Par Antoine Carrié
Le 12 novembre
Commentaire: Pour en savoir plus sur la résistance locale: http://www.eolien-puicheric.blogspot.fr/
Bonne lecture
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Mercredi, une première permanence d'information. PHOTO/Ch. Barreau
La société Saméole présentait mercredi pour la première fois au public son projet: Aux huit éoliennes envisagées en 2013, et finalement abandonnées, se substituerait un parc de quatre machines.
L'opération séduction a débuté en comité restreint. Mercredi, dans la salle habituellement occupée par le club de handball de Puichéric, trois représentants de l'entreprise Saméole (ex-Raz Énergie) avaient pris leur bâton de pèlerin pour présenter une version revue et corrigée d'un projet de parc éolien. Une permanence d'information qui, beau temps et jour férié obligent, n'a pas suscité de ferveur populaire démesurée. Assistance modeste, donc, lors de la première des quatre heures de permanence programmée. Pas de quoi empêcher Saméole de dérouler son argumentaire, et surtout d'expliquer en quoi ce projet diffère de celui engagé en 2013 et abandonné début 2015, en pleine instruction: «Nous avions senti que la question du canal du Midi et de la covisibilité avec les éoliennes crispait les choses au niveau des services de l'État, expliquait hier Emmanuelle Lhermitte, chef de projets éoliens. Nous avons choisi de retravailler le dossier pour avoir plus de chances d'aboutir».
L'opération séduction a débuté en comité restreint. Mercredi, dans la salle habituellement occupée par le club de handball de Puichéric, trois représentants de l'entreprise Saméole (ex-Raz Énergie) avaient pris leur bâton de pèlerin pour présenter une version revue et corrigée d'un projet de parc éolien. Une permanence d'information qui, beau temps et jour férié obligent, n'a pas suscité de ferveur populaire démesurée. Assistance modeste, donc, lors de la première des quatre heures de permanence programmée. Pas de quoi empêcher Saméole de dérouler son argumentaire, et surtout d'expliquer en quoi ce projet diffère de celui engagé en 2013 et abandonné début 2015, en pleine instruction: «Nous avions senti que la question du canal du Midi et de la covisibilité avec les éoliennes crispait les choses au niveau des services de l'État, expliquait hier Emmanuelle Lhermitte, chef de projets éoliens. Nous avons choisi de retravailler le dossier pour avoir plus de chances d'aboutir».
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