Commentaire : "jusqu’où nous mènera la folie verte ?" : jusqu'au bout de la NUIT!
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Jusqu’où nous mènera la folie verte ? L’écologie politique, très active, a complètement occulté la réalité scientifique.
Le dogme des écologistes anti-nucléaires Verts est tellement fort qu’ils n’hésitent pas à paupériser la France pour soutenir leur croyance. L’investissement financier massif qu’ils veulent orienter dans les énergies renouvelables intermittentes (EnR) se fait au détriment d’autres secteurs plus productifs pour les Français, et notamment des centrales nucléaires.
Les Verts veulent faire croire aux citoyens que leur avenir radieux passe obligatoirement par le développement des EnR et la suppression du nucléaire qui serait un « verrou ruineux ». C’est une imposture intellectuelle entretenue par les affairistes de la peur et fondée sur l’effroi, la distorsion de la réalité, voire le mensonge.
Un hold-up écologiste
Un puissant lobby écologiste organise en douceur, depuis plusieurs années, un hold-up financier de plusieurs dizaines de milliards d’euros contre les intérêts socio-économiques de la France. Aujourd’hui, selon la Cour des comptes, plus de 120 milliards d’euros sont engagés sur 20 ans pour soutenir financièrement les EnR déclarées « tout à fait compétitives » par leurs promoteurs et leur syndicat qui n’hésitent pas, en parallèle, à tendre leur profonde sébile pour recueillir des « soutiens » (subventions).
En avril 2018, le sénateur Jean-François Husson s’est ému de cette dérive financière :
Le parlement reste exclu des grands choix qui engagent les finances du pays en matière de soutien aux énergies renouvelables et de la définition de leurs objectifs de développement qui sont décidés dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Compte tenu des montants financiers en jeu, je considère qu’il s’agit d’une véritable anomalie démocratique.
Il serait révoltant qu’une forme de lâcheté politique ne dénonce pas clairement ces manœuvres dangereuses pour l’économie, la sécurité et la stabilité sociale de la France. Depuis plus de 40 ans, des responsables courageux ont su prendre les bonnes décisions pour la production et l’indépendance énergétique de la France. Un consensus politique solide s’est établi autour du nucléaire depuis le Président Charles de Gaule appuyé par le gouvernement Messmer en 1974. Ce fut une prodigieuse réussite scientifique et industrielle. L’oublierait-on ?
L’attirail écologiste
Des idéologies, au goût amer dans notre histoire récente, ont fait aussi l’apologie de théories superficielles et séduisantes pour les peuples. Des centaines de milliers de chemises brunes, rouges, noires se sont dressées en toute bonne foi pour étendre aux autres, au début par la persuasion, puis par la force ensuite, leur idéologie au nom d’un dogme.
Jean-François Revel a relevé dans ses Mémoires (page 154)
l’aptitude des hommes à se persuader de la vérité de n’importe quelle théorie, de bâtir un attirail justificatif de n’importe quel système, fût-ce le plus extravagant, sans que l’intelligence et la culture puissent entraver cette intoxication idéologique.
Les mondes feutrés des scientifiques, du Sénat et des académies, malgré quelques résolutions et recommandations soutenant le nucléaire, semblent bien timorés et inaudibles dans le tintamarre médiatique qui résonne quotidiennement aux oreilles des Français. Il n’y aurait pourtant pas d’avilissement pour eux à descendre dans l’arène de la confrontation politique pour y défendre la vérité et la sauvegarde des activités économiques dans l’intérêt supérieur de la Nation. Rien n’oblige cette catégorie sociale réputée pondérée à se laisser égorger, fusse dignement, par la cohorte des gourous « défenseurs de la planète« , nouveaux prophètes de l’énergie. Verra-t-on bientôt des milliers de chemises vertes, désinformées par une propagande habile, vouloir imposer leur mode de vie dit « écologique », voire « décroissant », au nom de « Mère Nature » ?
Serions-nous à l’aube d’une dictature verte prête à mettre en place autoritairement des moyens de coercition financiers et légaux pour contraindre les réfractaires à participer à la « transition énergétique » reposant sur les EnR pour « sauver la planète » ?
Si l’écologie rend fou au point d’emprunter les méthodes radicales qui ont fait leurs preuves en d’autres temps plus « sombres » pour imposer des lois liberticides, doit-on craindre pour le futur niveau de vie et la liberté de nos enfants ?
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