26. août 2017
Commentaire : Toujours la même histoire, ici comme ailleurs : d'un côté un lobby financier, des services de l' État, des "rois nègres" d'élus (es) ruraux et ... des médias associés pour vendre "à la découpe" industrielle un territoire. Et de l'autre, une population vivant au quotidien les nuisances des aérogénérateurs et ayant pour tout horizon que l'Enfer...
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN!
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Extrait de l'article paru sur le blog : https://www.eoliennes-doubs-adca.fr/
(...) Le magazine Marianne vient de publier un reportage sur le phénomène de prolifération d’aérogénérateur en Franche-Comté. Il dénonce les montages financiers opaques des promoteurs, et prend en exemple le projet éolien de la Côte d’Armont!
L’article se lit comme un roman policier...
À l’évidence, le journaliste envoyé sur place a bien saisi les enjeux qui sous-tendent la résistance citoyenne contre les projets d’aérogénérateur spéculatifs. Il rappelle fort opportunément quelques expériences passées qui ont mené à la confusion de promoteurs et d’élus pour qui l’aérogénérateur était surtout un «moneygénérateur».
Aérogénérateur sous-capitalisé
Le reporter de Marianne révèle notamment le système de sociétés «boîtes aux lettres» mis en place par Velocita et Volkswind pour construire et exploiter les parcs d’aérogénérateur, révélant que 120 d’entre elles sont domiciliées à la même adresse –celle du cabinet Mazars à Strasbourg. L’article s’émeut ensuite de la dangereuse sous-capitalisation de ces sociétés –10.000 euros pour gérer des dossiers à plusieurs millions!– qui laisse augurer des lendemains bien incertains en cas de coup dur financier.
Silence assourdissant sur les aérogénérateurs des autorités
Il faut se réjouir que la presse nationale s’émeuve de ce qu’il se passe dans le Doubs en matière d’aérogénérateur.
Peut-être que cette publication, qui en appelle d’autres, aura pour effet d’ouvrir les yeux des autorités sur les pratiques industrielles quelque peu sauvages, entreprises au nom du «développement durable». L’article rappelle le silence assourdissant des cabinets ministériels de Ségolène Royal d’abord, de Nicolas Hulot ensuite, ainsi que le détachement de la présidente du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.
Lire l'article de Marianne
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