27/09/2017
Le bas
11e Parc national
Cet important projet, comme peut-être Langres et le Sud Haute Marne n'en ont jamais connu dans leur histoire, est menacé. Il recense pourtant tout ce qu'un territoire déshérité n'ose espérer en termes :
- d'attractivité et de renommée touristiques,
- de retombées fiscales,
- de créations d'emplois.
En cas d'échec qui viendrait s'ajouter à la gigantesque zone industrielle d'aérogénérateurs (éoliennes) en cours d'implantation (minimum 250 machines) à l'Est de Langres, le cercueil du Sud Haute Marne pourrait bien se refermer à jamais...
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Ces deux excellentes nouvelles (ci dessous) prouvent, s'il en était besoin, que Langres et le Sud Haute Marne possèdent en leur sein des atouts inestimables suscitant un grand intérêt et des équipes compétentes et dévouées à leur rayonnement.
Cette reconnaissance est due en partie à Philippe Richert, président de la région Grand-Est. Il est soit disant "très sensible au rayonnement culturel et patrimonial de Langres". C'est bien. Mais, jusqu'où cette sensiblerie s'exprime t-elle? Jusqu’au point de s'opposer en pesant de tout son poids politique au lobby éolien et à ses machines de guerre (comme cela se fait en Alsace, terre de son élection) qui ont pour ambition d'encercler la ville et de dévaster la campagne environnante?
Si tel est le cas, il serait bien inspiré d'en glisser deux mots aux nombreux élus (es) locaux qui tels les "rois nègres" d'Afrique au XIXe siècle se vendent et bradent notre terre pour de la verroterie offerte par les missionnaires éoliens.
La Résistance en Marche.
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