En ce vendredi soir de la première semaine de mars, la Haute-Marne, c'est prise à ... rêver d'un avenir meilleur et nous... avec. Cela a commencé avec un voyage dans le temps, du temps où la ville rayonnait encore avec son quartier des tanneurs et ses portes royales. Puis, direction Paris, le cinéma, usine à rêves s'il en est, qui en décernant 3 césars à "Petit paysan", l'a sorti de l'ombre pour la projeté en pleine lumière.
Mais au matin, quand la fête est finie et qu'apparait le mal de tête, la réalité reprend ses habitudes. Elle pointe le bout de son nez au coin de la rue ou dans les paysages : la Haute-Marne appartient toujours et encore à la "diagonale du vide" et le fléau éolien est toujours et plus présent que jamais dans ses flancs.
php
Langres au temps de sa splendeur
capture d'écran@jhm.fr |
Et puis il y a eu Paris, le cinéma, usine à rêve...Et nous avons rêvé.
capture d'écran@jhm.fr |
source : les vues imprenables |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire