la "chiniarisation" de la France rurale est en marche...

Quand le patron de CGN parle d' Europe... il faut comprendre la France principalement, le paradis pays où il n' y a qu'à planter les aérogénérateurs pour récolter une montagne de pognon grâce au dynamisme et au cadre réglementaire de la filière éolienne. 
Après le rachat des terres agricoles, c'est l'industrie chinoise de "l'inutile" et du "macabre" éolien qui passe à la caisse. Cela tombe bien, la France est un pays généreux.😦

Dehors, tout le monde dehors!
TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER!

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Au pied des éoliennes dans cette vaste plaine de l'Aube, le patron est venu lui-même accueillir les riverains pour une journée portes ouvertes: lancée il y a 5 ans, CGN Europe Energy (CGNEE), filiale énergies renouvelables du géant chinois CGN, entend doubler sans tarder sa présence sur le continent.

Ici "c'est notre premier projet en France : ce parc a été créé en 2010 et on l'a acquis en 2015", explique le directeur général adjoint de CGNEE, Liu Yuguang. Ce site de Charmont-sous-Barbuise - six turbines au milieu d'une centaine d'autres fichées dans cette région rurale, et ventée - l'entreprise l'a racheté avec tout un portefeuille. Aujourd'hui, elle possède 71 sites éoliens en Europe, dont 39 en France, et 2,4 gigawatts de puissance installée. "Pour l'instant nous avons des actifs à hauteur de 3 milliards d'euros. Nous espérons doubler nos capacités de production d'ici 3 à 5 ans, et passer de 2,4 à 5 GW de capacités", a dit M. Liu à quelques journalistes.

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Renouvelables : le groupe chinois CGN entend doubler ses capacités en Europe « d'ici 3 à 5 ans »
connaissancedesenergies.org