10 idées reçues sur le climat et la transition énergétique

https://www.contrepoints.org
Par Jean-Pierre Bardinet


Tout ce qu’on ne vous dit pas sur le dérèglement climatique et les énergies renouvelables.

6 idées reçues sur le climat

Nul n’ose dire qu’il n’y a plus de réchauffement climatique depuis près de 20 ans et que les projections des modèles numériques se plantent lamentablement ce qui confirme que leur crédibilité est nulle, tout comme les thèses du GIEC qui en sont le socle.

Nul n’ose dire que le CO2 est gaz de la vie, indispensable à la photosynthèse, et que, grâce au taux actuel de 400 ppm, la planète reverdit et les récoltes sont meilleures. Pire, on veut nous faire croire que c’est un polluant…



Nul n’ose dire qu’il n’y a aucune preuve scientifique que le CO2 ait une action mesurable sur la température, et nul n’ose dire que 1300 publications scientifiques récusent les thèses du GIEC/IPCC. Bien sûr, on veut nous faire croire que l’affaire est pliée et que la science a parlé.
Nul n’ose dire que la montée « cataclysmique » des océans n’est que de 1,5 mm/an depuis belle lurette, et qu’aucune accélération n’a été identifiée. Bien sûr, on ne précise jamais quelles sont les observations (mesures des marégraphes). On nous fait croire que la montée est importante, qu’elle s’accélère et qu’elle sera de plusieurs mètres dans les prochaines décennies. Pour enfoncer le clou, on nous présente des infographies cataclysmiques (mais stupides) qui montrent toutes les côtes qui vont être englouties par les flots.

Nul n’ose dire que le dérèglement climatique, qui sert à entretenir la peur, donc l’asservissement des citoyens à la Pensée Unique, est un mythe, démenti par les observations : l’indice ACE, qui mesure l’énergie cumulée des ouragans/typhons/cyclones est en légère diminution depuis environ 10 ans et a retrouvé son niveau des années 1975.



Nul n’ose dire que le bilan massique de la glace au Groenland a été en augmentation significative sur 2016-2017, et que la dernière fonte estivale de la banquise boréale a été particulièrement réduite.



Pourquoi tout ce bazar ? Parce qu’il y a une puissante convergence d’intérêts.

Je mets un carton rouge au « Grand Machin », à nos politiques, ainsi qu’à nos médias serviles et aux ONG qui font caisse de résonance à la Pensée Unique et sont les principaux vecteurs de propagande réchauffiste (dont notamment, mais pas seulement, l’AFP)

4 idées reçues sur la transition énergétique et les EnR



Nul ne dit qu’elles sont aléatoirement intermittentes, donc non pilotables, que leur facteur de charge est faible (23% pour l’éolien et 14% pour le solaire), que leur taux de couverture garanti est ridicule (0% pour le solaire et 0,1% pour l’éolien), que leur emprise au sol est très importante, qu’elles génèrent des infrasons ayant des effets sanitaires néfastes pour les riverains, qu’elles tuent la biodiversité ailée, que les promoteurs disposent d’avantages déraisonnables accordés par nos gouvernants, que le kWh des EnR doit être racheté à prix conventionné, élevé, par EDF, même si cette production ne sert à rien, et que les infrastructures complémentaires coûtent fort cher pour ces productions dispersées.

Nul ne dit que les citoyens, dont des écologistes de terrain responsables, se battent pour sauver nos territoires de l’intrusion dictatoriale des aérogénérateurs et dénoncent les mensonges, la rapacité des promoteurs et la complaisance (pour ne pas dire plus…) de l’État.

Nul ne dit que la production annuelle des EnR intermittentes n’est que de 5,5% (3,9% pour l’éolien et 1,6% pour le solaire 1, alors que cela coûte déjà 5 Md€/an aux ménages… et que les surcoûts de la transition énergétique vont exploser dans les prochaines années 2…

Nul ne dit que, comme les EnR ont besoin, pour équilibrer le réseau en temps réel, d’avoir en soutien permanent des centrales thermiques qui sont obligées de fonctionner en discontinu, donc consomment plus, le bilan CO2 (même si le CO2 n’a aucun impact mesurable sur la température, n’en déplaise aux scientifiques dévoyés et aux prophètes de malheurs…) est significatif (voir l’exemple de l’Allemagne, championne des EnR et championne des émissions de gaz satanique…).

1. Attention : les puissances installées des EnR (35% avec l’hydraulique, 14,1% pour l’éolien + le solaire) ne sont pas représentatives, compte tenu de leurs faibles facteurs de charge. Ce qui compte, c’est leur part de production, qui reste très faible.
2. Les surcoûts se montent à 23 Md€/an en 2016, et, si la loi sur la transition énergétique perdure en l’état, ils se monteront à 70 Md€/an en 2030. 

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