Le 27/042016
Commentaire: Quelle franchise! Voilà, les choses sont claires: Pour se renflouer, rien de tel qu'un investissement dans l'éolien subventionné. Certainement que dans leur «tournée» de reconquête de bénéfices, ces «défenseurs» de l'Environnement, ne manqueront pas de passer par la France où SuperRoyal et nos élus leur feront bon accueil à n'en pas douter; à eux et... à leurs beaux discours sur l'argent, l'artiche, les biffetons, le blé, la caillasse, le flouze, la maille, l' oseille, les pépètes, le pèze, le pognon, les ronds, la thune, etc.
Commentaire: Quelle franchise! Voilà, les choses sont claires: Pour se renflouer, rien de tel qu'un investissement dans l'éolien subventionné. Certainement que dans leur «tournée» de reconquête de bénéfices, ces «défenseurs» de l'Environnement, ne manqueront pas de passer par la France où SuperRoyal et nos élus leur feront bon accueil à n'en pas douter; à eux et... à leurs beaux discours sur l'argent, l'artiche, les biffetons, le blé, la caillasse, le flouze, la maille, l' oseille, les pépètes, le pèze, le pognon, les ronds, la thune, etc.
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE et BASTA!
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Le groupe public norvégien Statoil va s’allier à l’allemand E.On pour bâtir un champ d’éoliennes en mer Baltique. - AFP
Le groupe pétrolier norvégien investit dans l’éolien et a créé un fonds de capital-risque dans les énergies renouvelables.
Statoil n’échappe pas à la règle. Malmené par la chute du pétrole, le groupe public norvégien a pris des mesures drastiques de réduction des coûts en supprimant près de 5 % des effectifs. En complément d’une politique d’économies très agressive, il tente de trouver une parade à long terme en avançant ses pions dans les énergies renouvelables.
Lundi, à la veille de l’annonce d’une chute de 86 % de son bénéfice net (hors exceptionnels) au premier trimestre (à 108 millions d’euros), Statoil a dévoilé une nouvelle étape dans cette évolution. Le groupe va s’allier à l’allemand E.On pour bâtir un champ d’éoliennes en mer Baltique qui, une fois opérationnel, pourra alimenter 400.000 foyers en électricité. L’initiative permettra au norvégien d’augmenter de 50 % sa capacité éolienne totale.
Les analystes sceptiques
Etalé sur trois-quatre ans, cet investissement de 697 millions d’euros (en ce qui concerne Statoil) « est en ligne avec notre stratégie visant à compléter progressivement notre portefeuille pétrolier et gazier par des solutions rentables dans le domaine des renouvelables », a expliqué le PDG, Eldar Sætre. Le mois précédent, le groupe avait annoncé un autre investissement dans une firme américaine spécialisée dans les technologies éoliennes via son nouveau fonds de capital-risque Statoil Energy Ventures, réservé aux renouvelables et doté de 185 millions d’euros…
Les analystes sont assez sceptiques quant aux résultats à attendre de cette orientation « En termes de capital employé au niveau de la compagnie, cela reste plus que minime pour l’instant. À titre de comparaison, elle a prévu d’investir au total 11,5 milliards d’euros rien qu’en 2016 », pointe John Olaisen, analyste à la banque d’investissement ABG Sundal Collier.
Possibles réductions d’emploi
D’autres, telle l’ONG de protection de l’environnement Bellona, applaudissent l’initiative prise par le groupe contrôlé à 67 % par l’Etat norvégien « Il existe un potentiel évident de transfert de savoir-faire entre les industries pétrolière et maritime et l’éolien offshore », commente Runa Haug Khoury, une de ses responsables. Un argument mis en avant par Statoil lorsque les autorités écossaises lui avaient confié, en novembre, le développement du « plus grand parc éolien flottant au monde »(Hywind Scotland).
Pour le reste, note John Olaisen, Statoil, dont le chiffre d’affaires a baissé de 21 % au premier trimestre, « parvient à maintenir un niveau satisfaisant de production et les coûts diminuent grâce aux mesures drastiques prises. Cela dit, il y aura sans doute de nouvelles réductions d’emploi », en plus des 1.100 à 1.500 départs annoncés l’an dernier, sur un total de 23.000 salariés. Statoil souhaite que tous ses projets soient rentables avec un baril sous les 40 dollars.
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