Guerre d'Algérie : le retour silencieux des "appelés"

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Entretien avec Henri Alleg, auteur de "La question", publiée à Paris, aux Editions de Minuit, 1958.

Algérie : jeunes appelés à table, garnison de Colomb Béchar, 1958-1962. @Collection privée
 

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Guerre d’Algérie : secrets de famille à la française

Entretien avec R. Branche


  Raphaëlle Branche est professeure d’histoire contemporaine à l’université Paris-Nanterre. Dans son nouvel ouvrage « Papa, qu’as-tu fait en Algérie ? » Enquête sur un silence familial (Paris, La Découverte, 2020), elle donne la parole à plusieurs générations de Français et Françaises touché.e .s par la guerre d’Algérie. À partir de cette enquête menée sur une dizaine d’années, l’auteure dissèque, au sein de la cellule familiale, les mécanismes de construction du « silence » autour de l’expérience vécue des appelés en Algérie.De cette enquête sur la transmission de l’histoire personnelle de la guerre vue par ces anciens appelés et leurs familles surgit les fragments d’une histoire française silencieuse, entrelacée aux mutations des normes sociales liées aux (re)définitions de la parentalité, du couple et des assignations de genre de 1960 à nos jours.

 

 

Contretemps : Dès l’abord, par son titre, votre livre souligne l’importance de la subjectivité des acteur.ice.s au sein de la transmission de cette histoire. Comment avez-vous articulé ces subjectivités dans la construction d’un livre d’histoire, exercice scientifique présumé objectif ?
Raphaëlle Branche : c’est une question qui vaut toujours en histoire dès lors que l’on s’intéresse aux individus plutôt qu’aux institutions. Ce que j’essaye de montrer, c’est que l’individu est enserré dans un certain nombre de relations qui existent historiquement. Les individus m’intéressent par leur mise en relation et en l’occurrence la mise en relation que j’essaye de promouvoir, car je la trouve absente des livres ou travaux qui s’intéressent aux questions de mémoire, c’est la relation familiale.
  Cet espace, qui n’est pas qu’un espace privé, intime, mais aussi social, et à partir de là un espace politique. Il est innervé de plein de choses et en l’occurrence de normes. Ce qui m’a intéressé dans le livre était d’interroger ce que c’est d’être un père, ce que c’est d’être un enfant, ce que l’on a le droit de faire, pas faire. La famille est innervée aussi de représentations. La France des années 1960 n’est pas la France des années 2000. Son imaginaire collectif, ce que la société sait ou croit savoir du passé algérien, de la guerre, n’est pas du tout le même dans les années 1960 et dans les années 2000. Et donc à partir de là, dans les familles, les relations ne sont pas les mêmes.

CT : Vous expliquez parfaitement la genèse et les contours de votre enquête dans l’introduction. Cependant, pourriez-vous revenir sur votre choix d’exclure les Français.e.s originaires du territoire algérien ou outre-marins, ainsi que les militaires de carrière, dans le corpus de cette enquête ?
R.B. : je justifie ce choix par le fait que je veux travailler sur un corpus qui a des traits d’homogénéité forts, de manière à dire autre chose que : « l’expérience d’un Martiniquais n’est pas celle d’un Corrézien », ou « l’expérience d’un homme né en Algérie n’est pas celle d’un homme qui n’a jamais vu d’Algériens avant ces vingt ans ». Je voulais aller au cœur de l’expérience massive des métropolitains, qui n’avaient jamais rencontré d’Algériens de leur vie et qui débarquent dans une terre coloniale dont ils ne savent rien. C’est ça la majorité des Français de cette époque. Les autres cas que vous évoquez sont différents sur des choses fondamentales.
  Aux Antilles, on sait ce que c’est le colonialisme, donc c’est différent. C’est très loin de l’Algérie. Et les engagés, c’est encore autre chose : ils ont pu déjà connaître des territoires coloniaux et ils n’ont surtout pas la même réaction aux institutions militaires. Ce qui m’intéressait, c’était de travailler sur des gens qui ne soient pas du tout des professionnels de la guerre et qui ne soient pas du tout censés faire la guerre. Et puis enfin, il y avait le cas des Français d’Algérie, là aussi il y en a un ou deux dans le livre, mais leur expérience est trop fondamentalement différente, non pas en rapport à la guerre qu’ils ont expérimentée aussi, mais parce qu’ils n’ont pas eu la même enfance.
  Je voulais montrer que la majorité des Français de cette époque ont vécu la Première Guerre mondiale en France métropolitaine, que la mémoire de cette guerre est particulière sur le territoire hexagonal qui a ensuite connu la Deuxième Guerre mondiale et surtout l’occupation allemande… En fait, je crois vraiment qu’en élargissant la focale depuis leur enfance et leur adolescence, et c’est vraiment le projet du livre, on obtient l’une des clefs de leur unité en tant que génération. En Algérie, leurs expériences sont très diverses. La guerre dure très longtemps, selon les endroits, selon les unités, selon les moments de la guerre, ce qui crée vraiment des expériences très diverses.
  En revanche ce qui n’est pas divers, c’est d’avoir vécu avec le poids de la Première Guerre mondiale comme modèle dans leur enfance. Toutes les familles françaises sont touchées par la Première Guerre mondiale, par la perte d’un des leurs souvent, puis le poids de l’occupation allemande, avec pour certains des choses plus violentes, mais la majorité des Français c’est simplement l’occupation, et tout ça va résonner très fort ensuite en Algérie. Je voulais avoir un modèle pur de ce point de vue là pour pouvoir réfléchir sur le poids des guerres dans le ressenti de la guerre d’Algérie chez ceux qui la vivent et dans la manière dont leurs proches la perçoivent avec ces cadres mentaux là : « une guerre, c’est Verdun » ou « une occupation, c’est les nazis ».

CT : l’enfance de ces appelés et femmes d’appelés est pensée en tant que matrice commune de cette génération née dans les années 1930-40, une « communauté d’empreinte » selon les mots empruntés à Marc Bloch, pour expliquer l’ancrage initial de ces soldats envoyés en Algérie. Vous dites que cette génération, d’hommes et de femmes, est fortement marquée par l’expérience familiale des deux précédents conflits mondiaux et a grandi dans un espace public et sociétal imprégné du souvenir de ces combats sur le territoire métropolitain.
  La guerre d’Algérie est selon vous un point de rupture entre homme et femme dans l’expérience vécue et la vision du monde, puis dans l’imaginaire projeté de la guerre pour les générations suivantes. Pourriez-vous nous dire quelques mots au sujet de cette idée de rupture par l’expérience algérienne ?

R.B. : plus qu’une rupture, ce sont des divergences notamment pour ce qui est des femmes, épouses ou sœurs. Dans les vingt premières années de leur vie, il y a cheminement ensemble sur un certain nombre de points, même si chacun.e est dans son sexe et dans les d’attentes sociales que l’on peut avoir vis-à-vis d’un homme ou d’une femme, mais globalement il y a des choses communes. Puis il y a divergence, car certains vont en Algérie et d’autres, les femmes, restent en Métropole.
  Pour ce qui est des générations précédentes, il y a aussi une forme de divergence car le mot « guerre » ne recoupe plus du tout les mêmes réalités. Les Français l’avaient déjà réalisé avec la Seconde Guerre mondiale d’une certaine manière, mais avec l’Algérie c’est d’autant plus net que le mot « guerre » n’est même pas prononcé officiellement. Les appelés peuvent avoir des expériences qui peuvent rappeler une guerre, surtout rappeler pour eux l’occupation. Mais ça ne rappelle pas du tout Verdun, la guerre d’Algérie ! Et donc si c’est cela la guerre ce n’est pas du tout ça qu’ils vivent. Ils n’ont donc pas tous ce sentiment d’être en guerre de ce point de vue-là.
  Mais la divergence est parfois intime aussi : « je suis dans quelle lignée ? Je suis dans quelle généalogie masculine ? » A priori pour chaque génération, en général leur père est parti avant, leur grand-père est parti avant faire la guerre, alors qu’eux partent simplement faire leur service militaire. Donc là il y a une bifurcation, peut-être plus que rupture. Il y a quelque chose d’incompréhensible ou de difficile à désigner par le même mot. Cette histoire, c’est une histoire de transmission, une histoire de récit, une histoire de silence, et donc c’est une histoire de mots.
  On sait bien qu’on n’appelait pas « guerre » la guerre d’Algérie. Cela a une vraie implication très profonde pour les gens : qu’est-ce que ça implique d’avoir une expérience qui n’est pas nommée ? Et donc pour laquelle il faut inventer les mots puisque les mots qui existent socialement ne sont pas satisfaisants, ne rendent pas compte de l’expérience. Mon travail est d’essayer de retrouver les représentations charriées par les mots. Alors que ce sont les mêmes mots, ce ne sont plus les mêmes représentations et cela évolue avec le temps.

CT : justement, dans un de vos précédents livres, La guerre d’Algérie, une histoire apaisée ? (L’histoire en débats, Seuil, 2005), vous enquêtiez à l’appui des travaux et d’entretiens avec des historien.ne.s algérien.ne.s et français.es, sur les termes à partir desquels s’écrivait et était nommée l’histoire de la guerre d’indépendance algérienne.
  Pourriez-vous nous éclairer sur la manière dont est abordée et mise en mots dans les familles françaises, que vous avez interrogées, un conflit dont la forme d’énonciation en tant que « guerre » n’a officiellement été reconnue qu’au seuil du 21e siècle ? En d’autres termes, peut-on, de manière générationnelle, repérer des homogénéités dans les termes pour parler de cette guerre ?

R.B. : C’est difficile à pister. La chose la plus flagrante est que le mot « guerre » n’est pas du tout absent de nombreux récits de la presse de l’époque, les discours des parlementaires en sont pleins, donc on ne peut pas dire que c’était un mot qui n’était pas disponible. Mais c’est un mot qui n’était pas légitime politiquement, c’est tout, et ça, on peut en tracer l’histoire.
  Effectivement, dans mon livre précédent j’essaye de pointer comment les politiques publiques évoluent. C’est le plus simple à faire. Mais ce qui est plus compliqué est de voir comment cela est travaillé par les gens, comment c’est réinterprété, restitué, digéré finalement par les gens. Donc, je n’ai pas de réponse simple à cette question, si ce n’est que dans les années 1960, quand ils sont tous rentrés, l’idée qu’ils ont fait une guerre ne s’impose absolument pas.
  Ils sont partis en service militaire, ils sont revenus de leur service : point. À part dans des milieux très conscients, militants et politisés, dans les années soixante, c’est quelque chose que les anciens peuvent se dire entre eux : qu’ils ont été en Algérie, qu’ils ont fait la guerre là-bas… Mais dans les familles, ce n’est pas ce qui domine. On sait qu’il s’est passé quelque chose, mais surtout ils sont revenus. Et c’est vraiment progressivement que cela s’impose…
  Par exemple, je cite la chanson très connue de Serge Lama, qui m’a beaucoup frappée, car il fait référence à cette transmission dans les années 1970. Donc, avec ce genre de média et de vecteur populaires, on pourrait travailler plus finement sur le moment où cela devient une évidence. Le Beauf de Cabu revient bien de la guerre d’Algérie par exemple… donc ce n’est pas simplement l’Algérie. Est-ce que pour autant c’est clair que c’est une guerre ?

CT : Mais à travers le questionnaire se dessine-t-il des termes récurrents spécifiques à certaines générations ou catégories de personnes interrogées ?
R.B. : ce qui est formidable avec certains questionnaires dont les gens s’emparent, c’est lorsqu’ils commentent la question. Par exemple, une veuve, qui me répond à propos d’une question sur le retour de la guerre, me renvoie : « votre question est mal posée, parce que ce n’était pas le retour de la guerre. Il avait fait son service ». Il me semble que le cas de cette femme parle au-delà d’elle. Mais je ne peux pas répondre plus précisément à cette question, car pour les années 2010, quand on répond à mon questionnaire, pour tout le monde c’est la guerre, personne ne peut dire autrement les choses.
  En revanche, je peux le pister dans les textes de l’époque, même s’il y en a très peu. Les seuls textes, les seuls mots que j’ai vraiment pu travailler en archives sont les dossiers médicaux psychiatriques où là vraiment j’ai vu que la guerre n’existe pas. Les psychiatres ne pensent jamais à interroger des patients avec des troubles sur le fait qu’ils ont pu partir en Algérie. La première chose à laquelle ils ne pensent pas c’est l’Algérie, alors penser à la guerre… On n’en est même pas là. On peut voir le moment où ça apparaît à partir du milieu des années 1970.

CT : Vous évoquez le fait que le mécanisme de l’autocensure est plus tangible que la censure de la parole dans ce conflit, pourriez-vous nous en dire plus ?
R.B. : c’est un des problèmes les plus compliqués concernant la guerre d’Algérie. Aujourd’hui, comme on dit « guerre d’Algérie », les gens s’imaginent une guerre. Or, comme ce n’était pas une guerre officiellement, il n’y avait, officiellement, pas de censure, il n’y avait pas de bureau de censure. On est en régime démocratique et ces hommes font leur service militaire. Il est alors inimaginable que l’armée contrôle leurs courriers, ça n’a aucun sens : ce serait un scandale démocratique. Or quand on dit guerre aujourd’hui, on imagine censure, etc. Donc il n’y a pas de censure. D’ailleurs, ils ne la redoutent pas, me disent-ils.
  En revanche ce qui contraint la parole est l’autocensure, et elle opère de manière classique. Elle est visible quand on s’intéresse aux lettres pour les proches, elle vise à les protéger de la vérité. Donc ne pas leur dire ce que l’on ressent, ne pas leur dire ce que l’on vit, leur en dire le moins possible, mais que ça reste crédible quand même, faire partager, mais pas trop. C’est une sorte de compromis. Cela dépend aussi de la relation familiale et c’est pour cela que ce livre est aussi un livre sur l’histoire des familles françaises. Ce n’est pas en fonction de ce que monsieur X a vécu qu’il peut parler, mais en fonction du contexte familial, relationnel, dans lequel il s’inscrit.
  C’est en cela que c’est une démarche historienne, il ne parle pas tout seul, il parle à quelqu’un.e qui attend qu’il parle ou qui ne veut pas entendre ou qui tourne la tête, ou qui au contraire questionne… Restituer ce contexte, c’est essayer de comprendre ce qu’il pouvait dire. Dans la correspondance c’est pareil. Avant qu’il ne parle – et c’est pour cette raison que je remonte à leur enfance – et après. Je passe ainsi beaucoup de temps pendant la guerre pour comprendre les premiers mots qu’ils ont posés sur la réalité de leur expérience vis-à-vis de leurs proches afin de comprendre quels sont les premiers mots sur lesquels ensuite il y aura ou pas un récit.
  Il me semble que lorsque l’on a beaucoup partagé, que l’on a passé un an séparé, que l’on s’est écrit tous les jours, on n’a pas forcément besoin d’en parler quand on revient. Quand on ne parle pas, parfois c’est parce que l’on n’a pas grand-chose à dire de plus que ce que l’on a déjà raconté. C’est la version la plus positive, et elle existe. Et puis l’autre version est que l’on a tellement omis, voire on a tellement menti, on a tellement caché, que ça va être compliqué pour le contrat de confiance qui nous relie, par exemple à notre future femme ou aux parents, de dire autre chose.
  Il y en a donc dans le questionnaire qui disent : « Vu que je ne leur ai rien dit, ils n’ont forcément pas posé de questions ». Cela nous fait réaliser l’importance de ces configurations familiales, en partie normées socialement, et en partie avec des dynamiques propres à chaque famille. Ces configurations et dynamiques permettent de comprendre, par exemple, que certains couples se parlent énormément, se confient l’un à l’autre, sont très honnêtes, parce que c’est leur contrat… Et d’autres, pas du tout.
  Par ailleurs, je voulais aussi travailler sur ce qu’est un couple dans les années 1960 : quelles sont les attentes vis-à-vis de ce qu’est un « bon mari » ? Une « bonne épouse » ? Tout ceci se mêle pour expliquer que dans certains cas on préfère protéger en se taisant, dans l’autre on préfère tout dire parce que l’on construit l’avenir sur un contrat de confiance. À mon grand étonnement, j’ai découvert que beaucoup de choses s’étaient dites à l’époque, notamment dans certaines correspondances.

CT : Dans le livre, vous affirmez que l’expérience de la guerre n’est pas la même entre les hommes et les femmes, entre ceux qui l’ont vécue directement ou indirectement. Toutefois est très présent le rôle de la mère et de l’épouse qui a recueilli des témoignages, que ce soit par correspondance ou par la suite qui les a entendus et parfois essayé de les cacher pour que la famille tienne… Pourriez-vous nous en dire plus sur le rôle de ces mères dans la transmission et la non-transmission de ce récit familial de la guerre ?
R.B. : c’est vraiment une question qui m’a passionnée, mais je ne suis pas sûre d’avoir fait plus que l’effleurer. En fait, il y a deux types de mères par rapport à mon enquête. Il y a celles qui sont de la même génération et ont beaucoup en commun avec leur mari. Et puis il y a les plus jeunes en âge, qui sont nées après la Seconde Guerre mondiale et qui ne partagent pas la même expérience de l’enfance et les mêmes socialisations primaires ; dans ce cas, je pense que l’implicite dans le couple est beaucoup plus faible. Cela ne veut pas dire qu’il y aura moins de discours sur la guerre d’Algérie, bien au contraire…
  Et puis il y a aussi les femmes qui ont été rencontrées avant la guerre et qui ont accompagné leur époux, ont leur propre expérience de la guerre en tant que fiancée ou future épouse. Enfin, il y a celles rencontrées après la guerre, ce qui représente en fait plusieurs sous-types. Je pense que tout cela joue dans la manière dont elles œuvrent en tant que mères vis-à-vis de leurs enfants. Les enfants ont été globalement tous conçus après la guerre, après le retour du père, et donc les enfants n’ont pas d’expérience personnelle de la guerre du père. N’ayant pas d’expérience personnelle, s’ils veulent en savoir quelque chose il faut qu’ils posent des questions, puisqu’ils n’ont pas de ressenti propre.
  Les mères accompagnent la stabilisation du foyer dans une dynamique qui n’est pas du tout de regarder vers le passé. Globalement, elles ne vont pas être des étais très forts pour leurs maris en tant qu’épouses pour creuser ce qui ne va pas. Du reste, pour les enfants, la guerre du père est un non-sujet. En tant que mère, l’expérience du père en Algérie est un non-sujet aussi, et je crois que ça le demeure tout le temps, qu’elles soient capables d’entendre ce que disent leurs maris ou pas. Cette expérience, elle est vraiment identifiée comme étant du côté du père. Les mères ne soutiennent pas particulièrement une transmission de l’expérience algérienne aux enfants.


CT : Par contre, elles peuvent combler les absences, notamment à la mort du père…


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