On compte que soixante-cinq Haut-Marnais ont été envoyés à la mort par les tribunaux révolutionnaires. Ils n' étaient pas tous des aristocrates. La remarque a été justement faite, qu'en très grande majorité, les milliers de victimes de la Terreur étaient des gens du peuple, ouvriers, paysans, soldats, domestiques.
C'est ainsi qu'au hasard de leurs dossiers aux Archives Nationales, je trouve : un charron de Chaumont, Georges Lardin, ouvrier à l' arsenal de Metz, condamné à mort le 9 juillet 1794, pour avoir contrefait la signature du représentant du peuple Mallarmé sur une fausse permission ; un coutelier de Langres, établi à Paris, Cyprien Mielle, impliqué dans la conspiration des Carmes et condamné le 23 juillet 1794 ; un cordonnier, Claude Perrot, né à Fayl-Billot, travaillant à Paris, condamné le 24 juin 1794, sous l'inculpation d' avoir fourni à l' armée des chaussures défectueuses ; un menuisier du ci-devant d' Artois, Denis Carbillet, de Langres, condamné le 2 mai 1794, parce qu'il était d'une opinion contraire aux "patriotes". Un piqueur des écuries de Chantilly, Claude Mortet, de Courcelles-en-Montagne, fut condamné le 21 février 1794 pour avoir, sur l'ordre de l' écuyer en chef, voulut enlever des selleries les harnais les plus précieux et quelques fusils de chasse. Le valet de chambre Gervais Seurre, de Signéville, fut guillotiné avec ses maîtres, les Langlois de Pommeuse, le 1er mai 1794, sous l’inculpation d'avoir été leur confident et leur agent et d'avoir connu leurs relations contre-révolutionnaires avec les " ennemis de l' Etat". Pierre Marche, huissier à Choiseul, eut le même sort le 27 juillet 1794, en raison de son incivisme et de sa conduite aristocratique. Puis c'est Pierre Raclet, demeurant à Sommevoire, et l' avocat Nicolas-François Bocquenet, que leurs relations avec les Thomassin de Bienville firent condamner en même temps que ceux-ci, le 12 mai 1794. C'est Charles Delalain de Saint-Dizier, ancien commissaire ordonnateur des guerres et premier commis au Bureau de la guerre, chevalier de Saint-Louis, condamné pour complot contre-révolutionnaire le 17 mars 1794. Un étudiant de dix-huit ans, Charles Voillemier, né à Neufchâteau, habitant Chaumont, eut cette originalité de se dénoncer lui-même aux autorités du district par la lettre suivante du 7 juin 1794 :
"Citoyens,
Il est du devoir d'un bon citoyen de faire connaître tous les ennemis de la chose publique. Aussi je vous dénonce Charles Voillemier comme un aristocrate prononcé qui ne désire rien en tant que le rétablissement de la Royauté, la ruine de la République, et la mort de tous les scélérats de la Convention. J'espère que vous en ferez une prompte justice. J'ai l' honneur d'être votre concitoyen.
Charles Voillemier.
N.B. - Vive Louis dix-sept. Vive le Roi."
Prompte justice fut faite en effet : sa condamnation est du 9 juillet 1794.
L'échafaud ne se dresse à Langres qu'une fois au cours de la Révolution. Ce fut le 13 juin 1793 pour l'exécution d'un prêtre, l' abbé Blanchard, né à la ferme de Cordamble, près de Langres, et d'un jeune homme, Hubert Rossignol, accusé de s'être soustrait à la loi de recrutement. Mais sept autres prêtres du département furent sacrifiés à Paris, Mirecourt, Besançon, et parmi eux, l'abbé Colin, né à Grenant, curé de Genevrières, massacré à Saint-Firmin le 3 octobre 1793, et qui a été béatifié le 17 octobre 1926.
Un soldat de la Légion des Belges, François Jacquinot, de Bourbonne-les-Bains, interné à Bicêtre, fut condamné le 26 juin 1794, comme membre d'un complot dont le but n'était de rien de moins, dit l'accusation, que d'égorger les membres les plus marquants des Comités de sûreté générale et de Salut public, "de leur arracher le coeur, le faire rôtir et le manger". Un canonnier de la section Panthéon, Jean Sauvage, armurier à Paris, fut exécuté le 5 mai 1794 pour propos contre-révolutionnaires, bien qu'il fut invoqué pour sa défense le zèle et le patriotisme qu'il avait montrés à Poulangy, son pays natal, lors du pillage de l' Abbaye.
Après les soldats, les officiers :
Henry Geneviève Gaucher, ancien capitaine d'infanterie et aide-major au régiment du Bassigny, représentant d'une ancienne famille de Langres et retiré dans cette ville, fut guillotiné à Paris le 11 juin 1794, sous l'inculpation d'avoir engagé quelques jeunes gens à émigrer. Claude Juy et Étienne-Philippe Varillot, tous deux de Langres, et Étienne Jourd'heuil, de Bussières-lès-Belmont, sous-lieutenants au 18e régiment de cavalerie, furent condamnés avec leur colonel et d'autres officiers de leur régiment, le 27 mai 1794, pour connivences avec Dumouriez.
Officier aussi et en même temps membre de la vielle noblesse, veneur réputé, Charles-Camille de Capisuchi-Bologne, marquis de Bonnecourt, baron d' Ecot et de Gemboing, seigneur de Thivet, Andilly et autres lieux, ancien capitaine et chevalier de Saint-Louis, fut exécuté à Paris le 29 octobre 1793 ; il avait 76 ans. On sait qu'elles furent ses dernières paroles : "je donne mon âme à Dieu, mon coeur au Roi et... le reste à la République".
Un savant enfin, Étienne Clause, baron de Marivets, de vieille souche langroise, et ancien écuyer de Mesdames de France, fut guillotiné le 25 mars 1793, à la suite de la saisie de lettres écrites par lui à son voisin et ami, le marquis de la Coste, et dans lesquelles il ne cachait pas ses sentiments anti-révolutionnaires.
Parmi les Haut-Marnais guillotinés sous la Terreur, on ne trouve que quatre femmes : Madame de Trestondan, la comtesse de Montarby, la comtesse de Thomassin de Bienville et une religieuse, soeur Marguerite Jobard.
Mais qui dira jamais le nombre de celles qui subirent le contre-coup des terribles épreuves qu'elles traversèrent, des tragiques évènements dont elles furent les témoins et des jours d'angoisse qu'elles vécurent? N'est-ce-pas, par exemple, une douloureuse destinée que celle de Barbe-Gabrielle Girault de Belfond? Portée sur la liste des émigrés, elle avait trouvé un refuge à Langres, chez sa grand'mère, Mme André de Villebernyn, qui réussit à la soustraire aux recherches, mais chez qui elle mourut à 22 ans, en décembre 1793, brisée par la frayeur d'être découverte. Et l'aïeule ne pouvant rendre public son décès sans s'exposer à la peine de mort pour avoir caché une émigrée, en fut réduite à enterrer de ses propres mains sa petite fille dans le jardin de sa maison.
Mlle Girault de Belfond était la cousine germaine de Mme de Trestondan. Celle-ci était née à Langres le 14 décembre 1749 et avait reçu au baptême, en l'église aujourd'hui disparue, de St-Pierre et St-Paul, le prénom de Rose, auquel on ajouta plus tard celui de Gabrielle. Elle était fille de Jean-Baptiste-Pierre Pietrequin, chevalier, seigneur de Mont-lès-Lamarche et de Gilley, et d'Anne-Marguerite Girault de Belfond, et, par eux, descendante de familles du pays de Langres où l'on trouve les Pietrequin au XVIIe siècle et les Girault dès le début du XVe. Elle était la cinquième de sept enfants dont trois moururent jeunes. Son frère ainé Claude-Joseph-Bernard, mourut mousquetaire du roi en 1762 ; le second, Louis-Marie, décéda en 1822 aumônier du 12e régiment d'infanterie à Toulon. Son frère cadet, mousquetaire du roi, puis sous-lieutenant au régiment de Turenne, mort en 1814, épousa Marie-Jeanne-Françoise Gilles de Moinville et, en secondes noces, Marguerite-Victoire Charles ; il ne laissa que deux filles, nées de son premier mariage, et dont la seconde se maria à Frédéric de Lallemand de Mont, son cousin germain, fils de Charles-François de Lallemand, chevau- léger de la garde du roi, et de Marie-Barbe Pietrequin, morte en 1824, derrière des filles de Jean-Baptiste-Pierre.
La terre de Gilley appartenait aux Pietrequin en héritage du maire de Langres, Jean Roussat, dont la soeur Anne avait, en 1560, épousé Jean Pietrequin, cinquième aïeul de Rose-Gabrielle. Le château, devenu de nos jours la maison commune, renferme encore de superbes plaques de cheminée aux armes de ses anciens propriétaires. C'est là que fut célébré, le 21 juin 1773, le mariage de Rose-Gabrielle avec Charles-Jean-Baptiste-Angélique de Trestondan chevalier seigneur de Suaucourt et de Pisseloup, capitaine au régiment de Piémont, chevalier de Saint-Louis, qui fut nommé en 1780 commandant du fort Griffon à Besançon, où il mourut le 18 janvier 1781. Il avait vingt-cinq ans de plus qu'elle et était l'un des neuf enfants de Claude-Marie de Trestondan, seigneur de Suaucourt et de Pisseloup, lieutenant-colonel d'infanterie, chevalier de St-Louis, et de Marguerite de Vergallant. Sa famille, originaire d'Alsace, apparait dans notre pays en 1325, date à laquelle Jean de Trestondan et son neveu Pierre de Trestondan, fondent une chapelle près de l'abbaye de Belmont ; elle s'y fixa par alliance avec les d' Archez en 1382.
Madame de Trestondan avait continué à habiter à Besançon après son veuvage. En 1794, elle demeurait rue des Chambrettes, maison de la Poste, avec une ancienne carmélite, Marie-Françoise Barthod. Une ancienne soeur converse, Marie-Dorothée Jouille, qui logeait dans la même maison, s'occupait de son ménage.
Elle fut soupçonnée à cette époque d'entretenir des relations avec des émigrés réfugiés en Suisse. Son frère, l'abbé de Mont, était à Neuchâtel ; son oncle maternel, Claude-Joseph Girault de Belfond, était mort à Moutiers-Travers le 30 janvier 1794. Le savait-elle? L'accusation ne le dit pas : elle lui reproche d'avoir fait passer des vêtements aux émigrés, et ce sont des vêtements de femme qu'elle aurait envoyé par l'intermédiaire d'une personne de Moutiers-Travers, Marie-Anne Montvert. Le courrier de Besançon à Pontarlier, Charles-Philippe Thelmier, âgé de 18 ans et demi, demeurant à Besançon, Grande rue, interrogé par le Comité de Surveillance le 6 floréal, à Pontarlier, dit : un paquet contenant une robe de taffetas noir, un "carraquot" et du linge, que lui avait remis sa mère qui, elle-même, l'avais reçu de Françoise Rondot, domestique de Mme de Trestondan. À cela rien de répréhensible, puisque, dit-il, les courrier est autorisé à se charger de colis qu'il dépose à la douane de Pontarlier. Aussi bien il ignorait que le paquet fût destiné à Marie-Anne Montvert. Ce n'est que le 6 floréal qu'il a reçu de celle-ci une lettre, apportée par Jean Renaud, courrier venant de Suisse, et par laquelle elle le prie de lui renvoyer un paquet, prévenue sans doute de son envoi par l'expéditrice. Sa soeur, venant comme d'habitude à sa rencontre, lui appris qu'il était mandé au Comité de Surveillance et il a tout de suite pensé que c'était "pour le paquet qu'on lui avait remis à Pontarlier". Effectivement, le Comité de Pontarlier avait saisi l'envoi de Mme de Trestondan, fait fouiller le courrier et dénoncé celui-ci le 1er floréal au Comité de Besançon, comme porteur d'un paquet contenant "une robe et un jupon de taffetas noir", trois mouchoirs et trois paires de pagottes, manchettes de femmes, à l' adresse de Madame Montvert, à Moutiers-Travers.
Après son interrogatoire, le jeune Thelmier fut mis sous mandat d'arrêt.
Le 7 floréal, Madame de Trestondan comparait devant le même Comité de surveillance. Aux questions qui lui sont posées, elle répond que les effets contenus dans le paquet qu'elle a fait remettre au courrier par Françoise Randot, sa domestique arrêtée pour ce fait, avaient été achetés pour le compte de Madame Montvert qui lui avaient demandés par lettre six mois auparavant. Elle assure ne pas avoir de parents émigrés, ne pas connaitre d'émigrés et n'avoir pas de correspondance avec eux. Peut-être était-elle de bonne foi, car, en ces temps troublés, elle avait bien pu ignorer l'émigration de ses parents. Elle n'en est pas moins arrêtée et les scellés sont posés chez elle le jour même sur un secrétaire, sur un buffet appartenant à sa "fille de soins" et sur la porte de l'appartement.
Après elle, sont interrogées : la mère du courrier, Jean-Claude Ponthier, femme Thelmier, et la fille de celle-ci, ainsi que Dorothée Jouille et Françoise Rondot.
Le 10, sur sa demande, les scellés sont momentanément levés et le Comité de surveillance consent à lui faire remettre six chemises de femme, six mouchoirs de poche, deux mouchoirs de cou, deux paires de bas, deux paires de poches, une paire de souliers, une vieille "chamberoque", deux paires de draps de maître, six serviettes, quatre nappes, un peignoir, une boîte à poudre et trois cents livres en assignats
Elle fut à nouveau interrogée ainsi que Thelmier, le 14, cette fois par Louis-Thomas Laurent, juge et directeur du district de Besançon. Cet interrogatoire, analogue aux précédents, fut suivi d'une perquisition au domicile de l'accusée, chez qui d'ailleurs on ne trouva rien de suspect.
Le 18, c'est Marie-Antoine Rambourn accusateur public près le Tribunal révolutionnaire du Doubs, qui les fait comparaitre devant lui. Thelmier répète ses dires et ajoute qu'il a vu Mme de Trestondan pour la première fois quand elle fut amenée en prison.
Celle-ci dit à nouveau comment elle a acheté pour vingt écus d'une femme à elle inconnue, les effets demandés par Mme Montvert et assure qu'elle n'a point tenté, par cet intermédiaire, de les faire passer à des émigrés. Elle dit ne point connaitre Thelmier. Croyant pouvoir peut-être tirer l'accusée d'embarras, Mme Montvert, en réponse à une lettre de Rambourn, écrivit à celui-ci le 24 floréal que le paquet incriminé contenait des effets qu'elle avait prêtés, deux auparavant, à une dame Keupfer, qui allait en Lorraine recueillir une succession et qui avait oublié d'apporter avec elle des vêtements et du linge. Cette dame devait les renvoyer à Mme de Trestondan qui les ferait parvenir à leur propriétaire. Mme Montvert ajoutait qu'elle connaissait la prévenue pour l'avoir vue, trois ans auparavant, à Moutiers-Travers, où elle était de passage.
Mais Rambourn, à la même date, dressait l'acte d'accusation. Il reproche à Thelmier de s'être chargé d'un paquet remis par "la veuve Trestondan, ci-devant, ayant peut-être des parents émigrés et dont la destination était très suspecte", alors qu'il ne devait emporter que des lettres et des correspondances. Quant à Mme de Trestondan, les contradictions qu'il révèle entre ses réponses et la lettre de Marie-Anne Montvert lui sont une preuve que l'envoi était destiné à passer, par l'intermédiaire de celle-ci, à des émigrés. Elle est, en conséquence, "accusée d'avoir eu des intelligences coupables avec des émigrés, tendant à leur faire parvenir des secours." Thelmier est prévenu d'avoir favorisé le transport de linges et vêtements destinés pour des émigrés et de s'être rendu coupable de ce délit méchamment et à dessein de nuire.
Le jeune courrier se tira d'affaire, grâce peut-être aux certificats que lui délivrèrent le directeur des postes de Pontarlier et le contrôleur du bureau de la douane de cette ville, constatant qu'il s'est constamment comporté pour ses courses d'une manière conforme au devoir de son emploi et qu'il n'a jamais été trouvé en contravention.
Mais Mme de Trestondan fut renvoyée le 19 prairial devant le Tribunal révolutionnaire de Paris. Elle fit partie d'un convoi de douze autres détenus de Besançon expédiés à la Conciergerie, qui quitta la ville le 2 messidor, 20 juin, et qui devait s'augmenter de deux détenus à Dôle et de quatre à Dijon. Il y avait deux voitures à deux chevaux, pour leur transport, sous la conduite de quinze dragons jusqu'à Dôle, puis de gendarmes. On passa à Dijon le 5, à Auxerre le 11, à Joigny le 12, à Sens le 13, à Melun le 15, et à Brie-Comte-Robert le 16.
On s'imagine ce que fut ce long voyage à la suite duquel Mme de Trestondan fut enfermée à la Conciergerie ; elle en fut extraite le 24 messidor An II, 12 juillet 1794, pour comparaître à 10 heures du matin, à la barre du Tribunal révolutionnaire, en la salle dite de la Liberté. Avec quelques autres accusés, elle fut jointe à la fournée des dix-sept fédéralistes du Doubs et du Jura envoyés par le représentant Lejeune. L'acte d'accusation, dressé par Fouquier-Tinville, reproduit, en ce qui la concerne, celui de Besançon, avec l'inculpation d'avoir voulu faire passer des habillements à une femme émigrée en Suisse. le jury fit grâce à huit des accusés, mais les autres, dont Mme de Trestondan, furent condamnés à mort.
Le jugement fut exécuté quelques heures plus tard, à la barrière du Trône, et le même jour, la comtesse de Montarby et son mari montaient à l' échafaud.
À suivre...
1 Edouard de L'Horme naît à Langres le 29 novembre 1871. Il est le fils du Commandant Louis-Maximilien, baron de L'Horme (1832-1891) et de Marie-Thérèse-Eglé Berthier (1838-1920), fille du président du Tribunal de Commerce de Langres. Les parents d' Edouard acquièrent, en 1872, le château de Bussières-lès-Belmont, canton de Fayl-Billot.
Diplômé en droit et confirmé dans son titre de baron en 1895, Edouard de L'Horme épouse Adèle-Henriette-Émilie Mot, jeune femme originaire de Tarbes. Il débute une carrière dans l'Infanterie. Mobilisé en août 1914, il est promu capitaine de Territoriale après les campagnes des Vosges, de Champagne et de Belgique. Reçu Croix de Guerre à 45 ans, il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur deux ans plus tard, en 1918. À cette date, il se retire à Bussières-lès-Belmont, jusqu'à son décès, le 26 septembre 1945.
Loin de mener une retraite passive, le baron de L'Horme s'engage dans de multiples sociétés savantes, locales ou régionales, ainsi que dans plusieurs comités philanthropiques : Sociétés historiques et archéologiques de Langres, Chaumont et Saint-Dizier, Société d'histoire naturelle et de paléontologie de la Haute-Marne, Comité du Folklore champenois, Société philanthropique de Haute-Marne, etc. Ses engagement permettent au baron de multiplier les contacts et d'effectuer de nombreux voyages de recherche.
En tant que membre de ces sociétés ou à titre individuel, le baron de L'Horme se consacre aux recherches historiques et généalogiques sur plusieurs centaines de familles haut-marnaises. Cela l'amène à prospecter au sein d'autres centres d'archives français et, surtout, à la Bibliothèque et aux Archives nationales.
Source : Inventaire des notes généalogiques du baron de L'Horme
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