Le rapport alarmant du GIEC

sciencetechaction

Commentaire
: n'oubliez jamais, vous les propriétaires, vous les élus locaux que derrière le mot "éolien", il y a des êtres vivants (vous y compris) qui habitent au quotidien au contact d'1 ou plusieurs ZI, et ce, pendant 20 ans au minimum. Que ce bagne peut même atteindre les 30 ans avec un renouvellement de bail 2 X 4 ans! 

À la reconquête du bonheur perdu...👊

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Le GIEC vient de publier un rapport alarmant, [1] commandé à l’occasion des accords de Paris.

Son résumé à l’intention des décideurs [2] réclame, dans TOUS ses scénarios, une augmentation substantielle de l’énergie nucléaire, allant jusqu’à x6.

Cette augmentation de la production nucléaire représente une opportunité pour la France qui lui permettrait de renforcer son rôle de régulateur du réseau électrique européen, mais aussi d’envisager l’indispensable remplacement des énergies fossiles dont l’épuisement nous conduira à nous passer à court terme, quelle que soit la solution que nous aurons choisie.

Il est absurde et irresponsable , comme vient pourtant récemment encore de le faire Greenpeace, [3] de véhiculer l’idée que l’énergie nucléaire émettrait du CO2 au prétexte que les émissions du parc électrique augmenteraient lors des maintenances de ses centrales, sous prétexte que ces centrales seraient alors remplacées par des énergies fossiles, comme vient encore de le faire Greenpeace.

Cela démontre, au contraire, que toute réduction de la production nucléaire entraîne immédiatement une augmentation des émissions de CO2.

Cette démonstration par l’absurde de l’efficacité nucléaire, prend toute sa force en regard de son remarquable suivi de charge [4] de la consommation, contrairement aux énergies intermittentes telles qu’éolien et photovoltaïque qui ne produisent qu’au gré des conditions météorologiques et réclament des moyens d’appoint pilotables pour lisser leur production.

Science Technologies Actions renouvelle à cette occasion son Appel Solennel [5] à un moratoire sur le développement d’énergies intermittentes sans nouvelles capacités de stockage dédiées, tant qu’une commission scientifique pluridisciplinaire et indépendante n’aura pas rendu ses conclusions sur leur efficacité.

Leurs retombées fiscales sur les territoires concernés ne représentent qu’une infime partie de leur surcoût pour la collectivité.

Il ne serait pas acceptable que cet appât du gain pour les communes puisse être considéré comme un frein à ce moratoire.
Il est absurde et irresponsable , comme vient pourtant récemment encore de le faire Greenpeace, [3] de véhiculer l’idée que l’énergie nucléaire émettrait du CO2 au prétexte que les émissions du parc électrique augmenteraient lors des maintenances de ses centrales, sous prétexte que ces centrales seraient alors remplacées par des énergies fossiles, comme vient encore de le faire Greenpeace.

Cela démontre, au contraire, que toute réduction de la production nucléaire entraîne immédiatement une augmentation des émissions de CO2.

Cette démonstration par l’absurde de l’efficacité nucléaire, prend toute sa force en regard de son remarquable suivi de charge [4] de la consommation, contrairement aux énergies intermittentes telles qu’éolien et photovoltaïque qui ne produisent qu’au gré des conditions météorologiques et réclament des moyens d’appoint pilotables pour lisser leur production.

Science Technologies Actions renouvelle à cette occasion son Appel Solennel [5] à un moratoire sur le développement d’énergies intermittentes sans nouvelles capacités de stockage dédiées, tant qu’une commission scientifique pluridisciplinaire et indépendante n’aura pas rendu ses conclusions sur leur efficacité.

Leurs retombées fiscales sur les territoires concernés ne représentent qu’une infime partie de leur surcoût pour la collectivité.

Il ne serait pas acceptable que cet appât du gain pour les communes puisse être considéré comme un frein à ce moratoire.

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