avec AFP
07.06.2016
Commentaire: (...) " Pour la troisième fois en quatre ans, Engie (ex-GDF-Suez) est en perte. Le groupe a décidé de changer de stratégie pour devenir le leader de la transition énergétique. Les salariés sont déboussolés et regardent, navrés, brader les actifs historiques. Au sommet, la guerre continue entre Gérard Mestrallet, président, et sa directrice générale, Isabelle Kocher. Sous l’œil impassible de l’État actionnaire .
Cela fait des mois qu’ils se rongent. Ils le savent : la branche exploration-production internationale (EPI) d’Engie (ex-GDF-Suez) va être vendue. La direction du groupe l’a annoncé au printemps 2016. Elle ne leur a rien dit de plus. Depuis, les 500 personnes de l’activité s’inquiètent, se demandent quel sera leur avenir, si même il y a encore un." (...).
Extraits de l'article intitulé " Le groupe Engie se perd dans la transition énergétique" Par martine orange du 30 mars 2017.
La « Lettre de l’Expansion » évoquait lundi 450 postes supprimés en Europe, des chiffres « exagérés » selon une porte-parole du groupe.
L’ambition d’Engie (ex-GDF Suez) de devenir le chef de file de la transition énergétique en mettant l’accent sur les énergies bas carbone ou les services énergétiques s’accompagnera bien de suppressions de postes, a confirmé mardi 7 juin une porte-parole du groupe. Mais les chiffres annoncés lundi par La Lettre de l’Expansion, qui évoquait la disparition de 450 postes en Europe dans son pôle exploration-production avant un désengagement total, « sont exagérés ».
L’ambition d’Engie (ex-GDF Suez) de devenir le chef de file de la transition énergétique en mettant l’accent sur les énergies bas carbone ou les services énergétiques s’accompagnera bien de suppressions de postes, a confirmé mardi 7 juin une porte-parole du groupe. Mais les chiffres annoncés lundi par La Lettre de l’Expansion, qui évoquait la disparition de 450 postes en Europe dans son pôle exploration-production avant un désengagement total, « sont exagérés ».