Commentaire : (...) "La politique climatique française est mal partie." Mais est-ce que le citoyen et contribuable français s'en soucie vraiment? Posez la question, c'est en partie y répondre, non?
"J'aime bien mes dindons
- J'aime bien mes moutons
- Quand ils font leurs doux glou glou glou
- Quand chacun d'eux fait bê bê bê"
Extrait de de l'opérette "La mascotte", la chanson "Duo des dindons" - J'aime bien mes moutons
- Quand ils font leurs doux glou glou glou
- Quand chacun d'eux fait bê bê bê"
Paroles: Alfred Duru, Henri Chivot. Musique: Edmond Audran
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La Lettre "Géopolitique de l' Électricité" n°81 de février 2018 est
consacrée à la politique climatique française dont les conséquences sur
le secteur électrique sont considérables.
Notre pays, qui
revendique un rôle international dans la lutte contre le réchauffement
climatique, vient de se doter d'un instrument de pilotage nommé "Suivi
de la Stratégie Nationale Bas-Carbone", qui nous apprend:
- que le financement de cette politique croit rapidement et est devenu supérieur au budget de certains ministères comme celui de la Justice.
- que l'argent public est réparti de manière inadaptée. En 2017, près de 60% des fonds ont été consacrés au secteur électrique (soutien au solaire et à l'éolien) qui n'émet que 6% des gaz à effet de serre de notre pays.
- que les résultats de notre politique climatique sont mauvais. Les émissions globales augmentent . Celles des transports et des bâtiments dérivent dangereusement. Le secteur "Transport" émet cinq fois plus de gaz à effet de serre que le secteur "Électricité" mais reçoit dix fois moins de subventions (Programmation Pluriannuelle de l' Energie)
Comme dit Actu-Environnement, "la France rate la première marche".
Le
"Suivi de la Stratégie Nationale Bas-Carbone" ne conclut pas à la
nécessité d'une répartition radicalement différente des fonds publics.
La politique climatique française est mal partie.
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