Les renouvelables, ce ne sont pas que des éoliennes et des panneaux solaires. Les statistiques sur l'énergie en France, dont l'édition 2019, allant jusqu'à fin 2018, viennent tout juste d'être publiée (https://lnkd.in/gtTY7XB), montrent que, comme pour le monde dans son ensemble, les deux premières contributions chez nous sont le bois et l'hydroélectricité.
Les pompes à chaleur sont équivalentes à l'éolien, mais bien plus intéressantes pour notre pays, car elles évitent du fioul et du gaz, donc du CO2 et des importations, alors que éolien et solaire n'évitent pas de CO2 - ni risque nucléaire - et accroissent les importations (https://lnkd.in/gZVfYjc ).
Le solaire photovoltaïque représente 3% d'un ensemble qui représente 11% de l'approvisionnement primaire du pays.
Après des années d'investissements et déjà des dizaines de milliards d'euros engagés, avoir déplacé "seulement" 0,3% de l'énergie française, au surplus sans gain pour le CO2, devrait quand même faire réfléchir sur l'efficacité des moyens engagés, alors que nous sommes dans une course contre la montre avec le changement climatique, non ?
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