à Munich)
Publié le 25/08/2015
La transition énergétique voulue par Angela Merkel coûte 28 milliards d'euros aux consommateurs. Une situation qui inquiète les milieux économiques.
Le coût par famille et par an est de 290 euros. La hausse du prix de l'électricité pourrait handicaper les exportations allemandes. © Dpa/AFP/ JULIAN STRATENSCHULTE
La note commence à être vraiment salée pour nos voisins. Une étude de l'Institut de l'économie allemande (Institut der deutschen Wirtschaft, IW) effectuée pour le quotidien économique Handelsblatt montre que la transition énergétique en République fédérale coûte chaque année... 28 milliards d'euros aux consommateurs. Une famille utilisant 3 500 kilowatts-heure tous les douze mois doit ainsi payer en moyenne 270 euros supplémentaires pour financer la politique environnementale mise en place par le gouvernement.
Par Frédéric Therin (à Munich)
Publié le 25/08/2015
La transition énergétique voulue par Angela Merkel coûte 28 milliards d'euros aux consommateurs. Une situation qui inquiète les milieux économiques.
Le coût par famille et par an est de 290 euros. La hausse du prix de l'électricité pourrait handicaper les exportations allemandes. © Dpa/AFP/ JULIAN STRATENSCHULTE
La note commence à être vraiment salée pour nos voisins. Une étude de l'Institut de l'économie allemande (Institut der deutschen Wirtschaft, IW) effectuée pour le quotidien économique Handelsblatt montre que la transition énergétique en République fédérale coûte chaque année... 28 milliards d'euros aux consommateurs. Une famille utilisant 3 500 kilowatts-heure tous les douze mois doit ainsi payer en moyenne 270 euros supplémentaires pour financer la politique environnementale mise en place par le gouvernement.
Le mystère s’épaissit autour des “attaques acoustiques” contre des diplomates américains à Cuba
https://www.tsa-algerie.com
International
Par: AFP 24 Août 2017
Commentaire : Quoi! Les infrasons, idem éoliennes,seraient nuisibles pour les diplomates américains mais pas pour la population rurale écrasée par les zones industrielles d'aérogénérateurs? Criminel!
Vue de l'ambassade des États-Unis à La Havane / Chip Somodevilla / Getty / chicagotribune.com
Le mystère ne se dissipe pas autour des “attaques acoustiques” contre des diplomates des États-Unis à Cuba, mais l’affaire prend une nouvelle ampleur: Washington a révélé jeudi que ces “incidents” inédits avaient affecté la santé d’au moins 16 Américains.
Si les attaques ont désormais cessé, “nous ne savons pas qui les a perpétrées”, a déclaré la porte-parole du département d’État américain Heather Nauert. Mais “c’est sans précédent”, “nous n’avons jamais été confrontés à de telles choses par le passé”.
Cette mystérieuse affaire n’a été dévoilée que début août, mais elle remonte à plusieurs mois: les premiers “symptômes physiques” ont été signalés fin 2016 et, dès le 23 mai, sans attendre d’y voir plus clair, les États-Unis ont décidé dans une première riposte l’expulsion de deux diplomates cubains en poste à Washington.
International
Par: AFP 24 Août 2017
Commentaire : Quoi! Les infrasons, idem éoliennes,seraient nuisibles pour les diplomates américains mais pas pour la population rurale écrasée par les zones industrielles d'aérogénérateurs? Criminel!
php
Vue de l'ambassade des États-Unis à La Havane / Chip Somodevilla / Getty / chicagotribune.com
Le mystère ne se dissipe pas autour des “attaques acoustiques” contre des diplomates des États-Unis à Cuba, mais l’affaire prend une nouvelle ampleur: Washington a révélé jeudi que ces “incidents” inédits avaient affecté la santé d’au moins 16 Américains.
Si les attaques ont désormais cessé, “nous ne savons pas qui les a perpétrées”, a déclaré la porte-parole du département d’État américain Heather Nauert. Mais “c’est sans précédent”, “nous n’avons jamais été confrontés à de telles choses par le passé”.
Cette mystérieuse affaire n’a été dévoilée que début août, mais elle remonte à plusieurs mois: les premiers “symptômes physiques” ont été signalés fin 2016 et, dès le 23 mai, sans attendre d’y voir plus clair, les États-Unis ont décidé dans une première riposte l’expulsion de deux diplomates cubains en poste à Washington.
L’hebdo Marianne dénonce l’aérogénérateur industriel
https://www.eoliennes-doubs-adca.fr
26. août 2017
Commentaire : Toujours la même histoire, ici comme ailleurs : d'un côté un lobby financier, des services de l' État, des "rois nègres" d'élus (es) ruraux et ... des médias associés pour vendre "à la découpe" industrielle un territoire. Et de l'autre, une population vivant au quotidien les nuisances des aérogénérateurs et ayant pour tout horizon que l'Enfer...
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
Extrait de l'article paru sur le blog : https://www.eoliennes-doubs-adca.fr/
(...) Le magazine Marianne vient de publier un reportage sur le phénomène de prolifération d’aérogénérateur en Franche-Comté. Il dénonce les montages financiers opaques des promoteurs, et prend en exemple le projet éolien de la Côte d’Armont!
L’article se lit comme un roman policier...
26. août 2017
Commentaire : Toujours la même histoire, ici comme ailleurs : d'un côté un lobby financier, des services de l' État, des "rois nègres" d'élus (es) ruraux et ... des médias associés pour vendre "à la découpe" industrielle un territoire. Et de l'autre, une population vivant au quotidien les nuisances des aérogénérateurs et ayant pour tout horizon que l'Enfer...
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
php
Extrait de l'article paru sur le blog : https://www.eoliennes-doubs-adca.fr/
(...) Le magazine Marianne vient de publier un reportage sur le phénomène de prolifération d’aérogénérateur en Franche-Comté. Il dénonce les montages financiers opaques des promoteurs, et prend en exemple le projet éolien de la Côte d’Armont!
L’article se lit comme un roman policier...
Réponse de l’OMEC à la tribune des Echos sur le Nucléaire et la méthode Coué.
par nikopol92
Critiques de Jean Fluchère en rouge ci dessous (24/08/2017)
Lorsque l’on connaît l’auteur de l’article, on sait immédiatement qu’il va descendre en flammes l’électronucléaire dont, pourtant, il bénéficie tous les jours comme les autres français.
Il est inutile d’invoquer un atome mythique comme il y a 20 ou 30 ans alors que l’industrie nucléaire est aujourd’hui plombée par les faillites et les désastres industriels, situation illustrée en France par les déboires d’Areva et d’EDF.
Les difficultés financières d’ AREVA ne doivent pas occulter qu’entre 2005 et 2014, EDF a versé 20 milliards de dividendes à l’ État. Alors que ce dernier lui devait une partie de la CSPE qui s’élevait en 2012 à 5 milliards d’€.
Or tous les Conseils d’Administration le diront, une entreprise distribue des dividendes quand elle n’a pas de projet intéressant. Sinon, avec l’accord de ses actionnaires, elle distribue peu de dividendes pour consacrer le reste de ses bénéfices aux investissements. Là, l’ État se sert et EDF doit emprunter !
Au passage, quand EDF était un Établissement Public à Caractère Industriel et commercial (EPIC) et que l’ État lui a demandé de lancer le grand programme nucléaire, il ne lui a fait aucun apport en capital. EDF a dû tout emprunter sur les marchés financiers et rembourser tous ses emprunts.
Le
« La méthode Coué ne sauvera pas l’industrie nucléaire »
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-172945-la-methode-coue-ne-sauvera-pas-lindustrie-nucleaire-2108694.phpCritiques de Jean Fluchère en rouge ci dessous (24/08/2017)
Lorsque l’on connaît l’auteur de l’article, on sait immédiatement qu’il va descendre en flammes l’électronucléaire dont, pourtant, il bénéficie tous les jours comme les autres français.
Il est inutile d’invoquer un atome mythique comme il y a 20 ou 30 ans alors que l’industrie nucléaire est aujourd’hui plombée par les faillites et les désastres industriels, situation illustrée en France par les déboires d’Areva et d’EDF.
Les difficultés financières d’ AREVA ne doivent pas occulter qu’entre 2005 et 2014, EDF a versé 20 milliards de dividendes à l’ État. Alors que ce dernier lui devait une partie de la CSPE qui s’élevait en 2012 à 5 milliards d’€.
Or tous les Conseils d’Administration le diront, une entreprise distribue des dividendes quand elle n’a pas de projet intéressant. Sinon, avec l’accord de ses actionnaires, elle distribue peu de dividendes pour consacrer le reste de ses bénéfices aux investissements. Là, l’ État se sert et EDF doit emprunter !
Au passage, quand EDF était un Établissement Public à Caractère Industriel et commercial (EPIC) et que l’ État lui a demandé de lancer le grand programme nucléaire, il ne lui a fait aucun apport en capital. EDF a dû tout emprunter sur les marchés financiers et rembourser tous ses emprunts.
Gazprom accélère la puissance de la construction de l'oléoduc Sibérie (Russie)
https://www.enerdata.net
24/08/2017
Commentaire : Gazprom se tourne vers la Chine. Si le bras de fer avec l' U.E et les sanctions associées perdurent, quid des nuits sans vent en Europe? JP.Riou
Version originale (langue anglaise) : https://www.enerdata.net/publications/daily-energy-news/gazprom-speeds-power-siberia-pipeline-construction-russia.html
L'utilitaire russe Gazprom prévoit de construire la puissance du gazoduc Sibérie à temps. La société prévoit également de construire 1300 km de la ligne d'ici la fin de 2017, qui est à environ 200 km plus qu'il avait prévu de construire à la fin de Juin 2017. En Août 2017, à environ 979 km du pipeline ont été construits ou 45% de la longueur totale de la première section, en cours d'exécution à partir du champ Chayandiskoye à Blagoveshchensk. Les livraisons de gaz vers la Chine devraient commencer en Décembre 2019.
24/08/2017
Commentaire : Gazprom se tourne vers la Chine. Si le bras de fer avec l' U.E et les sanctions associées perdurent, quid des nuits sans vent en Europe? JP.Riou
php
Version originale (langue anglaise) : https://www.enerdata.net/publications/daily-energy-news/gazprom-speeds-power-siberia-pipeline-construction-russia.html
L'utilitaire russe Gazprom prévoit de construire la puissance du gazoduc Sibérie à temps. La société prévoit également de construire 1300 km de la ligne d'ici la fin de 2017, qui est à environ 200 km plus qu'il avait prévu de construire à la fin de Juin 2017. En Août 2017, à environ 979 km du pipeline ont été construits ou 45% de la longueur totale de la première section, en cours d'exécution à partir du champ Chayandiskoye à Blagoveshchensk. Les livraisons de gaz vers la Chine devraient commencer en Décembre 2019.
Haute Saône : la zone industrielle d'aérogénérateurs du "Pays jusséen" en construction
Vitrey sur Mance, Saint Marcel et Rosières sur Mance sont les trois communes (70) en limite de la Haute Marne qui vont réceptionner la zone industrielle d'aérogénérateurs dit du "Pays jusséen", 8 machines, 180m en bout de pale, 26,4MW de puissance installée environ. Les vues imprenables étaient sur place pour témoigner de l'avancée des travaux.
Réponse à Christian Egal dans les Echos sur les coûts de l’énergie
août 21, 2017
Nos commentaires figurent en rouge ci-dessous.
Énergie : attention à ne pas trébucher sur l'échelle des coûts
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-172818-energie-attention-a-ne-pas-trebucher-sur-lechelle-des-couts-2107800.php
Christian Egal, le 15/08/2017
Réponse de Jean Fluchère le 18-08-2017
Comparer des MWh disponibles quand il fait du vent ou qu’il y a du soleil et des MWh disponibles quand les clients en ont besoin n’a aucun sens. Il faut comparer uniquement des MWH disponibles quand les clients en ont besoin ce qui signifie que les MWh solaires ou éoliens doivent incorporer soit un coût de stockage soit un coût de soutien par un moyen de production pilotable. C’est-à-dire pendant le même temps qu’une machine pilotable, soit 80 % du temps.
Le développement des énergies renouvelables révolutionne le monde de l’énergie depuis quelques années. Les subventions apportées par les pouvoirs publics pour stimuler leur développement lorsqu’elles étaient encore balbutiantes et chères ont permis leur expansion et leur dissémination partout dans le monde. Aujourd’hui, grâce à ces politiques volontaristes, le solaire et l’éolien sont dans beaucoup de pays compétitifs par rapport aux énergies traditionnelles.
À qui profiterait la suppression du cash ?
https://www.contrepoints.org
par Dominique Philos
23/08/2017
Commentaire : "Vous ne possédiez rien, en dehors des quelques centimètres cubes de votre crâne."
Citation extraite du roman 1984, d'Eric Blair, dit George Orwell https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Orwell
Pourquoi les banques et les administrations cherchent à nous dissuader de payer autrement que par carte bancaire ?
Nous allons essayer de faire le tour de la question afin d’étudier quelles sont les motivations pouvant justifier une suppression des billets de banque et quelle serait l’incidence de cette suppression dans la vie courante.
Nous avons tous remarqué que les banques et l’administration étatique font des efforts considérables pour nous dissuader d’utiliser d’autres moyens de paiement que la fameuse carte bancaire (bleue ou pas) présentée comme l’outil idéal de paiement ; même pour de petites sommes (mais surtout pas le chèque dont le traitement est jugé trop coûteux par les banques !).
Le cash et l’expérience de Monéo
Nous nous rappelons tous l’expérience de Monéo… qui n’a pas abouti… Et maintenant nous avons droit aux cartes permettant le paiement sans contact et je suis sûr d’ailleurs que nombre d’entre vous utilisent de manière quasi systématique leur carte bleue pour le moindre de leurs achats sans y voir autre chose qu’une simple commodité !
Dans certains pays (Japon), il est même possible de payer avec son smart phone et Visa (l’organisation qui gère la carte bleue) vient de mettre sur le marché une bague permettant le paiement sans contact.
La monnaie électronique semble donc avoir le vent en poupe, alors pourquoi s’embarrasser avec des billets de banque !
Par ailleurs, on nous dit que l’utilisation des billets de banque (principalement de 500 € pour l’instant) est essentiellement le fait des fraudeurs, des trafiquants ou pire des terroristes et qu’au nom de la sécurité que l’État doit assurer à chacun d’entre nous il faut supprimer ces billets maudits… Tout en oubliant au passage que seuls les billets de banque et les pièces émises sous contrôle de la BCE ont cours légal ; tous les autres procédés de paiement n’étant que des moyens de paiement !
par Dominique Philos
23/08/2017
Commentaire : "Vous ne possédiez rien, en dehors des quelques centimètres cubes de votre crâne."
Citation extraite du roman 1984, d'Eric Blair, dit George Orwell https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Orwell
php
Pourquoi les banques et les administrations cherchent à nous dissuader de payer autrement que par carte bancaire ?
Nous allons essayer de faire le tour de la question afin d’étudier quelles sont les motivations pouvant justifier une suppression des billets de banque et quelle serait l’incidence de cette suppression dans la vie courante.
Nous avons tous remarqué que les banques et l’administration étatique font des efforts considérables pour nous dissuader d’utiliser d’autres moyens de paiement que la fameuse carte bancaire (bleue ou pas) présentée comme l’outil idéal de paiement ; même pour de petites sommes (mais surtout pas le chèque dont le traitement est jugé trop coûteux par les banques !).
Le cash et l’expérience de Monéo
Nous nous rappelons tous l’expérience de Monéo… qui n’a pas abouti… Et maintenant nous avons droit aux cartes permettant le paiement sans contact et je suis sûr d’ailleurs que nombre d’entre vous utilisent de manière quasi systématique leur carte bleue pour le moindre de leurs achats sans y voir autre chose qu’une simple commodité !
Dans certains pays (Japon), il est même possible de payer avec son smart phone et Visa (l’organisation qui gère la carte bleue) vient de mettre sur le marché une bague permettant le paiement sans contact.
La monnaie électronique semble donc avoir le vent en poupe, alors pourquoi s’embarrasser avec des billets de banque !
Par ailleurs, on nous dit que l’utilisation des billets de banque (principalement de 500 € pour l’instant) est essentiellement le fait des fraudeurs, des trafiquants ou pire des terroristes et qu’au nom de la sécurité que l’État doit assurer à chacun d’entre nous il faut supprimer ces billets maudits… Tout en oubliant au passage que seuls les billets de banque et les pièces émises sous contrôle de la BCE ont cours légal ; tous les autres procédés de paiement n’étant que des moyens de paiement !
Extraction de nickel: le coût environnemental caché des voitures électriques
https://www.theguardian.com
Max Opray
jeudi 24 Août 2017
Version originale (langue anglaise) : https://www.theguardian.com/sustainable-business/2017/aug/24/nickel-mining-hidden-environmental-cost-electric-cars-batteries?CMP=twt_a-environment_b-gdneco
L'extraction et le traitement de minerais riches en nickel peuvent générer des charges élevées de poussière dans l'air, qui contient de fortes concentrations de métaux potentiellement toxiques, y compris lui-même nickel, le cuivre, le cobalt et le chrome. Photo: Ahmad Yusuf / Reuters
Un pays du monde légiférant pour éliminer progressivement les voitures à essence et diesel se doit de faire attention attention de l'impact environnemental occasionné par l'exploitation des matériaux nécessaires à la fabrication des batteries de véhicules électriques.
Cette nouvelle enquête supplémentaire a surtout porté sur les préoccupations éthiques concernant les chaînes d'approvisionnement de cobalt et de lithium des batteries de la société Tesla Elon Musk. Celles ci utilisées par ses véhicules sont principalement faits de nickel et de graphite, avec le lithium lui - même simplement « le sel sur la salade ». , en dépit des déclarations du PDG observation l' année dernière
Mais l'extraction de nickel - principalement exploité en Australie, le Canada, l'Indonésie, la Russie et les Philippines - a un coût pour l'environnement et la santé.
Max Opray
jeudi 24 Août 2017
Version originale (langue anglaise) : https://www.theguardian.com/sustainable-business/2017/aug/24/nickel-mining-hidden-environmental-cost-electric-cars-batteries?CMP=twt_a-environment_b-gdneco
L'extraction et le traitement de minerais riches en nickel peuvent générer des charges élevées de poussière dans l'air, qui contient de fortes concentrations de métaux potentiellement toxiques, y compris lui-même nickel, le cuivre, le cobalt et le chrome. Photo: Ahmad Yusuf / Reuters
Un pays du monde légiférant pour éliminer progressivement les voitures à essence et diesel se doit de faire attention attention de l'impact environnemental occasionné par l'exploitation des matériaux nécessaires à la fabrication des batteries de véhicules électriques.
Cette nouvelle enquête supplémentaire a surtout porté sur les préoccupations éthiques concernant les chaînes d'approvisionnement de cobalt et de lithium des batteries de la société Tesla Elon Musk. Celles ci utilisées par ses véhicules sont principalement faits de nickel et de graphite, avec le lithium lui - même simplement « le sel sur la salade ». , en dépit des déclarations du PDG observation l' année dernière
Mais l'extraction de nickel - principalement exploité en Australie, le Canada, l'Indonésie, la Russie et les Philippines - a un coût pour l'environnement et la santé.
Le Cordobazo de 1969 en Argentine. Insurrection populaire et « commune »
Guillaume de Gracia
23 août 2017
Le texte ci-dessous reprend l’intégralité du chapitre 6 du livre De sueur et de sang, paru aux éditions Syllepse en avril 2016, écrit par l’anthropologue et chercheur en sciences sociales indépendant Guillaume de Gracia (collaborateur régulier du site de la revue Dissidences, auteur également du livre « L’Horizon argentin » paru aux presses de la CNT-RP en 2009).
En s’inspirant des histoires populaires écrites par des historiens tels que Zinn, Thompson, Lefebvre, l’auteur tente de faire une « histoire populaire » du péronisme depuis son apparition sur la scène politique argentine en 1943 jusqu’au dernier coup d’état militaire qu’ait connu l’Argentine, le 24 mars 1976, qui clôt selon lui un cycle péroniste.
En complément de cet extrait, on pourra voir avec intérêt le film Tosco (2011), du documentariste Adrian Jaime. Il s’agit d’un film d’archives, sous-titré en espagnol et couvrant uniquement la période 1969-1975, soit du Cordobazo jusqu’à la mort de Tosco dans la clandestinité en novembre 1975.
23 août 2017
Le texte ci-dessous reprend l’intégralité du chapitre 6 du livre De sueur et de sang, paru aux éditions Syllepse en avril 2016, écrit par l’anthropologue et chercheur en sciences sociales indépendant Guillaume de Gracia (collaborateur régulier du site de la revue Dissidences, auteur également du livre « L’Horizon argentin » paru aux presses de la CNT-RP en 2009).
En s’inspirant des histoires populaires écrites par des historiens tels que Zinn, Thompson, Lefebvre, l’auteur tente de faire une « histoire populaire » du péronisme depuis son apparition sur la scène politique argentine en 1943 jusqu’au dernier coup d’état militaire qu’ait connu l’Argentine, le 24 mars 1976, qui clôt selon lui un cycle péroniste.
En complément de cet extrait, on pourra voir avec intérêt le film Tosco (2011), du documentariste Adrian Jaime. Il s’agit d’un film d’archives, sous-titré en espagnol et couvrant uniquement la période 1969-1975, soit du Cordobazo jusqu’à la mort de Tosco dans la clandestinité en novembre 1975.
- « L’arme par excellence dans la guerre des rues, c’est le fusil. […] La grenade, qu’on a pris la mauvaise habitude d’appeler bombe, est un moyen secondaire […]. Les pavés font presque autant de mal et ne coûtent pas si cher. Les ouvriers n’ont pas d’argent à perdre », Auguste Blanqui.
Avant d’entrer dans le vif de cette partie, il nous faut absolument expliciter pourquoi le suffixe « -azo » va régulièrement apparaître tout au long de ce livre. En espagnol, il est ajouté à la fin d’un mot afin de désigner le coup donné avec un objet ou une partie du corps. L’exemple le plus classique est le puñetazo du substantif puño, le poing, et qui désigne le coup de poing. Par dérive sémantique, notamment en Argentine (mais c’est aussi le cas au Venezuela), on ajoute régulièrement -azo pour parler d’un événement « coup de poing ». Ici donc, le Cordobazo désigne littéralement le « coup de Córdoba » ou l’insurrection ayant eu lieu dans cette ville. Des azos, en Argentine, il y en a eu beaucoup, dont l’un des plus célèbres s’est déroulé en décembre 2001 : l’Argentinazo.
- « La violence aux mains du peuple n’est pas violence, mais justice », Eva Perón.
214 %. C’est la hausse des importations de charbon en France au premier trimestre 2017 !
par IREF,
le 21 août 2017
Commentaire : Existerait-il un rapport de cause à effet entre le développement de la "gangrène" éolienne dans nos campagnes et cette frénésie d'importation? Si tel est le cas, la lutte pour sauver le climat est bien mal engagée, non?
Les écologistes font semblant de ne pas être au courant et les médias bien-pensants ont d’autres préoccupations. Pourtant, il s’agit d’une révolution dans le domaine de l’énergie.
En février dernier, le président Trump a signé un décret qui supprime toutes les réglementations (la plupart de sources écologistes adoptées par Obama) concernant l’exploitation du charbon aux États-Unis.
le 21 août 2017
Commentaire : Existerait-il un rapport de cause à effet entre le développement de la "gangrène" éolienne dans nos campagnes et cette frénésie d'importation? Si tel est le cas, la lutte pour sauver le climat est bien mal engagée, non?
php
Les écologistes font semblant de ne pas être au courant et les médias bien-pensants ont d’autres préoccupations. Pourtant, il s’agit d’une révolution dans le domaine de l’énergie.
En février dernier, le président Trump a signé un décret qui supprime toutes les réglementations (la plupart de sources écologistes adoptées par Obama) concernant l’exploitation du charbon aux États-Unis.
Ardèche verte : ferme caprine à reprendre
http://www.villagemagazine.fr
Ferme en AB située en Ardèche Verte à reprendre (accompagnement possible )
Visite et contact : http://www.bergeriedubosc.com/
Le pays : http://www.ardeche-verte.com/fr/
Source : ardechevideo.com
Ferme en Ardèche Verte à 850m d’altitude certifiée AB depuis 1999 à transmettre dès cette année :
A vendre ( avec la maison d’habitation actuelle ) ou à louer (sans la maison d'habitation, mais avec une petite maison de 50m² ).
La ferme comprend : un troupeau de 32 chèvres + 13 chevrettes, un bâtiment en bois de 120 m² au sol sur deux niveaux avec 60 cornadis et une fromagerie agréée de 50 m² environ ( 3 pièces ) sous la maison avec le matériel de transformation. Le tout sur environ 50 ha (dont 5 ha de prés clôturés et le reste en parcours herbeux et landes). Un stage reprise ou un tutorat est possible sur la première année (2017-2018).
Si vous êtes intéressés merci de contacter Frédérique au 06 21 69 71 69
Ferme en AB située en Ardèche Verte à reprendre (accompagnement possible )
Visite et contact : http://www.bergeriedubosc.com/
Le pays : http://www.ardeche-verte.com/fr/
Source : ardechevideo.com
Ferme en Ardèche Verte à 850m d’altitude certifiée AB depuis 1999 à transmettre dès cette année :
A vendre ( avec la maison d’habitation actuelle ) ou à louer (sans la maison d'habitation, mais avec une petite maison de 50m² ).
La ferme comprend : un troupeau de 32 chèvres + 13 chevrettes, un bâtiment en bois de 120 m² au sol sur deux niveaux avec 60 cornadis et une fromagerie agréée de 50 m² environ ( 3 pièces ) sous la maison avec le matériel de transformation. Le tout sur environ 50 ha (dont 5 ha de prés clôturés et le reste en parcours herbeux et landes). Un stage reprise ou un tutorat est possible sur la première année (2017-2018).
Si vous êtes intéressés merci de contacter Frédérique au 06 21 69 71 69
php
Qu'est-ce que la "gangrène" éolienne? Témoignage au quotidien
http://fr.friends-against-wind.org
Rose-Line
04/08/2017
Commentaire : La gangrène éolienne dans toute sa splendeur injectée par l'homme dans les autres hommes. L’homme est assurément le seul destructeur de Mme Nature. Criminel!
« La situation est absurde, elle est surtout scandaleuse, car une technologie qu’on nous dit “verte” et “inoffensive”, contraint les citoyens à abandonner leur bien, leur tranquillité et leur qualité de vie ! »
Éoliennes de 200 m de haut à Estinnes en Wallonie (photo : Vent de Raison)
Nous habitions depuis 2006 un petit village perché calme, dans une belle nature arborée où il faisait bon vivre.
Les oiseaux communs étaient nombreux, les migrateurs passaient, s’y arrêtaient pour nicher, reprendre des forces avant de reprendre leur vol pour des contrées proches ou lointaines.
Mais hélas, un promoteur agissant pour le compte d’une multinationale, fit du démarchage auprès des cultivateurs et propriétaires terriens, en leur faisant miroiter un gros bénéfice s’ils louaient des parcelles de terrain pour y installer un zoning industriel éolien de 4 machines (5 000 € la parcelle) ; ceci à l’insu de la population rurale très ignorante des nuisances et des répercussions à venir sur leur santé, leur environnement et sa biodiversité. Une réunion d’information publique fut organisée pour amadouer les futurs riverains, où tous les côtés négatifs de ces engins furent absolument passés sous silence.
Rose-Line
04/08/2017
Commentaire : La gangrène éolienne dans toute sa splendeur injectée par l'homme dans les autres hommes. L’homme est assurément le seul destructeur de Mme Nature. Criminel!
php
« La situation est absurde, elle est surtout scandaleuse, car une technologie qu’on nous dit “verte” et “inoffensive”, contraint les citoyens à abandonner leur bien, leur tranquillité et leur qualité de vie ! »
Éoliennes de 200 m de haut à Estinnes en Wallonie (photo : Vent de Raison)
Nous habitions depuis 2006 un petit village perché calme, dans une belle nature arborée où il faisait bon vivre.
Les oiseaux communs étaient nombreux, les migrateurs passaient, s’y arrêtaient pour nicher, reprendre des forces avant de reprendre leur vol pour des contrées proches ou lointaines.
Mais hélas, un promoteur agissant pour le compte d’une multinationale, fit du démarchage auprès des cultivateurs et propriétaires terriens, en leur faisant miroiter un gros bénéfice s’ils louaient des parcelles de terrain pour y installer un zoning industriel éolien de 4 machines (5 000 € la parcelle) ; ceci à l’insu de la population rurale très ignorante des nuisances et des répercussions à venir sur leur santé, leur environnement et sa biodiversité. Une réunion d’information publique fut organisée pour amadouer les futurs riverains, où tous les côtés négatifs de ces engins furent absolument passés sous silence.
La Haute Marne fait ENCORE son cinéma
jhm.fr
20/08/2017
Encore une fois ceux qui parlent le mieux des paysages de "belle dame" en des termes élogieux et admiratifs, ce sont... les autres. Mais demain que restera-t-il de toute cette beauté quand nos élus (es) locaux avec la complicité de l’État et d'une population qui... fait l'autruche, au nom du "Veau d'Or" éolien, lui apportent au quotidien la gangrène industrielle?
SAUVONS L'HUMAIN, LA HAUTE MARNE, LA VIE, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
20/08/2017
Encore une fois ceux qui parlent le mieux des paysages de "belle dame" en des termes élogieux et admiratifs, ce sont... les autres. Mais demain que restera-t-il de toute cette beauté quand nos élus (es) locaux avec la complicité de l’État et d'une population qui... fait l'autruche, au nom du "Veau d'Or" éolien, lui apportent au quotidien la gangrène industrielle?
SAUVONS L'HUMAIN, LA HAUTE MARNE, LA VIE, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
php
Déchets nucléaires : « R7T7 » pour les « siècles des siècles »
https://www.contrepoints.org
Par Michel Gay
20/08/2017
Commentaire : Un peu de culture technique ne peut nuire par les temps qui courent...
Marcoule by kmaschke(CC BY-SA 2.0)
Le cylindre d’acier et de verre « R7T7 » mérite d’être connu car il permet de confiner les déchets nucléaires les plus radioactifs.
Plus fin et élancé 1 que le robot « R2D2 » du film « La guerre des étoiles », le cylindre d’acier et de verre « R7T7 » est beaucoup moins célèbre 2. Il mérite pourtant d’être connu car il permet de confiner les déchets nucléaires les plus radioactifs dans les profondeurs de la terre (à 500 mètres) pour « les siècles des siècles ».
Par Michel Gay
20/08/2017
Commentaire : Un peu de culture technique ne peut nuire par les temps qui courent...
php
Marcoule by kmaschke(CC BY-SA 2.0)
Le cylindre d’acier et de verre « R7T7 » mérite d’être connu car il permet de confiner les déchets nucléaires les plus radioactifs.
Plus fin et élancé 1 que le robot « R2D2 » du film « La guerre des étoiles », le cylindre d’acier et de verre « R7T7 » est beaucoup moins célèbre 2. Il mérite pourtant d’être connu car il permet de confiner les déchets nucléaires les plus radioactifs dans les profondeurs de la terre (à 500 mètres) pour « les siècles des siècles ».
Tchernobyl : France 86 : création et propagation du Mythe
Source : JP.Brette
« On est dans l'Ouest, ici. Quand la légende dépasse la réalité, alors on publie la légende"
L'Homme qui tua Liberty Valance (titre original : The Man Who Shot Liberty Valance) est un film américain réalisé par John Ford, sorti en 1962, adapté de la nouvelle de Dorothy M. Johnson (en).
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_qui_tua_Liberty_Valance
« On est dans l'Ouest, ici. Quand la légende dépasse la réalité, alors on publie la légende"
L'Homme qui tua Liberty Valance (titre original : The Man Who Shot Liberty Valance) est un film américain réalisé par John Ford, sorti en 1962, adapté de la nouvelle de Dorothy M. Johnson (en).
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_qui_tua_Liberty_Valance
php
Réduire drastiquement le parc nucléaire français serait une folie
Rémy Prud’homme
professeur émérite des universités
18 août 2017
La réduction à 50 % de la part du nucléaire implique de porter à 32 % la part des renouvelables intermittents. Une telle évolution entraînera un quintuple désastre, à la fois économique, social, électrique, environnemental et industriel.
Les rejets de CO2 de l’électricité française sont d’ores et déjà les plus faibles d’Europe. HAMILTON/REA
Fermer 17 centrales nucléaires d’ici à 2025, comme l’annonce le gouvernement, entraînerait un désastre industriel et renchérirait considérablement le coût de l’électricité pour un résultat environnemental plus que discutable. Il faut renoncer à cette idée.
M. Nicolas Hulot, ministre d’État d’un gouvernement qui affiche son ambition nucléaire, s’engage en même temps à fermer 17 centrales nucléaires d’ici à 2025, soit l’équivalent de huit ou neuf Fessenheim. Actuellement, notre électricité provient à 77 % du nucléaire, à 5 % de l’éolien et du solaire, à 18 % d’autres sources, principalement l’hydraulique et le gaz.
professeur émérite des universités
18 août 2017
La réduction à 50 % de la part du nucléaire implique de porter à 32 % la part des renouvelables intermittents. Une telle évolution entraînera un quintuple désastre, à la fois économique, social, électrique, environnemental et industriel.
Les rejets de CO2 de l’électricité française sont d’ores et déjà les plus faibles d’Europe. HAMILTON/REA
Fermer 17 centrales nucléaires d’ici à 2025, comme l’annonce le gouvernement, entraînerait un désastre industriel et renchérirait considérablement le coût de l’électricité pour un résultat environnemental plus que discutable. Il faut renoncer à cette idée.
M. Nicolas Hulot, ministre d’État d’un gouvernement qui affiche son ambition nucléaire, s’engage en même temps à fermer 17 centrales nucléaires d’ici à 2025, soit l’équivalent de huit ou neuf Fessenheim. Actuellement, notre électricité provient à 77 % du nucléaire, à 5 % de l’éolien et du solaire, à 18 % d’autres sources, principalement l’hydraulique et le gaz.
Côte d'Or : Aignay-le-Duc dans le vent des girouettes !
http://www.echodescommunes.fr
16/08/2017
Contact :
Association des Amis du Canton
d'Aignay-le-Duc
Mairie
21510 Aignay-le-Duc
Téléphone 03 80 93 82 14
http://www.christaldesaintmarc.com/une-superbe-exposition-de-girouettes-a-eu-lieu-a-aignay-le-duc-a131012574
Aignay-le-Duc, si vous ne connaissez pas c’est bien dommage ! Après avoir négocié à 30 à l’heure les épingles à cheveux qui descendent du plateau, on arrive dans un village à l’architecture rurale typiquement châtillonnaise. Un village, une église au clocher tors du 13ème, un retable renaissance réputé, une nécropole mérovingienne ou encore la Coquille qui s’alanguit en passant sous le pont non loin de sa source. Un beau patrimoine sur lequel veillent les Amis d’Aignay-le-Duc et des alentours. Et forcément, comme dans tous les villages, il y a des girouettes pour orner toits et faitières des maisons de pierres.
Géniale la transition ! Ladite association a eu une idée amusante et vraiment dans le vent, exposer ces Girouettes Messagères des Toits, comme un clin d’œil au vent qui tourne souvent ici. Les girouettes ce sont autant d’histoires racontées par le propriétaire d’une collection unique, Marcel Suhard. Une sélection de 70 girouettes de toits patrimoniales
16/08/2017
Contact :
Association des Amis du Canton
d'Aignay-le-Duc
Mairie
21510 Aignay-le-Duc
Téléphone 03 80 93 82 14
http://www.christaldesaintmarc.com/une-superbe-exposition-de-girouettes-a-eu-lieu-a-aignay-le-duc-a131012574
Aignay-le-Duc, si vous ne connaissez pas c’est bien dommage ! Après avoir négocié à 30 à l’heure les épingles à cheveux qui descendent du plateau, on arrive dans un village à l’architecture rurale typiquement châtillonnaise. Un village, une église au clocher tors du 13ème, un retable renaissance réputé, une nécropole mérovingienne ou encore la Coquille qui s’alanguit en passant sous le pont non loin de sa source. Un beau patrimoine sur lequel veillent les Amis d’Aignay-le-Duc et des alentours. Et forcément, comme dans tous les villages, il y a des girouettes pour orner toits et faitières des maisons de pierres.
Géniale la transition ! Ladite association a eu une idée amusante et vraiment dans le vent, exposer ces Girouettes Messagères des Toits, comme un clin d’œil au vent qui tourne souvent ici. Les girouettes ce sont autant d’histoires racontées par le propriétaire d’une collection unique, Marcel Suhard. Une sélection de 70 girouettes de toits patrimoniales
Haute Marne : du côté de Louise Michel
jhm.fr
18/08/2017
A Vroncourt, l'association Louise Michel faire revivre tous les ans et ce depuis trois décennies, le combat de cette femme "institutrice, militante révolutionnaire et libertaire française" (1). La meilleure chose à faire pour "capter" son engagement et par là même remercier et féliciter tous les bénévoles pour leur travail colossal, c' est encore de... visiter leur exposition.
18/08/2017
A Vroncourt, l'association Louise Michel faire revivre tous les ans et ce depuis trois décennies, le combat de cette femme "institutrice, militante révolutionnaire et libertaire française" (1). La meilleure chose à faire pour "capter" son engagement et par là même remercier et féliciter tous les bénévoles pour leur travail colossal, c' est encore de... visiter leur exposition.
Observer les chauve-souris
Stéphane Perraud
29 juin 2017
Commentaire : (...) Ne cherchez surtout pas à détruire ou déplacer la colonie, la chauve-souris est protégée en France depuis 1976... Sauf de l'aérogénérateur et de tous ses "complices". Chronique d'une mort annoncée? Criminel. Question : quelle est la position officielle de la SFEPM (Société française pour l'étude et la protection des mammifères) sur la "gangrène" éolienne?
SAUVONS L'HUMAIN et LA CHAUVE-SOURIS, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
Animal exclusivement nocturne, la chauve-souris est particulièrement active en été. A la tombée de la nuit, quand elle part en chasse, on peut observer son vol saccadé en zigzag si caractéristique.
Seul mammifère au monde à savoir voler, grâce à la fine membrane de peau, souple et élastique, qui relie ses longs doigts, elle gobe en vol quantité de petits insectes. Pour "voir" dans l'obscurité, elle émet des ultrasons qui sont réfléchis par les obstacles. Elle évalue ainsi les distances et se construit une image de son environnement en trois dimensions.
Sa petite tête de vampire l'a longtemps desservi. Au Moyen-Age, on la disait envoyée par le diable ! Mais rassurez-vous, elle ne suce pas le sang et ne s'emmêle pas non plus dans les cheveux des femmes… "Cet animal très sociable est totalement inoffensif", insiste Camille Le Gouil, chargée de mission à la SFEPM (Société française pour l'étude et la protection des mammifères).
29 juin 2017
Commentaire : (...) Ne cherchez surtout pas à détruire ou déplacer la colonie, la chauve-souris est protégée en France depuis 1976... Sauf de l'aérogénérateur et de tous ses "complices". Chronique d'une mort annoncée? Criminel. Question : quelle est la position officielle de la SFEPM (Société française pour l'étude et la protection des mammifères) sur la "gangrène" éolienne?
SAUVONS L'HUMAIN et LA CHAUVE-SOURIS, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
php
Animal exclusivement nocturne, la chauve-souris est particulièrement active en été. A la tombée de la nuit, quand elle part en chasse, on peut observer son vol saccadé en zigzag si caractéristique.
Seul mammifère au monde à savoir voler, grâce à la fine membrane de peau, souple et élastique, qui relie ses longs doigts, elle gobe en vol quantité de petits insectes. Pour "voir" dans l'obscurité, elle émet des ultrasons qui sont réfléchis par les obstacles. Elle évalue ainsi les distances et se construit une image de son environnement en trois dimensions.
Sa petite tête de vampire l'a longtemps desservi. Au Moyen-Age, on la disait envoyée par le diable ! Mais rassurez-vous, elle ne suce pas le sang et ne s'emmêle pas non plus dans les cheveux des femmes… "Cet animal très sociable est totalement inoffensif", insiste Camille Le Gouil, chargée de mission à la SFEPM (Société française pour l'étude et la protection des mammifères).
Les énergies renouvelables dans l'UE
http://www.touteleurope.eu
31.07.2017
Commentaire : 400 milliards d'investissements cumulés pour ce piètre résultat...Tout ça pour ça?
D'ici à 2020, l'Union européenne s'est fixée comme objectif d'atteindre 20 % d'énergies renouvelables dans sa consommation totale d'énergie. Cet objectif, à caractère contraignant pour les Etats membres depuis 2009, a été établi dans le cadre du Paquet sur le climat et l’énergie à l’horizon 2020 (voir encadré) signé en 2007. En 2015, cette part s'élevait ainsi à environ 16,7% pour la consommation finale brute d’énergie de l’Union européenne dans sa globalité. Toutefois, il existe de fortes disparités entre les pays.
Chaque pays de l'Union s'est fixé un objectif contraignant à atteindre, selon sa situation initiale. La France devra ainsi compter 23% de ces énergies dans sa consommation totale d'ici 2020, part qui atteint 15,2% en 2015. L’objectif le plus élevé est celui de la Suède, fixé à 49%, et le plus faible est celui de Malte, fixé à 10%.
31.07.2017
Commentaire : 400 milliards d'investissements cumulés pour ce piètre résultat...Tout ça pour ça?
php
D'ici à 2020, l'Union européenne s'est fixée comme objectif d'atteindre 20 % d'énergies renouvelables dans sa consommation totale d'énergie. Cet objectif, à caractère contraignant pour les Etats membres depuis 2009, a été établi dans le cadre du Paquet sur le climat et l’énergie à l’horizon 2020 (voir encadré) signé en 2007. En 2015, cette part s'élevait ainsi à environ 16,7% pour la consommation finale brute d’énergie de l’Union européenne dans sa globalité. Toutefois, il existe de fortes disparités entre les pays.
Chaque pays de l'Union s'est fixé un objectif contraignant à atteindre, selon sa situation initiale. La France devra ainsi compter 23% de ces énergies dans sa consommation totale d'ici 2020, part qui atteint 15,2% en 2015. L’objectif le plus élevé est celui de la Suède, fixé à 49%, et le plus faible est celui de Malte, fixé à 10%.
LE nucléaire n’existe pas…
http://fr.friends-against-wind.org
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
17/08/2017
Claude Brasseur
Le nucléaire est-il dangereux ? Qu’allons-nous faire des déchets nucléaires ? Claude Brasseur suit les progrès du nucléaire depuis plus de 30 ans et il a enseigné la physique nucléaire. Dans cet article du quotidien Le Peuple, il répond à Greenpeace.
Greenpeace a résumé ses connaissances dans le texte L’énergie nucléaire ? Non merci ! (1). Ce texte m’a inspiré quelques observations à partager. Avec Greenpeace, tout le nucléaire devient « LE nucléaire », Greenpeace ignore superbement les progrès dans ce domaine, toutes les variétés de centrales… la différence entre nucléaire civil et nucléaire militaire. Pour beaucoup de personnes, le nucléaire, c’est Tchernobyl (2) et Greenpeace ne détrompe pas les citoyens.
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
17/08/2017
Claude Brasseur
Centrales nucléaires de Tihange : indispensables au-delà de 2025, évidemment, mais on continue à mentir aux Belges. |
Le nucléaire est-il dangereux ? Qu’allons-nous faire des déchets nucléaires ? Claude Brasseur suit les progrès du nucléaire depuis plus de 30 ans et il a enseigné la physique nucléaire. Dans cet article du quotidien Le Peuple, il répond à Greenpeace.
Greenpeace a résumé ses connaissances dans le texte L’énergie nucléaire ? Non merci ! (1). Ce texte m’a inspiré quelques observations à partager. Avec Greenpeace, tout le nucléaire devient « LE nucléaire », Greenpeace ignore superbement les progrès dans ce domaine, toutes les variétés de centrales… la différence entre nucléaire civil et nucléaire militaire. Pour beaucoup de personnes, le nucléaire, c’est Tchernobyl (2) et Greenpeace ne détrompe pas les citoyens.
Aude, Bouriège : le pont du Rec, jour 72 : la lutte continue...
Le chantier étant en veille depuis plusieurs jours, nous étions nous mêmes dans une veille discrète d'autant que les panneaux d'interdiction de stationner étaient à terre depuis plusieurs jours. Comme notre demande de référé liberté a été refusée pour cause de « non urgence » nous avons du revoir notre stratégie. Nous sommes sans doute dans notre bon droit, mais avant qu'un tribunal le reconnaisse… Nous sommes dans l'obligation de nous soumettre à l’arrêté d’alignement ...La société Valeco comptant bien profiter de son avantage acquis : les délais permettant, dans l’intervalle, le passage des convois.
Haute Marne, Langres : la "belle dame" expose ses plus beaux atouts
jhm.fr
17/08/2017
Superbe exposition sur les beautés de la Haute Marne, sans équivalence en France et ailleurs. Mais cette "belle dame" est en très grand danger de mort ainsi que sa population. La faute à une industrialisation à pale marche forcée orchestrée par le lobby éolien, l’État et une multitude d'élus (es) locaux. Pour une poignée d'euros, comme des affairistes, ils ou elles vendraient....
17/08/2017
Superbe exposition sur les beautés de la Haute Marne, sans équivalence en France et ailleurs. Mais cette "belle dame" est en très grand danger de mort ainsi que sa population. La faute à une industrialisation à
@jhm.fr |
Réponse à Energie-Developpement qui déclare : « EDF : nous vendons de l’électricité mais à la fin c’est nous qui payons… »
Texte révisé en v2 le 15/08/2017.
[Analyse] Fin 2016, pour la première fois depuis 5 ans, la France a acheté de l’électricité à l’étranger.
Lien : http://energie-developpement.blogspot.fr/2017/02/import-export-electricite-nucleaire.html
Entendons-nous bien : importer de l’électricité n’a rien d’exceptionnel, notre pays le fait quotidiennement mais d’habitude nous vendons plus à nos voisins que nous n’achetons.
En novembre 2016, cependant, le montant des importations a été supérieur au montant des exportations : la France a acheté pour 206 millions d’euros d’électricité et n’en a vendu que pour 179 millions, soit un déficit de 27 millions d’euros.
En décembre rebelote avec un déficit de 21 millions d’euros.
L’explication est extrêmement simple. Nous avons eu jusqu’à 20 tranches nucléaires arrêtées en novembre et décembre pour exécuter, à la demande de l’ ASN, des contrôles sur la teneur en carbone sur la superficie extérieure et les parties sensibles des boîtes à eau des générateurs de vapeur. C’était une situation tout à fait imprévisible.
Je rappelle que ces 20 tranches représentent une puissance de 20 000 MW. Si cette indisponibilité n’avait pas eu lieu, nous aurions été comme d’habitude exportateur net vers l’Allemagne en hiver.
Il est commode de prendre un point sur l’année pour prouver ce que l’on veut prouver. Mais ce n’est pas suffisant. D’ailleurs si l’on examine l’ensemble de l’année pour l’ensemble des exportations, on voit très bien la baisse des exportations en octobre-novembre et décembre.
Si l’on prend les échanges physiques sur l’année 2016 données par RTE, la France a exporté vers l’Allemagne 5,506 TWh tandis que l’Allemagne a exporté vers la France 1,999 TWh ce qui donne un solde exportateur sur l’année de la France vers l’Allemagne de 3,5 TWh.
On voit bien que le zoom sur 2 mois nuit à la vision globale.
Réponse à la tribune du Monde : « Déchets radioactifs : « Cigeo ou la chronique d'un échec annoncéI »
par nikopol92
le 15/08/2017
Commentaire : La longue histoire de Bure. Il était une fois en 1999....
php
Nos commentaires figurent en rouge ci dessous
2017-Déchets radioactifs : « Cigeo ou la chronique d'un échec annoncé » http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/08/07/dechets-radioactifs-cigeo-ou-la-chronique-d-un-echec-annonce_5169692_3244.html
Dans une tribune au « Monde », trois scientifiques plaident pour l’abandon du projet d’enfouissement et pour la poursuite des recherches sur la gestion des déchets nucléaires.
LE MONDE | 07.08.2017 à 15h34 • Mis à jour le 07.08.2017 à 16h05
Par Benjamin Dessus, ingénieur, économiste ;
-Bernard Laponche, polytechnicien, docteur ès sciences ;
-Bertrand Thuillier, ingénieur, docteur ès sciences.
En tant que scientifiques, il nous semble utile de revenir sur le Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) de déchets radioactifs en projet à Bure (Meuse) et sur les très nombreuses questions présentes dans le rapport de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) remis à la fin de juin, comme dans le projet d’avis de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) publié au début d’août, à propos des options de sûreté de cette installation
(https://www.asn.fr/Professionnels/Installationsnucleaires/Dechets-radioactifs-et-demantelement/Projet-de-centre-de-stockage-Cigeo/Qu-est-ce-que-Cigeo).
Ces questions ne concernent pas uniquement les risques majeurs lors de l’exploitation (incendie, explosion), mais soulèvent également des interrogations sur la capacité effective du site : 104 000 m3 de déchets dits « en réserve » et 68 500 m3 de combustibles usés non pris en compte, déchets non acceptables en l’état (colis bitumineux et déchets « incertains », soit 38 %, en nombre, des déchets de moyenne activité).
Elles font aussi apparaître des doutes sur certains aspects de la conception de l’installation (capacité à surveiller, à maintenir, à récupérer, à sceller, etc.). Rappelons que la demande d’autorisation de création, initialement prévue pour 2015, avait déjà été repoussée à 2018, avant de l’être à 2019.
Commentaire : La longue histoire de Bure. Il était une fois en 1999....
2017-Déchets radioactifs : « Cigeo ou la chronique d'un échec annoncé »
Dans une tribune au « Monde », trois scientifiques plaident pour l’abandon du projet d’enfouissement et pour la poursuite des recherches sur la gestion des déchets nucléaires.
LE MONDE | 07.08.2017 à 15h34 • Mis à jour le 07.08.2017 à 16h05
Par Benjamin Dessus, ingénieur, économiste ;
-Bernard Laponche, polytechnicien, docteur ès sciences ;
-Bertrand Thuillier, ingénieur, docteur ès sciences.
En tant que scientifiques, il nous semble utile de revenir sur le Centre industriel de stockage géologique (Cigéo) de déchets radioactifs en projet à Bure (Meuse) et sur les très nombreuses questions présentes dans le rapport de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) remis à la fin de juin, comme dans le projet d’avis de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) publié au début d’août, à propos des options de sûreté de cette installation
(https://www.asn.fr/Professionnels/Installationsnucleaires/Dechets-radioactifs-et-demantelement/Projet-de-centre-de-stockage-Cigeo/Qu-est-ce-que-Cigeo).
Ces questions ne concernent pas uniquement les risques majeurs lors de l’exploitation (incendie, explosion), mais soulèvent également des interrogations sur la capacité effective du site : 104 000 m3 de déchets dits « en réserve » et 68 500 m3 de combustibles usés non pris en compte, déchets non acceptables en l’état (colis bitumineux et déchets « incertains », soit 38 %, en nombre, des déchets de moyenne activité).
Elles font aussi apparaître des doutes sur certains aspects de la conception de l’installation (capacité à surveiller, à maintenir, à récupérer, à sceller, etc.). Rappelons que la demande d’autorisation de création, initialement prévue pour 2015, avait déjà été repoussée à 2018, avant de l’être à 2019.
Protéger son épargne Placements atypiques
http://www.amf-france.org/
Publié le 24 juillet 2017
Commentaire : C'est pas faute de vous l'avoir dit, gogos de l'éolien. Mais peut-être que là, vous allez mieux écouter ce que vous disent les professionnels de la profession...
Placements atypiques : des investissements à considérer avec prudence
Diamants, vins, terres rares…Les placements dits « atypiques » séduisent de plus en plus les épargnants en recherche de rendements plus intéressants que ceux des placements traditionnels. Mais il s’agit de placements à haut risque, avec des rendements annoncés parfois irréalistes. Explications.
Ce qu'il faut savoir
Investir dans les placements atypiques peut répondre au besoin de diversifier votre patrimoine ou au souhait d'investir dans un secteur "coup de cœur". Si placer votre argent dans des biens concrets (panneaux solaires, vins, forêts…) peut paraître rassurant, et si certaines de ces propositions sont en effet honnêtes, vous devez considérer ces investissements avec prudence. De mauvaises pratiques ont été constatées : présentation biaisée affichant un rendement élevé mais minorant les risques de pertes, mise en avant de garanties en capital inexistantes, etc. Parfois, il s’agit d’escroqueries pures et simples.
Publié le 24 juillet 2017
Commentaire : C'est pas faute de vous l'avoir dit, gogos de l'éolien. Mais peut-être que là, vous allez mieux écouter ce que vous disent les professionnels de la profession...
php
Placements atypiques : des investissements à considérer avec prudence
Diamants, vins, terres rares…Les placements dits « atypiques » séduisent de plus en plus les épargnants en recherche de rendements plus intéressants que ceux des placements traditionnels. Mais il s’agit de placements à haut risque, avec des rendements annoncés parfois irréalistes. Explications.
Ce qu'il faut savoir
Investir dans les placements atypiques peut répondre au besoin de diversifier votre patrimoine ou au souhait d'investir dans un secteur "coup de cœur". Si placer votre argent dans des biens concrets (panneaux solaires, vins, forêts…) peut paraître rassurant, et si certaines de ces propositions sont en effet honnêtes, vous devez considérer ces investissements avec prudence. De mauvaises pratiques ont été constatées : présentation biaisée affichant un rendement élevé mais minorant les risques de pertes, mise en avant de garanties en capital inexistantes, etc. Parfois, il s’agit d’escroqueries pures et simples.
Le transport : les REP mieux que l’éolien
PH
15 avril 2010,
Commentaire : toujours d'actualité. Voir le message de fin....
Un des arguments évoqué par Sortir du Nucléaire contre les centrales est qu’elles nécessiteraient des transports sécurisés, dont le coût reposerait sur le budget de l’état.
Le parc de centrales grâce à 8000 tonnes d’uranium naturel permet d’éviter 150 millions de tonnes de charbon et 7 Mtep de gaz naturel. On remarque tout de suite que l’énergie nucléaire réclame un déplacement de 20 000 fois moins de matière.
15 avril 2010,
Commentaire : toujours d'actualité. Voir le message de fin....
php
Un des arguments évoqué par Sortir du Nucléaire contre les centrales est qu’elles nécessiteraient des transports sécurisés, dont le coût reposerait sur le budget de l’état.
Le parc de centrales grâce à 8000 tonnes d’uranium naturel permet d’éviter 150 millions de tonnes de charbon et 7 Mtep de gaz naturel. On remarque tout de suite que l’énergie nucléaire réclame un déplacement de 20 000 fois moins de matière.
Effet McDo », les forêts aussi
http://theconversation.comBastien Castagneyrol
Les forêts couvrent environ quatre milliards d’hectares sur la surface du globe. Elles jouent un rôle fondamental dans notre vie quotidienne : en fournissant du bois pour nous chauffer et construire nos maisons, en abritant une grande diversité de champignons, baies et gibiers qui garnissent nos assiettes ou, encore, en hébergeant des espèces de prédateurs qui régulent les populations de ravageurs, dans les forêts mêmes ou les champs voisins.
Elles participent également à la captation et au stockage du carbone atmosphérique, équilibrent le cycle de l’eau et stabilisent les sols.
Les forêts fournissent ainsi un nombre considérable de « services écosystémiques ».
Chercheur en écologie, INRA
18/10/2016Les forêts couvrent environ quatre milliards d’hectares sur la surface du globe. Elles jouent un rôle fondamental dans notre vie quotidienne : en fournissant du bois pour nous chauffer et construire nos maisons, en abritant une grande diversité de champignons, baies et gibiers qui garnissent nos assiettes ou, encore, en hébergeant des espèces de prédateurs qui régulent les populations de ravageurs, dans les forêts mêmes ou les champs voisins.
Elles participent également à la captation et au stockage du carbone atmosphérique, équilibrent le cycle de l’eau et stabilisent les sols.
Les forêts fournissent ainsi un nombre considérable de « services écosystémiques ».
Greenpeace et la technique du name and shame
http://www.economiematin.fr
par Gil Rivière-Wekstein
16/08/2017
Commentaire : Greenpeace, ce sont des "multi", pas des gagne-petits.
Panique dans l'assiette, ils se nourrissent de nos peurs de Gil Rivière-Wekstein publié aux éditions le Publieur en 2017, révèle à ses lecteurs les pratiques fallacieuses qui gangrènent l'industrie agroalimentaire. En voici un extrait :
« En 1998, Greenpeace publie sur Internet une liste noire des produits susceptibles de contenir des OGM”. Il met en cause des groupes comme Nestlé ou United Biscuits après s’être contenté de relever l’utilisation de soja et de maïs, sans réaliser le moindre test pour vérifier la présence d’OGM dans les aliments incriminés ! L’objectif n’en fut pas moins atteint : la plupart des industriels épinglés ont préféré modifier leurs recettes afin d’en exclure tout ingrédient soupçonnable d’être génétiquement modifié. » En faisant plier ces géants de l’industrie agro-alimentaire, Thilo Bode a su redonner la visibilité nécessaire à la multinationale verte et, par la même occasion, la sortir de ses difficultés financières...
par Gil Rivière-Wekstein
16/08/2017
Commentaire : Greenpeace, ce sont des "multi", pas des gagne-petits.
php
Panique dans l'assiette, ils se nourrissent de nos peurs de Gil Rivière-Wekstein publié aux éditions le Publieur en 2017, révèle à ses lecteurs les pratiques fallacieuses qui gangrènent l'industrie agroalimentaire. En voici un extrait :
« En 1998, Greenpeace publie sur Internet une liste noire des produits susceptibles de contenir des OGM”. Il met en cause des groupes comme Nestlé ou United Biscuits après s’être contenté de relever l’utilisation de soja et de maïs, sans réaliser le moindre test pour vérifier la présence d’OGM dans les aliments incriminés ! L’objectif n’en fut pas moins atteint : la plupart des industriels épinglés ont préféré modifier leurs recettes afin d’en exclure tout ingrédient soupçonnable d’être génétiquement modifié. » En faisant plier ces géants de l’industrie agro-alimentaire, Thilo Bode a su redonner la visibilité nécessaire à la multinationale verte et, par la même occasion, la sortir de ses difficultés financières...
Les risques de l'intermittence
Jean Pierre Riou
09/08/2017
En forme d'épilogue au précédent article http://lemontchampot.blogspot.fr/2017/08/ferme-ta-centrale.html
Jouer avec le feu
L'exception française
Le parc nucléaire français est le seul au monde à faire varier sa production en suivant au plus près les besoins de la consommation, aussi bien sur le plan saisonnier que journalier grâce à 38 de ses 58 réacteurs chargés de varier leur puissance jusqu'à 80% en plus ou en moins en moins de 30 minutes.
(Source SFEN)
09/08/2017
En forme d'épilogue au précédent article http://lemontchampot.blogspot.fr/2017/08/ferme-ta-centrale.html
Jouer avec le feu
L'exception française
Le parc nucléaire français est le seul au monde à faire varier sa production en suivant au plus près les besoins de la consommation, aussi bien sur le plan saisonnier que journalier grâce à 38 de ses 58 réacteurs chargés de varier leur puissance jusqu'à 80% en plus ou en moins en moins de 30 minutes.
(Source SFEN)
Nord, Anneux : 500 000 euros contre le passage des câbles éoliens dans le village
Pierre-Louis Curabet Pawlak
08/08/2017
Commentaire : France 2017 : quand l'éolien et son grisbi transforment les élus de ce petit village (280 habitants) en "maîtres-chanteurs", dignes des héros de roman noir de Dashiell Hammett, de Raymond Chandler ou de Chester Himes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_noir
Criminel
Les discussions entre les élus d’ Anneux et Enedis continuent concernant le passage dans le village des câbles du projet éolien de Graincourt. Les élus souhaitent que la société d’exploitation Nordex mette la main à la poche.
Depuis que le conseil municipal a refusé à l’unanimité le passage dans le village des câbles de raccordement des futures éoliennes de Graincourt-lès-Havrincourt, Enedis tente de dessiner un tracé qui conviendrait aux élus anneusiens. Mais les discussions piétinent.
08/08/2017
Commentaire : France 2017 : quand l'éolien et son grisbi transforment les élus de ce petit village (280 habitants) en "maîtres-chanteurs", dignes des héros de roman noir de Dashiell Hammett, de Raymond Chandler ou de Chester Himes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_noir
Criminel
php
Les discussions entre les élus d’ Anneux et Enedis continuent concernant le passage dans le village des câbles du projet éolien de Graincourt. Les élus souhaitent que la société d’exploitation Nordex mette la main à la poche.
Depuis que le conseil municipal a refusé à l’unanimité le passage dans le village des câbles de raccordement des futures éoliennes de Graincourt-lès-Havrincourt, Enedis tente de dessiner un tracé qui conviendrait aux élus anneusiens. Mais les discussions piétinent.
Bourgogne-Franche-Comté : le massacre éolien en cours....
Encore des populations, un patrimoine et un territoire inutilement sacrifiés sur l'autel de la Finance mondiale avec la complicité d'une partie de la classe politique locale.
Qu'ils "allaient au pays de claquement" (qu'ils aillent en Enfer! Bourgogne)
Résistance. En avant toute
Voir
Qu'ils "allaient au pays de claquement" (qu'ils aillent en Enfer! Bourgogne)
Résistance. En avant toute
php
Voir
La Réunion, Sainte Suzanne : 10 000 euros d'amende faute de garantie financière
Delarue
08/08/2017
Faute d'avoir constitué - malgré plusieurs mises en demeure de la préfecture - une garantie financière pour son parc éolien de Sainte-Suzanne, la société Eole La Perrière a été condamnée au paiement d'une amende de 10 000 euros. Une amende dont le montant est exigible immédiatement.
Mais pourquoi une telle sanction ? En matière de code de l'environnement, il faut savoir que toute entreprise classée ICPE (Installation classée pour la protection de l'environnement), ce qui est le cas pour des installations de production d'électricité utilisant de l'énergie mécanique du vent, à obligation de gager par des garanties financières les coûts limités à la seule mise en sécurité des infrastructures en cas de cessation d'activité.
08/08/2017
Faute d'avoir constitué - malgré plusieurs mises en demeure de la préfecture - une garantie financière pour son parc éolien de Sainte-Suzanne, la société Eole La Perrière a été condamnée au paiement d'une amende de 10 000 euros. Une amende dont le montant est exigible immédiatement.
Mais pourquoi une telle sanction ? En matière de code de l'environnement, il faut savoir que toute entreprise classée ICPE (Installation classée pour la protection de l'environnement), ce qui est le cas pour des installations de production d'électricité utilisant de l'énergie mécanique du vent, à obligation de gager par des garanties financières les coûts limités à la seule mise en sécurité des infrastructures en cas de cessation d'activité.
Fiscalité locale des énergies renouvelables, un levier incertain de développement local (France)
https://cybergeo.revues.org
2016
Commentaire : (...) A l’exception du bois, les productions nouvelles d’énergies renouvelables (solaire, éolien, petite hydroélectricité) ne sont pas suffisantes pour susciter directement un développement économique local, même si les politiques de développement des EnR ont évolué ces dix dernières années de politiques sectorielles vers des politiques plus intégrées suscitant un élargissement des possibles en matière de stratégies énergétiques territorialisées au travers des Schémas Régionaux Climat Air Énergie (SRCAE) et des Plans Climat Énergie Territoriaux (PCET). Si les productions énergétiques renouvelables sont nécessairement localisées, elles ne constituent pas pour autant une ressource directement favorable à un développement local des territoires. Elles ne s’inscrivent pas dans des cercles vertueux de dynamiques de développement, ne participent pas à l’émergence de districts industriels et génèrent très peu d’emplois. Les ressources énergétiques renouvelables sont en effet captées par des acteurs exogènes aux lieux d’exploitation et positionnés sur le marché international de l’énergie comme par exemple le Groupe ENGIE (ex-GDF/SUEZ). [...] -Comme pour toute activité présente sur un territoire, les propriétaires des terrains supportant des installations dédiées à la production d’énergie sont soumis au paiement de la taxe locale pesant sur les propriétés foncières bâties.[...]
-Les installations de production d’énergie renouvelable comme les parcs éoliens et les centrales solaires au sol sont très faiblement affectées par ces deux impôts (CFE et CVAE) pour deux raisons : l’absence d’ouvrages d’art les met à l’abri des impôts fonciers et le calcul de la CVAE basé sur le montant du chiffre d’affaires leur est favorable. Les installations solaires et éoliennes sont en effet souvent exploitées par des sociétés dédiées uniques (société à actions simplifiées (SAS) ou société à responsabilité limitée (SARL)). La gestion d’une installation de production d’énergie renouvelable par une société unique permet de réduire le chiffre d’affaires et de diminuer le montant de la CVAE. Les grands groupes procèdent aussi à une optimisation fiscale par la création de filiales et de sociétés à actions simplifiées, évitant ainsi les effets de la progressivité de la CVAE selon le chiffre d’affaires.
[...]
-La réforme de la taxe professionnelle (2010) dont l’objectif était d’améliorer la compétitivité et de diminuer la pression fiscale sur les entreprises a eu de ce fait les effets escomptés dans le secteur des énergies renouvelables ; elle a été favorable au développement du solaire et de l’éolien (CPO, 2014a). Mais comme l’association AMORCE l’a relevé en 2012, ce bénéfice pour les entreprises a pu se traduire par un manque à gagner pour les collectivités et par une réduction de leur autonomie fiscale (AMORCE, 2012 ; CPO, 2014b). La réforme de la taxe professionnelle a eu en effet comme incidence une baisse du coût de la fiscalité locale des entreprises de 15 % en euros courants entre 2009 et 2012 (CPO, 2013).[...]
- L’ IFER s’applique à certaines catégories de biens et se décline en neuf composantes (Fig. 1). Si la CFE est fonction de la taille des entreprises, l’IFER dépend quant à lui de leur puissance. Les unités de production d’énergie renouvelable (solaire, éolien et hydroélectricité) d’une puissance supérieure à 100 kW et les unités de production d’origine nucléaire et thermique supérieure à 50 MW sont en effet imposables. Un forfait en euros par kilowatt de puissance installée et par type de production est appliqué. La répartition de l’ IFER entre niveaux de collectivités territoriales et EPCI diffère selon la source d’énergie et la nature du régime fiscal des EPCI (fiscalité additionnelle FA ou fiscalité professionnelle unique FPU) (Fig. 2). [...]
- Ainsi par exemple, un parc solaire EDF EN1 mis en service avant le moratoire2 de décembre 2010 avec un tarif d’achat d’environ 0,30 euros le kWh et d’une puissance de 5 MW ayant produit environ 7 800 MWh en 2013 aura généré environ 885 000 euros de valeur ajoutée3. A la fin de l’exercice 2013, l’ EPCI à fiscalité professionnelle unique où il se situe aura perçu une part de la taxe IFER correspondant à 18 175 euros4 et une part de CVAE correspondant à 3 517 euros5. [...]
- Il faudrait 26 parcs éoliens de 10 MW (soit entre 200 et 300 éoliennes d’une puissance d’environ 1 MW) sur le territoire d’un EPCI pour générer une taxe IFER d’un montant équivalent à celui dû à la présence d’une centrale thermique (Fig. 3).[...]
-Le rapport entre les retombées d’ IFER des énergies renouvelables et le produit de fonctionnement des EPCI montre bien que la fiscalité liée à ces infrastructures a peu d’impact sur les budgets des collectivités (Fig. 3). Si l’un des objectifs de l’ IFER était, comme nous l’avons précédemment dit, de maintenir une forme d’incitation financière à l’accueil d’installations génératrices d’externalités négatives, notamment dans le cas des éoliennes à l’origine de nombreux conflits liés à leur impact paysager (Nadaï, Labussière, 2010), ces observations interrogent sur la capacité réelle du volet fiscal à favoriser l’acceptabilité sociale de ce type d’infrastructure.[...]
- Moins il y a d’habitants et d’activités économiques, plus les apports de richesse fiscale liée à la production énergétique sont élevés. Mais il ne s’agit pas que d’un simple effet algébrique qui pourrait être vrai pour toute autre activité qui s’implanterait, quoi qu’elle produise, car ces surplus de richesse fiscale trouvent naissance dans des espaces peu attractifs pour d’autres types d’activités. En cela, les retombées fiscales des énergies renouvelables constituent un effet d’aubaine qui peut sécuriser les finances locales des territoires d’arrière-pays, mais sans pour autant accroître considérablement leurs chances de développement.[...]
-L’analyse de la fiscalité locale des énergies renouvelables en région PACA montre une contradiction entre un possible renforcement parfois important des recettes fiscales et une certaine fragilité liée au manque de diversification de l’assiette fiscale. Dans les espaces où le tissu économique est fragile ou peu développé, de nouvelles taxes représentent une opportunité certaine pour l’amélioration de la gestion publique locale, mais accroissent dans le même temps une forme de dépendance fiscale à une «mono-activité» peu territorialisée, et sur laquelle les élus locaux ont très peu de pouvoir en termes de fiscalité directe. Nous avons vu que les retombées les plus élevées sont dues à l’ IFER. Or son montant est fixé par décret de l’État. Les élus locaux n’ont aucune marge de manœuvre pour moduler cet impôt. Le montant de la CVAE résulte par ailleurs de la législation nationale liée au tarif d’achat de l’électricité dont dépend directement le chiffre d’affaires des installations de production. En réalité la seule marge de manœuvre des élus locaux en terme de fiscalité sur les installations d’ EnR se situe dans les taux votés pour les impôts fonciers, et nous avons vu que les productions solaire et éolienne sont très faiblement impactées par ces taxes voire, pour certaines, exonérées. Ce manque de gouvernabilité de la fiscalité locale des énergies renouvelables représente bien une limite pour encourager les élus locaux à accueillir ce type d’infrastructure sur leur territoire. Cela introduit de l’incertitude dans les visions de long terme. [...]
-Par ailleurs, certaines collectivités cherchent à tirer directement profit des ressources renouvelables dans une démarche de projet de territoire, encouragée dans le cadre du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte. Au-delà de l’analyse de la fiscalité locale de l’énergie, on est amené à s’interroger sur la capacité des élus locaux à s’impliquer dans ce type de démarche de projet qui nécessite investissements publics, compétences techniques et mobilisation active, dans la mesure où subsiste la possibilité d’augmenter le niveau de richesse de leur collectivité sans investissement particulier de leur part si ce n’est d’accepter de nouvelles infrastructures de production sur leur territoire.[...]
- Les élus locaux se trouvent à la fois face à des injonctions en termes de développement durable contenues dans les lois Grenelle et de la transition énergétique, et face à des enjeux de développement économique de leurs territoires qui semblent pour l’instant difficilement trouver une réponse dans la «croissance verte». Les EnR ne sont pas mécaniquement un facteur de croissance. Les territoires qui ont des expériences abouties de projet territorial basé sur le développement des EnR témoignent par ailleurs de capacités d’ingénierie, de coordination politique ou d’expériences passées en matière de portage des EnR qui résultent de processus longs et complexes difficiles à reproduire et à généraliser.
C'est le "mensonge admirable" des pro-ENR intermittentes tel que défini par Mallarmé (1842-1898) :
"Je puis donc tout nier de ce qui est pour affirmer ce qui n'est pas"
Texte intégral
2016
Commentaire : (...) A l’exception du bois, les productions nouvelles d’énergies renouvelables (solaire, éolien, petite hydroélectricité) ne sont pas suffisantes pour susciter directement un développement économique local, même si les politiques de développement des EnR ont évolué ces dix dernières années de politiques sectorielles vers des politiques plus intégrées suscitant un élargissement des possibles en matière de stratégies énergétiques territorialisées au travers des Schémas Régionaux Climat Air Énergie (SRCAE) et des Plans Climat Énergie Territoriaux (PCET). Si les productions énergétiques renouvelables sont nécessairement localisées, elles ne constituent pas pour autant une ressource directement favorable à un développement local des territoires. Elles ne s’inscrivent pas dans des cercles vertueux de dynamiques de développement, ne participent pas à l’émergence de districts industriels et génèrent très peu d’emplois. Les ressources énergétiques renouvelables sont en effet captées par des acteurs exogènes aux lieux d’exploitation et positionnés sur le marché international de l’énergie comme par exemple le Groupe ENGIE (ex-GDF/SUEZ). [...] -Comme pour toute activité présente sur un territoire, les propriétaires des terrains supportant des installations dédiées à la production d’énergie sont soumis au paiement de la taxe locale pesant sur les propriétés foncières bâties.[...]
-Les installations de production d’énergie renouvelable comme les parcs éoliens et les centrales solaires au sol sont très faiblement affectées par ces deux impôts (CFE et CVAE) pour deux raisons : l’absence d’ouvrages d’art les met à l’abri des impôts fonciers et le calcul de la CVAE basé sur le montant du chiffre d’affaires leur est favorable. Les installations solaires et éoliennes sont en effet souvent exploitées par des sociétés dédiées uniques (société à actions simplifiées (SAS) ou société à responsabilité limitée (SARL)). La gestion d’une installation de production d’énergie renouvelable par une société unique permet de réduire le chiffre d’affaires et de diminuer le montant de la CVAE. Les grands groupes procèdent aussi à une optimisation fiscale par la création de filiales et de sociétés à actions simplifiées, évitant ainsi les effets de la progressivité de la CVAE selon le chiffre d’affaires.
[...]
-La réforme de la taxe professionnelle (2010) dont l’objectif était d’améliorer la compétitivité et de diminuer la pression fiscale sur les entreprises a eu de ce fait les effets escomptés dans le secteur des énergies renouvelables ; elle a été favorable au développement du solaire et de l’éolien (CPO, 2014a). Mais comme l’association AMORCE l’a relevé en 2012, ce bénéfice pour les entreprises a pu se traduire par un manque à gagner pour les collectivités et par une réduction de leur autonomie fiscale (AMORCE, 2012 ; CPO, 2014b). La réforme de la taxe professionnelle a eu en effet comme incidence une baisse du coût de la fiscalité locale des entreprises de 15 % en euros courants entre 2009 et 2012 (CPO, 2013).[...]
- L’ IFER s’applique à certaines catégories de biens et se décline en neuf composantes (Fig. 1). Si la CFE est fonction de la taille des entreprises, l’IFER dépend quant à lui de leur puissance. Les unités de production d’énergie renouvelable (solaire, éolien et hydroélectricité) d’une puissance supérieure à 100 kW et les unités de production d’origine nucléaire et thermique supérieure à 50 MW sont en effet imposables. Un forfait en euros par kilowatt de puissance installée et par type de production est appliqué. La répartition de l’ IFER entre niveaux de collectivités territoriales et EPCI diffère selon la source d’énergie et la nature du régime fiscal des EPCI (fiscalité additionnelle FA ou fiscalité professionnelle unique FPU) (Fig. 2). [...]
- Ainsi par exemple, un parc solaire EDF EN1 mis en service avant le moratoire2 de décembre 2010 avec un tarif d’achat d’environ 0,30 euros le kWh et d’une puissance de 5 MW ayant produit environ 7 800 MWh en 2013 aura généré environ 885 000 euros de valeur ajoutée3. A la fin de l’exercice 2013, l’ EPCI à fiscalité professionnelle unique où il se situe aura perçu une part de la taxe IFER correspondant à 18 175 euros4 et une part de CVAE correspondant à 3 517 euros5. [...]
- Il faudrait 26 parcs éoliens de 10 MW (soit entre 200 et 300 éoliennes d’une puissance d’environ 1 MW) sur le territoire d’un EPCI pour générer une taxe IFER d’un montant équivalent à celui dû à la présence d’une centrale thermique (Fig. 3).[...]
-Le rapport entre les retombées d’ IFER des énergies renouvelables et le produit de fonctionnement des EPCI montre bien que la fiscalité liée à ces infrastructures a peu d’impact sur les budgets des collectivités (Fig. 3). Si l’un des objectifs de l’ IFER était, comme nous l’avons précédemment dit, de maintenir une forme d’incitation financière à l’accueil d’installations génératrices d’externalités négatives, notamment dans le cas des éoliennes à l’origine de nombreux conflits liés à leur impact paysager (Nadaï, Labussière, 2010), ces observations interrogent sur la capacité réelle du volet fiscal à favoriser l’acceptabilité sociale de ce type d’infrastructure.[...]
- Moins il y a d’habitants et d’activités économiques, plus les apports de richesse fiscale liée à la production énergétique sont élevés. Mais il ne s’agit pas que d’un simple effet algébrique qui pourrait être vrai pour toute autre activité qui s’implanterait, quoi qu’elle produise, car ces surplus de richesse fiscale trouvent naissance dans des espaces peu attractifs pour d’autres types d’activités. En cela, les retombées fiscales des énergies renouvelables constituent un effet d’aubaine qui peut sécuriser les finances locales des territoires d’arrière-pays, mais sans pour autant accroître considérablement leurs chances de développement.[...]
-L’analyse de la fiscalité locale des énergies renouvelables en région PACA montre une contradiction entre un possible renforcement parfois important des recettes fiscales et une certaine fragilité liée au manque de diversification de l’assiette fiscale. Dans les espaces où le tissu économique est fragile ou peu développé, de nouvelles taxes représentent une opportunité certaine pour l’amélioration de la gestion publique locale, mais accroissent dans le même temps une forme de dépendance fiscale à une «mono-activité» peu territorialisée, et sur laquelle les élus locaux ont très peu de pouvoir en termes de fiscalité directe. Nous avons vu que les retombées les plus élevées sont dues à l’ IFER. Or son montant est fixé par décret de l’État. Les élus locaux n’ont aucune marge de manœuvre pour moduler cet impôt. Le montant de la CVAE résulte par ailleurs de la législation nationale liée au tarif d’achat de l’électricité dont dépend directement le chiffre d’affaires des installations de production. En réalité la seule marge de manœuvre des élus locaux en terme de fiscalité sur les installations d’ EnR se situe dans les taux votés pour les impôts fonciers, et nous avons vu que les productions solaire et éolienne sont très faiblement impactées par ces taxes voire, pour certaines, exonérées. Ce manque de gouvernabilité de la fiscalité locale des énergies renouvelables représente bien une limite pour encourager les élus locaux à accueillir ce type d’infrastructure sur leur territoire. Cela introduit de l’incertitude dans les visions de long terme. [...]
-Par ailleurs, certaines collectivités cherchent à tirer directement profit des ressources renouvelables dans une démarche de projet de territoire, encouragée dans le cadre du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte. Au-delà de l’analyse de la fiscalité locale de l’énergie, on est amené à s’interroger sur la capacité des élus locaux à s’impliquer dans ce type de démarche de projet qui nécessite investissements publics, compétences techniques et mobilisation active, dans la mesure où subsiste la possibilité d’augmenter le niveau de richesse de leur collectivité sans investissement particulier de leur part si ce n’est d’accepter de nouvelles infrastructures de production sur leur territoire.[...]
- Les élus locaux se trouvent à la fois face à des injonctions en termes de développement durable contenues dans les lois Grenelle et de la transition énergétique, et face à des enjeux de développement économique de leurs territoires qui semblent pour l’instant difficilement trouver une réponse dans la «croissance verte». Les EnR ne sont pas mécaniquement un facteur de croissance. Les territoires qui ont des expériences abouties de projet territorial basé sur le développement des EnR témoignent par ailleurs de capacités d’ingénierie, de coordination politique ou d’expériences passées en matière de portage des EnR qui résultent de processus longs et complexes difficiles à reproduire et à généraliser.
C'est le "mensonge admirable" des pro-ENR intermittentes tel que défini par Mallarmé (1842-1898) :
"Je puis donc tout nier de ce qui est pour affirmer ce qui n'est pas"
php
Texte intégral
Côte d'Or, Bèze : village de charme mise sur le tourisme
Valentin Pasquier
15/06/2017
Commentaire : "(...) Il y a une qualité de vie à Bèze qui est hors-norme. C’est vraiment le bonheur à l’état pur [...] Bèze est connu pour son bonheur de vivre [...] Évidemment, qu’il y ait victoire ou pas, on ressent déjà les retombées dès aujourd’hui, observe Yoann Dumont, le premier adjoint au maire. On dénombre plus de 2000 visiteurs supplémentaires sur un mois dans nos grottes par rapport à l’année dernière ".
Mais, on le sait bien "trop de bonheur mène à l’écœurement et à l'ennui" et suscite des jalousies des communes voisines, aussi la municipalité a décidé de noircir le tableau au quotidien de ce "bonheur est dans le pré" par... un projet de zone industrielle d'aérogénérateurs.
Sauf, que pour l'instant, il y a comme qui dirait comme un hic...
Voir
http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2014/01/16/premier-rejet-pour-le-parc
A suivre...
Le village préféré des français
Mardi 13 juin, Bèze n'a pas été élu "Le village préféré des français" lors de l'émission éponyme, malgré ses charmes et son nom évocateur. Mais deux millions et demi de personnes ont parcouru le village de Côte-d'Or à travers leur télévision : la commune espère en tirer quelques bénéfices.
Mardi 13 juin, les Bézois étaient motivés, tous à fond derrière leur village. Plus de 400 habitants de Bèze, à l'est du département de Côte-d’Or, s’étaient réunis au parc de la Cure pour assister au sacre de la commune à l’émission « Le village préféré des Français ». Pour eux c’est une évidence : le village va gagner.
« Il y a une qualité de vie à Bèze qui est hors-norme. C’est vraiment le bonheur à l’état pur ! » explique Chounette. Bèze est connu pour son bonheur de vivre, symbolisé par sa fameuse fête de l'andouille et des cornichons. Au cours de cette journée, les Bézois et Bézoises sont invités à engloutir les deux aliments le plus vite possible, afin d'être couronné "roi des cornichons" et "reine des andouilles". Rien que ça.
À Bèze, un seul objectif pour être couronnée "reine de l'andouille" : terminer la charcuterie avant ses concurrentes (ici en août 2015). / © Philippe Bruchot/Maxppp
Un village quasiment gagnant
Dans la salle où l’émission est diffusée, l'audience exulte : tout le monde est fier de son village. Bèze est quasiment gagnant, puisqu'il voit son activité touristique s'envoler.
« Évidemment, qu’il y ait victoire ou pas, on ressent déjà les retombées dès aujourd’hui, observe Yoann Dumont, le premier adjoint au maire. On dénombre plus de 2000 visiteurs supplémentaires sur un mois dans nos grottes par rapport à l’année dernière ». Le nom évocateur de la commune joue aussi son rôle : un festival de l'érotisme est en préparation pour juillet 2017.
Voir
Au moment de l'annonce des résultats, la tension est à son comble. C'est finalement le village alsacien de Kaysersberg, dans le Haut-Rhin, qui l'emporte. Bèze n'arrive que 10e sur 13 participants. Malgré tout, les habitants restent bon joueurs. Pour eux, il reste le plus beau village de France.
15/06/2017
Commentaire : "(...) Il y a une qualité de vie à Bèze qui est hors-norme. C’est vraiment le bonheur à l’état pur [...] Bèze est connu pour son bonheur de vivre [...] Évidemment, qu’il y ait victoire ou pas, on ressent déjà les retombées dès aujourd’hui, observe Yoann Dumont, le premier adjoint au maire. On dénombre plus de 2000 visiteurs supplémentaires sur un mois dans nos grottes par rapport à l’année dernière ".
Mais, on le sait bien "trop de bonheur mène à l’écœurement et à l'ennui" et suscite des jalousies des communes voisines, aussi la municipalité a décidé de noircir le tableau au quotidien de ce "bonheur est dans le pré" par... un projet de zone industrielle d'aérogénérateurs.
Sauf, que pour l'instant, il y a comme qui dirait comme un hic...
Voir
http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2014/01/16/premier-rejet-pour-le-parc
A suivre...
php
Le village préféré des français
Mardi 13 juin, Bèze n'a pas été élu "Le village préféré des français" lors de l'émission éponyme, malgré ses charmes et son nom évocateur. Mais deux millions et demi de personnes ont parcouru le village de Côte-d'Or à travers leur télévision : la commune espère en tirer quelques bénéfices.
Mardi 13 juin, les Bézois étaient motivés, tous à fond derrière leur village. Plus de 400 habitants de Bèze, à l'est du département de Côte-d’Or, s’étaient réunis au parc de la Cure pour assister au sacre de la commune à l’émission « Le village préféré des Français ». Pour eux c’est une évidence : le village va gagner.
« Il y a une qualité de vie à Bèze qui est hors-norme. C’est vraiment le bonheur à l’état pur ! » explique Chounette. Bèze est connu pour son bonheur de vivre, symbolisé par sa fameuse fête de l'andouille et des cornichons. Au cours de cette journée, les Bézois et Bézoises sont invités à engloutir les deux aliments le plus vite possible, afin d'être couronné "roi des cornichons" et "reine des andouilles". Rien que ça.
À Bèze, un seul objectif pour être couronnée "reine de l'andouille" : terminer la charcuterie avant ses concurrentes (ici en août 2015). / © Philippe Bruchot/Maxppp
Un village quasiment gagnant
Dans la salle où l’émission est diffusée, l'audience exulte : tout le monde est fier de son village. Bèze est quasiment gagnant, puisqu'il voit son activité touristique s'envoler.
« Évidemment, qu’il y ait victoire ou pas, on ressent déjà les retombées dès aujourd’hui, observe Yoann Dumont, le premier adjoint au maire. On dénombre plus de 2000 visiteurs supplémentaires sur un mois dans nos grottes par rapport à l’année dernière ». Le nom évocateur de la commune joue aussi son rôle : un festival de l'érotisme est en préparation pour juillet 2017.
Voir
Au moment de l'annonce des résultats, la tension est à son comble. C'est finalement le village alsacien de Kaysersberg, dans le Haut-Rhin, qui l'emporte. Bèze n'arrive que 10e sur 13 participants. Malgré tout, les habitants restent bon joueurs. Pour eux, il reste le plus beau village de France.
Inscription à :
Articles (Atom)
BOURDONS-SUR-ROGNON : LE CONSEIL MUNICIPAL Y VEUT ET... Y VEUT PAS DES USINES ÉOLIENNES
Précédemment : CIREY-LÈS-MAREILLES & MAREILLES : LE PROJET DE L' USINE ÉOLIENNE EST AUTORISÉE PAR LA PRÉFECTURE LANQUES-SUR-ROGNO...
-
Alex Reichmuth 05.04.2018 Version originale en langue allemande De nombreux parcs éoliens menacent la fin. Le démantèlement pourrait en...
-
Ainsi comme les déchets nucléaires en France, les pales d'aérogénérateurs, aux États-Unis d'Amérique, sont... enterrées. Mais le m...
-
http://www.pascalconvert.fr Pascal Convert 2007 Joseph Epstein Joseph Epstein. Bon pour la légende. Lettre au fils Editions Atlanti...