Haute-Marne, Doulaincourt : le maire et conseiller régional nous alerte sur le Schéma régional d'aménagement de développement durable et d'égalité des territoires (STRADDET)

jhm.fr

Qu'est-ce que le STRADDET?
"Le schéma régional d'aménagement, de développement durable et d'égalité des territoires (SRADDET) est un schéma régional de planification qui fusionne plusieurs documents sectoriels ou schémas existants : schéma régional d'aménagement et de développement durable du territoire (SRADDT), plan régional de prévention et de gestion des déchets (PRPGD), schéma régional de l'intermodalité (SRI), schéma régional climat air énergie (SRCAE) et SRCE. Le SRADDET - qui remplace le SRADDT, créé en 1995 et modifié en 1999 - a été institué par la loi NOTRe dans le contexte de la mise en place des nouvelles Régions (en 2016). Le SRADDET en tant que document d'aménagement du territoire - contrairement aux documents d’urbanisme - ne détermine pas de règles d'affectation et d'utilisation des sols ; c'est un document stratégique, prospectif et intégrateur, qui est cependant opposable à certains niveaux de collectivité :
« Sa portée juridique se traduit par la prise en compte de ses objectifs et par la compatibilité aux règles de son fascicule ; les schémas de cohérence territoriale (SCOT) et, à défaut, des plans locaux d'urbanisme (PLU), des cartes communales ou des documents en tenant lieu, ainsi que des plans de déplacements urbain (PDU), des plans climat-air-énergie territoriaux (PCAET) et des chartes des parcs naturels régionaux (PNR), doivent prendre en compte les objectifs du SRADDET et être compatibles avec les règles de son fascicule »
"
Source : Schéma régional d'aménagement, de développement durable et d'égalité des territoires

L'éolien dans le STRADDET

En préambule :
"La diversification du mix électrique et la substitution d’électricité de source nucléaire par une électricité de source renouvelable ne répond pas à la problématique du CO2 et du réchauffement climatique induit par les émissions de celui-ci."
Impact économique, industriel et environnemental des énergies renouvelables : rapport de la Commission dite Aubert

Visiblement ce Rapport de la Commission Aubert n'a pas été le livre de chevet du Conseil régional...

Ou comment expliquer
alors, la validation par une majorité d'élus des propos MENSONGERS et INSOUTENABLES venant justifier l'essor éolien dans la région :
"L’éolien a comme force la possibilité d’être prévisible et de bénéficier d’une production accentuée en hiver par des vents plus forts et donc susceptibles de répondre aux pics de demande d’énergie." , p.11

Comment cette majorité a-t-elle pu valider de telles contrevérités?

Le mieux pour trouver la réponse, c'est encore de parcourir la liste des réferences qui ont servi de document de travail à l'élaboration du schéma final.

Bibliographie

-ADEME,
-Association Solagro,
-NegaWatt,
-DREAL,
-France Energie Eolienne : note de proposition du groupe régional Est concernant les objectifs eoliens à intégrer dans le SRADDET de la région Grand Est aux horizons 2030 et 2050,
-Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt,
-Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer en charge des relations internationales sur le climat,
-Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique,
-RTE,
-VESTA énergies.

C'est ce qui s'appelle parler d' "une seule et unique voix ".


Dans ces conditions, le verdict politique est sans appel :
"En Grand Est, la production d’énergie renouvelable doit être davantage développée pour atteindre les objectifs fixés à horizons 2020 à l’échelle nationale.", p.39


Traduction

-Trajectoires de réduction de développement des énergies renouvelables
, p.101


-Trajectoires de réduction de développement des énergies renouvelables, p.103





-Zoom sur les hypothèses 2050 par filières de production d’énergie renouvelable (EnR), p.105




Zoom sur les hypothèses su scénario "Grand Est" retenu, p.107





La totalité du document
Schéma régional d'aménagement, de développement, durable et d'égalité des territoires ;
Annexe n°4, diagnostique thématique- climat air énergie.

La guerre des mondes est déclarée : d'un côté les machines, créées et voulues par certains Hommes, en face les militants écologiques, défenseurs du monde rural, de sa population, de l'environnement et de son patrimoine.
"Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non!"

Charles de Gaulle, Appel du 18 juin 1940

TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER! 

PAS UNE SEULE VOIX POUR LES PRO-EOLIENS AUX MUNICIPALES DE 2020 ET AU REGIONALES DE 2021!

La mise en garde de monsieur le maire de Doulaincourt était salutaire. À noter, que lui et son conseil municipal mettent leurs actes en conformité avec leurs paroles : au 31 décembre 2019, la position est toujours non à l'escrologie éolienne...
Haute-Marne, Briaucourt, Doulaincourt-Saucourt : c'est NON à l'éolien 

En revanche, l'escrologie photovoltaïque ne semble pas leur poser de problèmes ...
Haute-Marne, Doulaincourt-Saucourt : le photovoltaïque pour horizon...


Dommage, on a frôlé la perfection.

Lire




@jhm.fr


php



Eolien et panneaux solaires : joindre l'inutile à l'agréable enrichissement... pour quelques uns

"J'appelle ploutocratie un état de société où la richesse est le nerf principal des choses, où l'on ne peut rien faire sans être riche, où l'objet principal de l'ambition est de devenir riche, où la capacité et la moralité s'évaluent généralement, et avec plus ou moins de justesse par la fortune..."
Ernest Renan - 1823-1892 - L'Avenir de la science, Pensées de 1848 - 1890


TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER!

php


***

CHRONIQUE. À l'aide de quelques ordres de grandeur sur l'offre et la demande en électricité, l'économiste explique les limites de ces énergies intermittentes.

Pour vivre, tout être humain a besoin d'oxygène, d'eau et d'aliments qui lui fournissent de l'énergie et permettent que la vie se maintienne. À chaque instant, les humains luttent contre leur destruction ; elle serait très rapide sans oxygène,quelques minutes sans eau, deux jours, et sans aliments, cinq à six semaines.
À cette consommation énergétique de base des Homo de la préhistoire s'est ajoutée depuis moins de deux siècles une demande aussi nouvelle que considérable d'énergie requise par les découvertes récentes qui permettent de se chauffer, de se déplacer, de contribuer à de très nombreuses tâches domestiques, laver la vaisselle, le linge, aspirer la poussière…, de fabriquer des machines, d'accroître la productivité de l'agriculture et de se divertir.


Esclaves électriques
Pour illustrer cette transformation des conditions de vie, dès 2006 Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean choisissaient une image parlante : pour vivre aujourd'hui, disaient-ils, tout Européen dispose à son service l'équivalent d'une centaine d'esclaves. Bien entendu ces esclaves énergétiques que l'on branche sur les prises électriques – ou dont on trouve la puissance à la pompe des stations-service – nous servent quotidiennement parce que le coût de l'énergie et le prix du pétrole sont bas.
Les Français consomment surtout des énergies fossiles (69,9 %) et, dans une moindre mesure, de l'énergie nucléaire (17,3 %). La contribution des énergies renouvelables n'est que de 13,3 %, dont l'essentiel provient de la combustion de la biomasse et des déchets (9,7 %). Si on regarde maintenant l'électricité seule, elle ne représente que 24,3 % de la consommation finale d'énergie en France, pourcentage plus élevé cependant que la part mondiale (20 %). Toutefois, son rôle ne cesse de croître avec l'usage des appareils électroniques et se développera avec les véhicules électriques mais, depuis dix ans, la consommation électrique française est stable du fait de la baisse des usages industriels et de l'amélioration de la productivité des appareils.

Une électricité propre

La production d'électricité mérite en outre une attention particulière, car elle peut ne pas rejeter de dioxyde de carbone. La France – ce n'est pas le cas de l'Allemagne – est en la matière un pays exemplaire, car seulement 11,2 % provient de centrales thermiques, le reste pour 70,9 % provient des centrales nucléaires, 9,8 % des barrages, 4,4 % de l'éolien et 1,7 % du solaire. Toutefois, comme l'électricité n'est qu'à peine le quart de la consommation d'énergie globale, l'éolien ne représente que 1,1 % et le solaire 0,4 % de la consommation finale.

Lire aussi L'éolien poursuit son essor en France

Est-ce que ces deux sources peuvent répondre de manière significative à la demande d'énergie ? La réponse est clairement négative pour deux raisons simples.
La première est que l'une comme l'autre sont intermittentes, or nous consommons aussi de l'électricité la nuit quand les piles photovoltaïques ne marchent pas et nous avons aussi besoin d'électricité quand il n'y a pas de vent ! Ainsi, en Île-de-France, le facteur de charge des éoliennes n'est que de 23,3 %. Il faut alors leur adjoindre d'autres sources (76,7 % pour les éoliennes) et notamment des centrales thermiques au gaz et au charbon qui prennent le relais des défaillances de ces énergies alternatives.
La deuxième raison s'applique également à l'éolien comme au photovoltaïque, car l'une et l'autre de ces deux sources captent de l'énergie diffuse pour la transformer en énergie électrique. Comme cette énergie est peu dense, il faut beaucoup d'éoliennes ou de grandes surfaces de panneaux pour répondre à la demande. Ainsi, Pierre Vincenzo Piazza a calculé que, pour la seule consommation électrique de pointe de Paris, il faudrait installer au sol des panneaux sur 308 kilomètres carrés, trois fois la surface de Paris, ce qui coûterait plusieurs dizaines de milliards d'euros et, nous l'avons dit, du fait de l'intermittence, ne suffirait pas à approvisionner la capitale ! Quant à l'éolien, pour atteindre la production d'un réacteur nucléaire à eau pressurisée (EPR), il faudrait installer des éoliennes sur tout le rivage méditerranéen de Perpignan à Nice, mais cela ne suffirait pas : il faudrait y ajouter le tour de Corse pour atteindre les 800 kilomètres nécessaires à leur installation.

Lire aussi Jean-Yves Grandidier : « L'éolien et le solaire sont imbattables »

Problèmes de réseau
Capter de l'énergie diffuse et la transformer en électricité posent aussi des problèmes aux réseaux électriques jusque-là conçus pour partir de gros centres de production – les centrales électriques ou les barrages – les transporter par des câbles à très haute tension puis, proche des usagers, transformer cette tension en basse tension, pour que les utilisateurs puissent se brancher et faire marcher leurs esclaves électriques.
Comme toute production électrique, les énergies intermittentes doivent être reliées au réseau ; il faut donc ajouter autant de points d'entrée que d'endroits de production. De surcroît, la ligne doit être calculée pour la puissance maximale de production, or celle-ci varie pour les panneaux entre le jour et la nuit, comme entre les jours ensoleillés et les jours couverts ; quant aux éoliennes, leur puissance de génération varie avec la fréquence et la force du vent. On voit alors que, pour transporter cette faible énergie, il faut modifier la ligne de transport et la calculer en fonction de la capacité maximale de production qui arrive sur le réseau, même quand il n'y a pas besoin. Or, s'il y a mille et une idées pour transformer cette électricité peu utile en hydrogène, en énergie cinétique, en accumulation de chaleur dans le sol, en stockage d'air comprimé… c'est inopérant en réalité, car les éventuelles petites usines à construire transformeraient de trop faibles quantités d'énergie, elles ont de très mauvais rendements et ne sont pas économiquement viables. Rappelons à cette occasion que si aujourd'hui des voitures à hydrogène circulent à Tokyo, cet hydrogène vient d'Australie et est fabriqué grâce à des centrales à charbon !

Lire aussi Énergies renouvelables : pourquoi il faut améliorer le stockage

La suite...


L'éolien et le photovoltaïque : des voies sans issue
Jean de Kervasdoué
30/12/2019

Haute-Marne : une histoire de trains, épisode VI

"Les villageois s'attardaient au seuil de leurs maisons. Au loin, roulaient des trains, qui clamaient des cris éperdus. Les femmes se penchaient vers l'ombre, incurablement tristes de n'avoir pas connu les beaux départs. Et quand le train était passé, elles prêtaient encore l'oreille : la grande plaine d'été chantait sur les grillons, les grenouilles et le silence. Elles pensaient alors qu'elles étaient nées de ce village, qu'elles avaient vécu comme leurs mères, ni heureuses, ni malheureuses et qu’après tout, il n' y avait rien à redire à cela."

Marcel Arland, Terres étrangères, Varennes, 1923. 



Saints-Geosmes

  Le premier projet de la ligne évitait le village en le contournant par l' Est, actuellement zone industrielle, avec deux barrières sur la route nationale. 
  Le projet définitif plus direct fait passer la voie au centre du village. Les habitants mécontents  refusent de vendre leurs propriétés.
  Les deux maisons de Etienne Mathey-Roblin et de Pierre Guidel-Humblot, 155 terrains de différentes personnes, le four, la glaiserie, les aisances de la tuilerie Steichen, tout cela doit être exproprié et retarde les travaux.  
  Les ouvriers sont obligés de travailler le dimanche et le clergé local critique fortement cette pratique. Il faut tailler la roche à coups de barre à mine et d'explosifs et ouvrir une tranchée. La pierre cassée servira de ballast jusqu'à Poinson.
  Un large pont permet le passage de la rue Fontaine tandis qu'un autre plus petit est emprunté par les piétons.
  La ligne s'ouvre, bien protégée par des clôtures en lattes et fil de fer puis plus tard par des palissades formées de traverses de réforme plantées debout.
  On constate alors que le bruit du train circulant sur cette voie encaissée est faible mais son passage provoque quelques vibrations dans les maisons.
  Bientôt, tout le monde se met à aimer ce petit train. Dès que les enfants entendent "japper" la locomotive montant la côte, c'est la course en sabot, blouse noire et sac de cuir au dos. Vite sur le pont! Mais attention, au dernier moment il faut se retirer pour ne pas tousser dans le nuage piquant de fumée noire. Certains garçons sont tentés de lâcher un caillou au passage du train, mais le mécanicien actionne le sifflet, lâche de la vapeur et parfois envoie un jet d'eau pour atteindre les gamins trop hardis.
  La barrière de la route d'Auberive au sud du village est tenue pendant 36 ans par madame Génuel de Vicq. Elle vit là avec sa fille, couturière, qui prend des jeunes apprenties. Ensuite madame Zester lui succède. En septembre 1938, Mme Aubry s'installe à son tour à la barrière. Elle y habite encore 52 ans plus tard.
  Madame Aubry a vu passer les autorails journaliers et les deux trains hebdomadaires d'avant-guerre. Lorsque les voyageurs veulent partir, la garde-barrière agite son drapeau rouge pour faire signe au mécanicien. Puis avec une puissante trompe en cuivre, elle sonne le départ du convoi. Madame Aubry doit montrer une vigilance sans défaut car les employés de la gare Langres-Bonnelle oublient parfois de faire tinter la cloche qui annonce le passage imminent du convoi.
  Quelquefois, le train avait du mal à monter la côte. On l'entendait souffler et peiner. Les barrières alors pouvaient rester fermées deux heures d'affilée avant son passage. La locomotive trop poussive devait être aidée par une autre qui venait par derrière hisser les wagons jusque sur le plateau de Langres.


  Ce chemin de fer, très utile pendant des dizaines d'années, devient une artère facile pour la circulation des marchandises au regard de la route en mauvais état avec des voitures de rouliers tirées par des chevaux. Quelle joie pur les enfants quand la halte Saints-Geosmes est autorisée. Quel beau voyage pour aller en groupes à la gare de Langres-Marne et se rendre en visite à Champigny-les-Langres!
  Un soir de l'été 1944, M.Lepetz prévient Mme Aubry "n'ayez pas peur cette nuit, vous entendrez une explosion..." Effectivement les résistants utilisent de l'explosif contre le pont situé à 500m du village. Le lendemain le maire réquisitionne des hommes qui doivent aider des ouvriers réparateurs. Le pont n'a pas l'air très touché. Un employé de la voie s'aventure sur le tablier qui brusquement s'effondre en son milieu. Tous ont eu bien peur.
  Quand en 1963 le train ne se fait plus entendre, les habitants de Saints-Geosmes sont bien tristes avec cette tranchée devenue inutile qui sépare le village en deux parties. 
  C'est seulement en 1975 que la commune se décide à acheter la totalité de l'emprise. Très vite, le fossé est comblé de déblais et forme des rues et une belle place. C'est là que les jours de fête on installe les bals et les manèges pour la joie des petits et des grands. 

À suivre...

Bernard Sanrey, Le petit train de la montagne haut-marnaise, de Langres à Poinson-Beneuvre, pp. 32-33, 1990.


Aujourd'hui


Saints-Geosmes

 
Au premier plan, l'immense zone industrielle. Derrière, le village d'origine. Au milieu, passe la D974, ex RN74. À droite, les HLM des "Quartiers Neufs" de Langres. Photo : "Le vieux Saints-Geosmes vomit sur le nouveau"

 php

Haute-Marne, Trémilly : les poulets débarquent en force

Situation
La commune se situe entre Joinville à l' Est, Bar-sur-Aube et Colombey-les-Deux-Eglises aus Sud... aux portes du "pays éolien" : Dommartin-le-St-Père, Doulevant-le-Château, Charmes-la-Grande, Flammerécourt, Blécourt, Leschères-sur-le-Blaiseron, Rouécourt, Ambonville, etc.


63 inscrits sur la liste électorale lors du scrutin municipal de 2014.



@QwantMaps



Elle possède en son sein deux monuments classés sur la liste des Monuments historiques.


Château. Photo Javelot1


Eglise Saint-Martin. Photo Javelot1

Paradoxalement, la commune entreprend depuis plusieurs années quelques travaux afin de retrouver son caractère authentique. Sûr que ce projet va y contribuer...


Ils font l'infortune de leur village, ils méritent quelques déboires

Conseil municipal 2014- 2020
-Claire Boussel,
-Mauricette Poinot, maire,
-Adeline Vieilhomme,
-Serge Boussel,
-Daniel Charlier,
-Ludovic Lapoirie,
-David Nougarou.
Ministère de l' Intérieur
 
Description du projet

"L’élevage sera constitué des principales unités mentionnées ci-après. Les constructions ou aménagements en projet concernent 2 poulaillers (2 000 m2chacun), une dalle équarrissage et la réserve incendie. Chaque poulailler aura une surface au sol de 2 080 m2 (surface extérieure > surface utile intérieure de 2 000 m2). La hauteur maximale des nouvelles constructions sera de 6,55 m par rapport au niveau du sol (silos d’aliments des poulaillers). Le faîtage de chaque poulailler sera à 5,96 m du sol."




Source : EARL Boucley à Trémilly (52) lieu dit: «Les Longues Royes»


Source : EARL Boucley à Trémilly (52) lieu dit: «Les Longues Royes»

Production prévisionnelle



Source : EARL Boucley à Trémilly (52) lieu dit: «Les Longues Royes» 

En "vrai", 90 000 poulets, ça pourrait ressembler à ça :


 


Extrait de Avis et conclusion du commissaire enquêteur


Épandage


 
 

Source : EARL Boucley à Trémilly (52) lieu dit: «Les Longues Royes»


L'avis des "milieux autorisés"

-Agence régionale de Santé (ARS)
-EARL Boucley1 et 2
 L'ARS émet des réserves et donne... un avis favorable.
Comme pour l'éolien! Au fait, l'Agence a-t-elle déjà donné un avis défavorable sur le sujet?

-Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE)

Avis délibéré sur le projet de création d’un élevage de volailles de chair à Trémilly (52)
La Mission émet des réserves et donne ...un avis favorable.
Comme pour l'éolien! Au fait, la Mission a-t-elle déjà donné un avis défavorable sur le sujet?

-Commissaire enquêteur
Avis et conclusion du commissaire enquêteur


Des témoignages s'inquiètent de la possible détérioration de leur qualité de vie provoquée par les nuisances olfactives.
À cela, le commissaire enquêteur estimant que "les habitations de Nully situées sous les vents dominants son peu nombreuses", il ne retient pas l'argument. Tant pis pour les habitants concernés.



Conclusion


 

Le commissaire enquêteur désigné émet des réserves et donne...un avis favorable. Comme pour l'éolien! Au fait, un commissaire enquêteur a-t-il déjà donné un avis défavorable sur le sujet?

Manque plus que la décision de Madame le préfet qui, soyons en convaincus, émettra des réserves et donnera... un avis favorable.
Comme pour l'éolien, Au fait, Madame le préfet a-t-elle déjà donné un avis défavorable sur le sujet?
Les paris sont ouverts.

La chose semble entendue. Mais la tenue des élections municipales de mars 2020 pourrait encore changer la donne, avec l'arrivée d'une nouvelle majorité d'élus défavorables au projet. C'est aux électeurs de se déterminer. 

Allô, il y a quelqu'une, il y a quelqu'un?

php


Vendée, îles d’Yeu et de Noirmoutier : éolien et Justice, nous sommes si bien "main dans la main"

"La diversification du mix électrique et la substitution d’électricité de source nucléaire par une électricité de source renouvelable ne répond pas à la problématique du CO2 et du réchauffement climatique induit par les émissions de celui-ci."
Impact économique, industriel et environnemental des énergies renouvelables : rapport de la Commission dite Aubert

Merci de faire parvenir en urgence un exemplaire du Rapport de la Commission Aubert aux juges de la Cour administrative de Nantes et ce, quel qu’en soit le prix à payer.😏😡👊


php

***
Les éoliennes de la discorde Michel Delapierre

Le 6 décembre 2019, la cour administrative de Nantes déboutait une nouvelle fois les opposants aux projets éoliens en mer. Le jugement concernait un recours visant à annuler la concession d’utilisation du domaine public maritime accordée par l’État à la société « Éoliennes en mer Iles d’Yeu et de Noirmoutier ». A quelques jours d’intervalles, Julien Aubert, député Les Républicains de la 5ème circonscription du Vaucluse, publiait un rapport accablant sur la gestion étatique des projets éoliens et demandait un moratoire sur le financement de cette filière.

Ce n’était pas la première fois que la cour de Nantes rejetait une demande des associations environnementales, collectifs citoyens et entreprises de pêche opposés aux éoliennes maritimes mais cette fois, la pilule était plus difficile à avaler. En effet, le dérapage verbal de l’un des membres de la commission d’enquête chargée d’évaluer le recours avait mis à mal son impartialité et menaçait donc l’intégrité de toute la procédure. Ce dernier avait insulté par mail les opposants au projet, les traitant de « personnes sans scrupules et au QI qui n’est pas celui du géranium ». Une saillie a priori risible mais grave dans le cadre d’une procédure judiciaire devant statuer sur le bien-fondé de la construction de 62 éoliennes en mer près des côtes de l’île d’Yeu et de Noirmoutier.

Pour Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable (FED), « l’enquêteur n’a pas été exclu et la Cour a estimé que ce n’était pas grave. Pour nous, c’est un déni de justice ». L’avocat des opposants, Maître Francis Monamy se dit stupéfait : « On ne peut être plus partial que l’a été la commission d’enquête. En effet, elle a ouvertement jeté son mépris à la face de la population. La cour de Nantes a considéré qu’il ne s’agissait que de « propos regrettables . Je pense que nous sommes bien au-delà du regrettable. Quand on injurie les citoyens avec une pareille méchanceté, je ne vois pas comment on pourrait être regardé comme impartial. Il fallait annuler la concession pour rappeler fermement l’administration à ses obligations ». L’avocat a donc bon espoir de voir son pourvoi en Cassation aboutir.
En France, le sujet des éoliennes maritimes est une affaire sensible. Dans le cadre de la transition énergétique, l’État a décidé de soutenir massivement cette filière. Selon le député Les Républicains de la 3ème circonscription de la Somme, Emmanuel Maquet, spécialiste de la question, « l’éolien va couter à l’État entre 70 et 90 milliards d’euros, dont 9 milliards ont déjà été dépensés et 80% de ces sommes sont déjà gagées ».
Pour favoriser le développement de ces projets, l’État a octroyé des subventions, facilité des autorisations et procédé à des simplifications administratives au premier rang desquelles, l’organisation des contentieux. Tous les contentieux concernant les projets éoliens maritimes en France sont ainsi centralisés à la cour administrative d’appel de Nantes avec la suppression d’un niveau de juridiction, le tribunal administratif. Cette cour devenue exceptionnelle ne permet pas de procédure en appel. En cas de rejet, la seule possibilité offerte aux perdants est de porter leur recours devant le Conseil d’État qui statue en dernière instance.

Depuis une dizaine d’année, les opposants se battent contre tous les projets de parcs éoliens maritimes, à Saint-Nazaire, Saint-Brieuc, Courseulles, Fécamp, les îles d’ Yeu-Noirmoutier et à Dieppe-Le Tréport. Ils ont au total déposé 18 recours. Ces recours concernent les concessions d’occupation du domaine public maritime, les autorisations d’exploiter, les autorisations de la loi sur l’eau, les arrêtés d’approbation des concessions et les dérogations à la destruction des espèces protégées. Sur les 18 recours, 10 n’ont pas abouti et 8 sont toujours en cours de jugement. Les procédures devraient donc s’étaler encore sur plusieurs années.
L’opposition de la population, loin de s’émousser, semble au contraire s’amplifier. Jean-Louis Butré de la FED précise qu’il « ne conteste pas la volonté de la France de développer une industrie performante dans l’éolien. Mais ce n’est pas normal de tordre les lois pour contrer les gens qui ont quelque chose à dire. Ils [l’État et les promoteurs] veulent passer en force quelle que soit la contestation ».
Face à une justice qui leur semble aux ordres, à un État qui donne souvent l’impression d’ajuster les lois aux bénéfices des promoteurs de l’éolien, les opposants ont la sensation d’être confrontés à un rouleau compresseur judiciaire, politique et économique. Jacky Bonnemain de l’Association Robin des Bois affirme ainsi que « même le nucléaire n’a pas été aussi bien protégé juridiquement que l’éolien, c’est incroyable ».

Les critiques sont également féroces concernant les coûts associés au développement de la filière.
Le député Emmanuel Maquet estime que « les sommes injectées dans la filière sont colossales par rapport au gain énergétique attendu en contrepartie. C’est un véritable scandale financier. On ne peut pas continuer comme cela, notamment sur les tarifs de rachat de l’électricité produite. Sur le projet du Tréport par exemple, on prévoit un cout du mégawatt à 131 euros, c’est entre 3 et 4 fois le prix du marché. Ce projet sera extrêmement rentable pour ses promoteurs. »
Fabien Bouglé, auteur de Eoliennes, la face noire de la transition énergétique, dresse un constat sévère, « il y a une volonté déterminée d’imposer coute que coute l’éolien malgré les défauts majeurs de cette filière, en particulier son cout pour la collectivité et les détournements de fonds gigantesques effectués via les systèmes de subventions publiques attribuées aux promoteurs de l’éolien. »

Pour les pêcheurs artisans, le sujet est encore plus sérieux. C’est une question de survie. En effet, sur Dieppe-Le Tréport par exemple, la construction des éoliennes est prévue au milieu de leur zone de pêche, sur une surface de 110 km2, l’équivalent de la superficie de la ville de Paris. Le port de pêche du Tréport est le premier port de poissons de Seine Maritime, celui de Dieppe est le premier port pour les coquilles Saint Jacques. Olivier Becquet porte-parole du collectif Pêcheurs Artisans, explique : « un port comme Le Tréport, c’est 200 marins, il est fréquenté par 75 navires de pêche sur l’année et représente un chiffre d’affaires de 11 millions d’euros. Lorsqu’on nous a présenté le projet, nous avons tout de suite compris que s’ils mettaient les éoliennes là, nous signions notre arrêt de mort. Uniquement avec le chantier nous serions obligés d’arrêter de travailler pendant 2 ou 3 ans. »

Le problème est identique du côté de Saint-Brieuc comme l’explique Katherine Poujol présidente de l’association « Gardez les Caps » : « La pêche en baie de Saint-Brieuc, c’est 300 bateaux et plus de 1000 emplois directs. L’Europe donne des subventions à la pêche industrielle pendant que l’industrie éolienne chasse les pêcheurs artisans de leur zone alors qu’il s’agit de la pêche la plus respectueuse de la ressource et la mieux gérée qui soit. Il y a des quotas, les contrôles de l’Ifremer, les comités des pêches. Ce sont des petits bateaux, c’est une pêche côtière et on veut mettre des éoliennes au cœur de leur zone, c’est fou. »
Entre 2017 et 2018, devant les nombreuses impasses des procédures engagées en France et l’absence de concertation effective, des pêcheurs concernés par les différents projets éoliens sur les côtes françaises ont décidé de déposer des plaintes auprès de la Commission européenne contre les aides publiques à ces projets. Toutefois, ces plaintes sont, pour l’essentiel, non contraignantes pour la Commission, notamment au niveau du calendrier de traitement.

Les associations se sont donc retrouvées devant un nouveau mur administratif, cette fois au niveau européen.
Comprenant le degré d’inertie auquel ils risquaient d’être une nouvelle fois confrontés, le Collectif des Pêcheurs Artisans a décidé de donner une résonance politique à sa démarche.
Au mois de septembre 2019, le Collectif a déposé une pétition au Parlement européen afin que l’organe législatif de l’Union se saisisse du sujet. Ce faisant, le Collectif des Pêcheurs Artisans a été rejoint par d’autres associations de pêcheurs portugais, belges, néerlandais et allemands également inquiétés par les projets éoliens.
Devant cette révolte des pêcheurs, la commission pêche du Parlement européen s’est saisi du sujet et a décidé d’examiner l’impact de l’éolien en mer sur l’environnement et sur la pêche afin d’adopter une position politique. Face au mécontentement, le Parlement organisera d’ailleurs un colloque sous l’égide de cette commission parlementaire le 22 janvier prochain réunissant des scientifiques, les principaux contestataires et les députés sensibilisés au dossier.

Enfin, au mois de novembre 2019, des entreprises de pêche impactées par les différents projets éoliens en préparation en France ont déposé un recours devant le Tribunal de la Cour de justice de l’Union européenne contestant les aides octroyées par la France à la production éolienne en mer. Le recours vise à l’annulation de la décision de la Commission européenne du 26 juillet 2019 validant les aides du gouvernement français aux projets éoliens de Fécamp, Courseulles-sur-Mer, Saint-Brieuc, Saint-Nazaire, Dieppe-Le Tréport et Yeu-Noirmoutier. Si ce recours aboutit, ce sont tous les projets éoliens maritimes qui pourraient être remis en cause.
Selon maître Morvan Le Berre, avocat des Pêcheurs Artisans à Bruxelles, « en France le plan de développement de l’éolien offshore annonce 30 projets supplémentaires sur la façade atlantique et en Méditerranée, ces affaires vont donc durer. »
Pour le député Maquet, « l’Europe doit se saisir du dossier à la fois sur les restrictions des zones de pêche induites par ces projets mais également sur les tarifs de rachat de l’électricité produit, ils doivent être fixés avant que les concessions soient accordées. »
Olivier Bequet du collectif Pêcheurs Artisans ne voit aucune conciliation possible : « en l’état, ces projets ne sont pas acceptables, la seule solution envisageable est leur abandon. »

Katherine Poujol de « Gardez les Caps » conclut en se référant au rapport du député Aubert : « pas d’éoliennes dans les zones de pêches artisanales et une distance d’éloignement minimale de 50 km en mer. » Une distance qui, au demeurant, en ferait de vrais projets offshores.

Haute-Marne, Fayl-Billot, Pierremont-sur-Amance et Pressigny : avis de décès

  L'association Les vues imprenables a la profonde douleur de vous faire part du décès du Pays Vannier survenu le 3 février 2020. À cette date, débutera la construction de la zone industrielle d'aérogénérateurs dit "Vannier-Amance", constituée de 17 machines. 
L'enterrement se déroulera sur plusieurs semaines. La cérémonie sera à caractère public.
Cette mort prématurée est le résultat direct 
- de la politique irresponsable menée par : 

- une majorité d'élus de l'ex Communauté de communes Vannier-Amance puis, de la Cc des Savoir-faire, 1er janvier 2017 ;
- une majorité d'élus des conseils municipaux des communes de Fayl-Billot, Pierremont-sur-Amance et Pressigny qui se sont succédés depuis 2013, date de la demande en préfecture de la société porteuse du projet "en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter"

- de la vénalité de propriétaires et autres exploitants agricoles : pas de terre, pas d'aérogénérateur! ;
- de la passivité, tout aussi coupable, d'une majorité de la population. L'association entend déjà ses lamentations...
- sans oublier, l'approbation décisive de l'Etat représenté par le préfet Jean-Paul Celet, 2012-2016, signataire de l' Arrêté n° 95 du 9 mars 2015 "portant autorisation d'exploiter".
 
   L'association continuera néanmoins à militer pour la protection et la préservation du milieu rural, du bien-être de ses habitants, la sauvegarde de ses atouts culturels et patrimoniaux et pour son attractivité touristique. Elle mettra son expérience à la disposition des résistants le souhaitant de Haute-Marne, Haute-Saône et Côte d'Or. 

Lire également
Côte d'Or, Haute-Marne, Haute-Saône : dans un rayon de 20 km autour de Frettes (70), 176 aérogénérateurs officiels et tous les autres...

   L'association remercie tous ses adhérents pour leur engagement afin de stopper ce projet macabre pour la santé publique, l'environnement et l'attractivité du Pays Vannier.
Bonne année à toutes et tous


TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER! 

php


Nouvelle-Aquitaine : l'éolien dénoncé au Conseil régional

Le conseiller régional LR, Eddie Puyjalon vote contre le Sraddet et remet le livre de Fabien Bouglé, Eoliennes la face noire de la transition écologique, au président de la région Alain Rousset.

Voir et écouter
https://www.facebook.com/156665675011402/videos/546464746177175/


Lire également
Le Girondin Eddie Puyjalon prend les commandes de
Chasse, pêche, nature et traditions (CPNT)


TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER!



php

Haute-Marne, Osne-le-Val : l'éolien à perte de vue et à...perpétuité

  Avec la ZI dit "Les Hauts pays", Epizon, Chambroncourt, Leurville, Germay, Germisay, Thonnances-les-Moulins, Pansey, Aingoulaincourt, Effincourt, 39 aérogénérateurs, la ZI dit "Mont Gimont", Ambonville, Cerisières, Rouécourt, Leschères-sur-le-Blaiseron, Guindrecourt-sur-Blaise, Flammerécourt, Baznacourt, 24 aérogénérateurs, avec la ZI dit "La grande Combe", Aillianville, 8 aérogénérateurs, et en attendant les nouveaux projets qui ne vont pas manquer d'arriver, Osne-le-Val est sa ZI dit "Eole de la plaine" constituée de 12 aérogénérateurs, ne choquera même plus dans le périmètre... malheureusement.😟
« La condition d’animal domestique entraîne celle de bête de boucherie »
Ernst Jünger 1895-1998 





   Ils font l' infortune du village, ils méritent quelques déboires


Conseil municipal 2008-2014





Conseil municipal 2014-2020




Ministère de l' Intérieur


Osne-le-Val
- Arrêté n°2109 du 15 septembre 2017

   Document validé par Madame le préfet Françoise Souliman et signé par Madame le sous-préfet et secrétaire général de la préfecture, Audrey Baconnais-Rosez. Depuis, ces deux femmes ont quitté la Haute-Marne et sont parties exercer leur métier sous d'autres latitudes.
- Mme Françoise Souliman, préfet de l' Ardèche
- Mme Baconnais-Rosez, sous-préfète à Sartène, Corse-du-Sud jusqu'au mois d'août de cette année.
-Arrêté n°1878 du 10 mai 2019

   Document validé par le nouveau préfet, Mme Élodie Degiovanni.

Les représentants de l' Etat passent, les aérogénérateurs restent.
"La méchanceté d'une personne dépend de son coeur pas de son sexe"
 Jean Hatzfeld, Une saison de machettes, Editions du Seuil, 2003


Osne-le-Val, monuments aux morts. Photo Raymond Jacquot

Cayennes, Cayens

Bonne nuit et bonne chance


php 

L'hydrogène et son gargantuesque appétit d'électricité pour sa fabrication

"La gourmandise est l'apanage exclusif de l'homme."
Anthelme Brillat-Savarin 1755-1826

Et de l' hydrogène serait-on tenté de dire... 😏
php

***

Atlantico : Une alternative aux énergies fossiles est l'hydrogène vert. Avant tout, qu'est-ce que l'hydrogène vert ? Et pourquoi l'utiliser à grande échelle à la place du pétrole pourrait être intéressant ?

Philippe Charlez : l’hydrogène a tous les avantages du pétrole et du gaz sans en avoir les inconvénients : c’est une énergie très concentrée qui se transporte, se stocke et fournit de l’énergie sans émettre de gaz à effet de serre. Autrement dit l’énergie parfaite. Malheureusement on ne trouve pas dans la nature de gisement d’hydrogène comme il en existe pour le pétrole et le gaz. L’hydrogène vert doit être fabriqué à partir de l’électrolyse de l’eau, une technique que tout le monde a un jour découverte au lycée au cours de chimie. En faisant passer un courant électrique entre deux électrodes dans de l’eau, on « casse » la molécule d’eau en deux. On récupère l’oxygène d’un côté et l’hydrogène de l’autre et le tour est joué. Ce dernier peut alors être stocké à haute pression puis transporté pour être utilisé dans une pile à combustible. Donc, il n'y a aucune barrière technologique pour produire de l’hydrogène.


Qu’est ce qu’une pile à combustible. Comme l’utilise-ton dans un véhicule à hydrogène ? Quels sont ses avantages ?
La pile à combustible fait l’inverse de l’électrolyse : elle recombine l’hydrogène avec l’oxygène de l’air et produit de l’électricité. En emmenant une bombonne d’hydrogène de quelques kilos avec soi on peut donc fabriquer l’électricité directement dans sa voiture. D’où un avantage considérable par rapport à une voiture électrique : plus besoin de charger son véhicule pendant des heures à la borne et plus de problème d’autonomie car la petite bombonne de quelques kilos permet de rouler plusieurs centaines de kilomètres. Et ce qui s’applique aux voitures peut aussi s’appliquer aux camions, aux bateaux et pourquoi pas aux avions. Il n’y aujourd’hui aucune barrière technologique pour remplacer massivement le pétrole des transports par de l’hydrogène.


Si l'on sait d'ores et déjà qu'utiliser l'hydrogène vert à grande échelle permettrait de réduire une grande partie de nos émissions CO2, pourquoi n'est-ce pas encore le cas ? Pourquoi les industriels n'en sont-ils qu'au stade expérimental ?
Produire de l’hydrogène nécessite beaucoup d’électricité. Ainsi, si on voulait à kilométrage constant remplacer les 50 milliards de litres d’essence et de diésel consommés annuellement en France par de l’hydrogène vert, sa fabrication nécessiterait environ 500 TerraWattheures d’électricité. Produire ces 500 TWh demanderait…une soixantaine de réacteurs nucléaires supplémentaires ou l’équivalent de cent vingt mille éoliennes.

La suite...


L'hydrogène, combustible parfait pour remplacer le pétrole ? Pourquoi ce n'est pas si simple...
Philippe Charlez
01/12/2019


HAUTE-SAÔNE, MALVILLIERS : UN ÉCORNIFLEUR DU VENT A PLANTÉ SON MÂT DE MESURE

  Le nouveau mât de mesures éolien que nous apercevons le long de la RNI9 reliant Langres à Vesoul, est situé sur la commune de Malvillers, petit village aux 73 inscrits sur la liste électorale en 20I4.


Malvillers, siestant sous un grand soleil. Photo : Pascal Truchot

  D'après nos informations, le mât serait surveillé et les câbles seraient protégés par des fourreaux métalliques.
  Ce projet de zone industrielle d'aérogénérateurs s'accompagnerait de la construction d'un poste de transformation, RTE, pouvant répondre à l'avenir à une demande de I05MW de puissance nominale EnR en développement, soit environ 50 aérogénérateurs.


capareseau.fr

  Cette structure ferait écho à celle en construction à La Rochelle, commune distante de 3 km à vol d'oiseau, à l'ouest.
  "Le poste sera situé dans une enceinte d’environ 4 500 m² dont une partie sera remblayée à l’aide de matériaux granulaires extérieurs afin de constituer une plateforme. L’ensemble de l’enceinte sera entouré par une clôture constituée d’un grillage de panneaux rigides verts. La hauteur totale de cette clôture est de 2 m par rapport au sol fini (soit la piste, le gravillon ou la terre). La surface empierrée est de 12,5 ares environ pour les plateformes et de 3 ares environ pour la piste à l’intérieur du poste entre le portail et le bâtiment. La surface en dur, constituée du dallage béton pour le transformateur (65 m2) et le bâtiment (270m2), est de 335 m2 au total. Les équipements électriques de haute tension (HTB) sont situés en extérieur et comprennent :
  • un portique d’arrivée de la liaison aérienne, protégé par 3 parafoudres de phase;
  •  une rame HTB de livraison 225 kV en technologie extérieur comportant notamment : un sectionneur de ligne qui servira à isoler le poste ainsi qu’un sectionneur de terre; trois combinés de mesure pour le comptage RTE et la protection; un disjoncteur général pour couper le courant en cas de défaut et qui assurera la protection de la ligne HTB ainsi que celle du transformateur 225/33 kV; un transformateur 225/33 kV, d’une puissance de 130 MVA, équipé d’un système de rétention d’huile afin de recueillir l’huile diélectrique du transformateur si celui-ci venait à se vidanger. 
  •  Un bâtiment d’exploitation d’environ 270 m² de surface au sol et recouvert d’un toit terrasse sera construit au sein de l’enceinte. Il sera recouvert d’un enduit cendre vert afin d’améliorer son intégration paysagère. Ce bâtiment abritera les disjoncteurs HTA à 33 kV, un transformateur basse tension permettant les alimentations électriques auxiliaires et les installations de monitoring du poste électrique.Aucun éclairage permanent du poste, bâtiment ou installations électriques extérieures, ne sera mis en place."

Source : La création du poste électrique privé 225000 / 33000 volts de La Rigotte sur le territoire communal de La Rochelle, département de la Haute-Saône


  Que pensent les habitants de l'initiative de leur maire Sylvain Saint Avit et de ses 6 conseillers municipaux ?
Réponse en mars 2020 lors des élections municipales ? 


Conseil municipal 2014-2020

   À noter, que l'ex maire, qui ne s'est pas représenté en 20I4, après 3 mandats successifs, avait pour matricule : Jean Saint Avit...


Ministère de l'Intérieur

  Car le projet de zone industrielle de Malvillers n'est pas le seul dans le périmètre. Et c'est là un des nombreux problèmes générés par l'éolien. Les élus d'une commune ne prennent pas en considération le projet de la commune voisine ou plus vraisemblablement, ils s'en foutent, autant par inculture que par vénalité. Or, ils sont amenés à se prononcer dessus lors de l'instruction. Imaginez maintenant qu' au niveau des communautés de communes... il en va de même. Et vous obtenez cette concentration d'aérogénérateurs, I28 machines officielles, sans compter toutes les autres... en sommeil, à la frontière entre la Haute-Marne, la Haute-Saône et la Côte d'Or. Cette situation est mortifère pour la santé des populations riveraines, pour l’environnement et pour l'attractivité de ces pays. Nous pouvons sans hésiter, parler de SCANDALE ÉOLIEN, au même titre que le sang contaminé, le chlordécone, l'amiante, le médiator, etc. Là aussi, la Justice devra passer...
 
En détail 
 
  - La Communauté de communes du Val de Saône, 70


 
  • ZI du Pays jusséen : Vitrey-sur-Mance, Rosières-sur-Mance et Saint-Marcel, 8 machines, en activité;
  • ZI des Chauvirey : Chauvirey-le-Vieil, Chauvirey-le-Châtel, 7 machines, en étude;
  • ZI la Roche 4 Rivières : La Roche-Morey, Bourguignon-lès-Morey et... Fouvent-Saint-Andoche, Communauté de communes des 4 rivières, 9 éoliennes, construites. les aérogénérateurs sont d’ailleurs visibles depuis la RNI9 et depuis le village de Malvillers : à gauche, la DI7 menant à Malvillers, à 800m. Les croix indiquent la présence des aérogénérateurs de l'usine dit " La Roche 4 rivières ", distants de 5.5 km à vol d'oiseau. @GoogleMaps

 

  • ZI de Frettes : Frettes, 6 machines, refusée;
La communauté de communes des Quatre Rivières (70)
  • ZI Argillières : Argillières, 6 machines, autorisée, non construite, en recours;
  • ZI de la voie du Tacot : Vaite, Mont-Saint-Léger, 9 machines, en cours d'instruction;
  • ZI du Blessonnier : Francourt, Renaucourt, Roche-et-Raucourt, Volon, 11 machines, en instruction;
  • ZI des 3 provinces : Champlitte, 9 machines, autorisée, non construite, en recours;
  • ZI de Percey-le-Grand : Percey-le-Grand, I0 machines, autorisée, non construite, en recours;
  • ZI de Vellexon : Vellexon-Queutrey-Vaudey, 9 machines, refusée;
  • ZI entre Saône et Salon : Montot, Denevre, Montureux-et-Prantigny, I0 machines, en cours d'instruction.

  - La Communauté de communes des Savoir-Faire, 52


ccdessavoirfaire.fr

  • ZI Vannier-Amance : Pressigny, Fayl-Billot et Pierrefaites, 17 machines, autorisée, non construite, en recours;
  • ZI des hauts de la Rigotte : La Rochelle, La Quarte, Moley, Charmes-Saint-Valbert, Cc des 4 rivières, 8 machines, autorisée, non construite, en recours; 
  • ZI Sud Vannier : Belmont, Tornay 9 machines, en instruction;
  • ZI Voisey : Voisey, 6 machines, mât de mesure, en étude;
  • Champsevraine dans le secret...


Point noir : emplacement du mât de mesures 
Point rouge : emplacement de la ZI " La Roche des 4 rivières

MUNICIPALES 2020
  • PAS UNE VOIX POUR LES CANDIDATS PRO-EOLIENS !
  • TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER !


php

Etats-Unis : les EnR bientôt privées de leur biberon à subventions

La fin prochaine des subventions américaines aux EnR entrainera-t-elle l’augmentation des demandes d'autorisation de zones industrielles d'aérogénérateurs et de panneaux photovoltaïques en France, dernier Eldorado, dans un effet papillon?
« Le battement d'ailes d'un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? »
Edward Norton Lorenz, 1917-2008

À suivre...

php


***

Plus de 25 ans après que le Congrès ait créé des crédits d'impôt pour encourager le développement des énergies renouvelables, les éoliennes et les panneaux solaires devront bientôt se débrouiller comme jamais auparavant. En vertu de du vote du budget approuvé peu avant que le Congrès ne prenne ses vacances, le crédit d'impôt à l'investissement, qui rembourse 30 % du coût des nouveaux systèmes solaires, commencera à diminuer le mois prochain, pour tomber à 10 % pour la plupart des entreprises d'ici 2022. Le crédit d'impôt sur la production d'énergie, qui donne aux producteurs d'énergie éolienne un coup de pouce d'environ 2 % par kilowatt, suivra en 2021, diminuant régulièrement jusqu'à ce qu'il soit finalement réduit à zéro en 2025.

Lire
La Federal Energy Regulatory Commission (FERC) repousse les plans des États en matière d'énergie propre

À court terme, les analystes prévoient que les deux technologies connaîtront une forte augmentation des installations, car les résidents et les promoteurs cherchent à profiter des crédits d'impôt tant qu'ils le peuvent. En 2017, les promoteurs des secteurs éolien et solaire ont reçu 11,6 milliards de dollars en crédits, selon le Congressional Research Service, un organisme indépendant.
Mais une fois que les crédits auront atteint leurs limites, cette croissance devrait ralentir. Le cabinet de recherche IHS Markit prévoit que le développement éolien atteindra un pic l'année prochaine avec 14 gigawatts de nouvelles turbines et qu'il faudra attendre... 2050 pour revoir un tel niveau.


Les perspectives pour les installations solaires sont moins certaines.
Les installations solaires devraient croître rapidement jusqu'en 2023, puis diminuer progressivement. IHS Markit prévoit que l'énergie solaire augmentera sa capacité de production de 10 gigawatts en 2030 - soit une baisse de 10 % par rapport aux quelque 11 gigawatts de production solaire installés en 2019. Un gigawatt peut alimenter environ 700 000 foyers.

Mais Camron Barati, analyste chez IHS Markit, a dit que cette prévision pourrait être trop pessimiste. Le coût des panneaux solaires continue de baisser et l'efficacité des matériaux qui convertissent la lumière du soleil en électricité ne fait qu'augmenter.

"Nous prévoyons généralement de revoir à la hausse les perspectives à long terme ", a déclaré M. Barati. "D'ici la fin de la décennie, la compétitivité des coûts de la technologie solaire devient assez convaincante, même sans incitation fiscale."
Les crédits d'impôt fédéraux ont aidé le Texas à devenir - de loin - le leader américain de l'énergie éolienne. Cet État, qui dispose d'une capacité éolienne installée d'environ 27 gigawatts, produit plus du quart de l'électricité d'origine éolienne aux États-Unis.

La suite...


L'éolien et le solaire font face à l'avenir sans subventions

James Osborne
26/12/2019



ÉPIZON : UN NOUVEAU PROJET D'USINE ÉOLIENNE PASSE EN COMMISSION D'ENQUÊTE

  En mai 2018, un article du jhm relatait les " états d'âme " de monsieur le maire :
  " Claude Malingre [le maire] ne trouve pas que c'est une bonne solution d'implanter plus d'éoliennes que d'habitants. Selon lui, cela provoque la fuite des nouveaux arrivants. [...] bien qu'apportant une manne financière, ces éoliennes installées par de grandes sociétés détruisent le paysage. [...] le mât implanté qui domine la forêt autour de Pautaines* en indiquant qu'il pensait que le visuel serait saccagé avec onze éoliennes. "
   Cette déclaration venait après 10 années passées au quotidien au milieu d'une zone industrielle de 39 aérogénérateurs qui était à cette époque, considérée comme la troisème de France en puissance nominale installée.
Haute-Marne, Epizon : à vivre longtemps sous les éoliennes ça donne à réfléchir

Il était une fois la zone industrielle dit " Les hauts Pays "
   Les communes concernées : Épizon, Chambroncourt, Leurville, Germay, Germisay, Thonnances-les-Moulins, Pansey, Aingoulaincourt, Effincourt.
   - 39 aérogénérateurs pour une puissance nominale installée de 78 MW.
Voir et entendre : Inauguration parc éolien des Hauts Pays 

  •  " D'une puissance installée de 78 MW, ce parc produira plus de 200 000 000 de KWh [200 000MWh] par an " dit le commentaire.
Calculons le facteur de charge correspondant à cette prévision 78 MW de puissance nominale installée pour 39 aérogénérateurs : chaque machine a donc une puissance nominale installée de 2 MW.
   Sachant qu’une année correspond à 8 760 h, les 39 aérogénérateurs pourraient, en théorie, produire au maximum : 8 760 h x 2 MW x 39 = 683 280 MWh/an.
   Si la zone industrielle considérée est sensée produire 200 000 MWh/an, son facteur de charge serait alors égal à : 200 000/ 683 280 = 29%.
 
Qu'en est-il en réalité ?
  • Le réseau de transport de l' électricité, RTE nous informe : " le parc éolien a produit en moyenne à 21,3 % de sa capacité [2011], valeur très proche de celle de 2010. " RTE Bilan électrique 2011
  • Le facteur de charge éolien, en moyenne à 21,1%, en 2018. RTE Bilan électrique 2018
   Ce pourcentage est confirmé pour la région Grand-Est en 2019 :



 

 
   Ainsi, la puissance nominale éolienne installée en France est passée de " Le parc éolien en exploitation à fin 2011 atteint 6 640 MW (...) au 31 décembre 2018, la capacité de production du parc installé éolien est portée à 15 108 MW ". Or, le taux de facteur de charge est resté malgré tout identique, fort loin des 29% mensongers.

Avec les interventions de : 
  • Bruno Sido, sénateur et président du Conseil Général de la Haute-Marne : " c'est un territoire déshérité [...] Voilà depuis des décennies le premier projet économique qui se développe sur ce territoire. C'est un grand bonheur pour nous "
   À noter que Bruno Sido a été Président du Conseil général puis départemental de la Haute-Marne de 1998 à 2017...
  • René Huot, ex-maire d' Épizon : " c'est pour moi [...] un grand honneur de célébrer ces grandes machines qui tournent au-dessus de nos têtes. Il me semble donc que l'on a bien travaillé et qu'on a fait oeuvre utile pour les générations futures. C'est notre volonté et c'était notre espoir. "


  Il est assurément l'idiot utile dans cette affaire. Cependant, il a été reconduit en 2014, tout comme la plupart de ses collègues de la mandature 2008-2014.

 


  

  
  Seuls trois nouveaux élus dans la mandature suivante : Gilles Perrin, Denis Simon et Gilbert Fidrick.
  Conseil municipal 2014-2020

 
De belles vues... imprenables sur les aérogénérateurs !...


 

  • Bernard Laurent, directeur général Erelia-GDF-Suez " On a fait en sorte que les indemnités foncières soient réparties de la manière la plus équitable possible. On est en train d'ouvrir le capital du parc aux habitants. On met en place un projet de développement économique très ambitieux : un emploie créé pour un MW installé ce qui ferait 70 emplois, alors pas tout de suite mais j'espère bien que dans 5 ans, on aura atteint cet objectif. "

   Depuis, Bernard Laurent a quitté Erelia en 2012, il est toujours à Engie Green en tant que Directeur d'exploitation maintenance, 2007, et il est également Directeur Général Adjoint GDF SUEZ Futures Energies , 2013. Et 9 ans après, les 70 emplois se font toujours attendre...😂😡

" Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent ”.
Henri QUEUILLE, 1884-1970 

 2019
   " Quand on aime, on ne compte pas " dit le proverbe. C'est ce qu'on du penser les élus du Conseil municipal et la majorité de la population qui a reconduit en 2014 la quasi totalité de l'équipe municipale. Où sont passées entre temps les bonnes résolutions de monsieur le maire ?

Le projet dit " Éole de la Joux "
   La zone industrielle se composerait de 7 aérogénérateurs.
  " Ce projet s'organise en 2 lignes parallèles, l'une à l'ouest, 4 machines, et l'autre à l'est, 3 machines. Il se trouve à l’écart de toute habitation, environ 580 m de l’éolienne la plus proche (E6) sur des parcelles dédiées à l’exploitation agricole."

 

Ce projet viendrait s'ajouter aux 75 aérogénérateurs déjà en activité sur le périmètre.

 
  La commune d' Annonville avec Domrémy-Landéville et Saint-Urbain-Maconcourt, où un projet dit " La Combe rougeux " composé de 4 aérogénérateurs a été autorisé par madame le préfet, Françoise Souliman, partie depuis en... Ardèche : Arrêté n° 1760 du 5 juillet 2018
   La même qui déclarait en juillet 2017 :
  " Je ne souhaite pas qu'il y est de nouvelles éoliennes installées [...] parce qu'on a un taux d'acceptabilité qui est maintenant un plus dur à obtenir " Trop d'éoliennes en Haute-Marne ? Les projets sont suspendus
  La particularité de cette usine est qu'elle a été autorisée à défricher une zone boisée. Une première en Haute-Marne !
Haute-Marne : les derniers mots de l'ex-préfet Françoise Souliman

Milieu humain
   " L’Autorité environnementale recommande qu’un contrôle des niveaux sonores soit réalisé à la mise en service du parc éolien, afin de vérifier le respect de la réglementation. Elle rappelle que si des dépassements des seuils réglementaires sont observés, le pétitionnaire devra appliquer des mesures de bridage complémentaire, voire arrêter ses éoliennes "
  S' il y a un doute sur le bruit engendré par les aérogénérateurs, et visiblement il y a un doute, pourquoi ne pas interdire le projet ?
   Le contrôle serait effectué par... l'exploitant. Les autorités publiques n'ont pas les moyens humains ni le temps d'aller vérifier régulièrement le niveau sonore.
  Au contraire des futurs riverains des 4 éoliennes, le promoteur peut, lui, dormir tranquille ! 
 
 
TENIR TÊTE, FEDERER, LIBERER !


jhm 2020 01 15

 


php


BOURDONS-SUR-ROGNON : LE CONSEIL MUNICIPAL Y VEUT ET... Y VEUT PAS DES USINES ÉOLIENNES

  Précédemment :  CIREY-LÈS-MAREILLES & MAREILLES : LE PROJET DE L' USINE ÉOLIENNE EST AUTORISÉE PAR LA PRÉFECTURE LANQUES-SUR-ROGNO...