https://www.rtbf.be
30/11/2017
Extrait de l'article
La transition énergétique vers des sources d’énergies renouvelables,
comme le solaire ou l’éolien, risque d’être assez globalement
défavorable à la croissance économique. C'est ce qu'on peut lire mardi
matin dans une étude publiée par la revue Regards économiques.
*******************************************************************
Extraits de l'étude par Les Vues
" L'indignation est un commencement. Une manière de se lever et de se mettre en route. On s'indigne, on s'insurge, et puis on voit. " BENSAÏD Daniel
L’économie de l’éolien, de plus en plus concentrée, n’est pas alternative
Grégoire Souchay (Reporterre)
Commentaire : ou comment comprendre pourquoi l'éolien n'est que du business, uniquement du business. et définitivement du business.
Le secteur de l’énergie éolienne concerne de multiples acteurs aux rôles bien spécifiques, du « turbinier » à l’exploitant en passant par le développeur et l’« agrégateur ». Avec la dérégulation du marché de l’énergie, le secteur n’échappe pas non plus à la concentration et à la financiarisation.
Cet article est le troisième d’une série en cinq volets.
. volet 1 : « L’éolien signe la fracture entre deux visions de l’écologie »
. volet 2 : « Les éoliennes : pourquoi si hautes ? comment ça marche ? combien sont-elles ? ».
Il n’était peut-être pas nécessaire de commencer par l’atelier spécifique sur les « bridages acoustiques » et la différence entre les « balourds aérodynamiques et massiques ». Et pourtant, c’est bien de cela dont on parlait, ces 19 et 20 septembre, à Paris, pour cette 8e édition du colloque national éolien dédié aux « solutions concrètes pour la France de demain ». Un rendez-vous organisé par l’association France énergie éolienne, qui regroupe 90 % des acteurs de l’éolien en France. Comprenez : des entreprises de la filière venues du monde entier, et qui investissent et travaillent sur le territoire français.
Bienvenue dans un monde où tout est bleu, comme le ciel, et blanc, comme les machines. Un rendez-vous au croisement entre le monde des ingénieurs, des techniciens et des commerciaux. Ici, comme dans beaucoup d’autres sphères, on croise essentiellement des hommes blancs en costume, plutôt jeunes. La plupart ne travaillent dans le domaine que depuis moins de cinq ans : « La filière est encore jeune », m’explique-t-on. Si jeune qu’on n’hésite pas à utiliser de nombreux gadgets pour la promouvoir, de la clef USB au casque de réalité virtuelle pour visiter une éolienne en passant par la vidéo collaborative pour décrire « son expérience » de l’éolien.
Lors du 8e Colloque national éolien, à Paris.
Le discours introductif d’Olivier Perot, directeur de Senvion et président de l’association organisatrice, France énergie éolienne (FEE), ne laisse aucun doute sur les affinités du moment : « Des forces puissantes sont en marche », lance-t-il d’emblée au public, avant de faire un éloge du « progrès » dont « des philosophes à la noix nous disent que c’est un mot dépassé ». Pour lui, c’est clair, « l’éolien est le moteur de la transition énergétique qui est en marche ». Clairement, on est plus proche de la « start-up nation » que de l’écologie politique, même si l’objectif commun est « de vivre dans un monde où notre énergie ne met plus en danger les générations futures ».
Regardez le clip réalisé au colloque éolien
https://www.youtube.com/watch?v=e2T7eKBiN-w&feature=youtu.be
Commentaire : ou comment comprendre pourquoi l'éolien n'est que du business, uniquement du business. et définitivement du business.
php
Le secteur de l’énergie éolienne concerne de multiples acteurs aux rôles bien spécifiques, du « turbinier » à l’exploitant en passant par le développeur et l’« agrégateur ». Avec la dérégulation du marché de l’énergie, le secteur n’échappe pas non plus à la concentration et à la financiarisation.
Cet article est le troisième d’une série en cinq volets.
. volet 1 : « L’éolien signe la fracture entre deux visions de l’écologie »
. volet 2 : « Les éoliennes : pourquoi si hautes ? comment ça marche ? combien sont-elles ? ».
Il n’était peut-être pas nécessaire de commencer par l’atelier spécifique sur les « bridages acoustiques » et la différence entre les « balourds aérodynamiques et massiques ». Et pourtant, c’est bien de cela dont on parlait, ces 19 et 20 septembre, à Paris, pour cette 8e édition du colloque national éolien dédié aux « solutions concrètes pour la France de demain ». Un rendez-vous organisé par l’association France énergie éolienne, qui regroupe 90 % des acteurs de l’éolien en France. Comprenez : des entreprises de la filière venues du monde entier, et qui investissent et travaillent sur le territoire français.
Bienvenue dans un monde où tout est bleu, comme le ciel, et blanc, comme les machines. Un rendez-vous au croisement entre le monde des ingénieurs, des techniciens et des commerciaux. Ici, comme dans beaucoup d’autres sphères, on croise essentiellement des hommes blancs en costume, plutôt jeunes. La plupart ne travaillent dans le domaine que depuis moins de cinq ans : « La filière est encore jeune », m’explique-t-on. Si jeune qu’on n’hésite pas à utiliser de nombreux gadgets pour la promouvoir, de la clef USB au casque de réalité virtuelle pour visiter une éolienne en passant par la vidéo collaborative pour décrire « son expérience » de l’éolien.
Lors du 8e Colloque national éolien, à Paris.
Le discours introductif d’Olivier Perot, directeur de Senvion et président de l’association organisatrice, France énergie éolienne (FEE), ne laisse aucun doute sur les affinités du moment : « Des forces puissantes sont en marche », lance-t-il d’emblée au public, avant de faire un éloge du « progrès » dont « des philosophes à la noix nous disent que c’est un mot dépassé ». Pour lui, c’est clair, « l’éolien est le moteur de la transition énergétique qui est en marche ». Clairement, on est plus proche de la « start-up nation » que de l’écologie politique, même si l’objectif commun est « de vivre dans un monde où notre énergie ne met plus en danger les générations futures ».
Regardez le clip réalisé au colloque éolien
https://www.youtube.com/watch?v=e2T7eKBiN-w&feature=youtu.be
Une étude et un sondage édifiant, les touristes disent non aux éoliennes industrielles géantes
(...) "L'association des Hébergeurs Touristiques de l’Indre et des départements limitrophes
(AHTI) vient de clôturer une enquête afin d'apporter des éléments de mesure concernant l'impact d'implantation d'éoliennes industrielles sur le choix d'une destination touristique. Cette enquête a été menée en 2017 sur un corpus de 1280 touristes accueillis en Gîtes et chambre d'hôtes de l'Indre ou visiteurs (âgés de plus de 18 ans). "
Lire l'étude
(AHTI) vient de clôturer une enquête afin d'apporter des éléments de mesure concernant l'impact d'implantation d'éoliennes industrielles sur le choix d'une destination touristique. Cette enquête a été menée en 2017 sur un corpus de 1280 touristes accueillis en Gîtes et chambre d'hôtes de l'Indre ou visiteurs (âgés de plus de 18 ans). "
source : http://www.berry-loiret.fr |
Lire l'étude
Des éoliennes pour sauver le climat ? Un mensonge d’État !
https://www.contrepoints.org/
Par Bernard Durand et Michel Gay
Construire en France des éoliennes pour sauver le climat est une absurdité technique et écologique.
Des éoliennes gigantesques défigurent de plus en plus nos campagnes. Elles seront bientôt imposées aussi en mer, au large de nos côtes. La révolte gronde. Ces moulins à vent ne seront d’aucune utilité pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, comme l’a démontré l’Allemagne. La Grande-Bretagne vient même de prévoir de supprimer toutes les subventions pour les nouveaux projets d’énergies renouvelables.
Mais notre gouvernement autiste continue à les soutenir puisqu’il s’agit de « sauver le climat ».
Par Bernard Durand et Michel Gay
Construire en France des éoliennes pour sauver le climat est une absurdité technique et écologique.
Des éoliennes gigantesques défigurent de plus en plus nos campagnes. Elles seront bientôt imposées aussi en mer, au large de nos côtes. La révolte gronde. Ces moulins à vent ne seront d’aucune utilité pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, comme l’a démontré l’Allemagne. La Grande-Bretagne vient même de prévoir de supprimer toutes les subventions pour les nouveaux projets d’énergies renouvelables.
Mais notre gouvernement autiste continue à les soutenir puisqu’il s’agit de « sauver le climat ».
Gîtes de France : c'est non au mariage du label et de l'éolien
Au moins cela à le mérite d'être clair!
php
Académies et Media
http://www.bertrandbarre.com
décembre 2017
Créé par la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795) sur l’organisation de l’instruction publique, l’Institut de France est le regroupement de cinq académies :
l’Académie française
(fondée en 1635)
l’Académie des inscriptions et belles-lettres
(fondée en 1663)
l’Académie des sciences
(fondée en 1666)
l’Académie des beaux-arts
(créée en 1816 par la réunion de l’Académie de peinture et de sculpture, fondée en 1648, de l’Académie de musique, fondée en 1669 et de l’Académie d’architecture, fondée en 1671)
l’Académie des sciences morales et politiques
(fondée en 1795, supprimée en 1803 et rétablie en 1832)
décembre 2017
Créé par la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795) sur l’organisation de l’instruction publique, l’Institut de France est le regroupement de cinq académies :
l’Académie française
(fondée en 1635)
l’Académie des inscriptions et belles-lettres
(fondée en 1663)
l’Académie des sciences
(fondée en 1666)
l’Académie des beaux-arts
(créée en 1816 par la réunion de l’Académie de peinture et de sculpture, fondée en 1648, de l’Académie de musique, fondée en 1669 et de l’Académie d’architecture, fondée en 1671)
l’Académie des sciences morales et politiques
(fondée en 1795, supprimée en 1803 et rétablie en 1832)
Australie du Sud : après les coupures, la faim!
http://geopolitique-electricite.fr/
Lionel Taccoen
p.6
Les prix de l'électricité relevés en Australie du Sud et en Allemagne pour les clients résidentiels de 6 000 kWh/an sont 27,9 et 28,76 centimes d'euros/kWh et non 2,79 et 2,876 centimes d'euros/kWh comme indiqué par erreur.
Lire l'étude en entier
Lionel Taccoen
novembre 2017
Australie du Sud, Adélaïde, source : http://www.australia.com/fr-fr/places/sa.html |
Géopolitique de l' Électricité s'intéresse de nouveau à
l'Etat d'Australie du Sud, qui mène une politique vigoureuse de
développement du solaire et de l'éolien amenant leur part dans sa
consommation d'électricité à près de 50%, ce qui en fait un laboratoire
unique au monde.
Fin octobre 2017, la Banque Alimentaire
locale a, enfin, éclairci un mystère: les raisons du choc de pauvreté
qu'elle observait. En deux ans, les personnes en "insécurité
alimentaire" sont passées de 3,5 à 6,2% de la population en l'absence de
cause économique apparente. Enquêtes et interviews menés de concert
avec le Conseil de Service Social de l'Etat d'Australie du Sud ont
désigné la raison: l'explosion des factures d'électricité,
particulièrement pour les plus démunis. Consulté par l'Autorité
australienne du Changement Climatique, le Conseil de Service Social,
tout en approuvant son action exprime une "forte exigence",celle que les
mesures prises "n'aient pas de conséquences négatives sur les prix".
Ces
faits nous ont amené à une nouvelle description de la situation de la
transition énergétique en Australie du Sud, laboratoire unique et
inestimable. Nous insistons sur les difficultés des études prospectives
menées sur des secteurs électriques dont la part des sources
intermittentes dépassent 30 à 40%. Elles ne s'appuient pas sur
l'observation, ce qui gêne leur crédibilité. En son temps, Sigmar
Gabriel, Vice-Chancelier allemand et chargé du dossier avait insisté sur
les inconnues de la transition énergétique menée dans son pays, qui ne
semblent toujours pas levées.
Rectificatifs
p. 4
La capacité du parc de batteries fourni par Tesla est de 100 MW , comme indiqué au § D et non de 3 350 MW comme mentionné par erreur quelques lignes plus bas.
Le coût en euros du Plan du Gouvernement d'Australie du Sud est d'environ 350 millions d'euros comme indiqué au § D et non de 400 millions comme mentionné par erreur quelques lignes plus bas.
Rectificatifs
p. 4
La capacité du parc de batteries fourni par Tesla est de 100 MW , comme indiqué au § D et non de 3 350 MW comme mentionné par erreur quelques lignes plus bas.
Le coût en euros du Plan du Gouvernement d'Australie du Sud est d'environ 350 millions d'euros comme indiqué au § D et non de 400 millions comme mentionné par erreur quelques lignes plus bas.
p.6
Les prix de l'électricité relevés en Australie du Sud et en Allemagne pour les clients résidentiels de 6 000 kWh/an sont 27,9 et 28,76 centimes d'euros/kWh et non 2,79 et 2,876 centimes d'euros/kWh comme indiqué par erreur.
Leçons de jus d’octobre
http://huet.blog.lemonde.fr
27/11/2017
Commentaire : (...) " Pourtant, malgré ces vents soutenus en moyenne sur le mois, le graphique de la production éolienne au pas de temps semi-horaire indique la versatilité de cette dernière, et l’impossibilité de compter dessus pour constituer le socle d’un système électrique de la taille de celui nécessaire à la France" [...] Ce que prouve ce graphique, c’est que les taux minima de couverture ne dépendent absolument pas du nombre d’éoliennes implantées sur le territoire. Qu’il y ait 10 000 MW ou 5 000 MW d’installés, ce parc peut ne produire qu’une quantité dérisoire d’électricité, de l’ordre de 0,5% de la consommation. Autrement dit, pour des périodes plus ou moins longues, dont la prévisibilité est égale à la prévision météorologique, soit une dizaine de jours à l’avance maximum, la production éolienne sera toujours proche de zéro."
Tout est dit!
SAUVONS L'HUMAIN et LE CLIMAT, STOPPONS et DEMANTELONS MAINTENANT ET À JAMAIS, ICI et AILLEURS, L'EOLIEN!
Le jus d’octobre n’est pas toujours celui de la vigne. Parlons de celui des centrales électriques et des machines qui l’utilisent. A partir du bilan mensuel que vient de publier RTE (Réseau et transport d’électricité, la filiale d’EDF en charge du réseau haute tension). Il comporte en effet quelques leçons utiles alors que le gouvernement vient de repousser après 2025 la date d’une diminution à 50% de la part du nucléaire dans la production nationale.
1- Une consommation qui signe la reprise
La hausse des consommations des sites industriels signe la reprise économique et montre ce que signifierait une réelle réindustrialisation du pays.
Les températures d’octobre, 1,2°C dessus des moyennes climatiques, ont retardé la mise en route des chauffages. Du coup, comme octobre 2016 fut plutôt frisquet, la consommation chute de 5,2% sur un an (attention, le graphique présente les données corrigées de l’aléa climatique). Mais si l’on se penche sur le détail, on observe une poursuite de la hausse des consommations de la grande industrie. Un signe clair de la reprise économique notée par les indices de l’ INSEE. Et un avertissement : toute politique de ré-industrialisation du pays – nécessaire pour l’emploi, la balance commerciale et une plus forte contribution à la lutte contre le changement climatique grâce à une électricité décarbonée à plus de 90% – doit s’accompagner d’une politique d’approvisionnement en jus suffisante.
2- Une puissance installée où le nucléaire régresse
L’un des arguments pour diminuer la production d’origine nucléaire serait d’éviter de « mettre tous ses œufs dans le même panier ». L’argument n’a rien d’idiot, mais rien d’évident non plus. Si vous êtes Québécois ou Norvégien, c’est très intelligent et raisonnable de mettre tous vos œufs dans le panier hydraulique : abondant, pas cher, sûr, propre. Pour la France, le panier doit nécessairement être divers, le tout est de le bien composer au regard d’objectifs de sécurité d’approvisionnement, de coûts et d’actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Or, il est divers, comme le montre le graphique de la puissance installée, où le nucléaire est minoritaire :
27/11/2017
Commentaire : (...) " Pourtant, malgré ces vents soutenus en moyenne sur le mois, le graphique de la production éolienne au pas de temps semi-horaire indique la versatilité de cette dernière, et l’impossibilité de compter dessus pour constituer le socle d’un système électrique de la taille de celui nécessaire à la France" [...] Ce que prouve ce graphique, c’est que les taux minima de couverture ne dépendent absolument pas du nombre d’éoliennes implantées sur le territoire. Qu’il y ait 10 000 MW ou 5 000 MW d’installés, ce parc peut ne produire qu’une quantité dérisoire d’électricité, de l’ordre de 0,5% de la consommation. Autrement dit, pour des périodes plus ou moins longues, dont la prévisibilité est égale à la prévision météorologique, soit une dizaine de jours à l’avance maximum, la production éolienne sera toujours proche de zéro."
Tout est dit!
SAUVONS L'HUMAIN et LE CLIMAT, STOPPONS et DEMANTELONS MAINTENANT ET À JAMAIS, ICI et AILLEURS, L'EOLIEN!
php
Le jus d’octobre n’est pas toujours celui de la vigne. Parlons de celui des centrales électriques et des machines qui l’utilisent. A partir du bilan mensuel que vient de publier RTE (Réseau et transport d’électricité, la filiale d’EDF en charge du réseau haute tension). Il comporte en effet quelques leçons utiles alors que le gouvernement vient de repousser après 2025 la date d’une diminution à 50% de la part du nucléaire dans la production nationale.
1- Une consommation qui signe la reprise
La hausse des consommations des sites industriels signe la reprise économique et montre ce que signifierait une réelle réindustrialisation du pays.
Les températures d’octobre, 1,2°C dessus des moyennes climatiques, ont retardé la mise en route des chauffages. Du coup, comme octobre 2016 fut plutôt frisquet, la consommation chute de 5,2% sur un an (attention, le graphique présente les données corrigées de l’aléa climatique). Mais si l’on se penche sur le détail, on observe une poursuite de la hausse des consommations de la grande industrie. Un signe clair de la reprise économique notée par les indices de l’ INSEE. Et un avertissement : toute politique de ré-industrialisation du pays – nécessaire pour l’emploi, la balance commerciale et une plus forte contribution à la lutte contre le changement climatique grâce à une électricité décarbonée à plus de 90% – doit s’accompagner d’une politique d’approvisionnement en jus suffisante.
2- Une puissance installée où le nucléaire régresse
L’un des arguments pour diminuer la production d’origine nucléaire serait d’éviter de « mettre tous ses œufs dans le même panier ». L’argument n’a rien d’idiot, mais rien d’évident non plus. Si vous êtes Québécois ou Norvégien, c’est très intelligent et raisonnable de mettre tous vos œufs dans le panier hydraulique : abondant, pas cher, sûr, propre. Pour la France, le panier doit nécessairement être divers, le tout est de le bien composer au regard d’objectifs de sécurité d’approvisionnement, de coûts et d’actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Or, il est divers, comme le montre le graphique de la puissance installée, où le nucléaire est minoritaire :
Harcèlement : Macron fait des tweets. Jacques Toubon aussi!
Régis de Castelnau
27 novembre 2017
Commentaire : se voir expliquer le droit, c'est toujours passionnant, non?
Macron fait des tweets. Jacques Toubon aussi!
« Nous créerons le délit d’outrage sexiste verbalisable immédiatement avec un montant dissuasif.#NeRienLaisserPasser». La rédaction martiale de ce tweet issu du compte d’Emmanuel Macron nous annonce que les harceleurs de rue et les coinceurs d’ascenseur n’ont qu’à bien se tenir.
Hélas, une fois de plus la communication désinvolte a pris le pas sur le sérieux que l’on devrait pouvoir attendre d’un Président de la République en exercice sur un sujet comme celui-là. Le débat lancé par le déclenchement de l’affaire Weinstein a généré un impressionnant foutoir, devenu guerre des sexes où règne une grande confusion. Médias et réseaux mélangent tout, faisant de l’homme un prédateur à priori, contre lequel on réclame à grands cris et avec la gourmandise habituelle une répression pénale accrue. Le Président de la République ayant décidé d’intervenir, pour une cause qui le mérite vraiment on pouvait espérer le retour d’un peu de clarté et pourquoi pas de sagesse. Attente déçue, la rédaction du tweet prouve à nouveau que l’on n’enseigne pas le droit à l’ENA, et qu’Emmanuel Macron partage l’inculture juridique de la haute fonction publique dont il est issu.
27 novembre 2017
Commentaire : se voir expliquer le droit, c'est toujours passionnant, non?
php
Macron fait des tweets. Jacques Toubon aussi!
« Nous créerons le délit d’outrage sexiste verbalisable immédiatement avec un montant dissuasif.#NeRienLaisserPasser». La rédaction martiale de ce tweet issu du compte d’Emmanuel Macron nous annonce que les harceleurs de rue et les coinceurs d’ascenseur n’ont qu’à bien se tenir.
Hélas, une fois de plus la communication désinvolte a pris le pas sur le sérieux que l’on devrait pouvoir attendre d’un Président de la République en exercice sur un sujet comme celui-là. Le débat lancé par le déclenchement de l’affaire Weinstein a généré un impressionnant foutoir, devenu guerre des sexes où règne une grande confusion. Médias et réseaux mélangent tout, faisant de l’homme un prédateur à priori, contre lequel on réclame à grands cris et avec la gourmandise habituelle une répression pénale accrue. Le Président de la République ayant décidé d’intervenir, pour une cause qui le mérite vraiment on pouvait espérer le retour d’un peu de clarté et pourquoi pas de sagesse. Attente déçue, la rédaction du tweet prouve à nouveau que l’on n’enseigne pas le droit à l’ENA, et qu’Emmanuel Macron partage l’inculture juridique de la haute fonction publique dont il est issu.
Déchets nucléaires, rejets du charbon : concentrer ou diluer les déchets ?
https://www.latribune.fr
Par Jean-Jacques Ingremeau
27/11/2017
Jean-Jacques Ingremeau. (Crédits : DR)
La gestion des déchets du charbon pose des problèmes bien plus importants que celle des déchets issus du nucléaire. Dans les deux cas, elle est un fardeau pour l'humanité, et implique à l'avenir de ne produire que des déchets que nous savons gérer. Par Jean-Jacques Ingremeau, docteur en physique des réacteurs, membre de l'Association française pour l'information scientifique (Afis).
Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique, a récemment annoncé repousser l'objectif de 50% d'électricité d'origine nucléaire dans le mix électrique français. En effet, il privilégie la fermeture des dernières centrales à charbon françaises, et la non-ouverture de nouvelles centrales thermiques, au fait de fermer des réacteurs nucléaires.
Revenons un instant sur cette décision du point de vue des déchets générés par ces deux sources d'électricité, en comparant d'une part les déchets nucléaires, et d'autre part les déchets et rejets du charbon. Cette comparaison est pertinente, car le charbon est la première source d'électricité dans le monde (39% en 2015). Au niveau européen, il représente 26% de la production d'électricité et plus de 44% pour l'Allemagne. Aux Etats-Unis, 34% de l'électricité vient du charbon, et plus de 70% en Chine. A l'échelle mondiale, les déchets de la production d'électricité sont avant tout des déchets issus du charbon, à l'exception de la France, où les trois quarts de l'électricité sont d'origine nucléaire.
Par Jean-Jacques Ingremeau
27/11/2017
Jean-Jacques Ingremeau. (Crédits : DR)
La gestion des déchets du charbon pose des problèmes bien plus importants que celle des déchets issus du nucléaire. Dans les deux cas, elle est un fardeau pour l'humanité, et implique à l'avenir de ne produire que des déchets que nous savons gérer. Par Jean-Jacques Ingremeau, docteur en physique des réacteurs, membre de l'Association française pour l'information scientifique (Afis).
Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique, a récemment annoncé repousser l'objectif de 50% d'électricité d'origine nucléaire dans le mix électrique français. En effet, il privilégie la fermeture des dernières centrales à charbon françaises, et la non-ouverture de nouvelles centrales thermiques, au fait de fermer des réacteurs nucléaires.
Revenons un instant sur cette décision du point de vue des déchets générés par ces deux sources d'électricité, en comparant d'une part les déchets nucléaires, et d'autre part les déchets et rejets du charbon. Cette comparaison est pertinente, car le charbon est la première source d'électricité dans le monde (39% en 2015). Au niveau européen, il représente 26% de la production d'électricité et plus de 44% pour l'Allemagne. Aux Etats-Unis, 34% de l'électricité vient du charbon, et plus de 70% en Chine. A l'échelle mondiale, les déchets de la production d'électricité sont avant tout des déchets issus du charbon, à l'exception de la France, où les trois quarts de l'électricité sont d'origine nucléaire.
Nucléaire : ça sent le gaz !
http://lemontchampot.blogspot.fr
Jean Pierre Riou
27/11/2017
Commentaire : Où seront les businessmen du lobby éolien, M.Hulot et ses complices quand la France, ayant perdu le leadership du nucléaire, aura perdu aussi son indépendance énergétique devenant accro au gaz pour compenser l'intermittence des ENRi? Et qu'en penseront les citoyens (nes) sortis (es) de leur zone de confort électrique? Oui, J.P, on se prépare des jours et des nuits... sombres!
Le renouveau du nucléaire
En signant les contrats de participation à la construction des 2 EPR d' Hinkley Point, la Chine visait déjà 90 km plus loin, pour y construire son propre réacteur, le Hualong One.
Une étape importante vient d'être franchie ce 20 novembre pour la construction chinoise de 2 Hualong One à Bradwell.
Pour avoir déjà développé sur son réacteur VVR sur son sol, le géant Rosatom est en mesure d'empocher des contrats partout dans le monde.
Aujourd'hui, la Russie vient de préciser ses ambitions, avec son impressionnant projet d'emprise sur le Moyen Orient, où elle pense se tailler la part du lion sur les 90 réacteurs prévus d'ici 2030.
Mais surtout elle prévoit de les exploiter elle même et, dans ce sens, de prévoir d'en assurer la sécurisation militaire sur le terrain, face à la menace terroriste.
Avec les conséquences politiques qu'on imagine !
Géostratégie du gaz
L'an dernier, Alain Juillet, ancien patron de la DGSE exposait devant le Sénat les "véritables raisons de la guerre en Syrie".
Jean Pierre Riou
27/11/2017
Commentaire : Où seront les businessmen du lobby éolien, M.Hulot et ses complices quand la France, ayant perdu le leadership du nucléaire, aura perdu aussi son indépendance énergétique devenant accro au gaz pour compenser l'intermittence des ENRi? Et qu'en penseront les citoyens (nes) sortis (es) de leur zone de confort électrique? Oui, J.P, on se prépare des jours et des nuits... sombres!
php
Le renouveau du nucléaire
En signant les contrats de participation à la construction des 2 EPR d' Hinkley Point, la Chine visait déjà 90 km plus loin, pour y construire son propre réacteur, le Hualong One.
Une étape importante vient d'être franchie ce 20 novembre pour la construction chinoise de 2 Hualong One à Bradwell.
Pour avoir déjà développé sur son réacteur VVR sur son sol, le géant Rosatom est en mesure d'empocher des contrats partout dans le monde.
Aujourd'hui, la Russie vient de préciser ses ambitions, avec son impressionnant projet d'emprise sur le Moyen Orient, où elle pense se tailler la part du lion sur les 90 réacteurs prévus d'ici 2030.
Mais surtout elle prévoit de les exploiter elle même et, dans ce sens, de prévoir d'en assurer la sécurisation militaire sur le terrain, face à la menace terroriste.
Avec les conséquences politiques qu'on imagine !
Géostratégie du gaz
L'an dernier, Alain Juillet, ancien patron de la DGSE exposait devant le Sénat les "véritables raisons de la guerre en Syrie".
Une pénurie de métaux menace les batteries
https://www.lematin.ch
Commentaire : qu'en pense M.Hulot? Favorisant les ENRi, la voiture électrique et en même temps la sortie du nucléaire, ne met-il pas gravement en danger l''indépendance et la sécurité énergétique de la la France? Et la vie des hommes exploités? Et le climat dans tout ça?😇
Les géants allemands de l'automobile cherchent à sécuriser leur chaîne d'approvisionnement à long terme en métaux.
Sans métaux, l'industrie automobile sera incapable de fabriquer les batteries des voitures électriques. Image: Keystone
Articles en relation
La plus grande usine de batteries a besoin d'ABB
L''EPFZ développe des batteries plus sûres
Des piles au lithium plus performantes
Les constructeurs automobiles allemands risquent d'être confrontés à une pénurie de métaux pour leurs batteries. Cela pourrait entraver leurs projets de développement de véhicules électriques, prévient la Fédération de l'industrie allemande (BDI).
«Le risque de goulots d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des matières premières s'accroît. La demande augmente en effet plus vite que les capacités de production», a déclaré Matthias Watcher de la BDI, cité par le journal Welt am Sonntag dimanche.
Commentaire : qu'en pense M.Hulot? Favorisant les ENRi, la voiture électrique et en même temps la sortie du nucléaire, ne met-il pas gravement en danger l''indépendance et la sécurité énergétique de la la France? Et la vie des hommes exploités? Et le climat dans tout ça?😇
Les géants allemands de l'automobile cherchent à sécuriser leur chaîne d'approvisionnement à long terme en métaux.
Sans métaux, l'industrie automobile sera incapable de fabriquer les batteries des voitures électriques. Image: Keystone
Articles en relation
La plus grande usine de batteries a besoin d'ABB
L''EPFZ développe des batteries plus sûres
Des piles au lithium plus performantes
Les constructeurs automobiles allemands risquent d'être confrontés à une pénurie de métaux pour leurs batteries. Cela pourrait entraver leurs projets de développement de véhicules électriques, prévient la Fédération de l'industrie allemande (BDI).
«Le risque de goulots d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des matières premières s'accroît. La demande augmente en effet plus vite que les capacités de production», a déclaré Matthias Watcher de la BDI, cité par le journal Welt am Sonntag dimanche.
Haute-Marne, Adrien Guené : pour certains, retrouver un emploi est plus facile que pour d'autres, non?
Après son échec surprenant et retentissant aux législatives, dans la 1ere circonscription (Mme Bérengère Abba élue (LREM), le 'protégé' de l'ex ministre Luc Chatel et le fils de..., revient à la vie active. Les Vues lui souhaitent... bon vent!
Adrien Guené (LR) est nommé Directeur de cabinet de Nicolas Lacroix, Président du Département de la Haute-Marne
Adrien Guené (LR) est nommé Directeur de cabinet de Nicolas Lacroix, Président du Département de la Haute-Marne
php
Élargissement de La Minervoise pour les convois exceptionnels
France Bleu Hérault
Par Gaëlle Schüller
L'élargissement de la route se fera à droite car les platanes y sont moins nombreux. © Radio France - Gaëlle Schüller
La route départementale 11 qui relie Béziers à Carcassonne va être élargie entre Montady et Capestang pour faciliter le passage des convois exceptionnels.
Un petit parcours pour un gros budget. La route départementale 11, autrement appelée la Minervoise, qui relie Béziers à Carcassonne, est un tracé établi par l'État pour permettre le passage des convois exceptionnels.
Près de Béziers, à la sortie de Montady en direction de Capestang, un tronçon pose problème car la chaussée est à la fois étroite et bordée de platanes.
Le conseil départemental, en charge de l'aménagement du territoire, a donc décidé d'élargir cette partie de chaussée. L'enquête publique vient de se terminer. La phase suivante consiste à acheter, voire à exproprier les terrains pour effectuer les travaux sur 1,5 km pour deux millions d'euros.
L'inauguration de ce tronçon de La Minervoise est programmée, au mieux, pour fin 2019.
"Les très gros convois comme les transports de rames de tramway ou de mâts d'éoliennes passent sur ce secteur." Philippe Vidal, vice-président du conseil départemental de l'Hérault, chargé des routes.
Par Gaëlle Schüller
L'élargissement de la route se fera à droite car les platanes y sont moins nombreux. © Radio France - Gaëlle Schüller
La route départementale 11 qui relie Béziers à Carcassonne va être élargie entre Montady et Capestang pour faciliter le passage des convois exceptionnels.
Un petit parcours pour un gros budget. La route départementale 11, autrement appelée la Minervoise, qui relie Béziers à Carcassonne, est un tracé établi par l'État pour permettre le passage des convois exceptionnels.
Près de Béziers, à la sortie de Montady en direction de Capestang, un tronçon pose problème car la chaussée est à la fois étroite et bordée de platanes.
Le conseil départemental, en charge de l'aménagement du territoire, a donc décidé d'élargir cette partie de chaussée. L'enquête publique vient de se terminer. La phase suivante consiste à acheter, voire à exproprier les terrains pour effectuer les travaux sur 1,5 km pour deux millions d'euros.
L'inauguration de ce tronçon de La Minervoise est programmée, au mieux, pour fin 2019.
"Les très gros convois comme les transports de rames de tramway ou de mâts d'éoliennes passent sur ce secteur." Philippe Vidal, vice-président du conseil départemental de l'Hérault, chargé des routes.
php
L’éolien signe la fracture entre deux visions de l’écologie
Grégoire Souchay (Reporterre)
Commentaire : (...) "Chaque camp a ses propres chiffres, ses propres définitions, son propre langage " Sauf que chaque camp n'a pas les mêmes intérêts... financiers. L'essentiel des pro-éoliens ont tout à gagner (€€€€) à titre privé et/ou professionnel au développement massif des zones industrielles d'aérogénérateurs. À contrario, la plupart des anti-éoliens ne gagnent rien pécuniairement, bien au contraire. Cela fait effectivement une sacrée différence de motivation, non? D'un côté le fric, le pognon, le pèze, le grisbi, etc. De l'autre, la vie, la santé, le coeur, l'Humain, etc.
Les Vues ont choisi leur camp!
Emblème de la transition énergétique ou avatar vert du capitalisme pour d’autres ? L’énergie éolienne divise les écologistes. Reporterre a mené une grande enquête, en cinq volets, pour examiner en détail les questions soulevées par le développement de cette industrie et les enjeux qui l’accompagnent.
Elles sont là, partout autour de nous. Dans les rues et dans les campagnes. Chez les grands énergéticiens, Total, EDF, Engie, mais aussi dans des pubs pour des assurances, pour des produits de la ferme, même en photo dans les toilettes d’un TGV. Qui ? Les éoliennes, bien sûr. Elles sont désormais un élément constitutif de l’imaginaire collectif contemporain. En quelques dizaines d’années, ces machines produisant de l’électricité par la force du vent sont devenues le symbole par excellence de notre siècle, associées aux discours sur le « développement durable » ou « la transition énergétique ». Et de fait, c’est bien la technologie renouvelable qui se développe le plus aujourd’hui en France. Si l’hydraulique est encore le premier poste d’énergie « propre », les équipements sont vieillissants et l’époque des grands barrages est désormais révolue. Place donc au solaire, mais surtout aux éoliennes. On les retrouve sur les crêtes du sud du Massif central, dans les grandes plaines du Centre, du Nord et de la Champagne, des monts du Morvan aux littoraux occitans, et bientôt demain en mer au large de la Bretagne et de la Normandie voire de la côte catalane.
Et « c’est une chance », clament ensemble des écolos, engagés depuis des dizaines d’années dans les associations environnementales, comme France nature environnement ou la commission énergie d’Europe Écologie les Verts. Certains ont fait profession de leur engagement, en créant des bureaux d’étude ou des PME innovantes. Dans ces milieux plutôt urbains, proches des ingénieurs et des techniciens voire de la « start-up nation », l’éolien est vu comme une « technologie fiable, qui a fait ses preuves et comme une énergie hautement compétitive », ainsi que l’explique Olivier Perot, directeur de Senvion Europe et président de France énergie éolienne. Une « chance » d’abord et avant tout pour parvenir à la sortie du nucléaire, de ses risques et des dépendances induites. Mais aussi une « chance » économique, un potentiel d’investissement et de croissance, une « économie verte » durable capable de reconvertir des anciens bassins industriels et de transformer en profondeur le mode de production centralisé du nucléaire français. Mais pour cela, il faut faire vite. L’urgence climatique avance inexorablement. Alors, il faut développer, construire, massifier les parcs solaires et éoliens, dans un calendrier qui s’impose comme une évidence.
L’éolien révèle la fracture entre deux visions de l’écologie
Le problème, c’est que le développement de la filière s’impose aussi à d’autres écologistes, tout aussi convaincus, souvent plus ruraux, peut-être moins insérés dans la mondialisation. Il peut s’agir de propriétaires retraités de maisons secondaires soucieux de la valeur de leur bien, mais aussi de plus jeunes gens, tentant d’utopiques « sorties du système », en recherche de modes de vie moins coûteux en énergie. Les écolos critiques de l’éolien sont plus nombreux qu’on le pense. Certains tentent des alliances dans l’action avec des groupes peut-être moins radicaux sur la sortie du nucléaire, d’autres rejettent en bloc l’atome, l’éolien, et le solaire comme une même mécanique capitaliste qui change simplement de forme.
Une éolienne en Lozère
Commentaire : (...) "Chaque camp a ses propres chiffres, ses propres définitions, son propre langage " Sauf que chaque camp n'a pas les mêmes intérêts... financiers. L'essentiel des pro-éoliens ont tout à gagner (€€€€) à titre privé et/ou professionnel au développement massif des zones industrielles d'aérogénérateurs. À contrario, la plupart des anti-éoliens ne gagnent rien pécuniairement, bien au contraire. Cela fait effectivement une sacrée différence de motivation, non? D'un côté le fric, le pognon, le pèze, le grisbi, etc. De l'autre, la vie, la santé, le coeur, l'Humain, etc.
Les Vues ont choisi leur camp!
php
Emblème de la transition énergétique ou avatar vert du capitalisme pour d’autres ? L’énergie éolienne divise les écologistes. Reporterre a mené une grande enquête, en cinq volets, pour examiner en détail les questions soulevées par le développement de cette industrie et les enjeux qui l’accompagnent.
Elles sont là, partout autour de nous. Dans les rues et dans les campagnes. Chez les grands énergéticiens, Total, EDF, Engie, mais aussi dans des pubs pour des assurances, pour des produits de la ferme, même en photo dans les toilettes d’un TGV. Qui ? Les éoliennes, bien sûr. Elles sont désormais un élément constitutif de l’imaginaire collectif contemporain. En quelques dizaines d’années, ces machines produisant de l’électricité par la force du vent sont devenues le symbole par excellence de notre siècle, associées aux discours sur le « développement durable » ou « la transition énergétique ». Et de fait, c’est bien la technologie renouvelable qui se développe le plus aujourd’hui en France. Si l’hydraulique est encore le premier poste d’énergie « propre », les équipements sont vieillissants et l’époque des grands barrages est désormais révolue. Place donc au solaire, mais surtout aux éoliennes. On les retrouve sur les crêtes du sud du Massif central, dans les grandes plaines du Centre, du Nord et de la Champagne, des monts du Morvan aux littoraux occitans, et bientôt demain en mer au large de la Bretagne et de la Normandie voire de la côte catalane.
Et « c’est une chance », clament ensemble des écolos, engagés depuis des dizaines d’années dans les associations environnementales, comme France nature environnement ou la commission énergie d’Europe Écologie les Verts. Certains ont fait profession de leur engagement, en créant des bureaux d’étude ou des PME innovantes. Dans ces milieux plutôt urbains, proches des ingénieurs et des techniciens voire de la « start-up nation », l’éolien est vu comme une « technologie fiable, qui a fait ses preuves et comme une énergie hautement compétitive », ainsi que l’explique Olivier Perot, directeur de Senvion Europe et président de France énergie éolienne. Une « chance » d’abord et avant tout pour parvenir à la sortie du nucléaire, de ses risques et des dépendances induites. Mais aussi une « chance » économique, un potentiel d’investissement et de croissance, une « économie verte » durable capable de reconvertir des anciens bassins industriels et de transformer en profondeur le mode de production centralisé du nucléaire français. Mais pour cela, il faut faire vite. L’urgence climatique avance inexorablement. Alors, il faut développer, construire, massifier les parcs solaires et éoliens, dans un calendrier qui s’impose comme une évidence.
L’éolien révèle la fracture entre deux visions de l’écologie
Le problème, c’est que le développement de la filière s’impose aussi à d’autres écologistes, tout aussi convaincus, souvent plus ruraux, peut-être moins insérés dans la mondialisation. Il peut s’agir de propriétaires retraités de maisons secondaires soucieux de la valeur de leur bien, mais aussi de plus jeunes gens, tentant d’utopiques « sorties du système », en recherche de modes de vie moins coûteux en énergie. Les écolos critiques de l’éolien sont plus nombreux qu’on le pense. Certains tentent des alliances dans l’action avec des groupes peut-être moins radicaux sur la sortie du nucléaire, d’autres rejettent en bloc l’atome, l’éolien, et le solaire comme une même mécanique capitaliste qui change simplement de forme.
Une éolienne en Lozère
10 idées reçues sur le climat et la transition énergétique
https://www.contrepoints.org
Par Jean-Pierre Bardinet
Tout ce qu’on ne vous dit pas sur le dérèglement climatique et les énergies renouvelables.
6 idées reçues sur le climat
Nul n’ose dire qu’il n’y a plus de réchauffement climatique depuis près de 20 ans et que les projections des modèles numériques se plantent lamentablement ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle.
Nul n’ose dire que le CO2 est gaz de la vie, indispensable à la photosynthèse, et que, grâce au taux actuel de 400 ppm, la planète reverdit et les récoltes sont meilleures. Pire, on veut nous faire croire que c’est un polluant…
Nul n’ose dire qu’il n’y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une action mesurable sur la température, et nul n’ose dire que 1300 publications scientifiques récusent les thèses du GIEC/IPCC. Bien sûr, on veut nous faire croire que l’affaire est pliée et que la science a parlé.
Par Jean-Pierre Bardinet
Tout ce qu’on ne vous dit pas sur le dérèglement climatique et les énergies renouvelables.
6 idées reçues sur le climat
Nul n’ose dire qu’il n’y a plus de réchauffement climatique depuis près de 20 ans et que les projections des modèles numériques se plantent lamentablement ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle.
Nul n’ose dire que le CO2 est gaz de la vie, indispensable à la photosynthèse, et que, grâce au taux actuel de 400 ppm, la planète reverdit et les récoltes sont meilleures. Pire, on veut nous faire croire que c’est un polluant…
Nul n’ose dire qu’il n’y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une action mesurable sur la température, et nul n’ose dire que 1300 publications scientifiques récusent les thèses du GIEC/IPCC. Bien sûr, on veut nous faire croire que l’affaire est pliée et que la science a parlé.
Le supermarché des solutions
http://www.voisinedeoliennesindustrielles.com
26/11/2017
L'écologie libérale brade les paysages au rayon "Énergies vertes"
L'avenir énergétique est dans toutes les bouches, à tel point que les têtes ne suivent plus.
Prenez la révolution LED: elle devait diminuer notre consommation d'électricité et réduire la pollution lumineuse. Tout le monde s'y est mis, les villes les premières et certaines accumulent les médailles des meilleures élèves (au fait, qui sont les sponsors de ces classements qui récompensent ceux et celles qui se précipitent sur les promotions du supermarché des solutions?). Alors le recours aux LED? Un pas vers l'avenir énergétique selon nos puissants politiques? Extrait de l'article:
Mais les chercheurs ont conclu que les économies d'énergie réalisées grâce à la technologie LED ont apparemment été investies pour installer encore plus d'éclairages extérieurs... Entre 2012 et 2016 l'augmentation de la pollution lumineuse est de 8%! (TDG du 22.11.2017)
26/11/2017
L'écologie libérale brade les paysages au rayon "Énergies vertes"
L'avenir énergétique est dans toutes les bouches, à tel point que les têtes ne suivent plus.
Prenez la révolution LED: elle devait diminuer notre consommation d'électricité et réduire la pollution lumineuse. Tout le monde s'y est mis, les villes les premières et certaines accumulent les médailles des meilleures élèves (au fait, qui sont les sponsors de ces classements qui récompensent ceux et celles qui se précipitent sur les promotions du supermarché des solutions?). Alors le recours aux LED? Un pas vers l'avenir énergétique selon nos puissants politiques? Extrait de l'article:
Mais les chercheurs ont conclu que les économies d'énergie réalisées grâce à la technologie LED ont apparemment été investies pour installer encore plus d'éclairages extérieurs... Entre 2012 et 2016 l'augmentation de la pollution lumineuse est de 8%! (TDG du 22.11.2017)
La Préfecture abandonne la tenue de l’enquête publique dans le Sud-Aveyron !
https://douze.noblogs.org/
Commentaire : Une nouvelle preuve s'il en était besoin, que l'action-terrain est indispensable à notre combat contre l’industrialisation à pales forcées d'éoliennes de nos territoires.
En avant toute!
La nouvelle est tombée mercredi : après deux tentatives infructueuses
d’acheminer ses commissaires enquêteurs vers les mairies concernées par
le projet de méga-transformateur, la Préfecture de l’Aveyron jette
l’éponge. La mobilisation des habitants, les blocages des bâtiments
communaux à grand renfort de tracteurs et de bottes de paille ont porté
leurs fruits. Les autorités ont annulé les trois dernières dates
qu’elles avaient prévu dans le secteur. Il n’y aura donc jamais
d’enquête d’utilité publique au pays des Raspes du Tarn.
La solution des pouvoirs publics rouergats à cette situation ne manque
pas de piquant. Dans son « avis de modification de l’enquête unique » du
22 novembre, la Préfecture propose ainsi cinq nouvelles permanences
condensées sur une seule semaine. Mais « détail » croustillant,
celles-ci auront toutes lieu... dans le Nord-Aveyron ! C’est-à-dire à au
moins une heure de route de Saint-Victor. Voilà comment on se soucie de
l’avis des autochtones !
Cet aveu d’échec des pouvoirs publics nous livre une information
d’importance : ils doivent assurer les permanences de cette
pseudo-consultation coûte que coûte pour obtenir leur chère D.U.P. et
commencer les travaux. Il est donc d’autant plus important de continuer
à la bloquer ! L’ Amassada appelle donc une nouvelle fois à barrer la
route à ces permanences de la honte.
Commentaire : Une nouvelle preuve s'il en était besoin, que l'action-terrain est indispensable à notre combat contre l’industrialisation à pales forcées d'éoliennes de nos territoires.
En avant toute!
php
La nouvelle est tombée mercredi : après deux tentatives infructueuses
d’acheminer ses commissaires enquêteurs vers les mairies concernées par
le projet de méga-transformateur, la Préfecture de l’Aveyron jette
l’éponge. La mobilisation des habitants, les blocages des bâtiments
communaux à grand renfort de tracteurs et de bottes de paille ont porté
leurs fruits. Les autorités ont annulé les trois dernières dates
qu’elles avaient prévu dans le secteur. Il n’y aura donc jamais
d’enquête d’utilité publique au pays des Raspes du Tarn.
Saint-Victor et Melvieusource : http://www.tourisme-muse-raspes.com/fr |
pas de piquant. Dans son « avis de modification de l’enquête unique » du
22 novembre, la Préfecture propose ainsi cinq nouvelles permanences
condensées sur une seule semaine. Mais « détail » croustillant,
celles-ci auront toutes lieu... dans le Nord-Aveyron ! C’est-à-dire à au
moins une heure de route de Saint-Victor. Voilà comment on se soucie de
l’avis des autochtones !
Cet aveu d’échec des pouvoirs publics nous livre une information
d’importance : ils doivent assurer les permanences de cette
pseudo-consultation coûte que coûte pour obtenir leur chère D.U.P. et
commencer les travaux. Il est donc d’autant plus important de continuer
à la bloquer ! L’ Amassada appelle donc une nouvelle fois à barrer la
route à ces permanences de la honte.
Energie : la facture augmentera de 500 euros pour les ménages
http://www.economiematin.fr
par Paolo Garoscio
24/11/2017
Les diverses réformes d’Emmanuel Macron dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, soit les réformes concernant la fiscalité écologique, vont faire exploser la facture des ménages selon un rapport du sénateur LR Albéric de Montgolfier que le journal Le Figaro dévoile le 23 novembre 2017. Tous les ménages vont voir leur facture augmenter et ce dès 2018.
Des hausses, des hausses et encore des hausses pour les ménages
Le gouvernement veut inciter les ménages français à moins consommer d’énergies fossiles comme le pétrole, par le biais des carburants pour leur voiture, ou encore le gaz utilisé pour se chauffer, cuisiner et chauffer l’eau chaude. L’objectif, bien évidemment, est de réduire l’empreinte écologique des Français et donc réduire l’impact de ces derniers sur le réchauffement climatique.
Pour ce faire, le gouvernement a prévu des augmentations de la fiscalité sur les énergies fossiles et ce dès 2018 : très précisément les augmentations devraient rapporter 3,7 milliards d’euros à l’État en 2018 et même 14,2 milliards d’euros en 2022. Si les entreprises seront aussi mises à contribution, ce sont les ménages qui supporteront la majorité de cette hausse, soit 60 % du total. La facture des ménages va augmenter de 2,22 milliards en 2018 et de 8,52 milliards en 2022.
par Paolo Garoscio
24/11/2017
Les diverses réformes d’Emmanuel Macron dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, soit les réformes concernant la fiscalité écologique, vont faire exploser la facture des ménages selon un rapport du sénateur LR Albéric de Montgolfier que le journal Le Figaro dévoile le 23 novembre 2017. Tous les ménages vont voir leur facture augmenter et ce dès 2018.
Des hausses, des hausses et encore des hausses pour les ménages
Le gouvernement veut inciter les ménages français à moins consommer d’énergies fossiles comme le pétrole, par le biais des carburants pour leur voiture, ou encore le gaz utilisé pour se chauffer, cuisiner et chauffer l’eau chaude. L’objectif, bien évidemment, est de réduire l’empreinte écologique des Français et donc réduire l’impact de ces derniers sur le réchauffement climatique.
Pour ce faire, le gouvernement a prévu des augmentations de la fiscalité sur les énergies fossiles et ce dès 2018 : très précisément les augmentations devraient rapporter 3,7 milliards d’euros à l’État en 2018 et même 14,2 milliards d’euros en 2022. Si les entreprises seront aussi mises à contribution, ce sont les ménages qui supporteront la majorité de cette hausse, soit 60 % du total. La facture des ménages va augmenter de 2,22 milliards en 2018 et de 8,52 milliards en 2022.
L’Allemagne n’est pas un isolat
http://www.contretemps.eu
Loren Balhorn
24 novembre 2017
Nous publions ici, un peu tardivement, la traduction d’un texte de Loren Balhorn publié sur le site de Jacobin le 26 septembre dernier, c’est-à-dire avant l’échec des négociations visant à mettre sur pied une coalition rassemblant, à l’échelle fédérale, la CDU (chrétienne-démocrate), le FDP (libéral) et les « Verts ». L’essentiel de ses développements, centrés sur l’ascension du parti d’extrême droite AfD (Alternative für Deutschland), demeure en effet d’actualité. Pour prolonger la lecture, on peut se référer à l’entretien que nous avons récemment réalisé avec l’auteur. *
Les élections allemandes prouvent que le pays n’est pas à l’abri d’une crise européenne tendancielle, mais en fait partie intégrante.
L’Allemagne a voté et les résultats, bien que dérangeants, ne sont pas particulièrement surprenants. Angela Merkel va continuer à diriger l’Allemagne et avec elle l’Union européenne, mais probablement avec une nouvelle coalition.
Sa plus forte opposition parlementaire, toutefois, n’est plus le parti de gauche Die Linke, mais plutôt le parti d’extrême droite Alternative für Deutschland (AfD). Les 12,6% de l’ AfD sont l’événement principal de ce dimanche d’élection, faisant de ce parti le troisième du pays et la force antisystème la plus visible. La présence de députés d’extrême droite, voire fascistes au sein du Parlement allemand, est une première depuis l’après-guerre, et montre que la polarisation qui balaie l’Europe est enracinée au cœur du continent.
Loren Balhorn
24 novembre 2017
Nous publions ici, un peu tardivement, la traduction d’un texte de Loren Balhorn publié sur le site de Jacobin le 26 septembre dernier, c’est-à-dire avant l’échec des négociations visant à mettre sur pied une coalition rassemblant, à l’échelle fédérale, la CDU (chrétienne-démocrate), le FDP (libéral) et les « Verts ». L’essentiel de ses développements, centrés sur l’ascension du parti d’extrême droite AfD (Alternative für Deutschland), demeure en effet d’actualité. Pour prolonger la lecture, on peut se référer à l’entretien que nous avons récemment réalisé avec l’auteur. *
Les élections allemandes prouvent que le pays n’est pas à l’abri d’une crise européenne tendancielle, mais en fait partie intégrante.
L’Allemagne a voté et les résultats, bien que dérangeants, ne sont pas particulièrement surprenants. Angela Merkel va continuer à diriger l’Allemagne et avec elle l’Union européenne, mais probablement avec une nouvelle coalition.
Sa plus forte opposition parlementaire, toutefois, n’est plus le parti de gauche Die Linke, mais plutôt le parti d’extrême droite Alternative für Deutschland (AfD). Les 12,6% de l’ AfD sont l’événement principal de ce dimanche d’élection, faisant de ce parti le troisième du pays et la force antisystème la plus visible. La présence de députés d’extrême droite, voire fascistes au sein du Parlement allemand, est une première depuis l’après-guerre, et montre que la polarisation qui balaie l’Europe est enracinée au cœur du continent.
Congrès des maires : les anti-éoliens au banquet
bienpublic.com
25/11/2017
Un seul et unique mot d'ordre :
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN, ICI et AILLEURS, MAINTENANT et À JAMAIS! RIEN À NÉGOCIER!
25/11/2017
Un seul et unique mot d'ordre :
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS L'EOLIEN, ICI et AILLEURS, MAINTENANT et À JAMAIS! RIEN À NÉGOCIER!
php
capture d'écran |
Ne faites pas d’enfant près d’une éolienne !
http://fr.friends-against-wind.org
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
Version originale (en langue anglaise) : http://en.friends-against-wind.org/health/impact-of-wind-turbines-on-suicide
Aux USA, Eric Zou (1), doctorant, observe une nette augmentation des plaintes pour insomnie auprès des services d’aide et aussi des suicides dès l’installation d’éoliennes. En Belgique, le Docteur Leproult (ULB) mesure la mortalité par manque de sommeil.
Enfants et personnes âgées sont plus concernés que les adultes par les éoliennes...
Ne faites pas d’enfant près d’une éolienne !
Eric Zou a comparé des centaines de territoires de 50 km de diamètre avec éoliennes à des centaines de territoires de même dimension sans éoliennes. Il serait impossible de trouver pareil échantillon dans un petit pays comme la Belgique et ce travail est donc d’un très grand intérêt.
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
Version originale (en langue anglaise) : http://en.friends-against-wind.org/health/impact-of-wind-turbines-on-suicide
Aux USA, Eric Zou (1), doctorant, observe une nette augmentation des plaintes pour insomnie auprès des services d’aide et aussi des suicides dès l’installation d’éoliennes. En Belgique, le Docteur Leproult (ULB) mesure la mortalité par manque de sommeil.
Enfants et personnes âgées sont plus concernés que les adultes par les éoliennes...
Ne faites pas d’enfant près d’une éolienne !
Eric Zou a comparé des centaines de territoires de 50 km de diamètre avec éoliennes à des centaines de territoires de même dimension sans éoliennes. Il serait impossible de trouver pareil échantillon dans un petit pays comme la Belgique et ce travail est donc d’un très grand intérêt.
Australie : le pays au bilan CO2 dramatique et aux milliers d'éoliennes
Avons-nous la classe politique la plus bête ou la plus... corrompue?
php
source : http://www.1clic1planet.com |
À vos plumes !! La connerie insondable de nos élites qui ne voient pas la famine arriver !! Explications
http://www.economiematin.fr
par Charles Sannat
24/11/2017
Commentaire : chers (es) élus (es), quand une société a un projet agricole, elle acquiert la terre. Quand le projet est exclusivement industriel et financier, elle... l'a loue. Vous voyez de qui l'on parle et à qui l'on pense... Alors, au prochain passage d'un missionnaire éolien, réfléchissez-y avant de lui offrir le gîte et le couvert.
Il va encore falloir écrire au Président, et au Premier ministre qui semblent avoir la « comprenette difficilette » ces derniers temps !! Je vous redonne tout de suite les adresses et pour le reste vous allez très vite saisir l’importance de la chose.
Pour écrire au Président c’est ici
Pour écrire au Premier Ministre c’est ici
En effet, les Chinois viennent à nouveau de frapper en rachetant, au nez et à la barbe de nos pandores de la terre agricole de la SAFER, 900 hectares dans l’Allier pour un montant de 10 millions d’euros.
La société Hongyang avait déjà réussi il y a deux ans l’acquisition de 1 700 hectares et cela avait défrayé la chronique.
Pas d’intervention possible de la SAFER pour bloquer la vente car la loi n’est toujours pas adaptée !
Après les premiers cas de rachat par des Chinois de nos terres arables, une notification pour toutes les transactions a été rendue obligatoire avec un changement de la loi début 2017 mais la SAFER, une fois de plus, n’a pas pu intervenir, la loi “sur l’accaparement des terres agricoles”, adoptée par le gouvernement Hollande, ayant été partiellement invalidée par le Conseil constitutionnel en mars… Et depuis, rien n’a été fait pour empêcher de tels rachats.
“Leur notaire nous avertit qu’il y avait une vente de parts sociales, mais comme elle ne se fait pas sur la totalité des parts, la SAFER n’a pas pu intervenir, car le droit de préemption ne peut s’appliquer que sur la totalité des terres vendues.”
“Les mêmes investisseurs chinois, avec les mêmes pratiques contournant le droit de préemption des SAFER sur les terres agricoles, ont acquis 98 % des parts sociales de sociétés agricoles, leur permettant de mettre la main sur 900 hectares de terres à blé et à maïs dans l’Allier”, a expliqué mercredi à l’AFP le président de la Fédération nationale des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Fn Safer), Emmanuel Hyest.
par Charles Sannat
24/11/2017
Commentaire : chers (es) élus (es), quand une société a un projet agricole, elle acquiert la terre. Quand le projet est exclusivement industriel et financier, elle... l'a loue. Vous voyez de qui l'on parle et à qui l'on pense... Alors, au prochain passage d'un missionnaire éolien, réfléchissez-y avant de lui offrir le gîte et le couvert.
php
Il va encore falloir écrire au Président, et au Premier ministre qui semblent avoir la « comprenette difficilette » ces derniers temps !! Je vous redonne tout de suite les adresses et pour le reste vous allez très vite saisir l’importance de la chose.
Pour écrire au Président c’est ici
Pour écrire au Premier Ministre c’est ici
En effet, les Chinois viennent à nouveau de frapper en rachetant, au nez et à la barbe de nos pandores de la terre agricole de la SAFER, 900 hectares dans l’Allier pour un montant de 10 millions d’euros.
La société Hongyang avait déjà réussi il y a deux ans l’acquisition de 1 700 hectares et cela avait défrayé la chronique.
Pas d’intervention possible de la SAFER pour bloquer la vente car la loi n’est toujours pas adaptée !
Après les premiers cas de rachat par des Chinois de nos terres arables, une notification pour toutes les transactions a été rendue obligatoire avec un changement de la loi début 2017 mais la SAFER, une fois de plus, n’a pas pu intervenir, la loi “sur l’accaparement des terres agricoles”, adoptée par le gouvernement Hollande, ayant été partiellement invalidée par le Conseil constitutionnel en mars… Et depuis, rien n’a été fait pour empêcher de tels rachats.
“Leur notaire nous avertit qu’il y avait une vente de parts sociales, mais comme elle ne se fait pas sur la totalité des parts, la SAFER n’a pas pu intervenir, car le droit de préemption ne peut s’appliquer que sur la totalité des terres vendues.”
“Les mêmes investisseurs chinois, avec les mêmes pratiques contournant le droit de préemption des SAFER sur les terres agricoles, ont acquis 98 % des parts sociales de sociétés agricoles, leur permettant de mettre la main sur 900 hectares de terres à blé et à maïs dans l’Allier”, a expliqué mercredi à l’AFP le président de la Fédération nationale des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Fn Safer), Emmanuel Hyest.
Le délire de la politique énergétique française
https://www.contrepoints.org
Par Michel Gay
Aujourd’hui, des idéologues refusent de reconnaître les réalités pour essayer d’accomplir leur rêve d’un monde fonctionnant grâce au vent et au soleil, et surtout sans… nucléaire.
Malgré l’annonce faite par Nicolas Hulot le 7 novembre 2017 de reporter à 2030 (ou 2035) la baisse du nucléaire à 50% dans la production d’électricité, la politique énergétique française continue à relever du délire. Ce n’est guère mieux dans la plupart des pays européens, notamment en Allemagne.
Pourtant, depuis plusieurs décennies, la France est technologiquement en pointe dans le domaine de l’énergie avec une remarquable production d’électricité décarbonée, essentiellement nucléaire.
Par Michel Gay
Aujourd’hui, des idéologues refusent de reconnaître les réalités pour essayer d’accomplir leur rêve d’un monde fonctionnant grâce au vent et au soleil, et surtout sans… nucléaire.
Malgré l’annonce faite par Nicolas Hulot le 7 novembre 2017 de reporter à 2030 (ou 2035) la baisse du nucléaire à 50% dans la production d’électricité, la politique énergétique française continue à relever du délire. Ce n’est guère mieux dans la plupart des pays européens, notamment en Allemagne.
Pourtant, depuis plusieurs décennies, la France est technologiquement en pointe dans le domaine de l’énergie avec une remarquable production d’électricité décarbonée, essentiellement nucléaire.
Haute Marne sud : gens qui rient, gens qui pleurent
jhm.fr
24/11/2017
Commune de Longeau : bien. Au suivant.
Commune de Bourbonne-les-Bains : ici, quand le tourisme va, tout va!
Gens qui pleurent :"On respecte un homme qui se respecte lui-même*" Idem pour un territoire. R.I.P
* Honoré de Balzac (1799-1850)
24/11/2017
Commune de Longeau : bien. Au suivant.
capture d'écran |
Commune de Bourbonne-les-Bains : ici, quand le tourisme va, tout va!
capture d'écran |
Gens qui pleurent :"On respecte un homme qui se respecte lui-même*" Idem pour un territoire. R.I.P
capture d'écran |
php
Le nouveau nucléaire, en fait pas si cher ? Réponse à Dominique Seux de France Inter
par nikopol92
Le novembre 21, 2017
Le sujet de l’énergie en France dans les médias : Panurge ou Panisse ?
Actuellement les journalistes ressemblent plutôt à des moutons de Panurge 😉
Ils répètent inlassablement le discours des Verts : « Le nouveau nucléaire est cher ».
Cher par rapport à quoi ? Aux EnR ? C’est faux.
Car la déontologie veut qu’on ne compare que ce qui est comparable : à service constant, et à CO2 et importations constants.
Et là c’est tout différent. C’est Panisse qui débarque pour nous mettre un coup de pied au fesses 😉
Extrait truculent de Pagnol :
Panisse à M.Brun:
Le novembre 21, 2017
Le sujet de l’énergie en France dans les médias : Panurge ou Panisse ?
Actuellement les journalistes ressemblent plutôt à des moutons de Panurge 😉
Ils répètent inlassablement le discours des Verts : « Le nouveau nucléaire est cher ».
Cher par rapport à quoi ? Aux EnR ? C’est faux.
Car la déontologie veut qu’on ne compare que ce qui est comparable : à service constant, et à CO2 et importations constants.
Et là c’est tout différent. C’est Panisse qui débarque pour nous mettre un coup de pied au fesses 😉
Extrait truculent de Pagnol :
Panisse à M.Brun:
Suisse : transition Energétique : la faisabilité sérieusement mise en question
https://clubenergie2051.ch
par jf.dupont
Publié le 22/11/2017
Commentaire : remarquable analyse lucide et sans ... mots de bois. Mais en Suisse comme en France, le poids du message simpliste et réducteur des ayatollahs verts ("tout sauf le nucléaire" ) pèse lourd dans la réflexion intellectuelle (?) du monde politique en général.
ZERO ÉOLIENNE et BASTA!
La Transition Énergétique, ou Stratégie Énergétique 2050 (SE2050) a été votée le 21 mai 2050. C’est en principe un objet sur lequel il n’y a pas lieu de revenir avant longtemps. Oui, mais le débat a été en grande partie escamoté – et donc probablement faussé – parce que quelques questions essentielles n’ont simplement pas été analysées comme elles auraient dû l’être.
Parmi ces questions essentielles : la Transition Énergétique est-elle faisable ? Peut-elle garantir la sécurité d’approvisionnement ?
Deux évènements récents ont fait ressurgir ces questions : un séminaire conjoint DETEC-EPFL le 27 octobre dernier à Lausanne en présence de Mme la Conseillère fédérale Doris Leuthard et les déclarations à Paris de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire le 7 novembre à Paris.
Point de situation.
par jf.dupont
Publié le 22/11/2017
Commentaire : remarquable analyse lucide et sans ... mots de bois. Mais en Suisse comme en France, le poids du message simpliste et réducteur des ayatollahs verts ("tout sauf le nucléaire" ) pèse lourd dans la réflexion intellectuelle (?) du monde politique en général.
ZERO ÉOLIENNE et BASTA!
php
La Transition Énergétique, ou Stratégie Énergétique 2050 (SE2050) a été votée le 21 mai 2050. C’est en principe un objet sur lequel il n’y a pas lieu de revenir avant longtemps. Oui, mais le débat a été en grande partie escamoté – et donc probablement faussé – parce que quelques questions essentielles n’ont simplement pas été analysées comme elles auraient dû l’être.
Parmi ces questions essentielles : la Transition Énergétique est-elle faisable ? Peut-elle garantir la sécurité d’approvisionnement ?
Deux évènements récents ont fait ressurgir ces questions : un séminaire conjoint DETEC-EPFL le 27 octobre dernier à Lausanne en présence de Mme la Conseillère fédérale Doris Leuthard et les déclarations à Paris de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire le 7 novembre à Paris.
Point de situation.
Bouriège, le pont du Rec et le pont du Gourga, jour 170 : la lutte continue..
http://autan-reinfo.com
Pour faire connaissance avec ce magnifique Pays, son patrimoine et son histoire et mieux comprendre le pourquoi de la Résistance en Marche!
La démocratie dite à la française et ses représentants politiques s'abaissent comme des vassaux devant un lobby financier et international. Aussi, la Résistance En Marche citoyenne contre l'éolien face à cette situation pitoyable se doit de recourir à la désobéissance civile comme le font celles et ceux de Bouriège (Aude) et de Saint Victor (Aveyron). Que tous les mouvements de lutte adoptent la même détermination et le même engagement sur le terrain alors le rapport de force s'en trouvera changé et, sortis (es) de leur "zone de confort" bureaucratique et administrative, nos élus (es) à tous les niveaux et de tous bords politiques, comme des girouettes qu'ils n'ont pas, pour la plupart, cessé d'être, choisiront le sens de l'histoire.
Stop aux pleurnichements et à la victimisation, l'heure est au combat pour notre vie, notre santé et pour sauver la planète. On vit , on meure, ce n'est pas déjà si mal, non?
En avant toute! Zéro éolienne et Basta!
Vidéo
https://youtu.be/SbOMG1zuNQ8
Pour faire connaissance avec ce magnifique Pays, son patrimoine et son histoire et mieux comprendre le pourquoi de la Résistance en Marche!
La démocratie dite à la française et ses représentants politiques s'abaissent comme des vassaux devant un lobby financier et international. Aussi, la Résistance En Marche citoyenne contre l'éolien face à cette situation pitoyable se doit de recourir à la désobéissance civile comme le font celles et ceux de Bouriège (Aude) et de Saint Victor (Aveyron). Que tous les mouvements de lutte adoptent la même détermination et le même engagement sur le terrain alors le rapport de force s'en trouvera changé et, sortis (es) de leur "zone de confort" bureaucratique et administrative, nos élus (es) à tous les niveaux et de tous bords politiques, comme des girouettes qu'ils n'ont pas, pour la plupart, cessé d'être, choisiront le sens de l'histoire.
Stop aux pleurnichements et à la victimisation, l'heure est au combat pour notre vie, notre santé et pour sauver la planète. On vit , on meure, ce n'est pas déjà si mal, non?
En avant toute! Zéro éolienne et Basta!
Bouriège/Saint Sernin. Source : http://www.panoramio.com/user/5575656 |
Vidéo
https://youtu.be/SbOMG1zuNQ8
php
Le renouvelable « pas cher » vu par Jean-Marc Jancovici
http://fr.friends-against-wind.org
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
18/11/2017
Claude Brasseur présente l’étude « 100 % renouvelable pour pas plus cher, fastoche ? » de l’ingénieur Jean-Marc Jancovici.
Dans son étude « 100 % renouvelable pour pas plus cher, fastoche ? », l’ingénieur Jean-Marc Jancovici prend les « verts » au sérieux en choisissant pour orientation de son travail la réduction du taux de CO2 dans l’atmosphère. Il fait un exercice particulièrement intéressant et utile à tous les citoyens concernés en présentant brièvement l’évolution de l’outil de production électrique français au cours du siècle. Il développe trois cas extrêmes, de manière réaliste :
Par Claude Brasseur, mathématicien astronome, chercheur et fondateur d’un centre de recherche sur les énergies renouvelables
brasseurvossen@skynet.be
18/11/2017
Claude Brasseur présente l’étude « 100 % renouvelable pour pas plus cher, fastoche ? » de l’ingénieur Jean-Marc Jancovici.
Dans son étude « 100 % renouvelable pour pas plus cher, fastoche ? », l’ingénieur Jean-Marc Jancovici prend les « verts » au sérieux en choisissant pour orientation de son travail la réduction du taux de CO2 dans l’atmosphère. Il fait un exercice particulièrement intéressant et utile à tous les citoyens concernés en présentant brièvement l’évolution de l’outil de production électrique français au cours du siècle. Il développe trois cas extrêmes, de manière réaliste :
- Une évolution normale du nucléaire avec un renouvellement progressif de l’outil.
- Le tout éolien. Il oblige à installer 3 à 4 fois la puissance nécessaire et à stocker l’électricité dans de gigantesques lacs ou barrages artificiels réversibles appelés STEP.
- Le tout photovoltaïque où il faut installer 4 à 5 fois plus de puissance que celle délivrée en pointe : il n’y a pas de soleil la nuit et très peu en hiver.
Des milliers de véhicules Volvo autonomes pour Uber entre 2019 et 2021
par Charles Sannat
Commentaire : Qui fera le plein? Qui changera la roue? Qui grattera le pare-brise gelé? Etc. À suivre...
Le XC90 est l’un des derniers modèles de Volvo, et un fort beau modèle semble-t-il !
Ce véhicule dispose d’un volant qui tourne tout seul, de caméras qui sont capables de reconnaître les lignes blanches et de vous maintenir sur votre file, ou encore d’un mode de conduite qui permet de s’adapter au trafic de devant…
En gros, cette voiture est autonome, mais l’autonomie des voitures n’est pas aujourd’hui juridiquement possible même si elle est déjà techniquement totalement réalisée.
Volvo et UBER viennent donc de signer un accord cadre selon lequel Volvo va fournir 24 000 véhicules dits “compatibles avec la conduite autonome”.
En gros, UBER est déjà prêt à se passer de ses chauffeurs. Ce n’est qu’une question de cadre juridique.
C’est pour cela qu’ UBER prévoit déjà des voitures compatibles avec la conduite autonome et ce, pour après-demain puisque l’on parle de 2019 et c’est dans moins de 2 ans !!! Pour Volvo, d’ici 2021, les voitures seront totalement autonomes, et il faudra que l’État trouve d’autres sources de financements que les radars automatiques !!!
Cela va aller très vite et la robolution à l’œuvre va considérablement changer le paysage de l’emploi et du marché du travail.
Charles SANNAT
Source 01.net ici
Commentaire : Qui fera le plein? Qui changera la roue? Qui grattera le pare-brise gelé? Etc. À suivre...
php
Le XC90 est l’un des derniers modèles de Volvo, et un fort beau modèle semble-t-il !
Ce véhicule dispose d’un volant qui tourne tout seul, de caméras qui sont capables de reconnaître les lignes blanches et de vous maintenir sur votre file, ou encore d’un mode de conduite qui permet de s’adapter au trafic de devant…
En gros, cette voiture est autonome, mais l’autonomie des voitures n’est pas aujourd’hui juridiquement possible même si elle est déjà techniquement totalement réalisée.
Volvo et UBER viennent donc de signer un accord cadre selon lequel Volvo va fournir 24 000 véhicules dits “compatibles avec la conduite autonome”.
En gros, UBER est déjà prêt à se passer de ses chauffeurs. Ce n’est qu’une question de cadre juridique.
C’est pour cela qu’ UBER prévoit déjà des voitures compatibles avec la conduite autonome et ce, pour après-demain puisque l’on parle de 2019 et c’est dans moins de 2 ans !!! Pour Volvo, d’ici 2021, les voitures seront totalement autonomes, et il faudra que l’État trouve d’autres sources de financements que les radars automatiques !!!
Cela va aller très vite et la robolution à l’œuvre va considérablement changer le paysage de l’emploi et du marché du travail.
Charles SANNAT
Source 01.net ici
La transition énergétique ratée de l'Allemagne
Par Pierre Yves Morvan
21 nov. 2017
Blog : Écologie, réchauffement climatique - C'est urgent !
Peut-on sortir du nucléaire, et en même temps, sortir du réchauffement climatique ?
La transition énergétique ratée de l'Allemagne
Énergies renouvelables ou énergies bas-carbone ?
L'objectif premier de la transition énergétique était de lutter contre le réchauffement climatique en réduisant les émissions de CO2. Les nouveaux héros des temps modernes étaient des héros verts en bleu de travail qui bâtissaient un avenir rose pour tous. Ils construisaient de merveilleuses éoliennes, installent de merveilleux panneaux photovoltaïques, isolaient merveilleusement les maisons. La transition énergétique c'était économiser l'énergie (dans les pays déjà riches) et développer partout les énergies bas-carbone. Une précision de vocabulaire est nécessaire ici :
Mais la finalité première de la transition énergétique s'est brouillée. Il faudrait maintenant marier la lutte contre le réchauffement climatique et la sortie du nucléaire.
« Si quelqu’un a quelque raison que ce soit de s’opposer à ce mariage, qu’il parle maintenant, ou se taise à jamais »
Il y a en effet, au minimum, des questions à poser, je les pose maintenant, sans intention de me taire à jamais.
21 nov. 2017
Blog : Écologie, réchauffement climatique - C'est urgent !
Peut-on sortir du nucléaire, et en même temps, sortir du réchauffement climatique ?
La transition énergétique ratée de l'Allemagne
Énergies renouvelables ou énergies bas-carbone ?
L'objectif premier de la transition énergétique était de lutter contre le réchauffement climatique en réduisant les émissions de CO2. Les nouveaux héros des temps modernes étaient des héros verts en bleu de travail qui bâtissaient un avenir rose pour tous. Ils construisaient de merveilleuses éoliennes, installent de merveilleux panneaux photovoltaïques, isolaient merveilleusement les maisons. La transition énergétique c'était économiser l'énergie (dans les pays déjà riches) et développer partout les énergies bas-carbone. Une précision de vocabulaire est nécessaire ici :
- Les énergies bas-carbone émettent peu de CO2,
- Parmi les énergies bas-carbone, il y a les énergies renouvelables.- Parmi les énergies bas-carbone, il y a aussi le nucléaire.
Mais la finalité première de la transition énergétique s'est brouillée. Il faudrait maintenant marier la lutte contre le réchauffement climatique et la sortie du nucléaire.
« Si quelqu’un a quelque raison que ce soit de s’opposer à ce mariage, qu’il parle maintenant, ou se taise à jamais »
Il y a en effet, au minimum, des questions à poser, je les pose maintenant, sans intention de me taire à jamais.
Qu’elle limite en Europe pour l’intermittence dans le mix électrique sans hydro en masse ? 19 % en Irlande
https://ideesrecuessurlenergie.wordpress.com
par nikopol92.
Publié le 7 mai 2017
http://www.academie-sciences.fr/fr/Rapports-ouvrages-avis-et-recommandations-de-l-Academie/avis-sur-la-transition-energetique.html
Rectifions cette posture un peu trop politiquement correcte…
Je cite :
« la part totale des ENRis ne peut pas aller très au-delà de 30-40% sans conduire à des coûts exorbitants».
Une telle formulation laisse penser que, jusqu’à ce pourcentage il n’y a pas de problème pour le bilan du parc nucléaire d’EDF ?
Or il y en a dès aujourd’hui. Voir l’étude CREDEN (Percebois). La perte de valeur de notre parc décarboné ne peut qu’augmenter au fur et à mesure que se développe le parc des ENRis. Macron entend doubler les ENRis d’ici 2023 et le parc français devrait passer à 15% du mix en 2025, soit le parc allemand d’aujourd’hui… Ce dernier gâche en fait un immense potentiel social mais masque un dumping habile sur la productivité des agriculteurs allemands (subsides liés au PV, à la méthanisation et à l’éolien tous très subventionnés) par des exports et jouissant d’une priorité de consommation indue (La France paysanne s’en ressent d’ailleurs tout en restant passive à Bruxelles sur ce point).
En 2014, les champions européens étaient, dans cet ordre, et en % de la production BRUTE d’électricité, le Danemark avec 42,6 %, le Portugal avec 24,1 %, l’Espagne avec 21,6 % et l’Irlande avec 19,5% L’Allemagne ne faisait que 14,8%.
par nikopol92.
Publié le 7 mai 2017
http://www.academie-sciences.fr/fr/Rapports-ouvrages-avis-et-recommandations-de-l-Academie/avis-sur-la-transition-energetique.html
Rectifions cette posture un peu trop politiquement correcte…
Je cite :
« la part totale des ENRis ne peut pas aller très au-delà de 30-40% sans conduire à des coûts exorbitants».
Une telle formulation laisse penser que, jusqu’à ce pourcentage il n’y a pas de problème pour le bilan du parc nucléaire d’EDF ?
Or il y en a dès aujourd’hui. Voir l’étude CREDEN (Percebois). La perte de valeur de notre parc décarboné ne peut qu’augmenter au fur et à mesure que se développe le parc des ENRis. Macron entend doubler les ENRis d’ici 2023 et le parc français devrait passer à 15% du mix en 2025, soit le parc allemand d’aujourd’hui… Ce dernier gâche en fait un immense potentiel social mais masque un dumping habile sur la productivité des agriculteurs allemands (subsides liés au PV, à la méthanisation et à l’éolien tous très subventionnés) par des exports et jouissant d’une priorité de consommation indue (La France paysanne s’en ressent d’ailleurs tout en restant passive à Bruxelles sur ce point).
En 2014, les champions européens étaient, dans cet ordre, et en % de la production BRUTE d’électricité, le Danemark avec 42,6 %, le Portugal avec 24,1 %, l’Espagne avec 21,6 % et l’Irlande avec 19,5% L’Allemagne ne faisait que 14,8%.
Misère, on va tous mourir… de peur
https://www.contrepoints.org
Par Thierry Levent et Michel Gay
Commentaire : pendant ce temps des milliers d'êtres humains meurent vraiment en travaillant à l'extraction des Terres rares, du cobalt, de l'uranium, du charbon, etc.
Le luxe de l'homme occidental est encore de mourir... de peur, à défaut de mourir de... rire!
By: Stefan Rheone - CC BY 2.0
Certes, tout le monde va mourir. Mais la population mondiale se nourrit de mieux en mieux et l’espérance de vie à notablement augmenté en un siècle. Les pesticides qui permettent de meilleures récoltes n’y sont certainement pas étrangers.
Dernièrement encore, les médias ont alerté les Français sur une énième apocalypse sanitaire qui serait due aux pesticides et aux perturbateurs endocriniens.
Leur ardeur écolo-bobo à vouloir émouvoir colle à la doxa actuelle d’une heuristique de la peur, chère aux adeptes écologistes de la « deep-ecology ». Cette tendance, à l’œuvre depuis plusieurs années avec la complicité d’une partie du personnel politique se réclamant du « camp du bien », a atteint son objectif : avoir peur de tout est dorénavant la règle.
L’idéologie de la peur a pris le pouvoir
L’idéologie remplace la science. L’esprit critique est cloué au pilori, les (vrais) experts techniques sont conspués, les lanceurs d’alerte (autoproclamés) adulés, et l’analphabétisme scientifique recommandé.
La démocratie des crédules est installée pour le plus grand bonheur des prosélytes du catastrophisme institutionnalisé. Le principe de précaution, mal assimilé et mal utilisé, a eu raison du risque calculé.
Par Thierry Levent et Michel Gay
Commentaire : pendant ce temps des milliers d'êtres humains meurent vraiment en travaillant à l'extraction des Terres rares, du cobalt, de l'uranium, du charbon, etc.
Le luxe de l'homme occidental est encore de mourir... de peur, à défaut de mourir de... rire!
php
By: Stefan Rheone - CC BY 2.0
Certes, tout le monde va mourir. Mais la population mondiale se nourrit de mieux en mieux et l’espérance de vie à notablement augmenté en un siècle. Les pesticides qui permettent de meilleures récoltes n’y sont certainement pas étrangers.
Dernièrement encore, les médias ont alerté les Français sur une énième apocalypse sanitaire qui serait due aux pesticides et aux perturbateurs endocriniens.
Leur ardeur écolo-bobo à vouloir émouvoir colle à la doxa actuelle d’une heuristique de la peur, chère aux adeptes écologistes de la « deep-ecology ». Cette tendance, à l’œuvre depuis plusieurs années avec la complicité d’une partie du personnel politique se réclamant du « camp du bien », a atteint son objectif : avoir peur de tout est dorénavant la règle.
L’idéologie de la peur a pris le pouvoir
L’idéologie remplace la science. L’esprit critique est cloué au pilori, les (vrais) experts techniques sont conspués, les lanceurs d’alerte (autoproclamés) adulés, et l’analphabétisme scientifique recommandé.
La démocratie des crédules est installée pour le plus grand bonheur des prosélytes du catastrophisme institutionnalisé. Le principe de précaution, mal assimilé et mal utilisé, a eu raison du risque calculé.
Quand nos batteries dépendent du travail d’enfants…
https://lareleveetlapeste.fr
par Maureen Gilmant
Commentaire : Entends-tu dans nos campagnes et nos métropoles le silence assourdissant des ayatollahs verts et des ONG qui ont pignon sur rue (France Nature Environnement, Greenpeace, LPO, Negawatt, WWF, etc.) soutiens inconditionnels de l'éolien, du photovoltaïque, de la voiture électrique, etc. , grands pourvoyeurs de cobalt et de Terres rares.
Au pilori!
Une enquête menée par Amnesty international dévoile que de grandes marques, telles que Renault, Microsoft ou encore BMW, ne font pas vérifier leurs chaines d’approvisionnement de cobalt, matière nécessaire à la conception de batterie.
Des conditions de travail obscures
Il s’est écoulé deux ans depuis les premières révélations d’Amnesty international, mettant en lumière que les batteries utilisées par les grandes marques étaient susceptibles d’être liées au travail des enfants en République démocratique du Congo (RDC).
En effet, le cobalt est un composant essentiel des batteries lithium-ion, et plus de la moitié de ce qui est extrait à travers le monde provient de la République démocratique du Congo. De plus, 20% sont extraits des mines manuellement.
Les informations rassemblées à l’époque montrent que, des enfants et adultes extraient le cobalt dans des conditions très dangereuses et néfastes. Au sein de tunnels étroits creusés manuellement, ils sont exposés à des accidents mortels et de graves affections pulmonaires.
par Maureen Gilmant
Commentaire : Entends-tu dans nos campagnes et nos métropoles le silence assourdissant des ayatollahs verts et des ONG qui ont pignon sur rue (France Nature Environnement, Greenpeace, LPO, Negawatt, WWF, etc.) soutiens inconditionnels de l'éolien, du photovoltaïque, de la voiture électrique, etc. , grands pourvoyeurs de cobalt et de Terres rares.
Au pilori!
php
Une enquête menée par Amnesty international dévoile que de grandes marques, telles que Renault, Microsoft ou encore BMW, ne font pas vérifier leurs chaines d’approvisionnement de cobalt, matière nécessaire à la conception de batterie.
Des conditions de travail obscures
Il s’est écoulé deux ans depuis les premières révélations d’Amnesty international, mettant en lumière que les batteries utilisées par les grandes marques étaient susceptibles d’être liées au travail des enfants en République démocratique du Congo (RDC).
En effet, le cobalt est un composant essentiel des batteries lithium-ion, et plus de la moitié de ce qui est extrait à travers le monde provient de la République démocratique du Congo. De plus, 20% sont extraits des mines manuellement.
Les informations rassemblées à l’époque montrent que, des enfants et adultes extraient le cobalt dans des conditions très dangereuses et néfastes. Au sein de tunnels étroits creusés manuellement, ils sont exposés à des accidents mortels et de graves affections pulmonaires.
L’électricité deux fois plus chère en Allemagne qu’en France
https://www.contrepoints.org
Par Nicolas Lecaussin et Jean-Baptiste Boone
Un article de l’Iref-Europe
Entre 2010 et 2015, suite aux investissements dans les énergies renouvelables, les Allemands (ménages et entreprises) ont payé un surcoût de l’ordre de 125Mds d’euros pour leurs factures d’électricité.
Lors des dernières élections en Allemagne, l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) a obtenu un surprenant score de 13 %. Parmi ses promesses figure aussi la fin des subventions pour les énergies vertes, en particulier l’éolien. Les sondages récents montrent que pas moins de 61 % des Allemands ne veulent pas dépenser plus pour l’énergie même si elle est renouvelable. Et pour cause.
Le prix de l’électricité a explosé de l’autre côté du Rhin. Selon la US Energy Information Administration et Selectra, le coût du KWH est plus de deux fois plus élevé pour un ménage allemand (0.30 euro) que pour un ménage français (0.14 euro) et presque trois fois plus élevé que pour un ménage américain (0.11 euro).
Par Nicolas Lecaussin et Jean-Baptiste Boone
Un article de l’Iref-Europe
Entre 2010 et 2015, suite aux investissements dans les énergies renouvelables, les Allemands (ménages et entreprises) ont payé un surcoût de l’ordre de 125Mds d’euros pour leurs factures d’électricité.
Lors des dernières élections en Allemagne, l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) a obtenu un surprenant score de 13 %. Parmi ses promesses figure aussi la fin des subventions pour les énergies vertes, en particulier l’éolien. Les sondages récents montrent que pas moins de 61 % des Allemands ne veulent pas dépenser plus pour l’énergie même si elle est renouvelable. Et pour cause.
Le prix de l’électricité a explosé de l’autre côté du Rhin. Selon la US Energy Information Administration et Selectra, le coût du KWH est plus de deux fois plus élevé pour un ménage allemand (0.30 euro) que pour un ménage français (0.14 euro) et presque trois fois plus élevé que pour un ménage américain (0.11 euro).
Le Congo (RDC) : un génocide au XXIe siècle ? D’un massacre de masse déterminé par l’industrie numérique
http://www.contretemps.eu
Fabien Lebrun
Nous publions ici le texte d’une communication donnée au colloque « Penser l’émancipation » en septembre dernier. Pour des développements supplémentaires, nous renvoyons lectrices et lecteurs au texte publié par l’auteur dans le volume IV (« Altérophobie, superfluité et abstraction : une société de dominations« ) de la série « Théorie critique de la crise » publiée par la revue Illusio.
Comme l’indique le titre de ma communication, je voudrais évoquer les ravages de l’industrie numérique, en ciblant mon propos sur un conflit oublié, toujours en cours, qui se déroule au Congo. Le comité d’organisation du colloque Penser l’émancipation écrivait dans son appel à contribution : « pour être à la hauteur du défi révolutionnaire aujourd’hui, des rébellions vaincues, des révoltes écrasées, des défaites les plus amères, la théorie doit pouvoir se hisser à son plus haut niveau et mener – citant Marx – “la critique impitoyable de tout ce qui existe” ». Or aujourd’hui, « tout ce qui existe » et qui prend une forme totalisante, et inévitable, c’est entre autres ce qui dépend de près ou de loin du numérique, devenu la nouvelle religion, symbole d’innovation, de progrès.
Le numérique, les nouvelles technologies, s’imposent partout. Si jamais certains en doutaient encore, juste deux exemples afin de « planter le décor » et de contextualiser le monde technologisé dans lequel nous vivons :
– chaque jour, dans le monde, se vendent environ 650 000 téléviseurs, 6 millions de téléphones mobiles ou encore 15 millions d’ordinateurs ;
– ensuite, une rubrique dénommée « 60 secondes sur Internet » publié par le blog du modérateur permet de décrypter les tendances générales des internautes et la massification des pratiques médiatiques et communicationnelles. En une minute, dans notre monde actuel : 70 000 heures de films sont regardées sur Netflix ; 150 millions de mails sont envoyés ; 1 500 demandes de courses sont traitées par Uber ; 550 000 photos sont partagées sur Snapchat ; 50 000 applications sont téléchargées sur Apple Store ; 200 000 dollars de chiffres d’affaire sont réalisés par Amazon ; 120 nouveaux comptes sont créés sur Linkedin ; 350 000 tweets sont publiés sur Twitter ; 40 000 posts sont partagés sur Instagram ; 1 million de boucles de vidéos de Vine sont regardées ; 40 000 heures de musique sont écoutées sur Spotify ; 2,5 millions de recherches sont effectuées sur Google ; 1 million de swipes (réponses négatives et positives) sont réalisées sur Tinder ; 3 millions de vidéos sont vues sur YouTube ; 20 millions de messages sont envoyés via WhatsApp ; 700 000 connexions sont effectuées sur Facebook. Et ces chiffres datent de 2016.
Dans le cadre d’une théorie critique du capitalisme, c’est bien cela qu’il s’agit de critiquer, à savoir ce secteur numérique qui constitue une part toujours plus importante de la totalité sociale, ou encore de la totalité capitaliste qui se traduit par la propagande numérique tous azimuts, l’extension et la croissance sans fin des marchandises high tech.
Mais mon propos n’est pas de critiquer « tout ce qui existe » ici, c’est-à-dire en Occident, dans nos sociétés dites « développées » ou pays dits « riches ». Je me placerai aujourd’hui sur un autre terrain de la critique, en amont, avant même cette folle consommation numérique. L’idée est plutôt de partir de l’origine de la production et de la fabrication exponentielle nécessaires à notre société connectée.
En d’autres termes, c’est l’extractivisme névrotique et l’exploitation des ressources naturelles – c’est-à-dire ce qui permet la base matérielle du capitalisme numérique, son armature, son squelette, sa charpente – qu’il faut étudier afin de comprendre la matérialité de nos vies virtualisées, l’aspect bien réel et concret du virtuel ou du cyberespace. C’est donc à la racine qu’il faut aller chercher l’extraordinaire destructivité du capitalisme contemporain. Il faut remonter le circuit de la mondialisation marchande, repartir à la base de la chaîne produisant les gadgets technologiques par milliards, jusqu’à ce qui les constitue, jusqu’à leur composition en métaux, eux-mêmes résultats et produits à partir de minerais.
Et c’est là où il est intéressant de se pencher sur le Congo, cela devient même inévitable, puisque le Congo en détient plusieurs et en plus en grande quantité. Le propos est d’aborder le Congo en tant qu’analyseur de l’historie sanglante du capitalisme, à la fois passée, présente et sans doute à venir.
Fabien Lebrun
Nous publions ici le texte d’une communication donnée au colloque « Penser l’émancipation » en septembre dernier. Pour des développements supplémentaires, nous renvoyons lectrices et lecteurs au texte publié par l’auteur dans le volume IV (« Altérophobie, superfluité et abstraction : une société de dominations« ) de la série « Théorie critique de la crise » publiée par la revue Illusio.
Comme l’indique le titre de ma communication, je voudrais évoquer les ravages de l’industrie numérique, en ciblant mon propos sur un conflit oublié, toujours en cours, qui se déroule au Congo. Le comité d’organisation du colloque Penser l’émancipation écrivait dans son appel à contribution : « pour être à la hauteur du défi révolutionnaire aujourd’hui, des rébellions vaincues, des révoltes écrasées, des défaites les plus amères, la théorie doit pouvoir se hisser à son plus haut niveau et mener – citant Marx – “la critique impitoyable de tout ce qui existe” ». Or aujourd’hui, « tout ce qui existe » et qui prend une forme totalisante, et inévitable, c’est entre autres ce qui dépend de près ou de loin du numérique, devenu la nouvelle religion, symbole d’innovation, de progrès.
Le numérique, les nouvelles technologies, s’imposent partout. Si jamais certains en doutaient encore, juste deux exemples afin de « planter le décor » et de contextualiser le monde technologisé dans lequel nous vivons :
– chaque jour, dans le monde, se vendent environ 650 000 téléviseurs, 6 millions de téléphones mobiles ou encore 15 millions d’ordinateurs ;
– ensuite, une rubrique dénommée « 60 secondes sur Internet » publié par le blog du modérateur permet de décrypter les tendances générales des internautes et la massification des pratiques médiatiques et communicationnelles. En une minute, dans notre monde actuel : 70 000 heures de films sont regardées sur Netflix ; 150 millions de mails sont envoyés ; 1 500 demandes de courses sont traitées par Uber ; 550 000 photos sont partagées sur Snapchat ; 50 000 applications sont téléchargées sur Apple Store ; 200 000 dollars de chiffres d’affaire sont réalisés par Amazon ; 120 nouveaux comptes sont créés sur Linkedin ; 350 000 tweets sont publiés sur Twitter ; 40 000 posts sont partagés sur Instagram ; 1 million de boucles de vidéos de Vine sont regardées ; 40 000 heures de musique sont écoutées sur Spotify ; 2,5 millions de recherches sont effectuées sur Google ; 1 million de swipes (réponses négatives et positives) sont réalisées sur Tinder ; 3 millions de vidéos sont vues sur YouTube ; 20 millions de messages sont envoyés via WhatsApp ; 700 000 connexions sont effectuées sur Facebook. Et ces chiffres datent de 2016.
Dans le cadre d’une théorie critique du capitalisme, c’est bien cela qu’il s’agit de critiquer, à savoir ce secteur numérique qui constitue une part toujours plus importante de la totalité sociale, ou encore de la totalité capitaliste qui se traduit par la propagande numérique tous azimuts, l’extension et la croissance sans fin des marchandises high tech.
Mais mon propos n’est pas de critiquer « tout ce qui existe » ici, c’est-à-dire en Occident, dans nos sociétés dites « développées » ou pays dits « riches ». Je me placerai aujourd’hui sur un autre terrain de la critique, en amont, avant même cette folle consommation numérique. L’idée est plutôt de partir de l’origine de la production et de la fabrication exponentielle nécessaires à notre société connectée.
En d’autres termes, c’est l’extractivisme névrotique et l’exploitation des ressources naturelles – c’est-à-dire ce qui permet la base matérielle du capitalisme numérique, son armature, son squelette, sa charpente – qu’il faut étudier afin de comprendre la matérialité de nos vies virtualisées, l’aspect bien réel et concret du virtuel ou du cyberespace. C’est donc à la racine qu’il faut aller chercher l’extraordinaire destructivité du capitalisme contemporain. Il faut remonter le circuit de la mondialisation marchande, repartir à la base de la chaîne produisant les gadgets technologiques par milliards, jusqu’à ce qui les constitue, jusqu’à leur composition en métaux, eux-mêmes résultats et produits à partir de minerais.
Et c’est là où il est intéressant de se pencher sur le Congo, cela devient même inévitable, puisque le Congo en détient plusieurs et en plus en grande quantité. Le propos est d’aborder le Congo en tant qu’analyseur de l’historie sanglante du capitalisme, à la fois passée, présente et sans doute à venir.
Rapport de RTE (Bilan Prévisionnel-Edition 2017) : et après?
Lionel Taccoen
Le Gouvernement français vient d'annoncer un report de la réduction
de la part du nucléaire à 50% prévu en 2025.Un justificatif de cette
décision est un rapport de RTE (Bilan Prévisionnel-Édition 2017). Nos
études ne concernent que l'observation des situations et des tendances
récentes. Nous n'évaluons pas les décisions ni les travaux de
prospective, mais nous les comparons aux réalités observées. En
conséquence nous ne consacrerons aucune Lettre à ce sujet, nous limitant
aux deux points suivants:
A) Le passage à
20-40% et plus d'énergies renouvelables intermittentes, présent dans
tous les scénarios de RTE, s'est accompagné d'une envolée des factures
dans tous les cas que nous avons observés, entre autres Danemark,
Allemagne et Australie du Sud . Le Rapport de RTE ne fournit aucune
donnée sur les coûts. Or la législation actuelle annonce comme l'un de
ses objectifs une fourniture d'électricité à prix compétitif.
« L’archipel métropolitain », une nouvelle lecture des dynamiques territoriales
http://mobile.lemonde.fr
Par Francis Pisani, Laetitia Van Eeckhout
16/11/2017
Une équipe de géographes redessine l’espace urbain en fonction des flux et des réseaux entre territoires.
Nadine Cattan, géographe au CNRS Nadine CATTAN
Le terme de ville, comme celui de métropole, « ne raconte plus les dynamiques territoriales en cours », souligne la géographe du CNRS Nadine Cattan. La vitalité d’un espace urbain tient aujourd’hui moins à ses dimensions qu’à ses connexions. Figés, les périmètres administratifs ne rendent compte ni des discontinuités spatiales ni, a fortiori, des multiples relations qui connectent les territoires entre eux. Au lieu de regarder « leur répartition et leur localisation », il s’agit, explique la chercheuse, de se pencher sur « leurs articulations et leurs interdépendances » : de passer de la « ville-territoire » à la « ville-réseaux ».
C’est là qu’intervient la notion de « système urbain ». Un terme essentiel dont se réclame Nadine Cattan. Contrairement à celui de ville ou de métropole, il permet d’appréhender les territoires comme des espaces dont le fondement même est la relation, le lien. L’approche n’est pas totalement nouvelle. Mais la plupart des auteurs qui se sont penchés sur le sujet s’en sont tenus « à la théorie, à la conceptualisation », observe Nadine Cattan. Intitulé « Les systèmes urbains français », le travail mené en 2012 par la géographe avec son équipe pour la Datar, se veut, lui, « concret ».
sur le même sujet « Les lignes qui comptent ne sont plus les frontières »
Par Francis Pisani, Laetitia Van Eeckhout
16/11/2017
Une équipe de géographes redessine l’espace urbain en fonction des flux et des réseaux entre territoires.
Nadine Cattan, géographe au CNRS Nadine CATTAN
Le terme de ville, comme celui de métropole, « ne raconte plus les dynamiques territoriales en cours », souligne la géographe du CNRS Nadine Cattan. La vitalité d’un espace urbain tient aujourd’hui moins à ses dimensions qu’à ses connexions. Figés, les périmètres administratifs ne rendent compte ni des discontinuités spatiales ni, a fortiori, des multiples relations qui connectent les territoires entre eux. Au lieu de regarder « leur répartition et leur localisation », il s’agit, explique la chercheuse, de se pencher sur « leurs articulations et leurs interdépendances » : de passer de la « ville-territoire » à la « ville-réseaux ».
C’est là qu’intervient la notion de « système urbain ». Un terme essentiel dont se réclame Nadine Cattan. Contrairement à celui de ville ou de métropole, il permet d’appréhender les territoires comme des espaces dont le fondement même est la relation, le lien. L’approche n’est pas totalement nouvelle. Mais la plupart des auteurs qui se sont penchés sur le sujet s’en sont tenus « à la théorie, à la conceptualisation », observe Nadine Cattan. Intitulé « Les systèmes urbains français », le travail mené en 2012 par la géographe avec son équipe pour la Datar, se veut, lui, « concret ».
sur le même sujet « Les lignes qui comptent ne sont plus les frontières »
Impact des éoliennes sur les prix immobiliers
http://morventencolere.org/
Par Bernard Grangé
18/11/2017
Commentaire : remarquable travail. Malheureusement, cette démonstration éclatante, venant s'ajouter à tous les arguments incontestables déjà produits (scientifique, financier, etc.) pour dénoncer l'escroquerie éolienne, ne recevra aucune attention du monde politique, complices en majorité de la colonisation industrielle de nos territoires et des troupeaux d'autruches constituant une grande partie de la population.
Résumé
Alors que la perte de jouissance est contestée même dans son principe par les promoteurs éoliens,
la question de la valeur des biens immobiliers est traitée par eux avec désinvolture, voire
condescendance dans les études d’impact et de façon générale par les acteurs de l’éolien,
organismes publics compris. Dans les études d’impact, les références aux études qui démontreraient l’absence d’impact figurent apparemment sans même vérifier la teneur de ces études.En effet, les études citées, peu nombreuses d’ailleurs compte tenu de l’importance du sujet , et rarement récentes,concluent pour la plupart à l’existence d’un lien, même s’il est minimisé au stade des
hypothèses et des conclusions par les réserves dont un florilège suit. Une lecture critique met en effet en évidence les mécanismes par lesquels ces études sont falsifiées par les promoteurs éoliens.
important que les éoliennes sont grandes, qu’elles sont proches, et que la valeur antérieure du bien
est élevée. Au vu des moyens élevés consacré aux études diverses et à la communication sur les projets éoliens, il est inexplicable ou au contraire révélateur, que les promoteurs n’aient pas jugé utile
d’approfondir les réponses à cette question pourtant centrale pour les élus et les populations concernées. Il est également inadmissible que les autorités n’exigent pas, en ce domaine, un degré de précision comparable à celle qui est la norme dans les autres domaines (biodiversité par exemple)
et se contentent d’affirmations stéréotypées et aucunement étayées.Ce seul fait établit la faute des promoteurs, vicie le consentement éventuel des élus et engage la responsabilité de ceux qui commettent ou acceptent cette manipulation.
Lire l'étude en entier
http://morventencolere.org/wp-content/uploads/2017/11/Analyse-Etudes-impact-immobilier-2017-11-16.pdf
Par Bernard Grangé
18/11/2017
Commentaire : remarquable travail. Malheureusement, cette démonstration éclatante, venant s'ajouter à tous les arguments incontestables déjà produits (scientifique, financier, etc.) pour dénoncer l'escroquerie éolienne, ne recevra aucune attention du monde politique, complices en majorité de la colonisation industrielle de nos territoires et des troupeaux d'autruches constituant une grande partie de la population.
php
Résumé
Alors que la perte de jouissance est contestée même dans son principe par les promoteurs éoliens,
la question de la valeur des biens immobiliers est traitée par eux avec désinvolture, voire
condescendance dans les études d’impact et de façon générale par les acteurs de l’éolien,
organismes publics compris. Dans les études d’impact, les références aux études qui démontreraient l’absence d’impact figurent apparemment sans même vérifier la teneur de ces études.En effet, les études citées, peu nombreuses d’ailleurs compte tenu de l’importance du sujet , et rarement récentes,concluent pour la plupart à l’existence d’un lien, même s’il est minimisé au stade des
hypothèses et des conclusions par les réserves dont un florilège suit. Une lecture critique met en effet en évidence les mécanismes par lesquels ces études sont falsifiées par les promoteurs éoliens.
- Études principalement au delà de 2000 mètres
- Études excluant en grande partie la date d’annonce du projet, la plus importante en terme d’impact, souvent 3 ans avant, 3 ans après la mise en service,
- Sondages sans rigueur scientifique(habitants des communes « situées à moins de 1000 mètres d’une commune accueillant un projet éolien» (c’est à dire en général situées largement au delà de 2000 mètres) ou enquêtes auprès des professionnels de l’immobilier.
- Études réalisées en période de hausse de l’immobilier (particulièrement 1995 à 2008), et montrant seulement que le projet n’a pas suffi à faire baisser les prix
- Négation de l’existence ou du sens d’un lien de causalité en dépit de la reconnaissance d’une évidence statistique
important que les éoliennes sont grandes, qu’elles sont proches, et que la valeur antérieure du bien
est élevée. Au vu des moyens élevés consacré aux études diverses et à la communication sur les projets éoliens, il est inexplicable ou au contraire révélateur, que les promoteurs n’aient pas jugé utile
d’approfondir les réponses à cette question pourtant centrale pour les élus et les populations concernées. Il est également inadmissible que les autorités n’exigent pas, en ce domaine, un degré de précision comparable à celle qui est la norme dans les autres domaines (biodiversité par exemple)
et se contentent d’affirmations stéréotypées et aucunement étayées.Ce seul fait établit la faute des promoteurs, vicie le consentement éventuel des élus et engage la responsabilité de ceux qui commettent ou acceptent cette manipulation.
Lire l'étude en entier
http://morventencolere.org/wp-content/uploads/2017/11/Analyse-Etudes-impact-immobilier-2017-11-16.pdf
L’écologie aujourd’hui : lobby ou religion ?
https://www.contrepoints.org
Par Yves Buchsenschutz
Un article d’Emploi 2017
La COP23 se termine : l’occasion de revenir sur la politique écologiste en France. On ne pourra pas dire que les moyens sont insuffisants.
La COP23 se termine et les écolos vont se plaindre, comme chaque fois, de ne pas avoir été écoutés ! Et pourtant, jamais une telle masse de moyens n’a probablement été dépensée pour une cause certes intéressante mais qui vire insensiblement à une religion conquérante appuyée sur un message apocalyptique et un clergé militant.
Le lobbying est une stratégie menée par une entreprise ou un groupe de pression (appelé lobby) cherchant à défendre ses propres intérêts auprès des décideurs, principalement politiques. Son action est souvent discrète et indirecte. Elle s’appuie sur une bonne connaissance des circuits décisionnels et sur la constitution de vastes réseaux. En exerçant une pression et en jouant de leur influence sur les décideurs, les lobbyistes visent ainsi à influencer la mise en place de nouvelles législations qui leur sont favorables.
Un lobby de l’écologie
Le lobbying est une activité encore peu courante en France, où elle est soumise depuis 2009 à des règles d’encadrement visant notamment à la publication des noms des clients de lobbyistes. En revanche, elle est très prisée aux États-Unis où les entreprises s’attachent de plus en plus souvent les services d’un lobbyiste professionnel. Elle est également fréquente à Bruxelles puisque plus de 15 000 lobbyistes sont présents auprès de la Commission européenne.
Par Yves Buchsenschutz
Un article d’Emploi 2017
La COP23 se termine : l’occasion de revenir sur la politique écologiste en France. On ne pourra pas dire que les moyens sont insuffisants.
La COP23 se termine et les écolos vont se plaindre, comme chaque fois, de ne pas avoir été écoutés ! Et pourtant, jamais une telle masse de moyens n’a probablement été dépensée pour une cause certes intéressante mais qui vire insensiblement à une religion conquérante appuyée sur un message apocalyptique et un clergé militant.
Le lobbying est une stratégie menée par une entreprise ou un groupe de pression (appelé lobby) cherchant à défendre ses propres intérêts auprès des décideurs, principalement politiques. Son action est souvent discrète et indirecte. Elle s’appuie sur une bonne connaissance des circuits décisionnels et sur la constitution de vastes réseaux. En exerçant une pression et en jouant de leur influence sur les décideurs, les lobbyistes visent ainsi à influencer la mise en place de nouvelles législations qui leur sont favorables.
Un lobby de l’écologie
Le lobbying est une activité encore peu courante en France, où elle est soumise depuis 2009 à des règles d’encadrement visant notamment à la publication des noms des clients de lobbyistes. En revanche, elle est très prisée aux États-Unis où les entreprises s’attachent de plus en plus souvent les services d’un lobbyiste professionnel. Elle est également fréquente à Bruxelles puisque plus de 15 000 lobbyistes sont présents auprès de la Commission européenne.
La chasse nuit à la biodiversité, démontre un naturaliste
https://reporterre.net
Émilie Massemin
18 novembre 2017
Spécialiste des mammifères, Pierre Rigaux dénonce l’emprise de la chasse sur les paysages, et démontre que ses fonctions « régulatrices » sont fictives. En cause : l’élevage massif d’animaux à chasser. Reporterre l’a accompagné battre la campagne, au cœur de la saison des moteurs de 4x4, des aboiements et des coups de feu.
Drôme et Isère, reportage
Après des kilomètres de cambrousse drômoise dorée de soleil, le Vercors en toile de fond, nous croisons enfin âme qui vive — vêtue de l’immanquable gilet orange. « Nous sommes en semaine, c’est calme, observe Pierre Rigaux, 37 ans, membre de la Société française d’étude et de protection des mammifères (SFEPM), au volant de sa camionnette bringuebalante. Sinon, il n’y aurait aucun promeneur, seulement des chasseurs partout. C’est fou, ce loisir où, chaque week-end, des dizaines de milliers de gens se promènent dans la campagne avec une arme à feu et tirent des centaines de milliers de balles de fusil. » En 2015, la France comptait plus de 1,1 million de chasseurs, selon la Fédération nationale. « 700.000 à 800.000 pratiquent vraiment. Ce nombre décroît mais il reste plus important que dans les autres pays européens. »
Émilie Massemin
18 novembre 2017
Spécialiste des mammifères, Pierre Rigaux dénonce l’emprise de la chasse sur les paysages, et démontre que ses fonctions « régulatrices » sont fictives. En cause : l’élevage massif d’animaux à chasser. Reporterre l’a accompagné battre la campagne, au cœur de la saison des moteurs de 4x4, des aboiements et des coups de feu.
Drôme et Isère, reportage
Après des kilomètres de cambrousse drômoise dorée de soleil, le Vercors en toile de fond, nous croisons enfin âme qui vive — vêtue de l’immanquable gilet orange. « Nous sommes en semaine, c’est calme, observe Pierre Rigaux, 37 ans, membre de la Société française d’étude et de protection des mammifères (SFEPM), au volant de sa camionnette bringuebalante. Sinon, il n’y aurait aucun promeneur, seulement des chasseurs partout. C’est fou, ce loisir où, chaque week-end, des dizaines de milliers de gens se promènent dans la campagne avec une arme à feu et tirent des centaines de milliers de balles de fusil. » En 2015, la France comptait plus de 1,1 million de chasseurs, selon la Fédération nationale. « 700.000 à 800.000 pratiquent vraiment. Ce nombre décroît mais il reste plus important que dans les autres pays européens. »
Non à l'éolien: en avant la désobéissance civile!
À Saint Victor et Melvieu en Aveyron comme à Bouriège dans l'Aude, La Résistance En Marche montre la voie à suivre pour dire NON à la colonisation industrielle d'aérogénérateurs de nos territoires.
Personne ne doit voir sa vie et sa santé sacrifiées sur l'autel de l'éolien! On vit, on meurt, c'est déjà bien, non?
Ces deux lieux symbolique de résistance nous confirme s'il en était besoin, que face à un État et toute sa puissance administrative, que face à un lobby aux influences décisives dans l'ensemble du monde politique, du plus haut sommet jusqu' au niveau communal, que face aux ayatollahs verts à la pensée obsédante non pas de sauver le climat et la planète mais de sortir du nucléaire et ce, quelles qu'en soient les conséquences pour la population, notre seule et unique chance pour protéger la santé de nos concitoyens, pour sauvegarder notre patrimoine et notre environnement, tout en participant, NOUS, activement à la lutte contre le réchauffement climatique et au sauvetage de la planète, c'est la désobéissance civile!
Affichons notre radicalisation et notre détermination comme le font ces anti-nucléaire. À l'image de l' EELV, de Greenpeace, etc. Mettons l'action-terrain au coeur de notre combat.
-Unissons nos luttes au delà des frontières départementales et régionales,
-Multiplions les Saint Victor et Melvieu et les Bouriège!
-Sortons nos élus et nos gouvernants de leur zone de confort!
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS l 'ÉOLIEN, ICI et AILLEURS, MAINTENANT et DEMAIN!
Personne ne doit voir sa vie et sa santé sacrifiées sur l'autel de l'éolien! On vit, on meurt, c'est déjà bien, non?
Ces deux lieux symbolique de résistance nous confirme s'il en était besoin, que face à un État et toute sa puissance administrative, que face à un lobby aux influences décisives dans l'ensemble du monde politique, du plus haut sommet jusqu' au niveau communal, que face aux ayatollahs verts à la pensée obsédante non pas de sauver le climat et la planète mais de sortir du nucléaire et ce, quelles qu'en soient les conséquences pour la population, notre seule et unique chance pour protéger la santé de nos concitoyens, pour sauvegarder notre patrimoine et notre environnement, tout en participant, NOUS, activement à la lutte contre le réchauffement climatique et au sauvetage de la planète, c'est la désobéissance civile!
Affichons notre radicalisation et notre détermination comme le font ces anti-nucléaire. À l'image de l' EELV, de Greenpeace, etc. Mettons l'action-terrain au coeur de notre combat.
-Unissons nos luttes au delà des frontières départementales et régionales,
-Multiplions les Saint Victor et Melvieu et les Bouriège!
-Sortons nos élus et nos gouvernants de leur zone de confort!
SAUVONS L'HUMAIN, STOPPONS et DEMANTELONS l 'ÉOLIEN, ICI et AILLEURS, MAINTENANT et DEMAIN!
php
COP23: Le bal des Hypocrites
https://www.sauvonsleclimat.org
Auteur :Hervé Nifenecker
Publié le 15 novembre 2017
Les émissions de CO2 ont recommencé à augmenter. A l’occasion de la COP23, 15000 scientifiques nous mettent en garde contre un réchauffement climatique qui risque d’être catastrophique. Nous allons, assurément, entendre et lire les appels à changer de mode de vie et à recourir aux énergies du vent et du soleil émanant de Greenpeace, WWF, FNE et de toutes les nuances de Vert, relayés par les journaux bienpensants comme « Le Monde » et « Libération », les radios France Inter et France Culture, les chaînes de télé France2, France3 et Arte, des prophètes et prophétesses comme Yannick Jadot et Corinne Lepage.
Auteur :Hervé Nifenecker
Publié le 15 novembre 2017
Les émissions de CO2 ont recommencé à augmenter. A l’occasion de la COP23, 15000 scientifiques nous mettent en garde contre un réchauffement climatique qui risque d’être catastrophique. Nous allons, assurément, entendre et lire les appels à changer de mode de vie et à recourir aux énergies du vent et du soleil émanant de Greenpeace, WWF, FNE et de toutes les nuances de Vert, relayés par les journaux bienpensants comme « Le Monde » et « Libération », les radios France Inter et France Culture, les chaînes de télé France2, France3 et Arte, des prophètes et prophétesses comme Yannick Jadot et Corinne Lepage.
Les 10 plus gros émetteurs de CO2 au monde sont...
http://www.voisinedeoliennesindustrielles.com/
17 /11 /2017
Commentaire : la lutte contre le fléau éolien est une lutte juste menée par des habitants, des familles, des artisans, des individus encore sensibles au monde et au territoire qu’ils habitent. C’est une lutte paysanne, c’est une lutte contre les normes technocratiques! Un refus d' ensevelir des hectares de terres agricoles sous le béton. Nous voulons continuer à penser ensemble à nos territoires.
Des communes menacées=des citoyens réveillés
Les 10 principaux émetteurs de CO2 sont, dans l'ordre, la Chine, les Etats-Unis, l'Inde, la Russie, le Japon, l'Allemagne, l'Iran, l'Arabie saoudite, la Corée du sud et le Canada (l'UE dans son ensemble se classe en 3e position).
Arrêtez-moi si je me trompe, mais n'y a-t-il pas dans ce classement de ceux qui ont implanté des milliers d'éoliennes industrielles et qui sont montrés comme les champions de la volonté en matière de transition énergétique? L'Allemagne, la Chine, l'Inde, le Canada... Quand on nous dit que la réalité sur laquelle l'économie politique gère la transition énergétique n'existe pas...
À lire ici pour ceux qui ne le sauraient pas déjà...
17 /11 /2017
Commentaire : la lutte contre le fléau éolien est une lutte juste menée par des habitants, des familles, des artisans, des individus encore sensibles au monde et au territoire qu’ils habitent. C’est une lutte paysanne, c’est une lutte contre les normes technocratiques! Un refus d' ensevelir des hectares de terres agricoles sous le béton. Nous voulons continuer à penser ensemble à nos territoires.
php
Des communes menacées=des citoyens réveillés
Les 10 principaux émetteurs de CO2 sont, dans l'ordre, la Chine, les Etats-Unis, l'Inde, la Russie, le Japon, l'Allemagne, l'Iran, l'Arabie saoudite, la Corée du sud et le Canada (l'UE dans son ensemble se classe en 3e position).
Arrêtez-moi si je me trompe, mais n'y a-t-il pas dans ce classement de ceux qui ont implanté des milliers d'éoliennes industrielles et qui sont montrés comme les champions de la volonté en matière de transition énergétique? L'Allemagne, la Chine, l'Inde, le Canada... Quand on nous dit que la réalité sur laquelle l'économie politique gère la transition énergétique n'existe pas...
À lire ici pour ceux qui ne le sauraient pas déjà...
Les éoliennes, c'est du vent
https://www.franceculture.fr
16/11/2017
Superfail | Retour sur les éoliennes et sur l'échec de la réalité par rapport aux rêves développés autour de cette énergie renouvelable.
Eoliennes en France, 2017• Crédits : JEAN-FRANCOIS MONIER - AFP
Certains les trouvent laides, d’autres (moins nombreux il faut l’avouer) les trouvent belles : les éoliennes... Et si les éoliennes étaient du vent et recouvraient un grand échec ?
Problème quant à la production de l'énergie, problème d'intermittence, problème de stockage, problème quand il n'y pas de vent, problème quand il y a trop de vent, problème écologique par rapport aux oiseaux et aux chauve-souris broyés par les ailes des éoliennes, problème de pollution sonore et esthétique...
Retour sur les éoliennes avec notre invité Rémy Prud'homme, professeur émérite à l'Université de Paris XII et auteur du Mythe des énergies renouvelables aux éditions de l'Artilleur collection Grandeur nature.
"Ce qui est un échec concernant les éoliennes, c’est la réalité par rapport aux rêves qui ont été développés et continuent d’être développés. L’idée de la République française est que l’avenir de l’électricité est dans les éoliennes et à un degrés moindre dans le photovoltaïque. Des rapports officiels expliquent qu’on peut très bien aller jusqu’à 50% voire 100% de l’électricité avec ces énergies renouvelables intermittentes.
En réalité une éolienne fonctionne en moyenne un peu moins du quart des heures de l’année et à des heures que l’on ne connaît pas à l’avance et qu’on ne peut pas décider, on ne peut pas piloter l’électricité éolienne et dans une moindre mesure, photovoltaïque".
"Avec l'éolien, on essaie de nous vendre ces énergies comme bucoliques mais la réalité n’est pas celle-là, c'est celle de l'un des plus gros « big business » de l'humanité actuellement..."
Écouter : https://www.franceculture.fr/environnement/les-eoliennes-cest-du-vent
16/11/2017
Superfail | Retour sur les éoliennes et sur l'échec de la réalité par rapport aux rêves développés autour de cette énergie renouvelable.
Eoliennes en France, 2017• Crédits : JEAN-FRANCOIS MONIER - AFP
Certains les trouvent laides, d’autres (moins nombreux il faut l’avouer) les trouvent belles : les éoliennes... Et si les éoliennes étaient du vent et recouvraient un grand échec ?
Problème quant à la production de l'énergie, problème d'intermittence, problème de stockage, problème quand il n'y pas de vent, problème quand il y a trop de vent, problème écologique par rapport aux oiseaux et aux chauve-souris broyés par les ailes des éoliennes, problème de pollution sonore et esthétique...
Retour sur les éoliennes avec notre invité Rémy Prud'homme, professeur émérite à l'Université de Paris XII et auteur du Mythe des énergies renouvelables aux éditions de l'Artilleur collection Grandeur nature.
"Ce qui est un échec concernant les éoliennes, c’est la réalité par rapport aux rêves qui ont été développés et continuent d’être développés. L’idée de la République française est que l’avenir de l’électricité est dans les éoliennes et à un degrés moindre dans le photovoltaïque. Des rapports officiels expliquent qu’on peut très bien aller jusqu’à 50% voire 100% de l’électricité avec ces énergies renouvelables intermittentes.
En réalité une éolienne fonctionne en moyenne un peu moins du quart des heures de l’année et à des heures que l’on ne connaît pas à l’avance et qu’on ne peut pas décider, on ne peut pas piloter l’électricité éolienne et dans une moindre mesure, photovoltaïque".
"Avec l'éolien, on essaie de nous vendre ces énergies comme bucoliques mais la réalité n’est pas celle-là, c'est celle de l'un des plus gros « big business » de l'humanité actuellement..."
Écouter : https://www.franceculture.fr/environnement/les-eoliennes-cest-du-vent
php
Normandie : fronde contre les éoliennes à Bonneville-Aptot
https://actu.fr
Edouard Kerfriden
Commentaire : entendre un maire qui se pose les bonnes questions pour l'avenir de son village et de ses concitoyens, tout en faisant attraction de l'argent qui lui tend les mains, c'est trop rare pour ne pas mettre en lumière le travail de cet élu. Maintenant, une fois qu'on a dit ça, le plus dur commence...
A Bonneville-Aptot, le message est clair : on ne veut pas des éoliennes ! Une réunion était organisée jeudi soir par le maire pour évoquer le sujet avec les habitants.
Le maire de Bonneville-Aptot, Gilles Riaux, a rappelé son opposition ferme au projet éolien qui se profile à Thierville et Malleville-sur-le-Bec.
Gilles Riaux, maire de Bonneville-Aptot, tenait à le faire savoir, il est contre les éoliennes : « Le bruit court que j’y serais favorable. Je tiens donc à mettre les choses au clair : je suis contre, et ce depuis le départ. »
Cinq éoliennes pourraient être installées dans un futur proche près de Bonneville-Aptot : quatre à Malleville-sur-le-Bec et une à Thierville. « Nous allons nous retrouver avec dans notre champ de vision ces cinq éoliennes, hautes de 165 mètres, que nous avons pourtant refusé d’avoir sur notre territoire », regrette Gilles Riaux.
Appel au maire de Thierville
Il déplore le fait que les élus de Malleville et Thierville se montrent favorables à ce projet : « Les maires de ces communes sont attirés par l’argent que cela pourrait rapporter à leurs villages. Mais je leur dis de faire attention, d’être très prudents. Est-ce que quelques milliers d’euros valent le fait de dénaturer le paysage de nos communes ? Je leur pose la question ! »
Le conseil municipal de Thierville devrait voter à la mi-novembre sur ce projet : « Le maire Bertrand Simon et ses conseillers municipaux doivent bien réfléchir aux conséquences de leurs actes. Une grande majorité de la population de Bonneville, de Malleville et du Bec-Hellouin est opposée à ce projet. Veulent-ils se mettre à dos les habitants des communes environnantes ? »
Gilles Riaux a aussi mis en cause l’entreprise Nordex, qui a selon lui « harcelé » les maires pour imposer ce projet éolien : « Il faut se méfier de leurs belles promesses. Car une fois que l’on a signé les papiers, on n’est plus maître de rien. Un problème à long terme se pose aussi, celui de démantèlement : qui paiera l’enlèvement des éoliennes dans 20 ou 30 ans, si la société Nordex n’existe plus ? Cela reviendra à la charge du propriétaire du terrain ! Il faut bien réfléchir à tout ça ! »
Edouard Kerfriden
Commentaire : entendre un maire qui se pose les bonnes questions pour l'avenir de son village et de ses concitoyens, tout en faisant attraction de l'argent qui lui tend les mains, c'est trop rare pour ne pas mettre en lumière le travail de cet élu. Maintenant, une fois qu'on a dit ça, le plus dur commence...
php
A Bonneville-Aptot, le message est clair : on ne veut pas des éoliennes ! Une réunion était organisée jeudi soir par le maire pour évoquer le sujet avec les habitants.
Le maire de Bonneville-Aptot, Gilles Riaux, a rappelé son opposition ferme au projet éolien qui se profile à Thierville et Malleville-sur-le-Bec.
Gilles Riaux, maire de Bonneville-Aptot, tenait à le faire savoir, il est contre les éoliennes : « Le bruit court que j’y serais favorable. Je tiens donc à mettre les choses au clair : je suis contre, et ce depuis le départ. »
Cinq éoliennes pourraient être installées dans un futur proche près de Bonneville-Aptot : quatre à Malleville-sur-le-Bec et une à Thierville. « Nous allons nous retrouver avec dans notre champ de vision ces cinq éoliennes, hautes de 165 mètres, que nous avons pourtant refusé d’avoir sur notre territoire », regrette Gilles Riaux.
Appel au maire de Thierville
Il déplore le fait que les élus de Malleville et Thierville se montrent favorables à ce projet : « Les maires de ces communes sont attirés par l’argent que cela pourrait rapporter à leurs villages. Mais je leur dis de faire attention, d’être très prudents. Est-ce que quelques milliers d’euros valent le fait de dénaturer le paysage de nos communes ? Je leur pose la question ! »
Le conseil municipal de Thierville devrait voter à la mi-novembre sur ce projet : « Le maire Bertrand Simon et ses conseillers municipaux doivent bien réfléchir aux conséquences de leurs actes. Une grande majorité de la population de Bonneville, de Malleville et du Bec-Hellouin est opposée à ce projet. Veulent-ils se mettre à dos les habitants des communes environnantes ? »
Gilles Riaux a aussi mis en cause l’entreprise Nordex, qui a selon lui « harcelé » les maires pour imposer ce projet éolien : « Il faut se méfier de leurs belles promesses. Car une fois que l’on a signé les papiers, on n’est plus maître de rien. Un problème à long terme se pose aussi, celui de démantèlement : qui paiera l’enlèvement des éoliennes dans 20 ou 30 ans, si la société Nordex n’existe plus ? Cela reviendra à la charge du propriétaire du terrain ! Il faut bien réfléchir à tout ça ! »
Inscription à :
Articles (Atom)
BOURDONS-SUR-ROGNON : LE CONSEIL MUNICIPAL Y VEUT ET... Y VEUT PAS DES USINES ÉOLIENNES
Précédemment : CIREY-LÈS-MAREILLES & MAREILLES : LE PROJET DE L' USINE ÉOLIENNE EST AUTORISÉE PAR LA PRÉFECTURE LANQUES-SUR-ROGNO...
-
Alex Reichmuth 05.04.2018 Version originale en langue allemande De nombreux parcs éoliens menacent la fin. Le démantèlement pourrait en...
-
Ainsi comme les déchets nucléaires en France, les pales d'aérogénérateurs, aux États-Unis d'Amérique, sont... enterrées. Mais le m...
-
http://www.pascalconvert.fr Pascal Convert 2007 Joseph Epstein Joseph Epstein. Bon pour la légende. Lettre au fils Editions Atlanti...