Des mauvaises langues assurent qu’Alpexpo ne sert à rien, à part à engloutir des millions d’euros d’argent public. Pas du tout. Ce centre de congrès accueille aussi des événements œuvrant à la paix dans le monde et à l’harmonie entre les peuples. Par exemple, l’autre jour, un des petits malins du Postillon est parvenu à s’intégrer dans un séminaire de la Banque Postale. Il a ainsi pu écouter pendant plusieurs heures des encravatés expliquer comment « se gaver » en aiguillant leurs clients vers des systèmes d’endettement continu. C’était tellement bien qu’il nous raconte.
" L'indignation est un commencement. Une manière de se lever et de se mettre en route. On s'indigne, on s'insurge, et puis on voit. " BENSAÏD Daniel
Comment les banquiers de la Poste «s'éclatent»
http://www.lepostillon.org
Des mauvaises langues assurent qu’Alpexpo ne sert à rien, à part à engloutir des millions d’euros d’argent public. Pas du tout. Ce centre de congrès accueille aussi des événements œuvrant à la paix dans le monde et à l’harmonie entre les peuples. Par exemple, l’autre jour, un des petits malins du Postillon est parvenu à s’intégrer dans un séminaire de la Banque Postale. Il a ainsi pu écouter pendant plusieurs heures des encravatés expliquer comment « se gaver » en aiguillant leurs clients vers des systèmes d’endettement continu. C’était tellement bien qu’il nous raconte.

Des mauvaises langues assurent qu’Alpexpo ne sert à rien, à part à engloutir des millions d’euros d’argent public. Pas du tout. Ce centre de congrès accueille aussi des événements œuvrant à la paix dans le monde et à l’harmonie entre les peuples. Par exemple, l’autre jour, un des petits malins du Postillon est parvenu à s’intégrer dans un séminaire de la Banque Postale. Il a ainsi pu écouter pendant plusieurs heures des encravatés expliquer comment « se gaver » en aiguillant leurs clients vers des systèmes d’endettement continu. C’était tellement bien qu’il nous raconte.
Le «Dieu» argent
par Jean-ClaudeBourret
29/04/2016
Commentaire: Nous nous permettons d'ajouter à ces quelques exemples de vénération du «Dieu» argent, celui de du monde de l'éolien industriel, qui a l'«avantage» de rassembler 2 types de «fidèles». D'un côté, les promoteurs privés, bonimenteurs professionnels de premier plan et «aspirateurs» d'argent public et de l'autre, les particuliers crowfindingsant à qui mieux mieux en espèrant le retour sur investissement.
29/04/2016
Commentaire: Nous nous permettons d'ajouter à ces quelques exemples de vénération du «Dieu» argent, celui de du monde de l'éolien industriel, qui a l'«avantage» de rassembler 2 types de «fidèles». D'un côté, les promoteurs privés, bonimenteurs professionnels de premier plan et «aspirateurs» d'argent public et de l'autre, les particuliers crowfindingsant à qui mieux mieux en espèrant le retour sur investissement.
Gogo un jour, gogo toujours!
L’éolien et le photovoltaïque n’ont aucun lien avec la demande électrique
PH
jeudi 28 août 2014
jeudi 28 août 2014
Il est évident que l’éolien et le photovoltaïque même associés à l’hydraulique et à une production électrique à partir de biomasse, ne peuvent subvenir à la demande électrique d’un pays industriel comme la France. Le nucléaire est clairement indispensable, mais alors il faut se demander l’intérêt d’ajouter du photovoltaïque et de l’éolien.
L’information devient alors floue. La propagande du lobby éolovoltaïque n’hésite pas à se contredire, elle affirme que l’éolien est plus adapté à la saisonnalité de la consommation électrique puisque le vent souffle plus en hiver qu’en été ; puis ils n’hésitent pas à déclarer que le photovoltaïque et l’éolien s’associent judicieusement puisqu’ alors les productions mensuelles varient peu. Et lorsque les anti-éoliens y regardent de plus prêt, ils font remarquer que l’éolien souffle en hiver quand la température est douce et diminue lorsque la température descend à l’inverse de la consommation électrique.
Tout cela mérite donc une analyse quantitative plus précise. La production électrique a été collectée toutes les demi-heures en 2013. La consommation électrique de la France est en abscisses en MW. Elle varie au cours de l’année entre 30 000 et 90 000 MW (30 à 90 GW). Pendant cette même période la production des éoliennes et des panneaux photovoltaïques a varié entre 0 et 8000 MW (8 GW), et est représentée en ordonnées. 17520 points sont donc représentés
On remarque que l’éolien et le photovoltaïque n’assurent aucune production puisque tout au long de l’année, il y a des périodes d’une demi-heure où ils ne produisent pratiquement rien, les points sont proches du zéro. Cela contredit l’idée « qu’il y a toujours du vent quelque part ».
Sur le schéma, on peut distinguer quatre cas: En haut à droite, un jour de semaine en hiver, la demande électrique est élevée et le couple éolien-photovoltaïque contribuent à la satisfaire, de même, en bas à gauche, lors d’une nuit d’été la production est faible, comme la demande. En revanche, lorsqu’on considère les points en haut à gauche, il s’agit par exemple d’un week-end de printemps, la production est élevée lorsque la demande est faible, il faut alors diminuer la puissance de centrales nucléaires, ce qui est une absurdité. Enfin en bas à droite, il s’agit par exemple d’un froid soir d’hiver, la production photovoltaïque est nulle, l’éolien est faible, ils ne servent à rien alors que la demande est forte [1].
La question est maintenant de savoir quels cas sont les plus fréquents, on effectue alors une régression linéaire et le résultat est sans appel: La production du couple éolien-photovoltaïque ne varie pratiquement pas avec la consommation électrique (seulement 158 MW sur 60 000 !). La corrélation production consommation est donc nulle. On peut donc affirmer grossièrement que seule moitié de la production éolien-photovoltaïque est utile au réseau électrique. Économiquement, on devrai augmenter leur coût par deux pour tenir compte de leur utilité réelle. Maintenant, si on s’intéresse à leur potentialité, on remarque qu’elles ne peuvent éliminer que la moitié de la production thermique sans éliminer aucun moyen de production.
La question est maintenant de savoir quels cas sont les plus fréquents, on effectue alors une régression linéaire et le résultat est sans appel: La production du couple éolien-photovoltaïque ne varie pratiquement pas avec la consommation électrique (seulement 158 MW sur 60 000 !). La corrélation production consommation est donc nulle. On peut donc affirmer grossièrement que seule moitié de la production éolien-photovoltaïque est utile au réseau électrique. Économiquement, on devrai augmenter leur coût par deux pour tenir compte de leur utilité réelle. Maintenant, si on s’intéresse à leur potentialité, on remarque qu’elles ne peuvent éliminer que la moitié de la production thermique sans éliminer aucun moyen de production.
Le lobby éolovoltaïque pense ensuite avoir inventé les réseaux intelligents en imaginant qu’on va réguler la consommation pour l’adapter à leurs productions fluctuantes, alors que l’on fait cela depuis longtemps avec les heures creuses. Plus grand chose ne peut être déplacé.
Enfin, pour améliorer l’utilité de ces productions, il reste le stockage. Or les batteries sont tellement chères qu’on attendra de les avoir partiellement usée dans les voitures pour les placer dans les bâtiments. Ainsi comme on vendra une dizaine de milliers de voitures électriques en 2014, il faudrait attendre 2024 pour installer 10 000 panneaux photovoltaïques supplémentaires.
Déployer encore plus d’éolien et de photovoltaïque est une aberration aujourd’hui.
[1] Les (faux) écologistes belges qui imaginent cet hiver éviter un blackout électrique avec des moulins à vent et photopiles se font des illusions
php
Éoliennes et Solidarités: La confusion qui blesse
http://www.voisinedeoliennesindustrielles.com/
Commentaire: «Si donc le peuple promet simplement d'obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple».
Jean Jacques Rousseau (1712-1778)

Idem pour le marché vert de l'électricité.
Le journal "solidarités" est un média nécessaire qui livrent de nombreux articles de qualité et qui permet une visibilité des luttes d'ici et d'ailleurs. En règle générale j'apprécie sa lecture et je mesure en comparaison l'ampleur de la coopération coupable de nos médias conventionnels avec les milieux politiques, financiers, culturels pour diffuser une information orientée et anti-démocratique.
Commentaire: «Si donc le peuple promet simplement d'obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple».
Jean Jacques Rousseau (1712-1778)
RÉSISTANCE!
php

Idem pour le marché vert de l'électricité.
Le journal "solidarités" est un média nécessaire qui livrent de nombreux articles de qualité et qui permet une visibilité des luttes d'ici et d'ailleurs. En règle générale j'apprécie sa lecture et je mesure en comparaison l'ampleur de la coopération coupable de nos médias conventionnels avec les milieux politiques, financiers, culturels pour diffuser une information orientée et anti-démocratique.
Haute-Marne, Poiseul : l'ennemi est dans la place
Louise de Vroncourt
29/04/2016
Dernières nouvelles de l'évolution de la situation concernant le projet d'implantation d'éoliennes sur la commune de Poiseul
« Le mât de mesures du projet éolien Poiseul / Bonnecourt est posé!!! Il est en limite entre Poiseul et Récourt, vers la Chapelle de l'épine, juste au bout du chemin où il se sépare en deux (gauche et droite), assez loin de Bonnecourt. Sur le site, aucun panneau officiel d'affichage, ni en mairie de Poiseul. On le voit en covisibilité avec Andilly, site archéologique, Villa gallo-romaine. Sa hauteur est estimée aux environs des 80m. Ce manque de précision étant causé par l'absence d'informations. De sa position, il domine le village de Poiseul et la belle vallée.
La photo a été prise de la route de Bourbonne-les-Bains.Il se situe sur la gauche de la photo. Très prochainement, des photos plus «parlantes» à la tombée de la nuit quand il se met à clignoter. Pour précision, il est également visible de Langres, de nuit exclusivement (clignotant rouge) du fait de sa «finesse».
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE et BASTA!
php
Éoliennes: Le nouveau jackpot des cafards "verts"
23 septembre 2008
Commentaire: Déjà à cette époque, tout était parfaitement dit et résumé. Et pourtant 8 ans plus tard, c'est toujours pareil...
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE et BASTA!
php
Sujet inspiré par un reportage diffusé hier sur iTélé.
Dès qu'on se met à parler d'écologie en France, on voit aussitôt sortir de toutes les anfractuosités une multitude de cafards verts : rentiers du "bio", qui font maintenant de la vente directe pour s'en mettre encore plus dans les fouilles, conseilleurs mais jamais payeurs qui sont toujours partants pour que les autres habitent dans des cahutes pas chauffées en hiver, défenseurs des eaux de sources avec ou sans bulles, qui ont plus souvent qu'à leur tour des actions dans des stations thermales gérées par des fraternités dignes de la Camorra, sans parler de tous ceux qui se font construire toutes les x années une villa dans la palmeraie de Marrakech ou une piscine ailleurs...
A l'affût du plus petit gain possible, le cafard vert est maintenant partout, n'hésitant pas à revêtir sa salopette de chanvre pour dispenser des leçons de morale à tout le monde, avant bien sûr de partir se vautrer comme un goret dans un lucre qui lui convient bien mieux, une fois rentré chez lui.
Dans cette énorme pantalonnade qui vaut bien une démonstration passionnée de Jean-Louis Borloo, dans laquelle seul le gogo pauvre a l'obligation de trier lui-même ses déchets à mains nues (voire avec les dents), de tous temps il y a eu des jackpots.
Les éoliennes, par exemple, c'est très bien. A en écouter les cancrelas pré ou post-grenelliens qui en font le commerce, mais qui ne sont jamais sots au point d'habiter eux-mêmes à proximité d'une seule de ces merveilleuses machines, c'est bon pour l'environnement !
Problème, les éoliennes feraient pourtant un sacré boucan : 70 décibels mesurés quand on se trouve au pied d'une des verrues qui défigurent n'importe quel paysage. Pire encore, implantées à plus de trois cents mètres de distance de certaines habitations, elles arriveraient à en rendre les occupants malades ! Toujours à cause du bruit (du moins, on suppose)... Quant aux volumes de matériaux nécessaires à la construction d'une seule éolienne dite "écologique", selon des gens qui savent visiblement de quoi ils parlent (puisqu'ils ne sont pas toujours étrangers au secteur), il atteindrait des sommets ahurissants en fonction des sources : 260 tonnes d'acier pour une seule éolienne de dernière génération de 2.000 kW (*), et plusieurs centaines de mètres cubes ou tonnes de béton (**), qui se transforment rapidement en milliers de tonnes et de mètres cubes quand on s'intéresse à un "parc éolien" ! On ne parle bien sûr pas des quantités astronomiques de CO2 émises pour construire ces mochetés hors de prix, qui au bout du compte produisent si peu de courant qu'on sait déjà que la production de n'importe quel parc ne dépassera jamais le stade de la vulgaire anecdote...
(*) Acier, béton et éolienneshttp://www.hirlimann.net/Charles/journal/2007/06/beton_et_eoliennes.html
(**) Les éoliennes, c'est du béton !http://www.google.fr/search?hl=fr&q=%C3%A9olienne+b%C3%A9ton&meta=
Cerise sur le gâteau, pour des raisons qui ne sont connues que de ceux qui tirent un profit direct de la gigantesque arnaque que représente la construction "nécessaire" de milliers d'éoliennes en France, le kW généré par l'énergie éolienne est facturé trois fois le prix du kW généré par une centrale nucléaire (!), argument balayé d'un revers de main par ceux qui s'engraissent sur le dos du contribuable et qui sont tous d'accord pour trouver que l'environnement n'a... pas de prix (il faut quand même oser la sortir) !
Là où l'affaire se corse, pour le Franchouillard qui ne voit déjà plus passer d'animaux par endroits, mais qui a gagné en échange le droit d'aller voir son médecin tous les samedis pour lui demander sa dose hebdomadaire de somnifères (creusant ainsi le trou de la Sécu), c'est quand on apprend que pour couronner la cerise qui couronnait déjà le gâteau, les maires d'un nombre croissant de communes seraient prêts à vendre la leur, de mère, pour accueillir autant d'éoliennes que possible sur un territoire qui ne leur appartient pas : chez les ruraux en effet, partout où il n'y a plus de boulangerie ni de Poste en particulier, les élus ne sont jamais contre une bonne petite taxe professionnelle, et encore moins contre une petite liasse de biftons qui tomberait tous les mois du camion...
Moralité, la prochaine fois qu'une éponge à rosé vous proposera de payer quelques centimes d'euro de plus pour avoir le droit de boire un café au distributeur, faîtes-lui avaler la flasque qu'elle aura planquée dans sa poche intérieure ! Ca ne réduira en rien le nombre de malfaisants qui, mieux que des éoliennes, arrivent à vendre très chèrement du vent, mais ça vous permettra au moins de démontrer que vous n'ignorez pas que des bataillons d'escrocs cherchent à vous rançonner, quitte à vous pousser vers le cimetière si votre maire aime bien les camions.
Le saviez-vous / l'aviez-vous remarqué ?
1°) Dans une certaine commune de France, on compte une éolienne pour à peine plus de vingt habitants en moyenne !
2°) Les créations d'emplois "locaux" pour assurer la maintenance d'un parc éolien dans son intégralité oscillent habituellement entre... 0 et 0.
3°) Afin d'éviter qu'on soit trop tenté de tremper la truffe dans leurs affaires "qui nous dépassent", les chantres du vent qui rapporte gros choisissent souvent d'implanter les éoliennes dans des zones peu habitées, mais de préférence dans des endroits parfaitement en vue de tout le monde, de sorte que la présence de l'engin entre progressivement dans les moeurs de futurs malades qui n'ont sans doute pas fini d'en voir de toutes les couleurs (à quand des éoliennes de couleur... verte, puisqu'on en parle ?).
4°) Les secteurs du traitement des eaux et du retraitement des déchets ne suffisant plus à faire bouffer tous ceux qui veulent en croquer, la corruption a accompagné le développement de l'énergie éolienne dès la seconde où celle-ci est devenue un sujet d'actualité, ô combien cher au coeur des "gentils verts européens"...
Voir sur Noël Mamère (qui n'a bien sûr aucun intérêt personnel dans le développement de l'éolien...) : http://mneaquitaine.wordpress.com/2008/09/05/du-petrole-au-vent/
D'autres liens pas inintéressants ci-dessous :
Le projet d'éoliennes soulève la tempête à Régusse
http://www.varmatin.com/ra/var/147888/regusse-le-projet-d-eoliennes-souleve-la-tempete-a-regusse
http://www.varmatin.com/ra/var/147888/regusse-le-projet-d-eoliennes-souleve-la-tempete-a-regusse
Les éoliennes : quelles retombées au niveau local ?
http://www.dossiersdunet.com/spip.php?rubrique1
http://www.dossiersdunet.com/spip.php?rubrique1
Immobilier Haute Marne: Des maisons au prix d'une voiture
voixdelahautemarne.fr
29/04/2016
«(...) La Haute Marne n'est pas assez touristique pour attirer des investisseurs (...) Le Bassigny, c'est invendable! (...)», etc., etc.
Bienvenue sur la «diagonale du vide». Que fait concrètement la classe politique locale, première responsable de cet état de fait, pour y remédier? Visiblement pas ce qu'il faudrait puisque la situation ne fait qu'empirer au fil des ans.
Mais dans le «pire», il y a «pire»: Le Sud-est (de Bourbonnes-les-Bains jusqu'à la Haute Saône en passant par le Bassigny). Sur ce territoire aux paysages à couper le souffle et au patrimoine architectural et culturel d'une grande richesse, une majorité de maires et de Communautés de communes ont, eux,trouvés la solution «infaillible» pour répondre à ce problème récurrent: Ce remède «miracle» a pour nom: ÉOLIENNE! Tel les Hébreux se cherchant un «dieu», ils se prosternent devant le «Veau d'or» éolien. Même Langres et ses remparts, ville phare labellisée «Art et Histoire» ne sera pas épargnée et sera défigurée à jamais (voir carte). En effet, quoi que de plus touristiques que des éoliennes à perte de vue du haut des remparts de Langres.
Si les élus sont les premiers dépositaires d'une telle situation, ils n'en sont pas les seuls responsables. Ce désenchantement est aussi en partie, porté par la population et plus particulièrement, par la majorité dite, pas seulement «silencieuse», mais également «passive». Tant de fatalisme, tant d'apathie, tant d'humiliations, sans aucune révolte!
Heureusement, des amoureux du département sont DEBOUT et le défendent pied à pied. L'association Les Vues Imprenables en fait partie et ses membres en sont fiers. L'Histoire leur donnera raison.
«La difficulté attire l’homme de caractère, car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même»
29/04/2016
«(...) La Haute Marne n'est pas assez touristique pour attirer des investisseurs (...) Le Bassigny, c'est invendable! (...)», etc., etc.
Bienvenue sur la «diagonale du vide». Que fait concrètement la classe politique locale, première responsable de cet état de fait, pour y remédier? Visiblement pas ce qu'il faudrait puisque la situation ne fait qu'empirer au fil des ans.
Mais dans le «pire», il y a «pire»: Le Sud-est (de Bourbonnes-les-Bains jusqu'à la Haute Saône en passant par le Bassigny). Sur ce territoire aux paysages à couper le souffle et au patrimoine architectural et culturel d'une grande richesse, une majorité de maires et de Communautés de communes ont, eux,trouvés la solution «infaillible» pour répondre à ce problème récurrent: Ce remède «miracle» a pour nom: ÉOLIENNE! Tel les Hébreux se cherchant un «dieu», ils se prosternent devant le «Veau d'or» éolien. Même Langres et ses remparts, ville phare labellisée «Art et Histoire» ne sera pas épargnée et sera défigurée à jamais (voir carte). En effet, quoi que de plus touristiques que des éoliennes à perte de vue du haut des remparts de Langres.
Si les élus sont les premiers dépositaires d'une telle situation, ils n'en sont pas les seuls responsables. Ce désenchantement est aussi en partie, porté par la population et plus particulièrement, par la majorité dite, pas seulement «silencieuse», mais également «passive». Tant de fatalisme, tant d'apathie, tant d'humiliations, sans aucune révolte!
Heureusement, des amoureux du département sont DEBOUT et le défendent pied à pied. L'association Les Vues Imprenables en fait partie et ses membres en sont fiers. L'Histoire leur donnera raison.
«La difficulté attire l’homme de caractère, car c’est en l’étreignant qu’il se réalise lui-même»
Charles de Gaulle (1890-1970)
Bonne lecture
Bonne lecture
php
Oups ! Avec les biocarburants, l’Europe a augmenté les émissions de CO2
(...)Encore un projet écolo, correctement identifié comme idiot dès le départ (...). En France, on n'a pas de pétrole mais on a des idées et.... SuperRoyal et autres écolos!
Bonne nuit et bonne chance
S’il y avait un marché des idées idiotes, nul doute que les politiciens y seraient des acteurs de premier plan. Et parmi ces idées idiotes, celle d’utiliser de la nourriture pour faire rouler nos voitures afin de réduire les émissions de CO2 aurait sans doute une place de choix, dans le podium des imbécillités de choix.
Et pourtant, malgré cette place évidente au sommet des idioties, l’usage des bio-carburants (tant les huiles que les alcools) ne cesse de s’étendre.
On sait, depuis la dernière crise et les rapports circonstanciés de la Banque Mondiale et de la FAO, qu’utiliser du maïs, du colza ou du tournesol pour produire des huiles et de l’éthanol qu’on brûlera joyeusement dans nos voitures ensuite, incline furieusement à provoquer des tensions sur les marchés des matières premières agricoles, tensions qui peuvent aller jusqu’à des émeutes.

Mais quand bien même: Ce n’est pas parce qu’une idée est intrinsèquement idiote qu’il faut s’en tenir là.
Même si la production de biocarburants est extrêmement coûteuse et complètement inadaptée au parc automobile mondial, cette idée ne pouvait pas être arrêtée en si bon chemin. D’une part, cela reviendrait à remettre en cause les douzaines de petits robinets à subvention qui déversent de l’argent public gratuit dans les gosiers de ceux qui, justement, mobilisent des terres arables pour ce genre de lubies. On comprend que certains se sont fait des fortunes avec le procédé (en entrée, des terres cultivables et un gros paquet d’argent des autres, en sortie, quelques litrons d’un produit qui partira en fumée) et ils n’entendent absolument pas que la bonne combine s’arrête, quitte pour eux à arroser, à leur tour, quelques élus compréhensifs et quelques organisations non gouvernementales-mais-presque.
D’autre part, arrêter brutalement la production de ces biocarburants reviendrait à admettre que les écologistes et les politiciens à leur suite se sont trompés en les promouvant avec autant d’entrain. Dans un cadre scientifique, cela pourrait encore aller, mais l’écologie ne souffre pas d’amendements dans le dogme, comme toute religion directement révélée à ceux qui en sont les doctes professeurs.
Et puis, même si le bilan économique d’un litron de colza est franchement mauvais — cela coûte beaucoup plus cher qu’un litron d’essence minérale, surtout avec la récente dégringolade du prix du baril — au moins ce produit peut-il fanfaronner dans les dîners mondains d’être éco-compatible puisque renouvelable. Autrement dit, dans la doxa officielle, l’huile de tournesol ou l’éthanol de maïs sont peut-être des produits de luxe réservés à la population occidentale riche au ventre plein, mais au moins ils ne polluent pas notre atmosphère en la lardant de coups de CO2 néfaste.
Soit. Sauf que ça aussi, c’est une légende taillée dans du bois de pipeau: Les biocarburants ont un « bilan-carbone » franchement mauvais. Dans une étude récente de l’ONG Transport & Environment au nom particulièrement rigologène de Globiom, et commandée par la Commission européenne, tous comptes faits, les biodiesels (qui représentent 70% des biocarburants dans l’Union européenne) provoquent 80% d’émissions de CO2 en plus des diesels fossiles qu’ils remplacent, avec une mention spéciale pour les biodiesels issus d’huile de palme et de soja qui sont trois et deux fois pires respectivement (cf p8 du rapport).
Entre les changements d’utilisation des sols pour les productions de ces huiles et de ces éthanols, le déplacement de ces huiles parfois sur de grandes distances (l’huile de palme n’est pas produite là où elle est consommée, loin s’en faut), le bilan est donc globalement très mauvais.

On pourrait aussi évoquer le bilan carbone des voitures électriques qui sont remplies de lithium (là encore, très polluant) et qui se rechargent en tétant des réseaux électriques dont l’énergie est produite à partir de fossiles dans l’écrasante majorité des pays du monde. Ce serait probablement inutile, tout comme il serait inutile de mentionner les autonomies jusqu’à présent rikiki de ces mêmes véhicules.
Mais plus dans l’actualité, et toujours pour continuer dans les exemples de projets écolos idiots et rigoureusement contre-productifs, on aura surtout envie d’évoquer la récente course de Formules E organisée par l’inénarrable mairie de Paris, jamais en retard pour soutenir des événements écologiquement catastrophiques en croyant faire avancer « la bonne cause ».
« Au départ, la Fédération internationale de l’automobile avait pensé au bois de Vincennes. On a dit non. Si on le faisait, il fallait frapper fort, au cœur de la ville. On assume ».
Enfin, « on », « on », c’est vite dit, puisque ce sera surtout le contribuable parisien qui va assumer, et c’est lui qu’on va frapper fort avec la jolie facture de l’événementiel branchouille écopublicitaire. De surcroît, il faut rappeler que cette magnifique illustration de la politique écologique gérée en dépit de tout bon sens aura nécessité l’épandage de plusieurs milliers de litres de bitume sur les pavés parisiens (un bitume bio, éco-conscient et syntonisé avec Gaïa, soyez en convaincus), avec de pesants engins de chantiers (qui ne roulent pas au bio-éthanol ou au bio-diesel, désolé). Bitume qu’il va falloir retirer une fois la manifestation terminée. Là encore, ce n’est pas cher, c’est le bio-État qui paye. À tel point que le projet a franchement irrité le groupe … écolo à la mairie tant le « bilan carbone » de la manifestation a été déplorable.
Autrement dit, en parfait accord avec les habitudes écologiques, on lance des projets dont le résultat est à peu près diamétralement opposé avec les buts officiellement recherchés, et tout le monde se congratule joyeusement en s’enfilant des coupettes de champ’, voire on relance le bastringue dans la foulée en décrétant non pertinente cette réalité qui refuse de se plier aux demandes impérieuses.
Compte-tenu des conclusions de l’étude Gloubi-Globiom, l’Union européenne aurait donc tout intérêt à diminuer nettement les incitations à produire un carburant finalement pas du tout écolo. L’avenir dira ce qu’il en est, mais, rassurez-vous, pendant ce temps, en France, le cap a été choisi et on n’en changera pas avant un moment: C’est décidé, même lorsque tout le monde aura compris l’erreur économique et écologique de ces produits, la France continuera de trouver des débouchés aux biocarburants.
Et pourtant, malgré cette place évidente au sommet des idioties, l’usage des bio-carburants (tant les huiles que les alcools) ne cesse de s’étendre.
On sait, depuis la dernière crise et les rapports circonstanciés de la Banque Mondiale et de la FAO, qu’utiliser du maïs, du colza ou du tournesol pour produire des huiles et de l’éthanol qu’on brûlera joyeusement dans nos voitures ensuite, incline furieusement à provoquer des tensions sur les marchés des matières premières agricoles, tensions qui peuvent aller jusqu’à des émeutes.
Mais quand bien même: Ce n’est pas parce qu’une idée est intrinsèquement idiote qu’il faut s’en tenir là.
Même si la production de biocarburants est extrêmement coûteuse et complètement inadaptée au parc automobile mondial, cette idée ne pouvait pas être arrêtée en si bon chemin. D’une part, cela reviendrait à remettre en cause les douzaines de petits robinets à subvention qui déversent de l’argent public gratuit dans les gosiers de ceux qui, justement, mobilisent des terres arables pour ce genre de lubies. On comprend que certains se sont fait des fortunes avec le procédé (en entrée, des terres cultivables et un gros paquet d’argent des autres, en sortie, quelques litrons d’un produit qui partira en fumée) et ils n’entendent absolument pas que la bonne combine s’arrête, quitte pour eux à arroser, à leur tour, quelques élus compréhensifs et quelques organisations non gouvernementales-mais-presque.
D’autre part, arrêter brutalement la production de ces biocarburants reviendrait à admettre que les écologistes et les politiciens à leur suite se sont trompés en les promouvant avec autant d’entrain. Dans un cadre scientifique, cela pourrait encore aller, mais l’écologie ne souffre pas d’amendements dans le dogme, comme toute religion directement révélée à ceux qui en sont les doctes professeurs.
Et puis, même si le bilan économique d’un litron de colza est franchement mauvais — cela coûte beaucoup plus cher qu’un litron d’essence minérale, surtout avec la récente dégringolade du prix du baril — au moins ce produit peut-il fanfaronner dans les dîners mondains d’être éco-compatible puisque renouvelable. Autrement dit, dans la doxa officielle, l’huile de tournesol ou l’éthanol de maïs sont peut-être des produits de luxe réservés à la population occidentale riche au ventre plein, mais au moins ils ne polluent pas notre atmosphère en la lardant de coups de CO2 néfaste.
Soit. Sauf que ça aussi, c’est une légende taillée dans du bois de pipeau: Les biocarburants ont un « bilan-carbone » franchement mauvais. Dans une étude récente de l’ONG Transport & Environment au nom particulièrement rigologène de Globiom, et commandée par la Commission européenne, tous comptes faits, les biodiesels (qui représentent 70% des biocarburants dans l’Union européenne) provoquent 80% d’émissions de CO2 en plus des diesels fossiles qu’ils remplacent, avec une mention spéciale pour les biodiesels issus d’huile de palme et de soja qui sont trois et deux fois pires respectivement (cf p8 du rapport).
Entre les changements d’utilisation des sols pour les productions de ces huiles et de ces éthanols, le déplacement de ces huiles parfois sur de grandes distances (l’huile de palme n’est pas produite là où elle est consommée, loin s’en faut), le bilan est donc globalement très mauvais.
Oh, zut alors ! Encore un projet écolo, correctement identifié comme idiot dès le départ par tous ceux qui ont deux doigts de bon sens, qui s’avère effectivement ruineux à court et moyen terme et qui loupe finalement l’objectif qu’on lui avait assigné dès le début avec maestria. Si d’autres projets écolos aussi ambitieux n’étaient pas construits sur le même schéma avec les mêmes résultats désastreux, la surprise aurait vraiment été totale.
On pourrait parler de l’énergie éolienne, par exemple, avec ces turbines chargées de terres rares dont l’extraction est extrêmement polluante et dont le bilan carbone est désastreux. On pourrait, mais ce serait méchant.
On pourrait parler de l’énergie éolienne, par exemple, avec ces turbines chargées de terres rares dont l’extraction est extrêmement polluante et dont le bilan carbone est désastreux. On pourrait, mais ce serait méchant.
On pourrait aussi évoquer le bilan carbone des voitures électriques qui sont remplies de lithium (là encore, très polluant) et qui se rechargent en tétant des réseaux électriques dont l’énergie est produite à partir de fossiles dans l’écrasante majorité des pays du monde. Ce serait probablement inutile, tout comme il serait inutile de mentionner les autonomies jusqu’à présent rikiki de ces mêmes véhicules.
Mais plus dans l’actualité, et toujours pour continuer dans les exemples de projets écolos idiots et rigoureusement contre-productifs, on aura surtout envie d’évoquer la récente course de Formules E organisée par l’inénarrable mairie de Paris, jamais en retard pour soutenir des événements écologiquement catastrophiques en croyant faire avancer « la bonne cause ».
Comme il fallait promouvoir des voitures électriques, et que les Mia de Ségolène Royal ont eu quelques petits soucis, l’équipe municipale a jugé bon d’installer une piste de course au milieu de la Capitale, histoire de faire vrombir ou disons buzzer les auto-tamponneuses monoplaces devant tout le monde. Dans la bouche de Jean-François Martins, adjoint à la maire de Paris chargé des sports et du tourisme, cela donne même carrément ça:
« Au départ, la Fédération internationale de l’automobile avait pensé au bois de Vincennes. On a dit non. Si on le faisait, il fallait frapper fort, au cœur de la ville. On assume ».
Enfin, « on », « on », c’est vite dit, puisque ce sera surtout le contribuable parisien qui va assumer, et c’est lui qu’on va frapper fort avec la jolie facture de l’événementiel branchouille écopublicitaire. De surcroît, il faut rappeler que cette magnifique illustration de la politique écologique gérée en dépit de tout bon sens aura nécessité l’épandage de plusieurs milliers de litres de bitume sur les pavés parisiens (un bitume bio, éco-conscient et syntonisé avec Gaïa, soyez en convaincus), avec de pesants engins de chantiers (qui ne roulent pas au bio-éthanol ou au bio-diesel, désolé). Bitume qu’il va falloir retirer une fois la manifestation terminée. Là encore, ce n’est pas cher, c’est le bio-État qui paye. À tel point que le projet a franchement irrité le groupe … écolo à la mairie tant le « bilan carbone » de la manifestation a été déplorable.
Autrement dit, en parfait accord avec les habitudes écologiques, on lance des projets dont le résultat est à peu près diamétralement opposé avec les buts officiellement recherchés, et tout le monde se congratule joyeusement en s’enfilant des coupettes de champ’, voire on relance le bastringue dans la foulée en décrétant non pertinente cette réalité qui refuse de se plier aux demandes impérieuses.
Compte-tenu des conclusions de l’étude Gloubi-Globiom, l’Union européenne aurait donc tout intérêt à diminuer nettement les incitations à produire un carburant finalement pas du tout écolo. L’avenir dira ce qu’il en est, mais, rassurez-vous, pendant ce temps, en France, le cap a été choisi et on n’en changera pas avant un moment: C’est décidé, même lorsque tout le monde aura compris l’erreur économique et écologique de ces produits, la France continuera de trouver des débouchés aux biocarburants.
Engie: Des performances freinées par les prix de l'énergie et la douceur des températures
http://www.lesechos.fr/
29/04/2016
Commentaire: (...) le groupe a engagé un virage stratégique avec l'ambition de se concentrer sur les énergies bas carbone, les services énergétiques et les activités à prix régulés ou fixés par contrat, moins risquées que celles exposées aux prix de marché. (...) . En définitive, qui va payer le «virage»?

Engie publie des résultats du premier trimestre 2016 pénalisés par les prix de l'énergie. - SIPA
Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité maintient malgré tout ses objectifs pour 2016 et ambitionne de devenir le chef de file mondial de la transition énergétique.
La chute des prix du gaz, du pétrole et de l'électricité a affecté les résultats d'Engie au premier trimestre 2016. La douceur des températures en France à cette même période a aussi pesé dans la balance. Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité a vu son chiffre d'affaires chuter de 14,3% à 18,9 milliards d'euros sur les trois premiers mois de l'année.
L'Ebitda s'est replié de 1,7% à 3,5 milliards d'euros tandis que le résultat opérationnel courant a légèrement progressé, de 0,4% à 2,4 milliards. À périmètre et taux de change constants, ces indicateurs de performance opérationnelle sont toutefois nettement en hausse (respectivement 2,3% et 5,9%), soutenus par le redémarrage de trois réacteurs nucléaires en Belgique et les premiers effets d'un programme d'économies de 2,8 milliards d'euros.
Engie s'est engagé dans un virage stratégique
Malgré tout, l'ex-GDF Suez a confirmé ses objectifs pour 2016. Pour l'ensemble de l'année, Engie continue à tabler sur un résultat net récurrent compris entre 2,4 et 2,7 milliards d'euros, un objectif qui repose sur une estimation d'Ebitda allant de 10,8 à 11,4 milliards
29/04/2016
Commentaire: (...) le groupe a engagé un virage stratégique avec l'ambition de se concentrer sur les énergies bas carbone, les services énergétiques et les activités à prix régulés ou fixés par contrat, moins risquées que celles exposées aux prix de marché. (...) . En définitive, qui va payer le «virage»?
«Angie, Angie, quand ces sombres nuages vont-ils disparaître?
Angie, Angie, où cela va-t-il nous mener ?
Sans amour dans nos âmes et sans argent dans nos poches
Tu ne peux pas dire que nous sommes satisfaits,
Mais Angie, Angie, tu ne peux pas dire que nous n'avons jamais essayé».
Angie, Angie, où cela va-t-il nous mener ?
Sans amour dans nos âmes et sans argent dans nos poches
Tu ne peux pas dire que nous sommes satisfaits,
Mais Angie, Angie, tu ne peux pas dire que nous n'avons jamais essayé».
Extrait de la chanson Angie, The Rolling Stones
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Engie publie des résultats du premier trimestre 2016 pénalisés par les prix de l'énergie. - SIPA
Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité maintient malgré tout ses objectifs pour 2016 et ambitionne de devenir le chef de file mondial de la transition énergétique.
La chute des prix du gaz, du pétrole et de l'électricité a affecté les résultats d'Engie au premier trimestre 2016. La douceur des températures en France à cette même période a aussi pesé dans la balance. Le producteur et fournisseur de gaz et d'électricité a vu son chiffre d'affaires chuter de 14,3% à 18,9 milliards d'euros sur les trois premiers mois de l'année.
L'Ebitda s'est replié de 1,7% à 3,5 milliards d'euros tandis que le résultat opérationnel courant a légèrement progressé, de 0,4% à 2,4 milliards. À périmètre et taux de change constants, ces indicateurs de performance opérationnelle sont toutefois nettement en hausse (respectivement 2,3% et 5,9%), soutenus par le redémarrage de trois réacteurs nucléaires en Belgique et les premiers effets d'un programme d'économies de 2,8 milliards d'euros.
Engie s'est engagé dans un virage stratégique
Malgré tout, l'ex-GDF Suez a confirmé ses objectifs pour 2016. Pour l'ensemble de l'année, Engie continue à tabler sur un résultat net récurrent compris entre 2,4 et 2,7 milliards d'euros, un objectif qui repose sur une estimation d'Ebitda allant de 10,8 à 11,4 milliards
Engie se rêve en chef de file mondial de la transition énergétique. Pour y parvenir, et affronter un environnement difficile , le groupe a engagé un virage stratégique avec l'ambition de se concentrer sur les énergies bas carbone, les services énergétiques et les activités à prix régulés ou fixés par contrat, moins risquées que celles exposées aux prix de marché.
Haute-Marne, Saints-Geosmes : pour le respect de l'Espace Boisé Classé de la zone commerciale
Comme un air de «foutage de gueule»!
RÉSISTANCE!
RÉSISTANCE!
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Une expertise...inexploitable en l'état !!
Marie-Hélène MAIRE
Ormancey France28 AVR. 2016
Bonjour,
L’expert judiciaire régulièrement désigné par la Cour d’Appel il y a plus d’un an – qui avait pour mission de répertorier tous les arbres et végétaux de notre parcelle sur une bande de deux mètres au-delà de la limite séparative - vient de rendre un rapport…inachevé et inexploitable par aucune des parties.
L’expert judiciaire régulièrement désigné par la Cour d’Appel il y a plus d’un an – qui avait pour mission de répertorier tous les arbres et végétaux de notre parcelle sur une bande de deux mètres au-delà de la limite séparative - vient de rendre un rapport…inachevé et inexploitable par aucune des parties.
En effet, il s’est contenté de se prononcer sur les 5 plus gros arbres (41 à 70 ans) pour conclure « qu’il existait bien trente ans avant la demande d’abattage par les voisins, des arbres et végétaux ayant à cette date dépassé la hauteur de 2 mètres. Ces arbres sont notamment les 5 précités ».
Point final.
Ce que toute personne du lieu ayant eu, disons, une dizaine d’années en 1982, a forcément en mémoire.
Nonobstant le statut de protection, il existe en lisière plus de 40 arbres (sans compter les autres végétaux sur lesquels l’impasse a été faite) dont le sort se joue...et le Juge n’a aucun élément sur quoi fonder sa décision.
L’indigence de cette expertise va de toute évidence conforter la partie perdante, quelle qu’elle soit, à aller en Cassation.
Pour ce travail non terminé en quasi 13 mois (« étudier » les arbres et autres végétaux sur 240 m²= 20 places de parking !) l’expert aura demandé une rémunération équivalente à 4 à 5 fois une intervention de haute technicité faite dans les règles de l’Art par un expert conseil de l’ONF ! Un smic net tous les 5 arbres !
Il n’a de plus aucunement été tenu compte du statut d’Espace Boisé Classé de notre bosquet, lequel n’est pas même évoqué dans ce rapport.
La date de l’audience n’est pas encore arrêtée.
Continuez, s’il vous plait, à nous soutenir en partageant et diffusant cet appel.
Merci à tous et à toutes.
Marie-Hélène MAIRE, Ingénieur forestier
Nucléaire civil: Un atout à consolider !
http://www.latribune.fr
Par Bruno Alomar
Par Bruno Alomar
28/04/2016
Commentaire: Non au nucléaire? Affirmatif! Mais le remplacer par quoi? Des énergies nouvelles intermittentes (éolien et solaire), mixées avec soit du gaz ou soit du charbon (CO2), nuisibles à la Santé publique, au coût exponentiel supporté par les contribuables et l'État, etc.? Avec pour finir, un service très loin du confort auquel le nucléaire nous a habitué. Réfléchissez à votre confort électrique actuel avant de crier avec les loups «écologiques» et autres consorts... car après, il sera trop tard!
Commentaire: Non au nucléaire? Affirmatif! Mais le remplacer par quoi? Des énergies nouvelles intermittentes (éolien et solaire), mixées avec soit du gaz ou soit du charbon (CO2), nuisibles à la Santé publique, au coût exponentiel supporté par les contribuables et l'État, etc.? Avec pour finir, un service très loin du confort auquel le nucléaire nous a habitué. Réfléchissez à votre confort électrique actuel avant de crier avec les loups «écologiques» et autres consorts... car après, il sera trop tard!
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(Crédits : DR)Contrairement à une opinion répandue, le nucléaire est en plein développement, à travers le monde. La France a des atouts à faire valoir. Bruno Alomar, enseignant en économie et institutions européennes à Sciences Po, ex membre du cabinet du commissaire européen à l'énergie.
Le secteur forestier utilisé pour esquiver les objectifs climatiques
EurActiv.com
Par : James Crisp
Par : James Crisp
Traduit par: Marion Candau
27 avr. 2016

Carbon accounting rules for forests need strengthening, campaigner say. Jose
Exclusif. Les failles dans la surveillance du secteur forestier permettent aux gouvernements européens de se soustraire à leurs engagements pour le climat et d’amasser des millions d’euros de crédits carbone.
Grâce à un système d’octroi de crédit de CO2 inadapté à la gestion des ressources forestières, les gouvernements européens peuvent amasser des millions d’euros de crédits carbone simplement en exagérant leur exploitation forestière puis en ne respectant pas leurs objectifs d’abattage des arbres .
Le système actuel octroie ou retire des crédits carbone sur la base de données de référence inchangées soumises par les États membres à la Commission européenne.
Résultat, au moins sept pays de l’UE – Royaume-Uni, Allemagne, Danemark, Finlande, Lituanie, Portugal et Slovaquie – ont soumis des données de référence élevées en 2013-2014, ce qui a produit une manne de 100 millions de tonnes de crédits carbone.
La Commission européenne a déclaré à EurActiv qu’elle était « consciente du risque potentiel » et que les règles de comptabilisation et leur interaction avec les lois sur le climat étaient prises en compte dans le travail préparatoire de la loi qui sera proposée avant l’été.
>> Lire : L’UE fait l’impasse sur la forêt dans sa politique climatique
Si ce vide juridique n’est pas comblé dans la prochaine loi européenne sur le climat, l’UE ne réduira ses gaz à effet de serre (GES) que de 33 % par rapport au niveau de 1990, au lieu des « 40 % au minimum » promis par les dirigeants européens, expliquent des responsables d’ONG.
Spécificité forestière
Aucun autre secteur ne base son niveau de référence sur le statu quo pour ce qui est des émissions de gaz à effet de serre. La plupart utilisent les références d’une année donnée, généralement 1990 ou 2005. Certains considèrent qu’étant donné que les forêts européennes ont gardé la même taille depuis des années, ce système permettrait de mesurer plus précisément la contribution réelle du secteur.
Les crédit carbone peuvent être utilisées par les gouvernements pour compenser les coûts des émissions de carbone d’autres secteurs polluants, ce qui serait « un désastre », selon Hannah Mowat, responsable climat et forêt chez FERN.
« S’il s’agit de choisir entre prendre des décisions difficiles dans les secteurs du transport ou de l’agriculture, ou ne faire pratiquement rien dans le secteur forestier et être récompensé, que feront les gouvernements d’après vous ? Les pays luttent avec acharnement pour avoir le plus de crédits possible. Si nous voulons que ce secteur devienne sérieux, il doit évoluer et se soumettre à des règles sérieuses et non pas à des règles préhistoriques », a ajouté Hannah Mowat.
Tout arbre laissé intact sera probablement abattu une fois que le gouvernement aura récupéré son trésor de crédits carbone, ce qui signifie que le système ne serait même pas capable de prévenir le réchauffement climatique, a-t-elle expliqué.
Loi imminente
La Commission pourrait inclure l’affectation des sols et l’exploitation forestière dans la décision relative au partage de l’effort, qui est l’un des deux instruments de l’UE pour atteindre les objectifs 2030 de réduction des émissions d’au moins 40 %. Le projet de loi devrait être présenté le 10 juillet.
Le terme « utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie » (UTCATF) est utilisé pour décrire l’impact de l’affectation des sols et de l’exploitation forestière sur les émissions de GES.
L’ONG FERN soutient que si les crédits UTCATF étaient calculés en utilisant les règles actuelles et étaient inclus dans la décision relative au partage de l’effort, cela réduirait l’objectif de 40 % de 3 à 7 %.
Le projet de loi s’appuie sur l’accord historique conclu à Paris en décembre dernier pour limiter le réchauffement climatique.
Lors de la conférence de l’ONU, les gouvernements du monde entier se sont accordés à limiter le réchauffement de la planète à deux degrés au-dessus du niveau préindustriel, et à faire un compte rendu de leurs avancées tous les cinq ans. Un objectif « ambitieux » de 1,5 degré a également été fixé.
>> Lire : Les forêts européennes peu efficaces contre le réchauffement climatique
Le lien avec l’ONU est particulièrement pertinent puisque l’UTCATF est utilisée dans la comptabilisation des émissions de CO2 pour la deuxième période d’engagement du protocole de Kyoto, le prédécesseur de l’accord de Paris.
Alors qu’il ne faisait pas partie des objectifs 2020 de l’UE pour le climat et l’énergie, les responsables de campagne craignent que l’UTCATF soit intégré aux objectifs 2030.
« Avant l’été, la Commission présentera des propositions sur la décision de répartition de l’effort, et notamment sur l’UTCATF qui s’inscrit dans la mise en place du cadre 2030 pour le climat et l’énergie », a déclaré un porte-parole de l’exécutif.
« Les règles de comptabilisation de l’UTCATF et leur interaction avec la décision de répartition de l’effort sont des éléments importants qui doivent être pris en compte dans le travail préparatoire en cours », a précisé le porte-parole.
Toute loi devra avoir « un véritable pare-feu » entre les secteurs, a estimé Hannah Mowat, « pour éviter de donner une trop grande souplesse » qui permettrait de déjouer le système.
CONTEXTE
La Commission définit l'UTCATF comme suit :
L'UTCATF (utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie) couvre les émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et le captage du carbone de l'atmosphère par les sols, les arbres, les plantes, la biomasse et le bois.
Les forêts et terres agricoles couvrent actuellement plus des trois quarts du territoire européen et retiennent naturellement de grandes quantités de carbone, qui ne s'échappe donc pas dans l'atmosphère. L'assèchement des tourbières, l'abattage des forêts et la laboure des prairies génères des émissions. À l'inverse, la réhumidification des sols, le reboisement et la conversion de terres agricoles en pâturages peuvent entrainer un meilleur captage du carbone.
Les efforts et meilleures pratiques de captage de carbone dans les forêts et les sols des agriculteurs et des propriétaires de zones forestières n'ont été que partiellement inclus dans les accords internationaux, principalement à cause de la difficulté de générer des données précises sur ce captage et le manque de règle commune sur la mesure des émissions et leur élimination.
PROCHAINES ÉTAPES
10 juillet 2012: Date prévue pour la présentation du projet de loi sur l'UTCATF et la décision de répartition de l'effort.
27 avr. 2016
Carbon accounting rules for forests need strengthening, campaigner say. Jose
Exclusif. Les failles dans la surveillance du secteur forestier permettent aux gouvernements européens de se soustraire à leurs engagements pour le climat et d’amasser des millions d’euros de crédits carbone.
Grâce à un système d’octroi de crédit de CO2 inadapté à la gestion des ressources forestières, les gouvernements européens peuvent amasser des millions d’euros de crédits carbone simplement en exagérant leur exploitation forestière puis en ne respectant pas leurs objectifs d’abattage des arbres .
Le système actuel octroie ou retire des crédits carbone sur la base de données de référence inchangées soumises par les États membres à la Commission européenne.
Résultat, au moins sept pays de l’UE – Royaume-Uni, Allemagne, Danemark, Finlande, Lituanie, Portugal et Slovaquie – ont soumis des données de référence élevées en 2013-2014, ce qui a produit une manne de 100 millions de tonnes de crédits carbone.
La Commission européenne a déclaré à EurActiv qu’elle était « consciente du risque potentiel » et que les règles de comptabilisation et leur interaction avec les lois sur le climat étaient prises en compte dans le travail préparatoire de la loi qui sera proposée avant l’été.
>> Lire : L’UE fait l’impasse sur la forêt dans sa politique climatique
Si ce vide juridique n’est pas comblé dans la prochaine loi européenne sur le climat, l’UE ne réduira ses gaz à effet de serre (GES) que de 33 % par rapport au niveau de 1990, au lieu des « 40 % au minimum » promis par les dirigeants européens, expliquent des responsables d’ONG.
Spécificité forestière
Aucun autre secteur ne base son niveau de référence sur le statu quo pour ce qui est des émissions de gaz à effet de serre. La plupart utilisent les références d’une année donnée, généralement 1990 ou 2005. Certains considèrent qu’étant donné que les forêts européennes ont gardé la même taille depuis des années, ce système permettrait de mesurer plus précisément la contribution réelle du secteur.
Les crédit carbone peuvent être utilisées par les gouvernements pour compenser les coûts des émissions de carbone d’autres secteurs polluants, ce qui serait « un désastre », selon Hannah Mowat, responsable climat et forêt chez FERN.
« S’il s’agit de choisir entre prendre des décisions difficiles dans les secteurs du transport ou de l’agriculture, ou ne faire pratiquement rien dans le secteur forestier et être récompensé, que feront les gouvernements d’après vous ? Les pays luttent avec acharnement pour avoir le plus de crédits possible. Si nous voulons que ce secteur devienne sérieux, il doit évoluer et se soumettre à des règles sérieuses et non pas à des règles préhistoriques », a ajouté Hannah Mowat.
Tout arbre laissé intact sera probablement abattu une fois que le gouvernement aura récupéré son trésor de crédits carbone, ce qui signifie que le système ne serait même pas capable de prévenir le réchauffement climatique, a-t-elle expliqué.
Loi imminente
La Commission pourrait inclure l’affectation des sols et l’exploitation forestière dans la décision relative au partage de l’effort, qui est l’un des deux instruments de l’UE pour atteindre les objectifs 2030 de réduction des émissions d’au moins 40 %. Le projet de loi devrait être présenté le 10 juillet.
Le terme « utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie » (UTCATF) est utilisé pour décrire l’impact de l’affectation des sols et de l’exploitation forestière sur les émissions de GES.
L’ONG FERN soutient que si les crédits UTCATF étaient calculés en utilisant les règles actuelles et étaient inclus dans la décision relative au partage de l’effort, cela réduirait l’objectif de 40 % de 3 à 7 %.
Le projet de loi s’appuie sur l’accord historique conclu à Paris en décembre dernier pour limiter le réchauffement climatique.
Lors de la conférence de l’ONU, les gouvernements du monde entier se sont accordés à limiter le réchauffement de la planète à deux degrés au-dessus du niveau préindustriel, et à faire un compte rendu de leurs avancées tous les cinq ans. Un objectif « ambitieux » de 1,5 degré a également été fixé.
>> Lire : Les forêts européennes peu efficaces contre le réchauffement climatique
Le lien avec l’ONU est particulièrement pertinent puisque l’UTCATF est utilisée dans la comptabilisation des émissions de CO2 pour la deuxième période d’engagement du protocole de Kyoto, le prédécesseur de l’accord de Paris.
Alors qu’il ne faisait pas partie des objectifs 2020 de l’UE pour le climat et l’énergie, les responsables de campagne craignent que l’UTCATF soit intégré aux objectifs 2030.
« Avant l’été, la Commission présentera des propositions sur la décision de répartition de l’effort, et notamment sur l’UTCATF qui s’inscrit dans la mise en place du cadre 2030 pour le climat et l’énergie », a déclaré un porte-parole de l’exécutif.
« Les règles de comptabilisation de l’UTCATF et leur interaction avec la décision de répartition de l’effort sont des éléments importants qui doivent être pris en compte dans le travail préparatoire en cours », a précisé le porte-parole.
Toute loi devra avoir « un véritable pare-feu » entre les secteurs, a estimé Hannah Mowat, « pour éviter de donner une trop grande souplesse » qui permettrait de déjouer le système.
CONTEXTE
La Commission définit l'UTCATF comme suit :
L'UTCATF (utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie) couvre les émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et le captage du carbone de l'atmosphère par les sols, les arbres, les plantes, la biomasse et le bois.
Les forêts et terres agricoles couvrent actuellement plus des trois quarts du territoire européen et retiennent naturellement de grandes quantités de carbone, qui ne s'échappe donc pas dans l'atmosphère. L'assèchement des tourbières, l'abattage des forêts et la laboure des prairies génères des émissions. À l'inverse, la réhumidification des sols, le reboisement et la conversion de terres agricoles en pâturages peuvent entrainer un meilleur captage du carbone.
Les efforts et meilleures pratiques de captage de carbone dans les forêts et les sols des agriculteurs et des propriétaires de zones forestières n'ont été que partiellement inclus dans les accords internationaux, principalement à cause de la difficulté de générer des données précises sur ce captage et le manque de règle commune sur la mesure des émissions et leur élimination.
PROCHAINES ÉTAPES
10 juillet 2012: Date prévue pour la présentation du projet de loi sur l'UTCATF et la décision de répartition de l'effort.
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«On n'est pas cons... on est gentils! Mais attention»
https://www.facebook.com/Les.Sentinelles.de.lArve/
Commentaire: «(…) Il se dessine de façon tangible, dans votre génération qui monte, mon camarade, une espèce d’ambition glacée d’arriver par le fric et un mépris cynique de tous les idéaux assez peu compatible avec l’idée qu’on se fait de la jeunesse éternelle génératrice de fougues irréfléchies et de colères gratuites».
Pierre Desproges (1939-1988)
Détendons-nous
Commentaire: «(…) Il se dessine de façon tangible, dans votre génération qui monte, mon camarade, une espèce d’ambition glacée d’arriver par le fric et un mépris cynique de tous les idéaux assez peu compatible avec l’idée qu’on se fait de la jeunesse éternelle génératrice de fougues irréfléchies et de colères gratuites».
Pierre Desproges (1939-1988)
Détendons-nous
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Malmené par la chute du pétrole, le norvégien Statoil s’essaie aux renouvelables
Le 27/042016
Commentaire: Quelle franchise! Voilà, les choses sont claires: Pour se renflouer, rien de tel qu'un investissement dans l'éolien subventionné. Certainement que dans leur «tournée» de reconquête de bénéfices, ces «défenseurs» de l'Environnement, ne manqueront pas de passer par la France où SuperRoyal et nos élus leur feront bon accueil à n'en pas douter; à eux et... à leurs beaux discours sur l'argent, l'artiche, les biffetons, le blé, la caillasse, le flouze, la maille, l' oseille, les pépètes, le pèze, le pognon, les ronds, la thune, etc.
Commentaire: Quelle franchise! Voilà, les choses sont claires: Pour se renflouer, rien de tel qu'un investissement dans l'éolien subventionné. Certainement que dans leur «tournée» de reconquête de bénéfices, ces «défenseurs» de l'Environnement, ne manqueront pas de passer par la France où SuperRoyal et nos élus leur feront bon accueil à n'en pas douter; à eux et... à leurs beaux discours sur l'argent, l'artiche, les biffetons, le blé, la caillasse, le flouze, la maille, l' oseille, les pépètes, le pèze, le pognon, les ronds, la thune, etc.
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE et BASTA!
Élection de la plus belle ville fortifiée de France: Votez pour Langres
http://haute-marne.fr

Langres est candidate à l’élection de la plus belle ville fortifiée de France, organisée par hotel.info, du 13 avril au 4 mai.
Commentaire: Faux culs! Feindre d'aimer Langres alors que plus de 250 éoliennes vont la défigurer à jamais et sans que vos conseillers généraux ne bougent! Dehors! À vomir!!!
«L’argent, ah ! Maudite engeance, fléau des humains ! Il ruine les cités, il chasse les hommes de leurs maisons ; maître corrupteur, il pervertit les consciences, leur enseigne des ruses criminelles, les initie à toutes les impiétés»
Sophocle (495-406 av. J.C), Antigone
Sophocle (495-406 av. J.C), Antigone
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Langres est candidate à l’élection de la plus belle ville fortifiée de France, organisée par hotel.info, du 13 avril au 4 mai.
Aveyron : ceux qui font honneur, ne sont pas ceux qu'on croit
Remarquable écriture pour cette réponse-explication de texte à l'encontre de tous ces élus pro-éoliens, aveyronnais pour l'occasion. Ceux qui font honneur, ne sont pas ceux qu'on croit!
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE ET BASTA!
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Réaction du Collectif CO-27-XII Environnement aux récents propos de M. Cantos, président de la C.C.I. Aveyron.
Censé représenter sans distinction ses ressortissants, censé aussi faire preuve de discernement et de retenue. Il n'a de cesse pourtant de stigmatiser telle ou telle composante de la population aveyronnaise, à l'aune de la seule question des énergies renouvelables, de l'éolien en particulier. Profondément regrettable et déplacé.
Tchernobyl, 30 ans plus tard: Rumeurs et vérités
Énergie et matières premières
Par Michel Gay.
Publié le 26 avril 2016
Commentaire: «La vérité nous paraît toujours odieuse quand elle ne nous est pas favorable».
Jean-Baptiste Massillon (1663-1742)
Une analyse des chiffres qui ont été donnés au fil des années sur Tchernobyl montre qu’il est difficile d’avoir accès à des informations fiables et que le nucléaire reste un sujet sensible.

Le samedi 26 avril 1986, à 1h23, le réacteur nucléaire de Tchernobyl explose, avec rejet de matières radioactives dans l’atmosphère sous forme de gaz, d’aérosols et de combustible finement fragmenté. C’était il y a tout juste 30 ans. Cet accident nucléaire, le plus grave survenu dans le monde, va entraîner le déplacement de 270 000 personnes.
Par Michel Gay.
Publié le 26 avril 2016
Commentaire: «La vérité nous paraît toujours odieuse quand elle ne nous est pas favorable».
Jean-Baptiste Massillon (1663-1742)
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Une analyse des chiffres qui ont été donnés au fil des années sur Tchernobyl montre qu’il est difficile d’avoir accès à des informations fiables et que le nucléaire reste un sujet sensible.
Le samedi 26 avril 1986, à 1h23, le réacteur nucléaire de Tchernobyl explose, avec rejet de matières radioactives dans l’atmosphère sous forme de gaz, d’aérosols et de combustible finement fragmenté. C’était il y a tout juste 30 ans. Cet accident nucléaire, le plus grave survenu dans le monde, va entraîner le déplacement de 270 000 personnes.
Propriétaires éoliens: Socles en béton, férailles et autres petits désagréments
France & éoliennes
Ludovic Grangeon
28 octobre 2012
Commentaire: Propriétaires: Plus dure, sera la chute!
Le site de Benoit Coussy, avocat à Paris, confirme la très mauvaise surprise qui menace tout propriétaire accordant une location de son terrain à un promoteur éolien.
Ludovic Grangeon
28 octobre 2012
Commentaire: Propriétaires: Plus dure, sera la chute!
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Le site de Benoit Coussy, avocat à Paris, confirme la très mauvaise surprise qui menace tout propriétaire accordant une location de son terrain à un promoteur éolien.
Marché de l'électricité européen: Entre mythes et réalité
http://ufe-electricite.fr/
25 avril 2016

Quand on en vient à parler d’électricité à l’échelle européenne, visiblement, un peu de pédagogie s’impose ! Si peu de citoyens de l’UE connaissent ce que recouvre réellement leur facture d’électricité, beaucoup ont carrément une vision déformée du fonctionnement même du marché de l’électricité européen et, de facto, de ses conséquences sur leur facture ou sur les entreprises du secteur. D’où l’intéressante note réalisée le 15 avril dernier par Eurelectric autour des mythes et réalités du marché de détail de l’électricité en Europe…
25 avril 2016
Quand on en vient à parler d’électricité à l’échelle européenne, visiblement, un peu de pédagogie s’impose ! Si peu de citoyens de l’UE connaissent ce que recouvre réellement leur facture d’électricité, beaucoup ont carrément une vision déformée du fonctionnement même du marché de l’électricité européen et, de facto, de ses conséquences sur leur facture ou sur les entreprises du secteur. D’où l’intéressante note réalisée le 15 avril dernier par Eurelectric autour des mythes et réalités du marché de détail de l’électricité en Europe…
Pour une société « sans miroir assassin »
http://www.lutopik.comPropos retranscrits par Guillaume
Dessin : Caroline Pageaud
ven, 04/03/2016
Commentaire: Les vieux Jacques Brel https://youtu.be/GhIs2gD28v0
Dessin : Caroline Pageaud
ven, 04/03/2016
Commentaire: Les vieux Jacques Brel https://youtu.be/GhIs2gD28v0
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Suzanne Weber, 87 ans, est l’auteure d’Avec le temps… De la vieillesse dans les sociétés occidentales et de quelques moyens de la réhabiliter (Los Solidarios, les éditions Libertaires). Cette militante libertaire, ancienne professeure de mathématiques, analyse les difficultés d’être vieux dans notre société moderne.
Éolienne: Un travail de fonds digne... d'un sénateur
ACB, Association horizons libres
25/04/2016
Voici présenté un cas typique d'opposition de pro-éolien (sénateur) et d'anti-éolien (citoyen).
D'un côté, un sénateur qui justifie sa position en «récitant» le bréviaire éolien: Études d'impact et de faisabilité réalisées selon les procédures en vigueur,les efficaces éoliennes de 3eme génération dite à «vent faible», les garanties suffisantes apportées aux citoyens par les différentes autorisations administratives et autres commissions, et... la fidélité au parti. C'est tout.Quelle paresse/complicité intellectuelles.
De l'autre, une argumentation charpentée faisant références aux rapports de l'Adème,de France Ingénieur, de l'INSA, etc..Une excellente connaissance des dossiers en cours sur le département de la Nièvre. Un savoir pointu des procédures de délivrances de permis de construire et d'autorisation d'exploiter qui viennent déjuger et ridiculiser le sénateur. Bref, un travail de fonds digne ... d'un sénateur!
25/04/2016
Voici présenté un cas typique d'opposition de pro-éolien (sénateur) et d'anti-éolien (citoyen).
D'un côté, un sénateur qui justifie sa position en «récitant» le bréviaire éolien: Études d'impact et de faisabilité réalisées selon les procédures en vigueur,les efficaces éoliennes de 3eme génération dite à «vent faible», les garanties suffisantes apportées aux citoyens par les différentes autorisations administratives et autres commissions, et... la fidélité au parti. C'est tout.Quelle paresse/complicité intellectuelles.
De l'autre, une argumentation charpentée faisant références aux rapports de l'Adème,de France Ingénieur, de l'INSA, etc..Une excellente connaissance des dossiers en cours sur le département de la Nièvre. Un savoir pointu des procédures de délivrances de permis de construire et d'autorisation d'exploiter qui viennent déjuger et ridiculiser le sénateur. Bref, un travail de fonds digne ... d'un sénateur!
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Les guerres de Bourgogne (1474-1477): Comment les pâtres suisses ont vaincu Charles le Téméraire
https://www.herodote.net
Les guerres de Bourgogne (1474-1476) constituent un tournant dans l'Histoire de l'Europe et celle de la Suisse. D'une exceptionnelle violence, même pour l'époque, elles mettent aux prises les soldats-paysans de la Confédération et les mercenaires lombards du duc Charles le Téméraire.
Hervé de Weck
24/04/2016
Commentaire: Ce que l'on a fait une fois peut-être refait: Défendons nos territoires contre les envahisseurs éoliens.
24/04/2016
Commentaire: Ce que l'on a fait une fois peut-être refait: Défendons nos territoires contre les envahisseurs éoliens.
Objectif ZÉRO éolienne et BASTA!
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Les guerres de Bourgogne (1474-1476) constituent un tournant dans l'Histoire de l'Europe et celle de la Suisse. D'une exceptionnelle violence, même pour l'époque, elles mettent aux prises les soldats-paysans de la Confédération et les mercenaires lombards du duc Charles le Téméraire.
Pour un savoir engagé
par Pierre Bourdieu
Commentaire: «[...] Il faut prendre des risques. Il ne s’agit pas de défiler, bras dessus bras dessous, comme le font traditionnellement les syndicalistes le 1er mai. Il faut faire des actions, des occupations de locaux, etc. Ce qui demande à la fois de l’imagination et du courage. [...].
Intellectuel et militant
Depuis les grèves de novembre et décembre 1995 en France, les interventions de Pierre Bourdieu ont été l’objet de critiques, souvent violentes, notamment de la part des journalistes et des intellectuels médiatiques dont il avait analysé le rôle social. Ce qui semble les avoir choqués avant tout, c’est qu’un « savant » intervienne aussi activement dans le domaine « politique ». L’implication du sociologue dans l’espace public remonte néanmoins au début des années 1960, à propos de la guerre d’Algérie.
Commentaire: «[...] Il faut prendre des risques. Il ne s’agit pas de défiler, bras dessus bras dessous, comme le font traditionnellement les syndicalistes le 1er mai. Il faut faire des actions, des occupations de locaux, etc. Ce qui demande à la fois de l’imagination et du courage. [...].
Ayons cette imagination et ce courage pour virer à grands «coups de pieds au cul» de nos territoires et de la France, les «vautours» éoliens et tous leurs «amis», «collaborateurs» et autres «complices».
OBJECTIF ZÉRO ÉOLIENNE et BASTA!
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Intellectuel et militant
Depuis les grèves de novembre et décembre 1995 en France, les interventions de Pierre Bourdieu ont été l’objet de critiques, souvent violentes, notamment de la part des journalistes et des intellectuels médiatiques dont il avait analysé le rôle social. Ce qui semble les avoir choqués avant tout, c’est qu’un « savant » intervienne aussi activement dans le domaine « politique ». L’implication du sociologue dans l’espace public remonte néanmoins au début des années 1960, à propos de la guerre d’Algérie.
Au Salon des boulots de merde
paru dans CQFD n°142 (avril 2016)
par Julien Brygo, Olivier Cyran,
illustré par Emilie Seto
Le 04/04/2016
Commentaire: «Tout métier qui ne fait pas oublier le travail est un esclavage»
Henri Jeanson (1900-1970)
En pleine mobilisation contre la loi Travail, les employeurs de salariés low-cost tenaient salon à Paris. Tandis que McDonald’s, Carrefour, Sodexo, Monoprix et consorts se pliaient en quatre pour ferrer du chômeur, un coach en « management motivationnel » exhortait les futures recrues à se prendre pour Usain Bolt. Monde du travail, monde de tarés.
par Julien Brygo, Olivier Cyran,
illustré par Emilie Seto
Le 04/04/2016
Commentaire: «Tout métier qui ne fait pas oublier le travail est un esclavage»
Henri Jeanson (1900-1970)
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En pleine mobilisation contre la loi Travail, les employeurs de salariés low-cost tenaient salon à Paris. Tandis que McDonald’s, Carrefour, Sodexo, Monoprix et consorts se pliaient en quatre pour ferrer du chômeur, un coach en « management motivationnel » exhortait les futures recrues à se prendre pour Usain Bolt. Monde du travail, monde de tarés.
Emprunts toxiques : réponse favorable pour 90% des demandes d’aide des collectivités
http://www.maire-info.com/
Le fonds de soutien aux collectivités touchées par des emprunts toxiques a fait une proposition d’aide pour 90 % des dossiers qu’il a reçus de la part de 632 institutions, a indiqué hier Bercy. Ainsi, selon le ministère, 93 % des collectivités ayant déposé un dossier seront aidées – dont 99 % des communes de moins 10 000 habitants –, puisque 1 051 prêts sur 1 163 dossiers jugés éligibles, ont fait l’objet d’une proposition d’aide, selon un point d’étape du ministère des Finances.
« Ces chiffres sont une bonne nouvelle car cela signifie qu’en 2016 nous pourrons enfin tourner la page du sujet emprunts toxiques qui empoisonne depuis trop longtemps les relations entre l’État et les collectivités », s’est réjoui le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, dans une déclaration à l’AFP.
21/04/2016
Commentaire: Nos élus jouent au «trader» et... perdent. À l'arrivée, l'État (fonds de soutien), NOUS, paye. Pas belle la vie? À vomir.
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Le fonds de soutien aux collectivités touchées par des emprunts toxiques a fait une proposition d’aide pour 90 % des dossiers qu’il a reçus de la part de 632 institutions, a indiqué hier Bercy. Ainsi, selon le ministère, 93 % des collectivités ayant déposé un dossier seront aidées – dont 99 % des communes de moins 10 000 habitants –, puisque 1 051 prêts sur 1 163 dossiers jugés éligibles, ont fait l’objet d’une proposition d’aide, selon un point d’étape du ministère des Finances.
« Ces chiffres sont une bonne nouvelle car cela signifie qu’en 2016 nous pourrons enfin tourner la page du sujet emprunts toxiques qui empoisonne depuis trop longtemps les relations entre l’État et les collectivités », s’est réjoui le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, dans une déclaration à l’AFP.
Obligations vertes: Encore de nouvelles dettes
H16Édito
Youpi ! Ce 22 avril, à New-York, l’accord de la COP21 sera ouvert à la signature des pays participants, et vous pouvez compter sur Ségolène Royal, sa nouvelle présidente, pour en vendre le succès haut et fort. Et ce, même si, en coulisse, ce sera un échec, et même si, en parallèle, tout indique que l’escroquerie écolo est en train de s’effondrer sous ses propres mensonges.
Publié le 22 avril 2016
Commentaire: Investisseurs privés dans le «vert», avec SuperRoyal, tu as trouvé le partenaire idéal. T'inquiète pas, tout est payé par l'État et... les contribuables. Dort tranquille. Avec SuperRoyal, assurée ta martingale!
Commentaire: Investisseurs privés dans le «vert», avec SuperRoyal, tu as trouvé le partenaire idéal. T'inquiète pas, tout est payé par l'État et... les contribuables. Dort tranquille. Avec SuperRoyal, assurée ta martingale!
RÉSISTANCE!
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Youpi ! Ce 22 avril, à New-York, l’accord de la COP21 sera ouvert à la signature des pays participants, et vous pouvez compter sur Ségolène Royal, sa nouvelle présidente, pour en vendre le succès haut et fort. Et ce, même si, en coulisse, ce sera un échec, et même si, en parallèle, tout indique que l’escroquerie écolo est en train de s’effondrer sous ses propres mensonges.
Le watt utile pour évaluer le coût des sources d’électricité
jeudi 3 mai 2012, par PH
Commentaire: À la lecture de cet éclairage pertinent et compréhensif pour le commun des mortels, sur le coût réel de la production électrique selon le vecteur (nucléaire, éolien, photovoltaïque), on peut se demander comment, au jour d'aujourd'hui et pour l'avenir, SuperRoyal et ses «amis» du monde des médias, du Giec, de l'écologie, élus locaux, des ONG, etc. continuent à encourager par tous les moyens la course au développement éolien? Oui, pourquoi?
RÉSISTANCE!
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Une source électrique possède une certaine puissance, mais elle ne produit pas cette puissance continuellement. Le parc nucléaire français, par exemple, fonctionne à 75%, car la demande est plus faible en été. Au contraire les pays qui ont majoritairement un parc fossile font tourner continuellement les réacteurs nucléaires à la puissance maximale, compte-tenu des déchargements et des visites de sécurité, on peut considérer que le parc produit alors en moyenne 90% de sa puissance maximale. Ce rapport entre la production moyenne et la production qui serait maximale est le facteur de charge.
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LA MONARCHIE RÉPUBLICAINE ET SON SOUTIEN INÉBRANLABLE AUX ÉNERGIES RENOUVELABLES
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