Le système de protection contre la corrosion des éoliennes en mer commence à polluer la Mer du Nord et la Mer Baltique avec de l’aluminium. Les « anodes sacrificielles » en aluminium, zinc et indium des supports en acier, dont le but est d’empêcher la corrosion par le sel marin, sont pointées du doigt en Allemagne.
Les 6 500 éoliennes prévues en 2020 vont rejeter 13 000 tonnes de composés métalliques dans la mer, selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.
La méthode de protection classique utilisée contre la corrosion sur les bateaux pourrait aussi convenir, mais elle est plus coûteuse. Et le coût des éoliennes en mer est déjà suffisamment élevé, voire inabordable comme l’indiquait cet article sur « le naufrage du bon sens », pour ne pas en rajouter…
Les fondations métalliques des éoliennes en mer sont conçues pour durer 20 ans seulement…
Ensuite, faudra-t-il tout recommencer ? Est-ce vraiment une production « durable » ?
D’autres projets sont en cours à Saint-Brieuc et Saint-Nazaire, et aussi à Fécamp.
Faut-il s’en inquiéter ?
Non bien sûr, (chut !) puisqu’il s’agit d’un moyen de production d’électricité « verte » à partir d’une énergie renouvelable (mais pas durable) censée sauver la planète !
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