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17décembre 2016
Jeudi 15 décembre, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) a publié son avis sur les compteurs communicants. Ces compteurs permettent « la relève à distance des index de consommation d’électricité, de gaz et d’eau, et leur transmission journalière aux fournisseurs d’énergie, notamment dans un objectif de maîtrise des énergies par les consommateurs », rappelle l’agence.
Dans son rapport de 126 pages, l’Anses estime que les risques sanitaires « sont peu probables ». Mais Priartem, l’association de défense des personnes électrosensibles à l’origine de la saisine de l’Anses, relève également que le rapport reconnaît qu’ « actuellement, il n’existe pas de littérature scientifique traitant spécifiquement des effets sanitaires à court ou long terme de l’exposition aux compteurs communicants ».
Priartem demande un moratoire sur le développement de ces compteurs, et des recherches approfondies.
17décembre 2016
Jeudi 15 décembre, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) a publié son avis sur les compteurs communicants. Ces compteurs permettent « la relève à distance des index de consommation d’électricité, de gaz et d’eau, et leur transmission journalière aux fournisseurs d’énergie, notamment dans un objectif de maîtrise des énergies par les consommateurs », rappelle l’agence.
Dans son rapport de 126 pages, l’Anses estime que les risques sanitaires « sont peu probables ». Mais Priartem, l’association de défense des personnes électrosensibles à l’origine de la saisine de l’Anses, relève également que le rapport reconnaît qu’ « actuellement, il n’existe pas de littérature scientifique traitant spécifiquement des effets sanitaires à court ou long terme de l’exposition aux compteurs communicants ».
Priartem demande un moratoire sur le développement de ces compteurs, et des recherches approfondies.
- Source : Anses et Communiqué de presse de PRIARTEM
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