Le coût de démantèlement des éoliennes est officiellement chiffré à 50000 euros alors que tous les devis de professionnels atteignent au moins 450 000 euros, socle de béton en plus. 
Les Français vivent désormais sans le savoir au milieu d’un champ de 8000 mines à retardement. L'opinion publique a basculé cet été 2018 vers le rejet franc et massif de ce procédé. Les sondages encore cette semaine dans Le Figaro virent de bord vers une majorité de sceptiques sur le caractère pseudo « écologique » de la filière des promoteurs éoliens, financiers repeints en vert.
Ils ont raison. On ne peut tromper la 
population éternellement. Les conséquences d’une installation anarchique
 sur l’ensemble du territoire se font palpables et très négatives, voire
 menaçantes pour l’avenir. Désormais, l’insupportable est atteint après 
des années de propagande médiatique très intéressée. Plusieurs
 conseils régionaux et départementaux et non des moindres, comme les 
Hauts de France ou l’Allier, viennent de voter des motions d’arrêt d’un 
éolien inefficace, très pénalisant pour les territoires et super 
spéculatif.
Des milieux de pression très bien 
financés, des maires isolés dociles ou cyniques, des réseaux de 
financement pas toujours très clairs, comme l’a démontré l’enquête de la
 Commission de régulation de l’énergie, ont contribué à miner le 
territoire français. Ces 
éoliennes n’ont pas été implantées là où existait le besoin, près des 
villes ou des concentrations industrielles. Elles ont été placées là où 
c’était facile de le faire, du moment qu’on trouve un endroit isolé, 
avec peu d’opposants et des propriétaires complaisants, et beaucoup 
d’amis dans les cabinets ministériels. 50 milliards d’efforts, 
sur dix ans, payés par le contribuable, un tiers du territoire français 
concerné, pour à peine 4 à 5% de l’électricité nationale, et seulement 
un jour sur cinq d’assuré en production. Quel désastre... sauf pour 
quelques fortunés, y compris les quelques fondateurs d’EDF Énergies 
Nouvelles, dont les centaines (oui ! centaines…!) de millions d’euros 
sont bien au chaud au Luxembourg, même pas en France.
Ces
 installations, souvent implantées en rase campagne dans des sites 
isolés, sont théoriquement classées ICPE, c’est-à-dire installation 
industrielle à risque, mais leur surveillance est hasardeuse. Il suffit 
de fréquenter un site éolien pour constater qu’il n’y a personne et pas 
un seul emploi sur place, ni aucune précaution particulière de 
surveillance. Pourtant, ces installations industrielles 
présentent plus de risques que les discours lénifiants ne le laissent 
entendre. La plupart du temps, c’est un simple artisan électricien qui 
est chargé de venir jeter un coup d’œil de temps en temps. La 
télésurveillance est faite par des robots et de l’étranger, quand ils 
marchent. On sait que les profits les plus juteux sont faits à la construction des éoliennes, jusqu’à un million et plus par éolienne.
 La suite n’est donc pas étonnante. On trouve aujourd'hui en Allemagne 
ou en Grande-Bretagne des éoliennes d'occasion à 200 000 euros alors que
 ces opérations sont facturées jusqu'à 3 million par éolienne... Où est 
la vérité? Y compris pour les banques ?
Un récent incendie d'éolienne dans le Jura
 a failli embraser un massif forestier entier, évité de justesse par 
plus de 30 pompiers. Il n’existe aucun plan d’urgence pour toutes les 
opérations à proximité de forêts, aucune précaution des incidents de 
promeneurs aucune assurance sur les dispositifs anti-pollution 
théoriques. De nombreuses rave parties utilisent les sites 
d'éoliennes isolés, devenus des hypermarchés de stupéfiants, et visibles
 de loin avec leurs clignotants. Une pale de plusieurs tonnes est tombée
 à quelques mètres de l’autoroute A10, mais l’opérateur, pourtant 
filiale d’EDF, a mis plusieurs jours à réagir. L'érosion des sols 
commence à se voir à l' œil nu sur les nombreuses opérations implantées 
en plein champ en Beauce ou ailleurs. Un accident d’avion sur un vol 
sans histoire vient de se produire par hasard à proximité d’un important
 champ d’éoliennes vers Issoire. On attend l’enquête avec inquiétude sur
 les pressions éventuelles. Déjà un accident mortel de montgolfière a 
fait naitre de nombreux doutes à proximité d’un champ d’éoliennes vers 
Château-Thierry, selon les termes des autorités préfectorales. Qu’en 
sera-t-il si les éoliennes en mer sont implantées à proximité des côtes 
avec de multiples aérodromes à proximité ?
Une éolienne moyenne brasse 30 tonnes d’air à la seconde par simple vent de 18 km/h.
 La sécurité aérienne australienne émet des recommandations d’évitement 
jusqu’à 12 km des éoliennes, beaucoup moins inoffensives qu’il n’y 
parait, après plusieurs accidents évités de justesse, y compris un gros 
appareil d'un modèle utilisé par le Président des USA.
Les massifs de béton enfouis dans le sol 
ont été discrètement évacués de la réglementation mais ils restent à la 
charge des propriétaires, qui souvent l'ignorent. Ce sont autant de 
bombes à retardement qui les ruineront en centaines de milliers d’euros 
de dépollution à la moindre alerte d’atteinte du sous-sol, des eaux 
souterraines, et sur simple demande d’une association de protection de 
la nature. Le coût de 
démantèlement des éoliennes est officiellement chiffré à 50 000 
euros alors que tous les devis de professionnels atteignent au moins 
450 000 euros, socle de béton en plus. Les lanthanides, matériaux
 magnétiques largement utilisés dans les alternateurs des éoliennes, 
polluent plus à l’extraction que les minerais radioactifs, et leur 
dispersion par usure est au moins aussi dangereuse que l’amiante.
La revue American Thinker 
rappelle qu’il existe 14 000 éoliennes rouillées aux USA, cyniquement 
abandonnées par leurs propriétaires dont les nombreuses filiales 
financières empêchent de retrouver la trace. Or ce système de filiales 
complexes est exactement le même en France et on peut supposer que les 
arrières pensées ne sont pas très loin. Une mystérieuse banque 
égyptienne inconnue en Europe, pourtant impliquée dans des scandales de 
corruption selon le Financial Times, est devenue propriétaire de l’un 
des opérateurs connus en France. Qu’en sera-t-il tôt ou tard des 
autres ?
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