Ainsi, les décrets Lecornu et De Rugy, ne suffisent toujours pas, apparemment, pour étouffer la résistance à la colonisation éolienne... Maintenant, les "conquistadors" des temps modernes brandissent le "glaive" des dommages et intérêts, sonnants et trébuchants, au-dessus des têtes de ces pédezouilles, bouseux et autres cambrousards qui ont porté le crime de lèse-Majesté à l'encontre de leur Société par actions simplifiée (SAS), en contestant leur marche triomphale. Heureusement, la Justice veille...
En avant toutes!
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Le Canard enchaîné du 2 décembre 2020. Éolien en forêt de Taillard : « C’est la Total pour le parc naturel »
SPPEF
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